Première leçon de la crise sanitaire COVID-19

Il y aura beaucoup de choses à analyser après cette crise COVID-19 sur ce qu’elle nous dit de nos sociétés et sur ce qu’elle nous dit de nous-mêmes, citoyens du monde, chacun de nous sans exception.

Comment nous avons agit et réagit ; comment nous l’avons comprise et comment nous allons envisager notre monde et nos vies après cette crise.

J’ai écrit « Première leçon » car il y en aura d’autres.

Il y en aura d’autres car c’est une première crise avant d’autres et chaque épisode apportera ses leçons, nouvelles leçons ou répétition des précédentes.

Si on analyse, avec quelque imprudence [je me lance quand même…], cette crise à la lumière de crises précédentes comparables, des pandémies, celle que nous devons retenir à mon humble avis c’est la pandémie dite de la grippe espagnole qui frappa l’humanité il y a exactement 100 ans.

La grippe espagnole [que j’analyse dans mon prochain Livre à paraître ; en Septembre de cette année] fut la première pandémie grippale. C’était en 1918-1919 !
Le coupable, si je reprends les concepts naïfs des universitaires et académiciens conventionnels, était un virus appelé influenza. Joli nom pour un virus !

Il faut comprendre que chaque épisode de grippe saisonnière que nous avons vécu au cours des 100 dernières années est une répétition de la pandémie grippale de 1918.

Nous vivons donc une permanente pandémie grippale saisonnière (la saison dépend de l’hémisphère) chaque année !

Chaque saison, un nouvel influenza nous rend visite. Il est nouveau, un peu ou beaucoup, en fonction du type de mutation qu’il a subi : une petite ou une grosse !

En principe, les « nouveaux » virus mutés sont moins « méchants » que le virus initial et les virus successifs mutés à partir de l’initial.

Le premier est le plus « méchant » car il nous surprend totalement.
C’est ce qui s’est passé avec la COVID-19 : nous avons été surpris !

En principe (et si le modèle grippal s’applique un peu à la COVID-19), les prochains virus COVI-19 seront des virus mutés moins dangereux que le virus initial qui nous a tant surpris en Décembre 2019.

Leçon du jour : les prochaines flambées de COVID-19 seront moins pernicieuses que la première !

En conséquence, plus le temps va passer et moins les vaccins anti-COVID seront utiles. Dit autrement, les investissements massifs pour la mise au point d’un vaccin sont de l’argent perdu d’un point de vue sanitaire.

Un peu comme le vaccin antigrippal : efficacité non démontrée, toxicité non investiguée et utilité sanitaire nulle. Je l’explique sans ambiguïté dans le Livre 7 (sur ce vaccin) à paraître.

Ce qui n’empêche pas le business vaccinal de fleurir…

Et il en sera de même avec les vaccins anti-COVID !

A moins que les citoyens de ce monde [il ne faut pas compter sur les autorités sanitaires et les politiques] fassent entendre raison aux businessmen et businesswomen.

Ce ne sera pas évident, vu le spectacle actuel, puisque ces mêmes élites détiennent tous les pouvoirs d’information et de propagande et que les « contre-pouvoirs » potentiels se laissent aisément contaminer…

On va bien s’amuser à regarder les chacals dévorer les caïmans ; et moins s’amuser à « regarder les cadavres descendre le fleuve » comme dit le proverbe africain…