Covid-19 et complications cardiovasculaires : que s’est-il passé ?
Question : le déclin de la mortalité cardiovasculaire dans les pays développés observé au 20ème siècle (après l’épidémie démarrée en 1930) pourrait-il s’arrêter ?
Les tendances optimistes pourraient-elles s’inverser ?
Autre question : la récente pandémie Covid-19 nous a-t-elle appris quelque chose à ce propos ?
Examinons les faits.
Tout d’abord les 9 vagues de Covid entre 2019 et 2023. Les données de mortalité attribuée à l’infection puis aux réactions des autorités, y compris la vaccination obligatoire.
La meilleure source d’informations concernant la mortalité cardiovasculaires et vasculaire cérébrale nous vient des USA – il faudra plusieurs années pour que des chiffres français solides soient publiés avec la crainte d’une possible manipulation des chiffres par les autorités et les académiques comme on l’a vu au cours des années de COVID – ce sont donc les statistiques US qu’il faut examiner à la loupe. Ce que chacun peut faire en consultant la bibliographie adéquate (ci-dessous).
Ou bien
J’ai moi-même analysé ces questions dans le livre récemment publié (ci-dessous) et les réponses sont assez évidentes.
Voyons les chiffres publiés. J’en ai fait une synthèse car il y a quelques discordances en fonction des années.
Le nombre de décès attribués à la Covid aux USA en 2020 était de 351,000 (3ème cause de décès cette année-là).
En 2021, le chiffre est de 417,000. La campagne de vaccination n’a donc pas eu d’impact sur la mortalité attribuée à la Covid. La pandémie faiblit enfin en 2022 : 187,000 décès et s’éteint presque en 2023 : 50,000 décès.
Concernant les maladies cardiovasculaires, il faut comparer avec les années précédant 2020 pour avoir une idée de la surmortalité due possiblement à la Covid en 2020 et 2021.
Entre 2015 et 2019, la moyenne des décès cardiovasculaires était de 646,000 environ.
En 2020, année de la Covid intense, on en a compté 697,000.
Une surmortalité d’environ 50,000, donc 7% ; ce qui est loin d’être négligeable.
Concernant les décès dus aux accidents vasculaires cérébraux, la moyenne entre 2015 et 2019 était de 145,000.
En 2020, on en a compté 160,000, une différence 15,000, donc 10% de surmortalité.
La Covid (l’infection avant toute vaccination) a donc eu un effet significatif sur la mortalité cardiovasculaire.
Vous allez demander si la campagne de vaccination en 2021 a permis de revenir aux chiffres d’avant 2020.
Pour les infarctus du myocarde, le chiffre en 2021 est de 696,000, donc stable par rapport à 2020 (697,000).
Pour les accidents vasculaires cérébraux, le chiffre en 2021 est de 163,000, en légère progression par rapport à 2020 (160,000) : pas la moindre tendance à un retour au chiffre d’avant 2020.
On peut conclure que la Covid est à l’origine d’une augmentation du risque cardiovasculaire et que la vaccination massive n’a eu aucun effet protecteur aussi bien contre la Covid que contre la surmortalité cardiovasculaire.
Que s’est-il passé en 2022 ?
Le nombre de décès cardiovasculaires continue de monter (703,000 pour le cardiaque et 165,00 pour le cérébral) alors que la mortalité due à l’infection a considérablement diminué, probable évolution naturelle indépendante de la vaccination.
La vaccination n’a pas permis d’endiguer la surmortalité cardiovasculaire qui ne peut plus être attribuée à l’infection dont les complications sont en forte régression.
De même en 2023 : la mortalité cardiaque reste élevée (681,000) plus qu’entre 2015 et 2019 (646,000) de même que la mortalité due aux AVC (163,000) similaire à 2021 et 2022 et plus élevée qu’entre 2015 et 2019 (145,000).
On peut conclure qu’une infection virale peut avoir (sur une brève période au moins) un effet significatif sur les courbes de mortalité cardiovasculaire et inverser les tendances.
L’avenir dira si cette inversion se maintient dans le temps.
Une vaccination antivirale intense ne semble avoir aucun effet protecteur et pourrait sans doute aggraver les choses via la production intense de la Protéine Spike du virus dont le caractère thrombogenic est avéré.
