Si vous êtes dans le coin (le pays de Giono), venez me dire bonjour.
A bientôt !
40 commentaires
En cours de lecture du livre "Le nouveau régime Méditterranéen"
Dans le Livre 8 « Les vaccins contre les cancers »,à la page 62 (dans le chapitre consacré au cancer du col de l’utérus), il est question d’une « nutrition protectrice (qui renforce le système immunitaire) » : n’est-ce pas « Le nouveau régime Méditerranéen » ? (Je suis en cours de lecture de ce livre)
Merci
Michel de Lorgeril
Pour le moment, nous n’avons pas mieux à proposer.
Peut-être n’y a-t-il pas mieux…
En cours de lecture du livre "Le nouveau régime Méditterranéen"
Serait-il hâtif de supposer que les maladies cardiovasculaires sont liées à un dysfonctionnement du système immunitaire ?
Michel de Lorgeril
En partie.
Bien sûr !
De multiples façons.
Un exemple ? Le syndrome des antiphospholipides !
En cours de lecture du livre « Le nouveau régime Méditerranéen »
« En partie » signifie :
Le dysfonctionnement du système immunitaire est un des facteurs à l’origine de toutes les maladies cardiovasculaires ?
Ou le dysfonctionnement du système immunitaire est à l’origine d’une partie des maladies cardiovasculaires ?
Michel de Lorgeril
Chaque individu et « sa » pathologie sont des cas particuliers.
Chez certains, le système immunitaire est impliqué, c’est évident !
Chez d’autres, c’est moins évident.
En cours de lecture du livre « Le nouveau régime Méditerranéen »
Il y a quelque temps, j’ai regardé le début d’une vidéo de Julien Venesson ; il parlait des effets secondaires des médicaments anti hypertenseurs. Dans le début de la vidéo ( que je n’ai malheureusement pas retrouvée), il me semble qu’il parlait de carences en certains minéraux et oligo-éléments. Se pourrait-il que ces carences engendrées par les médicaments provoquent un dysfonctionnement du système immunitaire? Ce qui ruinerait alors les richesses du nouveau régime Méditerranéen ?
Michel de Lorgeril
Les médicaments antihypertenseurs sont parfois (rarement) utiles et mal connus.
Certains, comme les diurétiques, peuvent engendrer des déficits en certains micronutriments.
Avec des conséquences possibles.
De là à « ruiner » les bienfaits de la diète méditerranéenne…
En cours de lecture du livre « Le nouveau régime Méditerranéen »
Si j’ai parlé de ruine, c’est que je connais quelqu’un qui avait une alimentation proche de la diète Méditerranéenne et qui a fait un AVC. Il prenait plusieurs anti hypertenseurs dont un diurétique. Je m’interroge toujours concernant ce cas particulier…
Michel de Lorgeril
Proche de la diète méditerranéenne ?
C’est à vérifier. Certains pensent qu’ils le sont mais quand on vérifie, on peut trouver de sérieuses erreurs.
Cela dit, chez cette personne, il y avait peut-être autre chose ; ce que nous appelons une « prédisposition à l’hypercoagulation », en grande partie héréditaire et qui… Voir le livre « Comment échapperà l’infarctus et l’AVC »
En cours de lecture du livre « Le nouveau régime Méditerranéen »
Concernant la prédisposition à l’hypercoagulation, j’ai besoin de relire « Comment échapper à l’infarctus et l’AVC ». À la première lecture, j’ai compris que si les médecins avaient prescrit non pas de l’aspirine, mais un anticoagulant, l’AVC ne serait pas arrivé. Quand l’AVC s’est produit, ont-ils compris leur erreur? L’AVC était tellement massif, qu’aux urgences a été demandé si les vœux concernant le don d’organes avaient été formulés ; c’est violent.
Michel de Lorgeril
Violent, oui !
Nous vivons une période d’extrême brutalité et l’exemple vient du haut, des pouvoirs en place.
La violence populaire (les récentes émeutes par exemple) est la réponse aux violences gouvernementales.
Et au milieu, il y a les flics, peuchère !
De passage à Manosque
Merci pour cette conférence.
Qu’est-il prévu dans le protocole de l’assurance maladie si pour les femmes de 30 à 60 ans, un papillomavirus est détecté dans le prélèvement effectué au niveau du col de l’utérus ?
Michel de Lorgeril
Bonne question !
Réponse : rien du tout !
