Vaccins et autisme : les faits s'imposent…
Que certains vaccins favorisent l’autisme fait l’objet d’une controverse interminable et douloureuse.
L’épidémie d’autisme progresse partout, malgré les dénégations de certains, et de façon parallèle à l’inflation vaccinaliste.
Tout est fait pour masquer la réalité des faits ; ce serait une réalité tragique et presque impossible à accepter. Certes, c’est difficile à étudier et beaucoup se découragent, faute d’un accès libre aux données disponibles et aussi faute d’une réelle volonté d’éclaircir cette question cruciale en médecine.
Mais parfois le rideau se déchire et nous apercevons l’envers du décor : ce qui est caché et aussi ceux qui nous cachent les choses !
Une étude récente publiée dans un grand journal américain nous révèle des faits troublants mais très révélateurs. Avec les limites de la science moderne !
Le titre : « Association Between Influenza Infection and Vaccination During Pregnancy and Risk of Autism Spectrum Disorder » ; et c’est publié dans JAMA Pediatr 2017;171(1):e163609 pour ceux qui veulent aller vérifier.
Les auteurs : Ousseny Zerbo; Yinge Qian; Cathleen Yoshida; Bruce H. Fireman; Nicola P. Klein ; Lisa A. Croen.
Un seul est médecin diplômé (Klein) et universitaire ; c’est le boss ; ce sont ses conflits d’intérêt à lui qu’il faudra vérifier. Les autres sont des simples exécutants.
Pour les non anglophones, je traduis ce titre : Association pendant la grossesse entre survenue de grippe ou vaccination contre la grippe et le risque d’autisme.
Autism Spectrum Disorder (ou ASD) est un équivalent d’autisme en simplifiant.
C’est une étude cruciale pour deux raisons principales :
1- vaut-il mieux avoir la grippe (avec le vrai virus sauvage) ou est-il préférable de se vacciner contre la grippe ? Certes, le contexte est particulier (la grossesse) et le résultat (un diagnostic d’autisme à 5 ou 10 ans) ne concerne pas la victime de la grippe mais son bébé.
Au-delà de la grippe, de la grossesse et de l’autisme, cette étude enveloppe une multitude de questions sans réponse à propos des causes de l’autisme, des agents pathogènes et d’autres contextes cliniques.
2- vaccins et autisme est une question très difficile parce que presque tous les vaccins sont suspects. Si on a beaucoup parlé du rôle possible des vaccins contre la rougeole (ROR), les vaccins contenant du mercure et ceux contenant de l’aluminium sont aussi suspects.
Ce qui veut simplement dire qu’il est presque impossible de trouver des enfants qui n’aient pas été vaccinés par un quelconque de ces vaccins suspects au cours des 40 dernières années. Cette situation est catastrophique pour un épidémiologiste car il n’a pas de groupe témoin (sans aucun des vaccins suspects) pour évaluer l’impact de ces mêmes vaccins sur le risque d’autisme.
Cette étude américaine sur vaccins, autisme et grossesse est donc très originale et très bienvenue pour nous éclairer puisque nous n’avons pas ou peu de facteurs de confusion : il y a celles qui ont la grippe, celles qu’on a vaccinées et celles qui n’ont eu aucun des deux pendant la grossesse, un vrai groupe témoin. J’espère être clair.
Je ne vais pas détailler l’étude, ce serait trop long, mais au moins signaler que ça concerne presque 200,000 enfants américains nés entre 2000 et 2010.
Les conclusions concernant le rôle de la grippe sauvage sur l’autisme sont limpides : pas de signal audible ou visible. Le virus de la grippe chez la maman n’augmente pas le risque d’autisme chez son bébé.
Par contre, les données sur les effets du vaccin contre la grippe pendant la grossesse sont catastrophiques ; mais les investigateurs ne veulent pas le voir : si la maman est vaccinée pendant le 1er trimestre, il y a une augmentation (autour de 25%) du risque d’autisme. Pendant les deux autres trimestres, les données sont moins claires mais vont dans le même sens.
Quand on met les trois trimestres ensemble, l’augmentation du risque persiste et quand on ajuste dans des modèles mathématiques pour tenir compte d’autres facteurs, le risque persiste.
Pour ceux qui aiment les graphiques, je reproduis ci-dessous les courbes montrant l’évolution des diagnostics d’autisme avec le temps. On voit nettement que 5 ans après l’accouchement, les courbes sont très proches, c’est après que ça se dégrade. Attention, ce qui est montré ce n’est pas la maladie réelle telle que vécue par les familles, c’est le diagnostic médical enregistré par l’Administration.
