Un nouveau vaccin contre la coqueluche, selon l’INSERM

J’adore les communiqués et dossiers de presse de l’Inserm !

C’est un peu « mou », par rapport à CNN et au New-York Times, que j’ai toujours du retard à m’allumer [rien de sexuel] avec ça…
Mais le 29 Septembre, c’est la Saint-Michel et, outre que c’est le jour de l’année où notre célèbre confrère, le Dr Knock, se fait payer, c’est aussi mon grand jour d’ouverture à la science moderne.

Je n’ai donc pas raté cette grande nouvelle que l’Inserm, notre prestigieuse institution de recherche médicale (dont les avancées sur la COVID-19 nous ont époustouflé au cours de l’été), travaillait sur la mise au point d’un nouveau vaccin contre la coqueluche.

C’est une image intéressante qui nous indique au moins (sur la droite de la figure) l’équipe Inserm à l’origine de cette importante avancée médicale.

Comme j’ai écrit un livre (Livre 4 de la Collection Vaccins et Société) en partie consacré à la Coqueluche et à son vaccin, j’ai fait (il y a environ 18 mois) une longue plongée dans les archives et j’avais repéré plusieurs faits importants, outre déjà qu’une équipe de l’Inserm travaillait sur un nouveau vaccin.

Par exemple, et contrairement aux clameurs officielles prétendant que la vaccination contre la coqueluche était efficace et avait pratiquement permis d’éradiquer la coqueluche, je montrais que les données existantes disaient le contraire : la mortalité due à la coqueluche s’était effondrée bien avant qu’on vaccine aux USA comme en France. De même pour le nombre de cas enregistrés chaque année, les chiffres avaient beaucoup diminué bien avant l’introduction du vaccin.

Dans le Livre 4, je rappelais aussi que ce vaccin était toxique sans l’ombre d’un doute quand il était injecté isolément. Évidemment, quand il était « intégré » dans une seringue hexavalente (contenant 6 vaccins), les effets du vaccin anticoqueluche étaient dilués parmi les autres effets toxiques des autres vaccins.

Mais nul ne songerait à remettre en question le bonheur de vacciner des bébés avec les hexavalents !

D’où la question incongrue : pourquoi propose-t-on un nouveau vaccin anticoqueluche puisque nous avons déjà ce qu’il nous faut pour nos bébés ?

Y auraient-ils des doutes concernant l’efficacité et l’innocuité de ce vieux vaccin ?

Réponse de Camille Locht dans un article du 5 Juillet 2016 (en partie reproduit dans le Livre 4) : aucun doute, ce vaccin ne vaut rien ; il en faut un nouveau et j’ai ce qu’il vous faut !

Accessoirement, Camille Locht est détenteur du brevet de ce nouveau vaccin anticoqueluche que l’Inserm veut nous « vendre » aujourd’hui.

Dans le communiqué de l’Inserm, et avec une exquise modération par rapport à ce qu’il écrivait en 2016, Camille Locht explique pourquoi il nous faut un nouveau vaccin contre la coqueluche.

Il explique aussi à qui il servira et à qui il faudra l’injecter.

Si je comprends bien, il ne saurait être question d’utiliser ce vaccin chez les nourrissons car ce serait remettre en question des décennies de vaccination avec des produits fortement douteux, comme il l’écrit lui-même.

Comment concilier son enthousiasme (probablement très « intéressé ») pour ce nouveau vaccin et la nécessité de ne pas remettre en question la vaccination des nourrissons que nos autorités encouragent depuis longtemps et ont rendu obligatoire depuis 2018 ?

Douloureux dilemme que notre expert résout en disant que ce nouveau vaccin sera destiné aux adultes qui s’occupent des bébés ! Hum !

Pourquoi serait-ce utile puisque les bébés sont vaccinés avec un vaccin supposé efficace ?

Bon, je laisse notre Camille à ses « spéculations » ; car nous avons un autre problème avec cette nouvelle merveille vaccinale.

Je reproduis un paragraphe, apparemment anodin, du communiqué de presse de l’Inserm et je fais un bref commentaire.

Oups ! Que lis-je ? « Améliorer la tolérance qui faisait défaut aux anciens vaccins » ?

Pas possible ? Ils étaient mal tolérés ? Mais ils sont toujours mal tolérés ! On injecterait des vaccins mal tolérés à nos bébés ?

Vite une commission d’enquête !

Mais il y a un autre problème : ce nouveau vaccin est un OGM !

Et ce n’est pas un aliment, avec une règlementation très sévère ; c’est bien pire ; ça s’inhale !

Question : dans les études en cours et passées, a-t-on respecté les règlementations anti-OGM ?

Je confesse que je crains la réponse. Vite une commission d’enquête !