COVID automnal : déjà beaucoup de fébrilité dans les médias et chez les experts télévisuels endimanchés !
Pour les médias grand public, le chiffre d’affaire est proportionnel à l’acuité des évènements montrables sur leurs écrans et/ou discutables sur leurs ondes et leur papier journal.
Il faut donc sans cesse renouveler la dynamique de la mise en tension de leurs publics.
La guerre en Ukraine, les incendies de forêt, le décès d’une Reine de 96 ans, tout est bon pour faire du buzz comme disent leurs jeunes salariés, et attirer les spectateurs aux heures où… entre deux sujets d’actualité, les publicités sont regardées.
Il faut capter l’attention certes mais il faut surtout inhiber l’esprit critique.
La meilleure technique pour « rendre idiot » le spectateur – tout en l’ouvrant aux messages publicitaires – reste l’émotion intense suscitée par les drames familiaux, les meurtres, les trahisons, les sentiments « à l’eau de rose », etcétéra !
Mais le nec plus ultra (comme disait Jules César), c’est la peur !
La COVID-19 a été, pour les publicitaires, les médias et les gouvernants, une situation parfaite pour susciter la peur, l’entretenir et encore l’amplifier.
Face à un public terrorisé, on peut tout se permettre et ils se sont tout permis !
Face à un public terrorisé, les messages les plus stupides sont « avalés » et digérés sans prendre le temps de respirer; et si vous souhaitez une illustration de ces phénomènes, je recommande la lecture d’un livre très intéressant : « Les maîtres de la manipulation » (ci-dessous).
Parmi les « Maîtres » cités dans le livre, il y a des sadiques disparus mais aussi des contemporains bien vivants (ce qui doit nous inciter à la méditation).
Tout ça pour dire quoi ?
Que la COVID-19 est irremplaçable pour susciter la peur et donc qu’il serait bien stupide de ne pas entretenir cette peur.
Il y a quelques jours (autour du 10 Septembre), certains médias annonçaient une reprise de la pandémie : 30% d’augmentation des cas enregistrés en une semaine !
Et nous ne sommes qu’en Septembre… Que sera-ce en Novembre ?
Mais les médias américains (qui fonctionnent selon le même principe et les mêmes objectifs) avaient donné l’alerte dès le mois d’août : la COVID revient ; allez vite vous faire vacciner !
Mais, à force de crier au loup, on risque de ne plus être crédible quand le loup sera vraiment à la porte du village.
Trop de fébrilité prématurée tue la peur anticipée ! Pas bon pour le business publicitaire !
Les médias américains ont dû rapidement tourner casaque : c’était une fausse alerte, disent-ils, ça ne concernait que les gamins qui se retrouvent à la rentrée des classes. Je donne un exemple de cette reculade via un média professionnel qui me harcèle… Tout en m’informant sur leur mode de fonctionnement ; et donc que je garde en ligne !
Je traduis « downturn » par reculade » mais on peut faire différemment bien sûr !
Soyons clairs : je ne prétend pas qu’il ne se passe rien ni qu’il ne se passera rien à l’automne et cet hiver .
Mais si cette pandémie ressemble aux épidémies du passé, la prochaine vague sera plus faible que les précédentes et il est absurde de s’affoler !
A moins qu’un nouveau virus « bricolé » dans un labo chinois ou russe ou américain ou d’apprentis terroristes ne vienne « danser avec les loups »…
Ça y est. J’avais été épargné jusqu’à maintenant, mais je suis désormais initié à la Covid. Deuxième jour et symptômes pas très perturbants jusqu’à maintenant.
Mon épouse elle, malgré notre cohabitation et la relative étroitesse du lit conjugal, semble avoir échappé à l’infection. Mon premier réflexe est de penser que son système immunitaire est meilleur que le mien, ce qui n’est pas impossible.
Mais je me suis demandé si on ne pouvait pas penser les systèmes immunitaires de deux personnes qui vivent ensemble depuis 45 ans, comme étant interreliés, et que comme c’est le cas pour les arbres qui s’informent mutuellement par leurs racines de la présence de pathogènes pour qu’ils puissent se préparer à se défendre, il ne se produirait pas quelque chose d’analogue chez les humains, par le biais de phéromones ou d’autres messagers physiologiques.
En tous cas, penser ainsi remonte l’estime de soi de mon système immunitaire; toujours bon pour le moral de s’imaginer en preux chevalier, protégeant sa gente dame!
Plus sérieusement, y a-t-il quelque chose de plausible dans cette façon de voir ou s’agit-il du délire?
Un peu « délirant »…
Votre exemple illustre ce fait indéniable qu’on ne comprend rien au système immunitaire…
Cela dit, il est fort que votre épouse ait été naturellement immunisé auparavant sans le savoir, « contre son plein gré » disent les cyclistes…
j’ai fait la même que PsyQué. moi, malade et ma moitié, rien. Peut-être a t’elle été immunisée préalablement à l »insu de son plein gré », mais j’ai eu aussi l’occasion d’observer des couples ou l’un des deux (pardon je suis conventionnel, j’imagine qu’il y a deux personnes dans le couple) tombe malade sans que l’autre n’ait rien, puis que l’autre tombe malade à son tour, sans que le 1er n’ait rien..Peut-on, selon vous, comme vous dites, avoir été immunisé au préalable, puis, au bout d’un certain temps, ne plus bénéficier de cette immunisation pour x raisons et tomber à son tour malade même si la 1ere version est passée inaperçue ?
C’est plausible.
Cela dit, en théorie (et contrairement à la supposée immunité vaccinale), l’immunité naturelle est durable. En théorie !
Attention il faut distinguer l’immunité locale (ORL et/ou respiratoire) qui peut varier en fonction de multiples facteurs « locaux » et l’immunité systémique (la moelle osseuse, la rate, les ganglions, le système lymphatique) qui est d’une toute autre dimension, impliquant notamment le système immunitaire cérébral qui induit la fièvre…