Pour ceux qui préfèrent les chiffres, je reproduis la Table 3 de l’article qui résume assez bien les résultats des analyses (ci-dessous).
Ceux qui comprennent les statistiques médicales constatent que (c’est la dernière ligne du tableau) après des ajustements multiples (dont la légitimité peut être discutée), les intervalles de confiance restent supérieurs à l’unité : l’augmentation du risque d’autisme chez les enfants de mamans vaccinées au 1er trimestre atteint 20%.
Je résume : il vaut mieux avoir la grippe que le vaccin.
Sur un échantillon aussi grand et aussi peu sélectionné, ces faits sont hautement significatifs sur le plan clinique et encore plus sur le plan sociétal.
Comment se fait-il que personne ne réagisse ?
Les experts vaccinalistes ne veulent pas voir. Explication alternative, ils ne comprennent rien à ces données et « achètent » naïvement les conclusions des auteurs et notamment celles du boss.
Que dit notre universitaire en chef (le Pr Klein) ?
Il conclue que ces données sont probablement dues au hasard et qu’il ne faut surtout rien changer au programme de vaccination actuel ; mais tout de même (pour ne pas trop se ridiculiser) que de nouvelles études semblent nécessaires (ci-dessous copie de la conclusion de l’article).
Pourquoi le Pr Klein refuse d’entendre ce signal fort que le vaccin contre la grippe semble augmenter le risque d’autisme ?
Parce que ses liens d’intérêt le rendent sourd et aveugle ; ci-dessous ses liens d’intérêt.
Le Pr Klein a donc de bonnes raisons d’essayer d’enterrer ses propres découvertes. Mais les autres ? Les experts vaccinalistes ? Les lanceurs d’alerte antivaccinalistes ?
Pourquoi ce silence tonitruant ?
Je conclus : nous avons ici évidence forte, mais non définitive (comme toujours dans les sciences de la vie), qu’un vaccin parait augmenter le risque d’autisme.
Ces données doivent être prises avec prudence, bien sûr, mais doivent alerter la communauté médicale.
Ce n’est pas une bonne idée – il est très imprudent – de vacciner une femme enceinte sauf cas très particuliers que je ne vais pas discuter ici.
Plus personne ne pourra clamer l’innocuité des vaccins de façon générale ; plus personne ne pourra prétendre que les vaccins ne pourraient pas augmenter le risque d’autisme ; plus personne ne pourra clamer que le cerveau des bébés n’est pas fragile et ne doit pas être protégé ; plus personne ne pourra décréter que vacciner une femme enceinte est sans danger !
La parole est désormais aux Tribunaux : il faut écouter les familles qui s’estiment victimes !
Peut on douter même apres minuit à l’heure du repos?
« Il est minuit, docteur Schweitzer » ; et il est venu temps de douter… de tout !
Tres bien article, merci pour les info !!
Bonjour, pourriez-vous m’expliquer votre calcul de 20 % d’augmentation avec les chiffres du tableau svp ?
Car je ne saisis pas.
Merci pour votre réponse
Dernier tableau avec les chiffres en jaune avec « adjusted hazard ratio » à 1.20…
Si vous ne comprenez pas, il y a deux possibilités :
1) vous adhérez à l’AIMSIB et vous bénéficiez de nos enseignements en statistiques médicales… Un blog n’est pas fait pour ça…
2) ou bien vous me faites confiance « sur parole » ; vous pouvez éventuellement demander l’avis d’un vaccinologue professionnel en lui demandant d’interpréter ce chiffre de 1.20 pour vous…
Bon vent, matelot
Merci pour votre réponse hautaine et condescendante.
Vous croire « sur parole » ? Vous n’êtes pas le messie non plus.
Vous savez en tout cas instiller le doute dans l’esprit des lecteurs de votre blog, quant aux bienfaits des vaccins actuellement et je ne vous félicite pas.
Bien à vous, l’ami.
Signé Le matelot.
Je ne sais pas, matelot, de quelle « hautaine condescendance » vous parlez et pas non plus à quel messie vous faite référence… Mais…
Mais si j’ai su « instiller un doute » à propos de quoi que ce soit, alors vous devriez me féliciter car tel est l’ultime objet de la recherche scientifique : faire penser ; ce qui commence par douter !
Merci de vos bienfaisantes remarques car cela montre que je mérite mon salaire !
Condescendance: « Supériorité bienveillante mêlée de mépris »
Pourquoi rajouter hautaine, condescendante ne suffisait pas?
