ALERTE : on se prépare à autoriser les vaccins antiCOVID sur des critères peu rigoureux !

La crise du COVID-19 impose des mesures d’urgence que nul ne saurait contester sur le principe.

Pour les applications pratiques (masques, tests, distanciation, quatorzaine…) c’est souvent stupide mais c’est une autre question !

Ce sont parfois ceux qui préconisent le plus des mesures stupides et aveugles (des traitements douteux…) qui se plaignent le plus des mesures stupides des autorités sanitaires.

Mais se distancier ou porter un masque, quoique potentiellement gênant à divers points de vue, n’est rien (peu ou pas toxique) par comparaison avec l’administration d’un médicament ou, encore pire d’un vaccin, dont les effets toxiques sont irréversibles.

Les autorités sanitaires, et leurs supposés experts, ici et ailleurs, clament qu’on n’autorisera que des vaccins ayant fait la preuve de leur efficacité et de leur innocuité.

Pour ceux qui connaissent l’historique de la médecine des vaccins [je pense inutile de renvoyer à mes 7 Livres sur les vaccins] et qui suivent attentivement l’actualité des futurs vaccins antiCOVID, il y a de quoi beaucoup s’inquiéter !

Certes, ceux qui parlent aujourd’hui ne sont pas ceux qui décideront demain et qui se préparent secrètement à nous imposer ces vaccins.

Paranoïa ? Relisez mes Livres sur les vaccins qui tous contiennent des plongées dans les Archives.

Pourquoi je commence à sérieusement m’inquiéter ?

Parce que les experts américains des vaccins commencent à laisser filtrer l’idée que, l’urgence sanitaire obligeant, il faudra accepter des vaccins pour lesquels nous n’aurons pas de fortes évidences qu’ils sont utiles (efficaces) et peu toxiques.

A propos de toxicité ou d’innocuité (pour commencer), ils disent qu’il ne faudra pas être trop sévère car pour connaître réellement l’ampleur de la toxicité d’un vaccin, il faut plus que des essais cliniques sur des dizaines de milliers de volontaires. Il faudra des millions d’injections pour vraiment savoir !

C’est une façon insidieuse de nous préparer à la stratégie (couramment utilisée avec les autres vaccins de bébés) qu’il faudra d’abord lancer les campagnes de vaccination et qu’on verra bien ensuite…

Il ne faut pas accepter cette stratégie évidemment !

Et si on vous dit que les études préliminaires sont rassurantes, il ne faut pas les croire à moins que nous ayons la certitude que toutes les données brutes (le dossier clinique de chaque volontaire) sont accessibles à des investigateurs indépendants.

Faute de cette précaution et sécurité, il ne faut pas les croire !

Et il faudra bien vérifier que les investigateurs indépendants sont vraiment des experts (qui ne se laisseront pas berner) et vraiment indépendants !

C’est encore pire à propos de l’efficacité de ces vaccins.

Ma très mauvaise impression vient d’un article publié dans la revue officielle de l’équivalent du Conseil de l’Ordre Américain : JAMA Published online August 31, 2020 (ci-dessous).

On nous a d’abord dit qu’on serait très exigeant en matière d’efficacité mais sans donner de chiffres. C’est très ennuyeux car en principe un essai clinique teste une hypothèse précise et quantifiée, c’est l’hypothèse primaire !

Dit autrement chaque essai clinique vise à vérifier une hypothèse unique et clairement exprimée.

Par exemple, ce vaccin x diminue la mortalité due au COVI-19 par 80%. On peut tester autre chose que la mortalité [par exemple, les admissions en réanimation] et on peut plus humblement espérer une efficacité moindre, par exemple une réduction de 30%.

Mais chaque essai clinique teste en principe une seule hypothèse à la fois puisque c’est à partir de cette hypothèse qu’on calcule la taille de l’échantillon et la durée du suivi. Il n’y a pas d’alternative pour être sûr que nous allons échapper aux effets insidieux du Dr Hasard qui est capable (l’histoire de la médecine l’a amplement montré) de nous faire prendre des vessies pour des lézards

Par la suite, les autorités sanitaires américaines (la subtile FDA, très proche de l’industrie des vaccins) a annoncé qu’une efficacité de 50% serait acceptable ; sans dire sur quoi !

Puis on a parlé de 30% !

Et, aux dernières nouvelles (selon cet article du JAMA), on pourrait se contenter, faute de mieux, de critères de substitution, type dosage d’anticorps, et pas de critères cliniques solides !

Ce serait inacceptable !

Mais il faut nous y préparer car les autorités sanitaires d’ici et d’ailleurs sont perdues et sans ressource et elles (et les politiciens de tout bord qui les accompagnent) sont prêtes à tout plutôt que l’immobilisme !

J’espère que je me trompe et qu’ils n’en viendront pas là !

Une certitude toutefois : quoiqu’ils disent, il ne faut pas les croire « sur parole » !

Il faudra tout vérifier et ne pas les laisser nous raconter que sous prétexte de secret industriel, les données les plus importantes ne peuvent être « libérées ».