En effet, la vaccination antiCovid est une machine infernale à faire fabriquer de la Protéine Spike par le vacciné.
Les apprentis sorciers ont pris le pouvoir et (collectivement) nous n’avons pas bougé ; sauf quelques-uns…
Encore moi, il faudra que je m´abstienne à l´avenir, un peu.
Bon, en attendant:
Eventuellement d´intérêt:
Nouveau peer-reviewed : “COVID-19 Vaccines: A Risk Factor for Cerebral Thrombotic Syndromes“*
Très tôt dans la pandémie de COVID, il est apparu que le virus Sars-CoV-2 avait un effet thrombogène, et on pense aujourd’hui que la protéine spike est l’un des principaux responsables de cet effet thrombogène.
Comme prévu, les mêmes effets thromboemboliques ont été observés après la “vaccination” COVID-19, probablement en raison du composant de la protéine spike du “vaccin”.
On sait que la protéine Spike circule dans le sang, comme l’ont montré Brogna et al, chez la moitié des patients vaccinés.
Les délais minimum et maximum de détection du PP-Spike après la „vaccination“ étaient respectivement de 69 et 187 jours.
Rogers et al (co-auteurs e.a. P. McCullough et J. Thorp) utilisent le CDC Vaccine Adverse Event Reporting System pour comparer les taux de thrombose cérébrale chez les personnes ayant reçu le „vaccin“ COVID-19 au grand nombre de personnes qui se font vacciner chaque année contre la grippe et pour tous les autres vaccins.
L´analyse montre un dépassement significatif du seuil des signaux de sécurité en ce qui concerne l’association des “vaccins” COVID-19 avec un risque accru de thrombose veineuse cérébrale par rapport aux vaccins contre la grippe et à tous les autres vaccins.
Dans les 36 mois suivant l’administration des “vaccins” COVID-19,
5137 cas de thromboembolies cérébrales sont survenus,
contre 52 cas pour les vaccins contre la grippe sur une période de 408 mois et
282 cas pour tous les autres vaccins (sauf COVID-19) sur 408 mois.
Ceci dit: Pas de raison de minimiser les effets secondaires des autres vaccins vu que le facteur de sous-détection d´événements indésirables relatif (URF) dans VAERS semble considérable. (Lazarus Report)
*https://ijirms.in/index.php/ijirms/article/view/1982/1420
Bien sûr !
Mais chuuuut ; nous sommes des complotistes antivaccinalistes ; c’est très grave !
Le fait que l’ARNm (donc aussi la spike) circule était évoqué dès le début par les AMM délivrées à Pfizer et Moderna !
Il aura fallu toute la corruption, la ladrerie et la lâcheté des sphères politiques, journalistiques et médicales pour prétendre que « le vaccin restait au point d’injection » !
Exactement…
Mais faut pas répéter ça ; vous passeriez pour un dangereux complotiste, voire un « trumpiste » décérébré…
C`est grave, mais la société du spectacle, j´aime bien, ignore apparemment la science, elle est sans scrupules, impitoyable.
A l´horizon se pointe pourtant une petite lueur d´espoir venant de l’autre côté de l ´atlantique, à voir.
Pour finir, petite lecture pour égayer un petit peu ce dimanche nébuleux:
« Pharmaceutical product recall and educated hesitancy towards new drugs and novel vaccines“
Results: « Parallels with past drug withdrawals and gene-based vaccines include distortion of clinical trial data, with critical adverse event data absent from high-impact journal publications.
Delayed regulatory action on pharmacovigilance data to trigger market withdrawal occurred with Vioxx (rofecoxib) and is apparent with the gene-based COVID-19 vaccines.“
Bien sûr !
Mais c’est un peu comme si en 1788 vous demandiez l’abolition des privilèges de la noblesse et du clergé.
Vous voyez le chemin à parcourir ?
On peut rêver !
>La meilleure source d’informations concernant … nous vient des USA –
quelle est la réelle différence entre les données venant des usa et celui/ceux venant d’ailleurs ?
vous dites » chiffres … solides soient publiés «
Depuis des décennies, il y a aux USA une administration sanitaire puissante et expérimentée, probablement pour surveiller les migrants et au moins depuis un siècle et demi.