Bonsoir docteur. Curieux çà… et pas un mot sur les possibles effets secondaires des vaccins :
http://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/laugmentation-de-lautisme-aux-etats-unis-probl%c3%a8me-de-sant%c3%a9-publique-urgent-agence/ar-AAwoyCP?li=BBoJvSH
Ya vraiment des « gens » qui ne veulent même pas se poser des questions, tout est envisagé sauf les vaccins…
Ça s’appelle « faire l’autruche » ; il y a beaucoup d’autruches dans les facultés, les académies et les ministères…
Ce n’est pas nouveau ; et ça va durer !
Il y a un document pdf qui semble être une synthèse de vos textes publié sur ce blog concernant le sujet vaccin :
https://www.google.fr/url?sa=t&source=web&rct=j&url=http://www.parolesvivantes.com/fichiers_pdf/dr_lorgeril.pdf&ved=2ahUKEwjd8s-9pNzaAhUIZVAKHfxpBLMQFjADegQIARAB&usg=AOvVaw1nPQ2kV1i4PeuaAS5JFCh1
Par contre, je vous assure que la décision du conseil d’État du 8 février 2017 n’est ABSOLUMENT PAS un réquisitoire qui oblige l’administration à remettre sur le marché le vaccin DTP (voir le dernier encadré). Le conseil d’État indiquait explicitement qu’il suffisait d’élargir l’obligation vaccinale pour que son avis soit respecté.
Je me désole que vous souteniez une falsification aussi grossière sur laquelle je vous ai averti dès le premier jour.
L’élargissement des obligations vaccinales a eu lieu… cet avis du Conseil d’Etat a été un argument supplémentaire repris par le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour élargir l’obligation vaccinale (article 34 du PLFSS 2018) ici :
http://www.assemblee-nationale.fr/15/projets/pl0269-ei.asp
Il est écrit la chose suivante :
=> – le Conseil d’État, dans sa décision du 8 février 2017, a considéré qu’il revenait à l’Etat de prendre toutes les mesures permettant de rendre disponibles des vaccins correspondant aux seules obligations de vaccination.
Ceux qui ont lancé l’action menant à cette « avis » du Conseil d’Etat et qui ont OSÉ se proclamer victorieux ce jour-là ont été malhonnêtes.
L’élargissement des obligations vaccinales est une violence injustifiable de l’Etat français contre sa population. Élargir l’obligation vaccinale, ça consiste à prendre un marteau pilon pour écraser une mouche. Il ne FAUT pas soutenir ceux qui veulent récupérer à leur profit le mouvement de colère né après l’annonce de cet été.
L’action des Joyeux, Gherardi et E3M (asso membre de France Assos Santé, cité comme partenaire de … la semaine de la vaccination) qui expliquent que le SEUL problème des vaccins est leur aluminium, a été une catastrophe. Ils ont détourné l’attention des gens sur une anecdote (l’aluminium) alors que le problème le plus significatif était L’IMMENSE danger lié à la réhabilitation du principe de l’obligation vaccinale…
« Malhonnêtes » n’est pas le bon adjectif ; je dirais plutôt « malheureux »…
Cela dit, au-delà des imprécations, il faut bien commencer par quelque chose.
J’espère que vous serez parmi nous le 23 Juin à Paris pour le meeting de l’AIMSIB ; vous aurez tout loisir pour vous plaindre…
Je serai absent le 23 juin
Je ne comprend pas qu’après autant d’événements d’une gravité extrême sur le front des obligations vaccinales, on en soit toujours à pinailler sur l’aluminium des vaccins et sur le DTP …
L’Etat français est devenu FOU, il a même rendu obligatoire la valence hépatite B.
L’obligation vaccinale est une profonde humiliation des individus, c’est une négation de leur humanité, de leur libre arbitre, c’est une légitimation de l’Etat en tant que donneur de leçon illimité , c’est une grave atteinte aux droits fondamentaux des familles, aux prérogatives de base des parents, en tant que personne de référence pour garantir la bonne santé des enfants de ce pays …
L’obligation vaccinale est une menace grave autant pour ceux qui refusent toute vaccination que pour ceux qui veulent vacciner en s’assurant de conserver leur pouvoir le plus fondamental de s’opposer à l’injection de certains vaccins qu’ils estimeraient inutiles ou défectueux (leur pouvoir le plus puissant étant de refuser de laisser injecter le produit).
Je suis engagé fermement CONTRE l’obligation vaccinale, pas pour le retour du DTP.