Au gré de l’humeur du gynéco qui a reçu le prélèvement, je suppose…
W
lequel de HPV ? merci de répondre…
NB : pas reçu – mais demandé (l’analyse) si ce n’est pas lui (le gynéco) qui d’ailleurs l’a prélevé…
De passage à Manosque
Je suppose qu’il s’agit des HPV visés par la vaccination.
W
je réitère ma question (lequel?) car il y a pléthore de papillomavirus…
avant de parler de protocole (en général), parlez de choses plus précises, liées ou non à un cancer en particulier
au fait, avez-vous lu le livre#8 du Dr M. de L. ??
De passage à Manosque
Je l’ai lu il y a plusieurs mois. J’ai besoin de le relire. Une fois relu, je répondrai plus précisément à la question
W
je l’ai survolé, mais je serai ravi que vous indiquiez le no de page. Merci.
De passage à Manosque
Pour l’instant, lecture de la page 43 à 62.
HPV: H pour « human » (page 43) donc papillomavirus humain.
« certains HPV sont associés au cancer du col de l’utérus, en particulier HPV-16 et HPV-18, mais aussi le 31, 33,35,45,52,58,39,51,56,59etc. » (page 51).
Il semblerait qu’actuellement seuls HPV-16 et HPV-18 retrouvés sur le prélèvement du col de l’utérus soient retenus dans le protocole de l’assurance maladie : «(…) revoir les patientes tous les ans et pratiquer une biopsie (…) » (page 62)
Poursuite de la lecture…
Michel de Lorgeril
Ne demandez pas à l’Assurance-Maladie de faire autre chose que sur du surplace…
De passage à Manosque
Chez les femmes de 30 à 65 ans, le fait de remplacer le dépistage du cancer du col de l’utérus ( analyse cytologique du frottis) par la recherche de la présence d’un HPV-16 ou HPV-18, qui cible un seul facteur de risque (viral) et en plus partiellement, revient, il me semble, à faire disparaître dans cette tranche d’âge, le dépistage du cancer du col de l’utérus.
Dans les pages 51 et 52 du Livre 8 « Les vaccins contre les cancers » du Dr Michel de Lorgeril, sont énumérés les autres facteurs de risque de cancer du col de l’utérus. Ils ne sont pas que viraux.
Michel de Lorgeril
Bien sûr !
Vous avez de bonnes lectures. Bravo !
Epsylon
Vient de paraître :
Mediator
Un crime chimiquement pur
De Irène Frachon, Éric Giacometti
Michel de Lorgeril
Merci.
J’ai beaucoup d’admiration pour Madame Frachon à cause de son acharnement à révéler l’affaire du Médiator.
Nous devons la remercier !
Mais la Société du Spectacle a une tragique propension à « récupérer » les résistants à son profit…
Nous avons ainsi pu constater lors de la crise de la Covid-19 que Sainte Irène ne comprenait rien à la médecine scientifique (1er point) et était une « madame-docteur vaccinaliste » de la pire espèce (2ème point)
En conséquence, si nous célèbrerons son travail acharné et son courage à propos du Médiator, pour le reste nous ferons comme si ça n’existe pas. Tirons le rideau !
Vous trouverez dans mon dernier livre « Les vaccins de voyageurs » une analyse scientifique de ces vaccins contre la varicelle et le zona.
Vous avez raison, c’est sans intérêt !
Nous attendrons la publication d’une étude (essais clinique en double aveugle) dans un journal (supposé) de référence avant de nous prononcer…
Les idiots des médias bien pensants crient déjà au miracle, comme d’habitude, mais nous (les scientifiques) ne pouvons strictement rien dire à ce stade…
Donc, chuuuut…
jean-christophe
ah, ben je ne désespère pas de venir vous saluer à l’occasion, mais, pour cela faudrait accepter de « rayonner » plus loin que le long de l’autoroute qui joint Grenoble à la méditerranée.