Les anglais sont très forts aussi, probablement pour surveiller les entrées venant de l’Empire.
En France, l’administration sanitaire naît vraiment seulement après la seconde guerre mondiale…
L’INSERM est créée dans les années 1960 et l’unité INSERM en charge de validation des causes de décès est tristement sous-équipée…
Quand aux USA la mortalité (et ses causes ; c’est le plus important) est publiée dans les 6 mois qui suivent la fin d’une année, il faut 2 à 3 ans à l’INSERM pour en faire autant malgré des nombres considérablement différents.
Il y a d’autres raisons (notamment la qualité des certificats de décès remplis par les médecins français (mal éduqués)…) mais je n’ai pas le temps…
Merci. je suis d’accord que six mois c’est moins rapide que 2-3 ans mais cela n’empêche pas de corriger les chiffres (de manière normale) ou pire de les modifier (voire de les trafiquer) parce qu’il y a 3-4 actions possible, la première étant ne rien faire.
auriez-vous un moyen (hors administration standard) de dire : ces chiffres (nouveau cas ou décès) ont l’air naturel, cohérent… non trafiqués…
je me rappelle un de vos posts (2012 à LA…) stats liées à des résultats obtenus après modification humaine qui était tellement mal faite que détectable…
Les petits fonctionnaires de l’INSERM, pas assez nombreux et mal payés, trichent-ils ? Sont-ils soumis à des pressions ? Possible…
Probable… Subrepticement…
Merci à François d´avoir mis l´accent sur ce point important qui est que le système immunataire réagit différemment suivant qu´il s´agit d´une d´infection (spikes naturels) où d´une vaccination (spikes artificiels)
Pour les raisons évoquées, les spikes artificiels semblent poser bien plus de problémes que les spikes naturels et e.a. la N1-méthyl-pseudouridine (N1mΨ), – l’élément de conception du vaccin qui conditionne la longévité de l’ARNm introduit artificiellement dans les cellules, semble également problématique à plusieurs égards.
Un groupe de scientifiques allemand dont:
-Le professeur Paul Cullen qui est spécialiste en médecine de laboratoire et en biologie moléculaire. Il dirige un laboratoire médical à Münster et enseigne à l’université de cette ville.
-Brigitte König qui est professeur de microbiologie médicale et d’immunologie infectieuse. Elle enseigne dans quatre universités allemandes et possède son propre laboratoire de biologie médicale à Magdebourg.
-Dr. Jens Schwachtje qui est biologiste moléculaire et nutritionniste.
expliquent dans un article* “Spikeopathie und Übersterblichkeit: Ein unheimlicher Verdacht“ de maniére crédible, je trouve, les différences entre les spikes du virus et ceux induits par la vaccination.
Ils concluent que les spikes artificiels sont bien plus dangereux que les spikes naturels. (l`article est en allemand, pour traduction les intéressés, ne comprenant pas l`allemand, peuvent avoir recours p.ex à deepl.com):
* https://www.cicero.de/kultur/die-risiken-der-corona-impfung
Merci.
Je cite et j’explique la « Spikopathie » dans mon dernier livre !
En français !
Je doute que ces « sceptiques » allemands bien sympathiques se soient ouvertement exprimés à propos de la vaccination antiCovid et auparavant sur la médecine des vaccins en général.
Vous avez des éléments de réponse ?
Merci pour votre réponse.
Je ne sais pas si ce groupe de plusieurs scientifiques est réticent aux vaccinations en général mais dans plusieurs articles ils critiquent les “vaccinations” ARNm.
-L’ article en question est long et il y a plusieurs chaptires dont:
La dangereuse proteine spike.
La proteine spike de la vaccination encore plus dangereuse.
Contamination et contrôle insuffisant
Effets à court et à long terme des spikes
Mort après vaccination
Soudain et inattendu
Exigence d’un diagnostic différentiel des spikes.
Un peu difficle et délicat de procéder par extraits …
Néanmoins je cite le dernier paragraphe de l´article:
„…Enfin, un diagnostic différentiel des spikes ouvre des perspectives pour la réévaluation des vaccins COVID-19.