C’est ça l’événement majeur : le principe de l’obligation vaccinale a été réhabilité. La liste des vaccins obligatoires sera révisée annuellement. Cet élargissement des obligations vaccinales a été entériné au travers d’une loi votée chaque année.
Des familles vont être poussée au désespoir… Il faut résister. Je connais un résistant qui ne m’a jamais déçu, je suis extrêmement attaché à cette personne.
=> Je m’inquiétais également du pouvoir de résistance des confrères. Il n’a pas fallu longtemps pour voir même les meilleurs d’entre eux rendre les armes avant la bataille, sans avoir pris la moindre peine pour réfléchir si peu que ce soit à leurs moyens de défense contre le totalitarisme dément de leur ministre (exactement comme lors du précédent de la réquisition en période « pandémique » – où il n’était pourtant ni difficile, ni risqué de ridiculiser l’obligation). Je suis au regret de leur dire que ce n’est pas le tout de revendiquer la sacro-sainte « indépendance » des médecins juste quand elle est rentable : à moult reprises, la profession n’a-t-elle pas démontré sa capacité de mobilisation collective dès qu’il s’agissait de défendre ses intérêts bassement matériels [40] ?
Je ne suis pas praticien (on ne peut pas tout faire), mais le serais-je que je n’aurais aucun scrupule à faire des certificats de contre-indication fondés sur d’imparables arguments scientifiques, réglementaires et déontologiques. Bien du plaisir aux suppôts de l’Ordre qui auraient l’impudence de prétendre m’affronter sur ces questions : quand, comme expert judiciaire et à plusieurs reprises, on a ridiculisé jusqu’à la Cour de cassation, on peut, comme praticien, affronter les bouffons ordinaux et les ridiculiser tout autant. Ce que ça peut coûter personnellement est un autre problème : au pire et après tout (je crois savoir ce dont je parle…), il est toujours possible de changer de métier lorsque les conditions pour l’exercer moralement ne sont plus réunies. La résistance, c’est un état d’esprit – même s’il n’est valorisé ni à la fac, ni à l’hôpital…
Je suis d’accord avec vous.
Les batailles pour (ou contre) l’alu et le DTP sont des diversions qui divisent les résistants…
Mais il ne faut pas négliger les activités qui mobilisent…
Ça peut servir…
Seul le Bon Dieu (ou le Saint-Esprit) ou le Grand Tout sait comment ça finira… En attendant, chacun fait de son mieux… comme dit la Bhagavad-Gîtâ…
Article publié ce jour par Daniel Floret, qu’il faut prendre très au sérieux :
https://www.mesvaccins.net/web/news/12273-l-obligation-vaccinale-maintenant-et-apres
Sinon, après le prochain élargissement des obligations vaccinales, faudra continuer à parler de l’aluminium et de la nécessité de faire revenir le gentil DTP sans aluminium qu’aime tant certains niais …
Nous sommes à un moins de l’échéance fixée par Buzyn pour vérifier l’état des vaccinations des enfants de ce pays, la propagande au sujet de la rougeole et même de … la varicelle est toujours aussi intense. Mais ça n’affole pas, alors même qu’il me semble que nous avons tous des enfants dans NOTRE entourage immédiat qui sont très directement menacés par les velléités totalitaire de ce gouvernement.
Aucune leçon n’a été retenue, ni par l’AIMSIB (qui a envie de discuter du S ou du B de son sigle), ni par les autres associations concernant les événements GRAVES de ces derniers mois.
A force de rechercher un lien entre autisme et vaccins, nous ignorons une autre piste sérieuse, celle d’une exposition nutritionnelle élevée en glucides durant la gestation.
Des auteurs font le point sur ce sujet dans cette revue : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29669486
Dans cette autre étude sur la souris : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5248510/, les auteurs concluent que c’est la restriction protéique qui serait la cause de troubles mentaux (dont l’autisme). Mais si vous regardez de plus près le régime alimentaire hypoprotéique donné à ces souris, vous constaterez qu’il est plus riche en fécule de maïs et donc de glucides !
En recherchant des explications au niveau cellulaire, j’ai trouvé l’implication de mTOR qui intervient dans le métabolisme du glucose et qui est hyperactivé dans le cas de l’autisme.
D’autres études montrent que la metformine et la diète cétogène ont des effets intéressants chez les autistes.
Merci de vos apports intéressants.
Cela dit, désolé, votre étude de revue en nutrition n’est pas convaincante et le travail sur la souris encore moins…
L’idée qu’un régime riche en glucides soit important me parait peu documenté.
