COVID-19, logistique de la vaccination et histoire de la médecine

Je fais vite, je fais court car je n’ai pas beaucoup de temps.

Au moment de l’hystérie vaccinaliste qui agite les médias (surtout), un peu les autorités sanitaires et fort peu les citoyens lambda, il convient de faire quelques rappels qui n’ont rien à voir avec la question de la logistique vaccinaliste française tant décriée par les médias et des politiciens, par ailleurs bien connus pour leurs aptitudes logistiques .

Une vision générale nécessiterait un livre (ce sera pour le mois d’Avril) mais un minimum de culture historique – je parle d’histoire médicale – doit conduire à rappeler deux réalités bien connues des connaisseurs.

Ça ne veut pas dire que la très innovante COVID-19 ne donne pas tort à l’HISTOIRE mais il est toujours bon de faire des rappels historiques pour instruire la Jeunesse.

Quelles deux réalités ?

1) Toutes les épidémies finissent par s’éteindre spontanément ; les agents pathogènes fatiguent, c’est la Nature !

2) Jamais un vaccin n’a permis d’éteindre une épidémie !

Ce qui implique deux observations immédiates, possiblement importantes et susceptibles de donner tort à l’Histoire :

1) Jamais dans l’Histoire de la médecine on a vu une telle débauche d’efforts pour mettre au point des vaccins et vacciner des millions d’individus chaque jour au niveau planétaire ;

2) Les confinements et couvre-feu mis en place ici et là sont probablement efficaces pour gérer des systèmes de soin défaillants partout mais retardent la fin programmée (par le virus lui-même) de la fin de l’épidémie. Je « coagule » transitoirement une situation sanitaire pour faire respirer un système de soin épuisé mais le virus lui-aussi se repose et, dès le confinement levé, recommence à se promener…

Dit autrement, plus je confine, plus je retarde la fin de l’épidémie !

On peut espérer [l’espoir fait vivre !] que certains vaccins s’avèrent utiles mais ce serait une primeur dans l’Histoire de la médecine.
Pourquoi pas ?

Merci à chacun de s’exprimer courtoisement à propos de ces évidences. je suis prêt à changer d’avis