Si notre thèse d’un risque accru de spikeopathie dû à l’ARNm des spikes vaccinaux et à la protéine des spikes vaccinaux qu’il produit est correcte, et de nombreux résultats de recherche vont dans ce sens, cela devrait avoir des conséquences médicales considérables, et surtout juridiques. „
-Je cite également le dernier paragraphe d`un article „COVID-modRNA-Gentherapeutika: (K)ein Zukunftsmodell für Impfstoffe?“ pour illustrer le sceptisisme des auteurs concernant la technique vaccinale ARNm.
“…Contrairement à cette évaluation optimiste de l’EMA, la technologie ARNm est loin d’être un instrument sûr et valable pour lutter contre les maladies infectieuses. Son inefficacité et son potentiel de nuisance doivent être pris au sérieux par des médecins, des scientifiques et des politiciens conscients de leurs responsabilités. Nous demandons un moratoire immédiat sur l’utilisation de cette technologie dans la production de vaccins COVID ou de tout autre vaccin.”
-Pour finir, Dr. König, une des co-auteurs, a également rédigé une expertise sur la contamination des “vaccins” ARNm oò elle a constaté dans un des échantillons un dépassement des contaminations jusqu’à 354 fois de la valeur limite tolérable dans les vaccins BioNTec/Pfizer:
Cette expertise et les constats de Kevin McKernan ont fait l`objet d´une question parlementaire „Possible contamination des vaccins COVID par de l’ADN plasmidique bactérien“ d´un député du groupe parlementaire de l’AfD
(traduction par deepl)
Merci.
Je comprends qu’ils sont focalisés sur les vaccins ARN messager
La Covid-19 aura au moins eu un effet révélateur sur la médecine des vaccins en général.
On verra la suite…
A mon avis, ça cogite beaucoup ces jours-ci dans certains labos et il est possible que l’administration sanitaire Trump (cornaquée par notre ami – et traitre Oups ! – Kennedy) provoque un tsunami…
on aura des vaguelettes jusque chez nous sans doute !
Espérons qu`en cas de tsunami trumpien ses vagues vont emporter bon nombre des triomphateurs de la société du spectacle.
Il n`est pas (encore) interdit de rêver.
Chuuuut…
Ne rêvez pas trop fort
Mais c’est vrai que le Bon Dieu est inattendu.
C’est ce crétin de Reagan qui a fait tomber l’URSS.
Un article susceptible de vous intéresser :
https://www.muller-bronn.fr/securite-sociale-stop-a-lengrenage-des-surdiagnostics-et-surprescriptions/
Intéressant en effet.
Mais que feront ces braves gens ?
Qu’ont-ils fait auparavant ?
Le futur se lit dans le passé récent…
Quel courage ont-ils eu ?
Quel courage auront-ils ?
Juste un petit aparté sur un sujet que vous connaissez très bien , un nouvel article du Dr Mercola :https://www.lavieensante.com/2024-10-21-l-risque-de-mortalite-lie-a-un-faible-cholesterol-sanguin/?ref=prenez-le-controle-de-votre-sante-newsletter Vous n’êtes pas seul sur ce sujet trrrrès important.
Merci
Dans la liste des livres (colonne de droite), apparait depuis peu, entre « les vaccins à l’ère de la Covid-19 » et la collection vaccins, le titre suivant : « Vaccinations – les vérités indésirables (2017) ».
Est-ce l’ouvrage de Michel Georget ? Ou un autre livre portant le même titre ?
C’est celui de Georget.
Bonjour et merci pour votre vigilance ! oui la liste de la douzaine de livres sur les vaccins n’était pas et n’est toujours pas finalisée,
on va moins vite que son auteur (mais pas leurs auteurs car) il n’y en a qu’un c’est Michel on le remercie.
J’avais retenu quelques publications pas trop mal sur le risque de troubles du système circulatoire après covid :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35387772/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34332652/
Merci.
Celles-là et d’autres (beaucoup d’autres) certaines citées dans le livre « Dialogue de promeneurs… »
Merci, excellent: en plein dans le mille.