Quand à la diète cétogène, hum !
Vont encore se faire du pognon :
http://www.msn.com/fr-fr/sante/health/%c3%a0-la-poursuite-dun-vaccin-universel-contre-la-grippe/ar-AAvTAF9?li=BBoJIji
Marc Girard a ajouté un post-scriptum à son article publié peu après la nomination de Agnès Buzyn au ministère de la santé.
Ce post-scriptum examine la manière dont Macron et Buzyn s’adresse à une modeste infirmière lors d’une visite au CHU de Rouen :
https://youtu.be/tQzN4Hp6CiY
Il s’agit ici de mettre en relation le comportement (les mimiques) de Agnès Buzyn et son patron avec ses précédents développements pointant l’absence de COMPASSION et l’absence de LIMITE de la nouvelle politique que ce gouvernement entend mettre en oeuvre.
http://www.rolandsimion.org/spip.php?article378
Ce gouvernement a décidé de réhabiliter une obligation vaccinale qui aurait définitivement dû appartenir au passé. Il est effrayant parce qu’il est animé par une logique qui semble dépourvue de toute rationalité … il s’agit pour eux de PASSER EN FORCE sur tous les sujets qu’ils auront décidé de traiter. Il s’agit de dramatiser des faits divers, des anecdotes pour légitimer ensuite une nouvelle limitation de nos libertés fondamentales.
Ça n’a pas de sens, à côté d’une menace aussi grave, de s’interroger sur l’utilité possible d’un quelconque vaccin dont l’efficacité et la tolérance n’a pas été correctement évalué. C’est totalement hors-sujet …
Maintenant, on en est là :
https://www.legifrance.gouv.fr/eli/arrete/2018/4/5/SSAP1809607A/jo/texte
Et ceux qui ont une oreille attentive de la part de ce gouvernement (notamment du député mathématicien Cédric Villani) sont les transhumanistes, notamment représenté par Laurent Alexandre :
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/vaccins-ecrans-et-autisme-stop-aux-delires_1998624.html
Voilà où on en est aujourd’hui…
Bonjour,
je ne sais pas si cette vidéo a déjà été partagée sur ce blog : https://www.youtube.com/watch?v=G69F-K8s0j4&feature=youtu.be&t=7m4s
Le neurologue reconnaît l’encéphalite post-vaccinale mais ne peut pas l’écrire noir sur blanc : pourquoi donc ?
Règne actuellement un climat de peur très inquiétant dans nos pays !
Il nous faut dépasser ce sentiment qu’on va se venger contre nous : rassemblés nous ne craignons rien !
J’étais tombé (sur youtube) sur une interview de Romain Gherardi dans laquelle il disait explicitement que s’il allait trop loin, il finirait comme Joyeux et Montagnier.
ça confirme.
« Dans un monde fugitifs, ce sont ceux qui vont dans le sens opposé qui ont l’air de s’enfuir »… disait Charlot à voix haute dans un célèbre film muet…
A mon avis, « finir comme Joyeux et Montagnier » est une perspective plutôt aimable ; si Gherardi a vraiment dit ça, il dévoile une partie de lui-même qui n’est pas aimable et veut dire beaucoup de choses que je n’aurais pas osé penser…
J’espère qu’il ne l’a pas dit ou écrit !
J’ai retrouvé la vidéo !
à 36:25 : https://www.youtube.com/watch?v=HRwYWHDi-D0
toute l’intervention est intéressante car il s’adresse à des professionnels de santé.
Depuis quelques jours tout le monde parle de dépistage de l’autisme. Je n’ai pas encore entendu parler de prévention. Il en est de même pour les dépistages de cancers. La prévention par l’interdiction de certains additifs bien cachés dans notre alimentation et autre permettrait sûrement de mettre un terme à ce cercle vicieux « exposition aux pesticides et additifs dangereux, dépistage, traitement lourd »
Pour pouvoir parler de prévention et de traitement, il faut déjà savoir faire un diagnostic puis rechercher les causes…
Parmi les causes possibles, il y a le mercure, l’aluminium, les pesticides et autres perturbateurs endocriniens, les vaccins…
Ce sont des sujets qui fâchent…
Ces questions ont donc été soigneusement éludées par les pouvoirs publics en France.
Voilà tout soudain qu’au plus haut niveau de l’État, on s’inquiète. Il était temps…
N’attendez pas des miracles toutefois !
