Pas d'OGM dans l'assiette ? Vous l'aurez dans le vaccin ! Merci l'Institut Pasteur et l'INSERM.

 
Nos sociétés évoluent si vite…
On connaissait les conflits d’intérêt des individus ; il faut faire avec les conflits d’intérêt institutionnels.
Les instituts de recherche nationaux (INSERM et autres) sont dans la misère ? Vos impôts ne suffisent plus à assurer des fins de mois décentes à leurs chercheurs et un dynamisme minimal des labos ?
Gérez ça comme des start-up et tout ira bien, disaient (et disent encore sans le dire vraiment) les Ministres !
Le résultat est là : les labos (certains, pas tous) sont gérés comme des petites entreprises ; on passe des contrats, on dépose des brevets, et puis, place au business si on est doué pour ce métier…
Un nouveau vaccin contre la coqueluche, par exemple, pourrait dans des bonnes mains affairées générer des centaines de millions d’euros [voire le milliard] de chiffres d’affaire et des profits qui pourraient dépasser le budget annuel de certains de nos prestigieux Instituts.
A titre d’exemple, les vaccins contre les pneumocoques ou contre les Papillomas ont effectivement dépassé le milliard de dollars de chiffre d’affaire. Ça donne à réfléchir…
Faut-il décourager (ou accuser) des chercheurs ou des scientifiques qui se lancent dans de si belle aventures technico-commerciales ?
Je ne le pense pas. Au-delà du chiffre d’affaire, il peut y avoir un intérêt médical à de telles initiatives. Et puis, des rentrées financières peuvent rendre de grands services à nos Instituts en voie de paupérisation accélérée.
Sauf que…
Sauf que les choses sont un peu plus compliquées. Prenons un exemple simple qui touche l’actualité : un nouveau vaccin contre la coqueluche disais-je.
Les vaccins actuels contre la coqueluche sont très critiqués quoiqu’on veuille les rendre obligatoires. C’est bizarre mais c’est comme ça. Surtout ne pas réfléchir, la réflexion est mauvaise conseillère par ces temps troubles.
Un nouveau vaccin serait bienvenu, selon les experts vaccinalistes ; pour remplacer les anciens, peu efficaces et plutôt mal tolérés.
Nous n’en n’avons pas vraiment besoin ; et surtout pas un qui serait obligatoire !
Peu importe, le marché sera conciliant et lui fera bon accueil car depuis deux décennies, les experts nous disent que des épidémies de coqueluche récurrentes déciment les populations.
Puisqu’on vous le dit ; c’est là :
20170925a
 
Et voici que le miracle advînt : un nouveau et formidable vaccin est proposé ; le produit d’une collaboration entre des institutions nationales et le secteur privé ; c’est indiqué ci-dessous avec comme référence exacte pour le curieux : J Infect Dis 2017;216:117-124.
 
20170925b
Des essais sur les humains (des hommes jeunes) ont déjà été publiés !
Bravo, c’est merveilleux, félicitations ! Sauf que…
Sauf que la bactérie modifiée (atténuée) qui sert de stimulus vaccinal a été génétiquement modifiée. C’est un OGM !
Vous ne voulez pas d’OGM dans votre assiette, vous en aurez dans vos vaccins !
Sous forme de spray. Et le gentil animal vous pénètrera puisque la bactérie va aller stimuler votre système immunitaire.
Et si le principe vaccinal anti-coquelucheux a été rendu obligatoire, comment y échapper tout en respectant la Loi ?
D’un point de vue biologique, est-ce prudent ?
Selon les auteurs (très vaccinalistes) de l’article cité plus haut, la bactérie de la coqueluche a de mauvaises manières, par exemple celle de muter assez facilement ; ce qui, selon eux, expliquerait en grande partie l’inefficacité des vaccins. Elle change cette bactérie, au gré du temps ; et il y a grande chance pour que notre nouvel OGM mute (change) aussi et deviennent potentiellement dangereux, plus dangereux que son ancêtre sauvage.
Toutes les précautions ont-elles été prises ?
Réponse : non, à l’évidence !
A t-on vraiment besoin de ces ouvrages d’apprenti-sorcier ?
Réponse : non probablement !
Serions-nous sous la dépendance de médecins fous ? Qu’est-ce qui les motive vraiment ?
Le progrès médical ? Le bonheur des peuples ? Protéger les bébés ?
Ou générer des profits substantiels avec la collaboration de l’industriel new-yorkais qui a probablement déjà beaucoup investi dans ce projet ?
Qui peut répondre ?
Qui peut évaluer l’intérêt de la dissémination de cet OGM ?
Qui est suffisamment désintéressé et objectif pour donner un avis indépendant ?
Le PDG de l’entreprise new-yorkaise ? Non ! Conflit d’intérêt majeur !
Le PDG de l’Institut Pasteur ? Non ! Conflit d’intérêt majeur !
Le PDG de l’INSERM ? Non ! Conflit d’intérêt majeur !
Il ne s’agit pas ici de conflits d’intérêt financiers individuels directs, tout le monde l’a compris ; c’est encore pire !
Le cousin, la fille ou l’épouse d’un de ces PDG ? Non ! Conflit d’intérêt majeur !
On l’a compris, le succès de cette entreprise dépend en partie de l’existence d’un marché captif, par exemple, des pays où sévissent des obligations vaccinales.
On le comprend sur cet exemple illustratif de la controverse sur l’obligation vaccinale, les argumentaires sanitaires mensongers (les épidémies, les résurgences, les flambées) cachent une autre réalité dont les fondements sont financiers. Mais ces intérêts financiers ne sont pas forcément incompatibles avec un possible progrès médical, qui reste à démontrer, sans prendre nos bébés en otage car ils ne sont pas des cobayes !
Loin de moi d’accuser qui que ce soit ; mais il nous faut de toute urgence un arbitrage indépendant.
Aucun des PDG sus-cités ne peut être un de ces arbitres indépendants.
L’épouse du PDG de l’INSERM, l’actuelle Ministre de la Santé, ne peut l’être non plus. Elle est prisonnière de ses conflits d’intérêt.
Elle doit avoir la sagesse de l’admettre et se retirer sagement : 1) éviter de participer aux controverses qui concernent les vaccins ; 2) éviter de s’immiscer dans toutes les problématiques vaccinales !