Les vaccins contre la coqueluche et l’hépatite B sont discutés dans le Livre 4 sur les vaccins, pour les familles et leurs médecins

Le Livre 4 traite des vaccins contre la coqueluche, l’hépatite virale B et enfin complète le Livre 3 en analysant notre pauvre savoir sur les vaccins hexavalents.

Je résume : dans le Livre 3, nous avons examiné les trois vaccins les plus anciennement obligatoires, ceux contre le tétanos, la Diphtérie et la Polio.

Ils furent longtemps administrés via une seule seringue contenant les 3 vaccins ensemble, le fameux DTP.

Le DTP a été retiré du marché [je le raconte et le documente dans le Livre 3] car selon l’industriel qui le produisait, il avait des effets indésirables, par ailleurs très mal documentés.

Peu importe, il fut recommandé d’injecter les 3 vaccins du DTP en même temps que 3 autres vaccins, ceux contre la coqueluche, Haemophilus Influenzae B et l’hépatite B. Il y avait donc 6 vaccins dans la même seringue, d’où le nom de vaccins hexavalents.

C’est curieux, mais c’est comme ça : quand les 3 vaccins du DTP étaient seuls, ils étaient toxiques mais quand ils (exactement les mêmes) sont associés à 3 autres dans un vaccin hexavalent, ils ne sont plus toxiques…

Aucun expert vaccinaliste et aucune administration sanitaire ne dispose du moindre argument scientifique justifiant cette subtile stratégie vaccinaliste. Pauvres de nous !

Dans ce Livre 4, outre les vaccins hexavalents, j’analyse les vaccins contre la coqueluche et l’hépatite B.

Je ne dis que quelques mots sur Haemophilus Influenzae qui sera discuté avec les autres bactéries coupables des plus fréquentes des méningites bactériennes. C’est l’objet du Livre 5 qui est en fabrication.

J’avertis les lecteurs de ce Livre 4, ils pourraient avoir quelques sautes d’humeur en le lisant ; dépressifs s’abstenir !

Pourquoi ?

Parce que ces deux vaccins très contestés [à juste raison ; et y compris par les meilleurs spécialistes] sont la triste illustration de ce que l’on a fait de pire en médecine des vaccins.
Inutile d’être expert, épidémiologiste ou physiologiste, pour comprendre la faillite entourant le vaccin contre la coqueluche.

Les discordances entre les écrits du Pr Camille Locht, l’un des meilleurs experts de la coqueluche et de ses vaccins (CNRS, INSERM], et les recommandations et obligations des Autorités sanitaires et du gouvernement sont confondantes.

Je vous laisse découvrir ce qui peut ressembler à de la science-fiction.

Ce n’est pas mieux avec le vaccin contre l’hépatite B.

On est stupéfait des affirmations des autorités et de quelques vulgaires « pharmacovigilants » qui prétendent que ce vaccin n’a pas eu d’impact sur l’épidémiologie des maladies démyélinisantes, notamment la Sclérose en plaque.

En lisant attentivement le chapitre consacré au vaccin contre l’hépatite B, vous découvrirez comment des scientifiques deviennent complices d’une désinformation systématique.
Pauvres de nous !

Finalement, les vaccins hexavalents contenant le DTP + les vaccins contre la coqueluche et l’hépatite B, on ne s’étonnera pas des effets indésirables décrits par les industriels eux-mêmes.

Pauvres de nous qui sommes obligés d’injecter ces seringues à nos bébés ; sans une évidence solide qu’elles leur sont utiles et avec une forte probabilité d’effets toxiques !