A propos de l’espérance de vie aux USA , petite anecdote ( encore une ). L’un de mes fils vient de faire un séjour d’une semaine à Orlando notamment ( tout frais payé par ses beaux parents, lui aurait pas pu…). Ce garçon (41 ans) ma copie physique avec 10- 15 Kgs de plus, a été atterré par l’obésité quasi générale des autochtones et des visiteurs américains ! Il a noté que l’ essentiel des repas était le sempiternel « hot dog », les « Big mac » sous toutes ses formes, les « Chickens » machins aux ailes de poulets et pas moyen de trouver une nourriture décente, des boissons sucrées à tire larigot, rien de « Frenchy » … rien, que dalle!
Est dire que son beau-frère, français, venu les rejoindre est chercheur sur l’obésité dans un grand hôpital de Waschington et qu’il est devenu lui-même obèse avec un ventre énorme avec la « bouffe » américaine … l’a sans doute jamais testé le Low carb sans doute…
Pauvre de nous qui en prenons le même chemin.
« Low carb » ? C’est quoi ça ?
C’est le régime Atkins low carb actualisé, pour perdre du poids ou lutter contre le diabète 2 en supprimant tous les sucres sous quelques formes qu’ils soient sauf bien sûr ceux des fruits en restant raisonnable. C’est une cuisine différente, un peu difficile mais goûteuse que j’essaie petit à petit, mon traitement du début de ma « rupture du tendon d’ Achille » ayant perturbé fortement ma glycémie que j’ai du mal à rééquilibrer vers le bas.
Un bon livre sur le sujet celui de Magalie Walkowics édition Thierry Souccar.
La D.M c’est bon mais pour tous le jours, c’est préventif, ça ne suffit plus. Le stade au dessus c’est le régime cétogène…pas pour l’instant.
Tenez, à propos des « terreurs » infligées au femmes enceintes, il n’y a pas que les vaccins, il y a ça aussi :
http://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/trucs-et-astuces/cest-mon-histoire-%c2%ab-le-sort-de-mon-b%c3%a9b%c3%a9-semblait-scell%c3%a9-%c2%bb/ar-AAvjE6N?li=BBoJvSH
Quand est-ce qu’on leur fichera la paix avec des sur diagnostics ?
Je n’ai pas d’élément concernant ce test non invasif ; mais je le ferais gratuit ou au moins partiellement remboursé…
J’ai fait ce test pour mon troisième enfant. Pour chacune de mes grossesses j’ai été inquiétée avec la trisomie 21.
Pour mes deux premières grossesses j’ai refusé l’amio…Avec le choix de faire une écho intermédiaire. .Et pour le troisième rébelote…Et là j’avais déjà entendu parler du DPNI. .C’est une prise de sang dans laquelle on peut identifier le patrimoine génétique du bébé. ..Trois enfants en pleine forme. .Mais c’est un vrai casse tête. ..Et on dort mal pendant quelques temps….On vous fait signer un tas de papier. .C’est extrêmement stressant. .En 2016 il n’était toujours pas remboursé. ..Mais c’est possible que cela est changé. ..
Merci de vérifier et de nous dire…
C’est un test qui analyse les fragments d’ADN foetal presents dans la circulation de la mere. C’est un test qui est beaucoup plus fiable que le calcul statistiques d’epaisseur de nuque et d’age. Et il est effectivement non invasif.
On est a moins de 0.5% de faux positifs, c’est quand meme un test tres fiable.
C’est beau la science !
Vous voyez qu’on fait des progrès !
Je ne suis pas votre médecin traitant et je ne me risquerais pas à donner des conseils via un Blog ; mais je vais faire deux remarques :
1) faire la guerre à la glycémie ( à des chiffres) n’est pas le plus important…
2) merci de me citer une étude « Atkins low carb » ayant démontré un effet protecteur contre les complications du diabète…
3) si vous voulez de références concernant les effets protecteurs de la diète méditerranéenne, vous en trouverez facilement
4) la bonne médecine préventive c’est celle qui prévient les maladies pas celle qui corrige de chiffres.
Après, c’est vous qui voyez…
J’ai en ce moment avec 1 tiers cette discussion : indépendamment d’une prise de poids (obésité), est-ce qu’une consommation excessive de sucre peut entrainer des pbs CV (infarctus) ?
Comme les graisses (cholestérol) étaient censé le faire
Bref, le sucre peut-il provoquer/aggraver l’athérosclérose ?
Je comprends qu’il ne soit pas facile de répondre à cette question, mais moi j’ai bcp de mal à y croire
Il est préférable de poser la question différemment : 1) qu’est-ce que l’athérosclérose ? 2) mécanismes biologiques ? 3) causes et facteurs qui favorisent ? 4) complications ?