On s’en doutait déjà un peu en 2021: la Covid19 est une maladie respiratoire (mode de transmission) mais cardio-vasculaire dans ses effets vu la nature du virus qui se multiple dans les cellules endothéliales grâce à cette fameuse protéine qui se fixe sur le récepteur ACE2.
Concernant le vaccin, un des premiers papiers que j’ai lu date de 2022: « Adverse effects of COVID-19 mRNA vaccines: the spike hypothesis » allait dans votre sens. Des centaines d’études sont ensuite venu confirmer le problème.
Mais comment est-il possible que ce vaccin soit encore plus toxique que la maladie dans ses formes bénignes ?
Une explication plausible provient de la pharmacocinétique et du dosage. Contrairement à la maladie bénigne qui s’installe dans les voies respiratoires supérieures et est ensuite contenu par notre système immunitaire inné, les particules du vaccin atteignent rapidement tous les organes.
Quand au dosage, certaines études ont rapporté une charge sanguine en protéine S qui se rapproche des formes graves.
C’est un des problèmes lié aux technologies ARNm qui est modifié pour éviter une destruction trop rapide. De plus, la séquence est modifiée pour permettre une production plus importante de protéine par le ribosome. Toutes ces modifications provoquent aussi des erreurs de lecture dont les conséquences cliniques n’ont pas été évaluées.
Ainsi, la quantité et la durée de production de cette protéine varie fortement d’un individu à l’autre en fonction de nombreux paramètres. Ce qui devrait durer quelques heures persiste ainsi parfois plusieurs semaines voire mois.
De plus, la protéine de la souche la plus aggressive (Wuhan) a longtemps été utilisée pour la vaccination alors que le virus avait muté vers une forme moins dangereuse (principalement au niveau de cette protéine S et en particulier au niveau du RBD).
Le terme d’apprentis sorciers n’est donc pas exagéré: comment avons-nous pu oser franchir la ligne rouge que représente l’utilisaton des ces produits sur les enfants et des femmes enceintes ?
Une société qui est prête à mettre en danger sa descendance donc sa survie pour pour des raisons commerciales n’en a plus pour longtemps.
Merci !
J’explique en effet dans le livre « Dialogue de promeneurs… » que la Covid-19 et sa gestion calamiteuse par les gouvernants est une expression parmi d’autres de l’effondrement de nos sociétés.
Les dictateurs d’aujourd’hui en ont probablement plus conscience que les autres gouvernants « ramollis » et leurs démarches dictatoriales sont leurs réponses absurdes à cette crise civilisationnelle…
On est mal barré ; mais ce n’est pas nouveau : déjà Tonton Guy dans les années 1960 décrivait la Société du Spectacle !
Les chiffres font peur …
Vous écrivez que « nous n’avons pas bougé ». Certes, mais tout dépend dans quelle mesure on « bouge ». Déjà, pour un patient, dire à son médecin qu’on ne veut pas de ce vaccin, cela demande un certain courage.
C’est vrai.
mMis je pensais surtout aux scientifiques (morts de trouille comme s’ils avaient affaire à la Gestapo) et aux médecins qui comme d’habitude ne comprenaient rien…
Et ça ne risque pas de s’arranger…
https://www.fmfpro.org/lencadrement-des-itr/
Seront-ils meilleurs que les vaccins covid ?
https://www.msn.com/fr-fr/sante/other/sant%C3%A9-des-plus-de-65-ans-deux-nouveaux-vaccins-bient%C3%B4t-obligatoires/ar-AA1twvM7
Je ne comprends pas vos commentaires.
Je voulais simplement montrer qu’avec ce nouveau règlement, les médecins seront encore plus contraints qu’ils ne le sont déjà, par ailleurs, indiquer la pathologie sur une ordonnance, n’est-ce pas de facto enfreindre le secret médical et amoindrir encore un peu plus le peu de confiance que les patients ont encore en leur médecin ?
Pour le 2ème lien, il est évoqué de rendre obligatoire des vaccins pour adultes (on arrête pas d’entendre de la pub en ce moment), quid du consentement libre et éclairé si ça arrive ?
Du coup la référence à la Gestapo ou autre système dystopique inquisitoire qui viole la liberté de conscience et de corps des médecins et des patients ne justifierait-elle pas la trouille des scientifiques et médecins ?
Ah !