Michel de Lorgeril
Presque pas d’autoroute entre Grenoble et Manosque…
Revoyez votre carte de géographie…
Morgan
Cette organisation de la recherche clinique paraît en effet plus pertinente sur le papier. Cependant, le sempiternel problème de la viabilité commerciale des laboratoires pharmaceutiques se pose en la circonstance. Financer des essais de grande ampleur coûtant la bagatelle de plusieurs millions d’euros ne peut s’envisager de la part d’une société privée que si le retour sur investissement est garanti ou fortement probable. Si sur 10 molécules innovantes testées (avec robustesse méthodologique) au moins 7 s’avèrent infructueuses ou toxiques, c’est la banqueroute assurée et tout un modèle économique qui s’effondre. Peut-être existent-ils d’autres paramètres qu’il faille prendre en compte pour une appréciation plus exhaustive de la situation, mais le profane que je suis se dit que cette industrie ne peut être autre chose qu’endémiquement corruptrice. Produire de la « Bad Science » s’avère finalement être pour elle qu’une question de survie et de perpétuation de son activité. Corrigez-moi si je me fourvoie quelque-part…
Michel de Lorgeril
Ce que vous dites est un peu vrai et un peu faux. Pourquoi ?
Vous dites qu’il y a un investissement considérable pour conduire les essais cliniques. C’est vrai mais ce pourrait être radicalement diminué si on cesse de « rémunérer » abusivement les investigateurs (pour chaque patient recruté) et les volontaires et si on utilise des infrastructures existantes (unités INSERM et CHU) mises en place une fois pour toutes.
L’autre condition est évidemment qu’on teste des produits à réelle valeur ajoutée et pas des duplicatas de produits existants.
Enfin, il faut que cette industrie « rentre dans le rang » et cesse de choyer abusivement ses actionnaires.
Bref, on pourrait faire beaucoup d’économies…
Ce qui nécessiterait de refonder notre « économie de la santé » ; ce qui, dans le système Kapitaliste tel qu’il est, demanderait une Révolution !
Qui y est prêt ?
On a donc ce qu’on mérite !
Morgan
Vos idées sont intéressantes notamment celle qui concerne l’utilisation des instituts publics déjà existants pour diligenter ces fameux essais cliniques et les rendre ainsi moins onéreux. La problématique des « Me Toos » est probablement corrélée à celle du brevetage des molécules. Les capitalistes cupides et rationnels que sont les industriels du médicament ont bien évidemment compris que produire des succédanés était le meilleur des compromis économiques. Peu d’investissements (car réalisés par les concurrents) pour des taux de profit élevés du fait de l’exclusivité d’exploitation que leur procure les isomères dont ils détiennent la propriété.
Je reste cependant assez circonspect quant à volonté des laboratoires de prendre part à un telle réorganisation de ce business des produits de santé. Leur activité perdrait beaucoup en attractivité et il n’est pas à exclure qu’ils se repositionneraient sur un autre marché. On verrait ainsi et petit à petit, le secteur public financer de ses subsides la quasi totalité de la recherche médicale.
Michel de Lorgeril
Vous avez probablement raison.
Quand ça risque de bloquer d’un côté, on va ailleurs. On l’a vu avec le soudain enthousiasme de firmes pour les vaccins.
Cela dit, et comme déjà dit, il faudra de nouveaux acteurs qui n’apparaitront qu’à la suite (ou au cours) d’une crise ; c’est une sorte de Révolution qu’il faudrait dans ce secteurs. Qui en veut ?
On a ce qu’on mérite !
Charlotte
Merci, encore et toujours, pour vos efforts déployés pour informer au mieux sur « l’utilité » des vaccins.
Pas sûr que le discours soit le même que celui d’associations avant-gardistes comme « Vaccins et Lien social » (le site est ici : https://vls.direct/informations/maladie-vaccin-fakenews.html).
J’avoue, le simple nom de l’association m’a fait m’étrangler de rire (mais jai souvent un mauvais esprit haha) !
Michel de Lorgeril
Bien sûr, ce sont des rigolos. Je suis aimable ! Une telle nullité !
Qui finance ça ?
Facile à savoir, allez à la rubrique « nos partenaires » et vous trouvez qui ? GSK, Sanofi…
Pour dénoncer leurs « fakenews », je vous encourage à lire « Les vaccins des voyageurs » ; un résumé de tous ou presque !
Morgan
Quelles seraient selon vous les solutions envisageables sur le long terme afin de pérenniser une recherche scientifique indépendante? Parce que finalement, si les laboratoires pharmaceutiques ne s’érigent pas en bailleurs de fonds de « l’evidence based medecine », celle-ci sera forcément financée par les deniers publics. Or, est-ce qu’historiquement, l’appareil d’Etat et ses agences ont fait preuve davantage de diligence dans la bonne administration des budgets qui leur ont été octroyés? Et se sont-ils montrés à la hauteur d’un point de vue des exigences de résultats qu’on escomptait d’eux par rapport à leurs coreligionnaires du privé?