Questions subsidiaires : 1) c’est quoi le sucre ? 2) de quel(s) sucre(s) parlez-vous ? 3) est-ce intelligent de séparer un nutriment de son aliment ? 4) est-ce intelligent de séparer un aliment des autres aliments consommés au cours d’un repas, dans une journée ou une semaine ?
ma foi je ne sais pas ce qu’est l’athérosclérose (mais je pense ne pas être le seul), ce qui est sans doute la raison pour laquelle on n’en a trouvé aucun remède, en tous cas à cette heure tjrs autant de malades.
Quant à ne pas « séparer un aliment de son nutriment », je ne l’aurais sans doute pas exprimé aussi clairement, mais c’est ce que je ressens d’instinct. Il s’agit ici (« low carb ») de faire la guerre à TOUS les sucres, donc même le pain…
Je retiendrai donc « ne pas séparer l’aliment de son nutriment », merci ça m’avance
Lisez mieux s’il-vous-plait : « ne pas séparer un nutriment de son aliment et ne pas séparer un aliment des autres aliments consommés au cours d’un repas…
Attention, quand l’Amiral fait ses recommandations à ses équipages, chaque mot compte, sauf lapsus…
Il me semble que la relation entre le taux moyen de glycemie (ou l’HbA1c) et le risque de complication du diabete est tres bien etabli. Est ce que tu contestes cette relation ? C’est pas une critique, juste une question. Priere de me rentrer dedans avec elegance et mesure 😉
Je crois me rappeler que tu consideres que des chiffres sans symptomes ne peuvent etre deletaires mais j’ai du mal a te suivre la dessus. J’ai passe pas mal de temps a une moyenne de 2g sans symptomes (il semble que mon seuil renal se soit adapte pour ne pas etre oblige de pisser toutes les heures) mais j’ai du mal a penser que ce soit sans consequences a long terme.
Maintenant, on peut se poser la question de savoir comment garder une glycemie pas trop elevee. De mon cote, j’ai fait 5 mois de diete cetogene. J’ai perdu pas mal de poids, la gly etait bien plus facile a controler et c’etait le top pour la course a pied. Mais je n’ai pas d’etude par rapport a cela et je suis diabetique de type 1. La problematique est tres differente.
« Association is not causation » : tout est dit !
Beaucoup à revoir pour savoir le mieux du bien pour les diabétiques ; pas sûr par exemple qu’il soit préférable d’être de faible poids pour un diabétique de type 1…
Et bien d’autres questions…
Quand on ne sait pas, faute de science solide, on applique le Principe de précaution ; c’est la Loi qui l’exige…
Dans le doute, diète méditerranéenne ou Okinawa si on préfère : dans les deux cas, c’est plein de sucre (des hydrates de carbone, pas du coca évidemment), parfois très gras (olive plutôt mais aussi colza, notamment à Okinawa où l’olive est inconnue) et souvent bien salé…
Oups !
Merci pour vos remarques docteur, et je suis d’accord avec vous pour l’essentiel, en outre vous savez que je suis depuis des années la D.M et que grâce à vos conseils éclairés contenus dans vos livres je m’en tire plustôt bien sur le plan cardio vasculaire.
Pour les références citées dans le livre que j’ai indiqué, je ne vous ferai pas l’injure de croire que vous ne connaissez pas celle-ci :
http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/nejmoa0708681
Elle donne l’avantage à la D.M mais un léger mieux pour le régime low carb pour la perte de poids graisseux. Pour ce qui est de comparaisons avec le régime Atkins, tous les liens s’y trouvent.
Cependant, pour l’avoir dit ici par le passé, ce n’est pas le « chiffre » qui m’inquiète mais la persistance d’une glycémie élevée qui me catégorise dans le D2 et contre cela j’ai déjà lutté avec succès plusieurs fois avec un jeûne de 3 js une première fois en 2014 suivi de la D.M, succès total durant 6 mois (glycémie à jeun entre 0.98 et 1.18 en cas de repas un peu plus festif) avec perte de poids graisseux conséquente le tout réduit à néant en raison de la prise de paracétamol et de diclofénac durant 3 ou 4 jours suite à une chute sur un genoux ( douleurs intolérables la nuit) suivi d’une période de glycémie entre 1.30 et 1.48 pour laquelle la D.M seule n’a eu aucun effet . Une autre expérience de jeûne de 5 jours quelques mois suivants qui a eu les mêmes résultats que le précédent, y compris sur HbA1c inférieur ou limite à 7.
