Grippe et infarctus
Tout est fait, de la part des « supposées » autorités, des académiciens et des industriels, pour nous convaincre de nous faire vacciner contre la grippe cet automne 2024.
C’est la même chose chaque année : plus la population est réticente et plus ils insistent !
Moins il y a des données scientifiques légitimant cette vaccination (quel que soit le récepteur du vaccin) et plus ils sont « lourds » dans leur propagande/publicité.
La dernière tentative (maladroite) de convaincre – la principale cible est le médecin américain car les USA sont le plus gros marché de la vaccination – est une publication dans le New England Journal of Medicine le 25 Juin 2024.
Pour les non-initiés, « influenza infection » c’est la grippe saisonnière pour le praticien américain.
Chacun aura compris que l’argumentaire développé ici pour justifier la vaccination antigrippale n’est pas de protéger contre les pathologies respiratoires (le virus de la grippe est un virus respiratoire comme celui de la Covid-19) mais contre l’infarctus du myocarde.
La conclusion de cette publication est que la grippe multiplie par 6 le risque d’infarctus et encore plus (multiplication par 16) si les victimes de la grippe ne sont pas des patients atteints de maladie coronarienne avant l’épisode grippal.
Je ne vais pas analyser l’étude publiée, la méthodologie et les analyse statistiques – on baigne dans le ridicule dérisoire – mais me contenter de donner un seul chiffre : 25 !
Tel est le nombre de cas d’infarctus identifiés dans une grande base de données (158,777 PCR tests certifiant le diagnostic de grippe) et permettant à ces investigateurs « rigolos » de calculer des risques…
De plus, parmi ces 25 infarctus, certains surviennent chez des personnes jusque là indemnes de maladies cardiovasculaires permettant à nos « rigolos » d’estimer une augmentation (par 16 fois) du risque chez ces personnes spécifiquement. C’est évidemment ridicule !
Je suis époustouflé face à un tel effondrement de la médecine scientifique ; et tout ça pourquoi ?
Pour vendre de la vaccination antigrippale à propos de laquelle nous n’avons aucune évidence sérieuse qu’elle soit utile ; à qui que ce soit !
Pour ceux qui auraient des doutes, je recommande une lecture attentive du livre numéro 7 de la Collection Vaccins & Société [auteur : Dr Michel de Lorgeril ; titre : Les vaccins contre la grippe. Illusions et désinformations]. J’attends encore (4 ans après sa publication) qu’un académicien vienne me dire où je me trompe…
J’attendais ces jours-ci que quelques scientifiques critiques se gaussent de telles idioties concernant la grippe et l’infarctus ; mais apparemment…
Allo, Pr Raoult ? Vous ne voyez rien de choquant dans cette étude ?
Allo, Pr Perronne ? Aucune réaction ?
Grand silence sur les ondes, apparemment, sauf de la part des politiciens « de gauche » qui s’acharnent à gâcher les vacances d’Emmanuel le Grand !
Belle époque !
Merci pour cette référence. L’étude n’est pas en accès libre donc il est difficile de l’analyser plus en détail.
J’ai quelques questions:
– Il y a un premier biais possible: on part d’infections Influenza confirmées par un PCR. Or, de nombreuses personnes ont la grippe et ne se font pas tester. Il y a donc déjà un biais de sélection: si on se fait tester pour confirmer un diagnostic de grippe, c’est qu’il y a une raison médicale (risque).
– Il s’agit d’une étude retrospective donc non randomisée: comment l’étude éimine t’elle les biais potentiels (facteurs confondants comme une mauvaise alimentation, la sédendarité, le stress, âge, etc).
– l’étude donne une risque relatif. Or, on parle de 25 cas sur une période de 11 ans. Quel est le risque absolu et comment le comparer à d’autres facteurs de risques comme l’ingestion d’un BigMac quotidien ?
– parmi ces cas testé positifs, combien étaient vaccinés contre la grippe saisonnière ? Y a t’il une différence entre ces deux groupes ?
Bravo !
Vous m’ôtez les « maux » de la bouche comme disent les dentistes…
On commence malheureusement à être habitué… Plus les chiffres sont dérisoires et plus les annonces sont éloquentes ! Ce qui en somme n’est pas si absurde : s’il y avait de quoi alimenter un discours scientifique, il n’y aurait pas besoin de sortir tambours et trompettes pour se faire entendre…
Quant aux sus-cités, je ne suis pas certain que la vaccination antigrippale n’est pas le dernier de leur souci… (double négation, quand tu nous tiens !)
Pas le premier de leur souci sans aucun doute (d’abord faire « parler de soi »…) mais ardents propagandistes de ces vaccins-là (et tous les autres) pendant des décennies… Hum !
« Ardents propagandistes » : voilà ! C’est exactement ce que je soutenais sans oser le dire explicitement…
Pourquoi ne pas le dire « explicitement » ?
Sans doute un mécanisme d’autodéfense hérité d’une période sombre de l’histoire où dire ce que l’on « pense » était considéré comme du « complotisme ». Enfin… J’en parle au passé, mais est-ce vraiment derrière nous ?
Plutôt l’inverse ; ça n’a jamais été pire ; c’est tout dire !