Merci de votre réponse.
Michel de Lorgeril
Bonne question et bien posée en plus.
La solution évidente serait de mettre à la tête du Ministère de la Santé et des Instituts de recherche (INSERM par exemple) des gens compétents.
Ceux-là seraient en charge, avec leurs employés, de répondre à votre question.
Une solution possible serait de confier la conduite de tous les essais cliniques à des employés (et salariés) de l’INSERM. Bakchich interdit évidemment !
Ces essais cliniques (testant des produits potentiellement commerciaux) seraient financés intégralement par l’industriel détenteur du brevet, source potentiel de revenus commerciaux…
Est-ce possible et pourquoi pas encore ?
Parce que les lobbys en action (les industriels) ne veulent pas de ça évidemment. Ils veulent faire leurs confitures en toute tranquillité. Et « pondre » des essais cliniques merveilleux mais biaisés ; simulacre de science médicale comme c’est visible pour tout professionnel consciencieux avec les statines ou encore mieux avec les vaccins antiCovid. Sur ce dernier point, vous remarquerez qu’aucun universitaire ou expert « officiel » n’a émis le moindre doute concernant l’efficacité de ces vaccins ; ce qui donne une idée de la compétence « moyenne » de ces corporations ou (explication alternative) de leur complicité avec le système actuel.
Dans le Livre 8 « Les vaccins contre les cancers »,à la page 62 (dans le chapitre consacré au cancer du col de l’utérus), il est question d’une « nutrition protectrice (qui renforce le système immunitaire) » : n’est-ce pas « Le nouveau régime Méditerranéen » ? (Je suis en cours de lecture de ce livre)
Merci
Pour le moment, nous n’avons pas mieux à proposer.
Peut-être n’y a-t-il pas mieux…
Serait-il hâtif de supposer que les maladies cardiovasculaires sont liées à un dysfonctionnement du système immunitaire ?
En partie.
Bien sûr !
De multiples façons.
Un exemple ? Le syndrome des antiphospholipides !
« En partie » signifie :
Le dysfonctionnement du système immunitaire est un des facteurs à l’origine de toutes les maladies cardiovasculaires ?
Ou le dysfonctionnement du système immunitaire est à l’origine d’une partie des maladies cardiovasculaires ?
Chaque individu et « sa » pathologie sont des cas particuliers.
Chez certains, le système immunitaire est impliqué, c’est évident !
Chez d’autres, c’est moins évident.
Il y a quelque temps, j’ai regardé le début d’une vidéo de Julien Venesson ; il parlait des effets secondaires des médicaments anti hypertenseurs. Dans le début de la vidéo ( que je n’ai malheureusement pas retrouvée), il me semble qu’il parlait de carences en certains minéraux et oligo-éléments. Se pourrait-il que ces carences engendrées par les médicaments provoquent un dysfonctionnement du système immunitaire? Ce qui ruinerait alors les richesses du nouveau régime Méditerranéen ?
Les médicaments antihypertenseurs sont parfois (rarement) utiles et mal connus.
Certains, comme les diurétiques, peuvent engendrer des déficits en certains micronutriments.
Avec des conséquences possibles.
De là à « ruiner » les bienfaits de la diète méditerranéenne…
Si j’ai parlé de ruine, c’est que je connais quelqu’un qui avait une alimentation proche de la diète Méditerranéenne et qui a fait un AVC. Il prenait plusieurs anti hypertenseurs dont un diurétique. Je m’interroge toujours concernant ce cas particulier…
Proche de la diète méditerranéenne ?
C’est à vérifier. Certains pensent qu’ils le sont mais quand on vérifie, on peut trouver de sérieuses erreurs.
Cela dit, chez cette personne, il y avait peut-être autre chose ; ce que nous appelons une « prédisposition à l’hypercoagulation », en grande partie héréditaire et qui…
Voir le livre « Comment échapperà l’infarctus et l’AVC »
Concernant la prédisposition à l’hypercoagulation, j’ai besoin de relire « Comment échapper à l’infarctus et l’AVC ». À la première lecture, j’ai compris que si les médecins avaient prescrit non pas de l’aspirine, mais un anticoagulant, l’AVC ne serait pas arrivé. Quand l’AVC s’est produit, ont-ils compris leur erreur? L’AVC était tellement massif, qu’aux urgences a été demandé si les vœux concernant le don d’organes avaient été formulés ; c’est violent.