Je passe pour arriver à cet hiver durant les fêtes de Noël j’ai été un peu imprudent, ma glycémie a remonté en flèche et trois jours de suppression de tout aliment sucré ou de féculents etc. a rétabli en dessous de 1,20 celle ci. Je sais que maintenant on exagère le au taux le plus bas possible, 1.01 gl, mais je me contente d’un bon équilibre bas.
Seul mon accident de rupture du tendon d’Achille le 5 janvier et les 2 – 3js d’anti inflammatoires puis la série de piqûres de fluidifiant sanguin suite à l’opération a réduit à néant mes efforts et depuis je traîne une glycémie entre 1,30 et 1,50 . Alors avant d’entreprendre un jeûne long , jai acheté 2 livres : Celui du dr Jason Fung « Guide complet du jeûne » avec plein de témoignages et d’études vérifiables et de conseils pour mieux l’entreprendre et lutter contre le diabète et le faire suivre au besoin de la D.M mâtinée d’un régime Low Carb.
En attendant, un court jeûne de 36 h m’a été utile et en évitant au maximum les glucides industriels ou non, j’ai réussi à faire baisser cette glycémie. Peu pas mieux faire en attendant que ma blessure soit entièrement guérie et quant à ma prochaine analyse sanguine comme pour mon prochain test d’effort avec ECG, ça attendra aussi .
Donc ce ne sont pas les chiffres qui m’inquiètent mais les conséquences d’un diabète non maîtrisé et de ce côté là je n’en suis pas à la prévention, elle aurait été utile avant qu’on ne m’empoisonne complètement avec les Statines durant 10 ans, mais à la surveillance et au contrôle et a chercher à trouver un moyen de guérir ce D2 car c’est POSSIBLE … et j’y arriverai, je suis têtu. De toute façons, j’ai de la marge pour « mincir » encore un peu.
Je le répète, l’important n’est pas dans les chiffres (le poids ou le glucose) mais dans la prévention des complications cliniques du diabète… Surtout les cancers !
Car le diabète est un risque majeur de cancers…
Il n’y a pas mieux que la diète méditerranéenne, à ma connaissance !
Petite rectification à mon commentaire du bas : En fait je surveille ma charge glycémique car je ne supprime pas complètement les glucides, je mange tous les matins 2 a 3 tranches de pain de pur seigle mais gare à moi si je mange un plat de pâtes dans la journée ou une bonne portion de pizza le soir comme parfois : Ma glycémie matinale explosait. Bon je suis les conseils des livres précités et ceux d’un diabétologue connu.
L’essentiel n’est peut etre pas dans les chiffres mais comme a peu pres tout le monde se sent plutot pas bien en dessous de 0.65g/l et pisse du sucre au dessus de 1.6g (en dehors de post pendiales transitoires), on peut legitimement supposer qu’un objectif glycemique entre ces valeurs est une bonne idee, non ?
On a la des symptomes clairs directement lies a l’equilibre glycemique non ?
0,7 c’est bas et 1,6 c’est haut ; il y a de la marge…
Le problème c’est quand on mesure et à qui ?
Chaque cas est particulier !
De façon générale, il vaut mieux une insuline basse avec un glucose haut que le contraire ; car le problème c’est l’insuline…
Tout ça dans les limites intelligentes ; pisser parfois un peu de glucose est-il vraiment dangereux ?
Les nouveaux médicaments antidiabétiques contrôlent le glucose sanguin en favorisant son élimination urinaire : est-ce dangereux ? Ils disent que non !
Ne travaillant pas sur ce sujet, je ne peux me prononcer…
C’est quoi une insuline basse ? Autant une gly haute ou basse, je vois a peu pres, autant une insuline basse, j’ai moins de repere. Et un regime avec restriction de carb est de facto un regime a insuline basse ;-))
Ah. c’est complique tout ca. Cela dit, pour un T1 qui n’a pas encore de resistance a l’insuline, pour un regime alimentaire mediteranneen, une stabilisation de la gly entre ces valeurs induit directement une quantite d’insuline a injecter. Il n’y a plus de variable d’ajustement possible, le systeme est completement contraint.
Insuline basse veut dire : en injecter le moins possible .
Il vaut mieux donc rester avec une glycémie un peu haute et être très économe de l’insuline.
J’espere que les videos du dernier colloque AIMSIB seront bientot en ligne. J aimerais bien savoir ce que vous avez dit sur le diabete.
Très peu sur le diabète; c’était vous qui deviez en parler !