Violent, oui !
Nous vivons une période d’extrême brutalité et l’exemple vient du haut, des pouvoirs en place.
La violence populaire (les récentes émeutes par exemple) est la réponse aux violences gouvernementales.
Et au milieu, il y a les flics, peuchère !
Merci pour cette conférence.
Qu’est-il prévu dans le protocole de l’assurance maladie si pour les femmes de 30 à 60 ans, un papillomavirus est détecté dans le prélèvement effectué au niveau du col de l’utérus ?
Bonne question !
Réponse : rien du tout !
Au gré de l’humeur du gynéco qui a reçu le prélèvement, je suppose…
lequel de HPV ? merci de répondre…
NB : pas reçu – mais demandé (l’analyse) si ce n’est pas lui (le gynéco) qui d’ailleurs l’a prélevé…
Je suppose qu’il s’agit des HPV visés par la vaccination.
je réitère ma question (lequel?) car il y a pléthore de papillomavirus…
avant de parler de protocole (en général), parlez de choses plus précises, liées ou non à un cancer en particulier
au fait, avez-vous lu le livre#8 du Dr M. de L. ??
Je l’ai lu il y a plusieurs mois. J’ai besoin de le relire. Une fois relu, je répondrai plus précisément à la question
je l’ai survolé, mais je serai ravi que vous indiquiez le no de page. Merci.
Pour l’instant, lecture de la page 43 à 62.
HPV: H pour « human » (page 43) donc papillomavirus humain.
« certains HPV sont associés au cancer du col de l’utérus, en particulier HPV-16 et HPV-18, mais aussi le 31, 33,35,45,52,58,39,51,56,59etc. » (page 51).
Il semblerait qu’actuellement seuls HPV-16 et HPV-18 retrouvés sur le prélèvement du col de l’utérus soient retenus dans le protocole de l’assurance maladie : «(…) revoir les patientes tous les ans et pratiquer une biopsie (…) » (page 62)
Poursuite de la lecture…
Ne demandez pas à l’Assurance-Maladie de faire autre chose que sur du surplace…
Chez les femmes de 30 à 65 ans, le fait de remplacer le dépistage du cancer du col de l’utérus ( analyse cytologique du frottis) par la recherche de la présence d’un HPV-16 ou HPV-18, qui cible un seul facteur de risque (viral) et en plus partiellement, revient, il me semble, à faire disparaître dans cette tranche d’âge, le dépistage du cancer du col de l’utérus.
Dans les pages 51 et 52 du Livre 8 « Les vaccins contre les cancers » du Dr Michel de Lorgeril, sont énumérés les autres facteurs de risque de cancer du col de l’utérus. Ils ne sont pas que viraux.
Bien sûr !
Vous avez de bonnes lectures. Bravo !
Vient de paraître :
Mediator
Un crime chimiquement pur
De Irène Frachon, Éric Giacometti
Merci.
J’ai beaucoup d’admiration pour Madame Frachon à cause de son acharnement à révéler l’affaire du Médiator.
Nous devons la remercier !
Mais la Société du Spectacle a une tragique propension à « récupérer » les résistants à son profit…
Nous avons ainsi pu constater lors de la crise de la Covid-19 que Sainte Irène ne comprenait rien à la médecine scientifique (1er point) et était une « madame-docteur vaccinaliste » de la pire espèce (2ème point)
En conséquence, si nous célèbrerons son travail acharné et son courage à propos du Médiator, pour le reste nous ferons comme si ça n’existe pas. Tirons le rideau !
Vous pourrez annoncer à vos amis de Manosque la bonne nouvelle d’une campagne de vaccination contre le zona! On n’arrête pas le progrès: https://www.quebec.ca/sante/conseils-et-prevention/vaccination/programme-vaccination-contre-zona
Progrès?
Vous trouverez dans mon dernier livre « Les vaccins de voyageurs » une analyse scientifique de ces vaccins contre la varicelle et le zona.
Vous avez raison, c’est sans intérêt !
Washington autorise un vaccin contre la bronchiolite, une première mondiale via 20 Minutes
https://www.20minutes.fr/sante/4035439-20230504-bronchiolite-etats-unis-autorisent-vaccin-contre-maladie-premiere-mondiale
Nous attendrons la publication d’une étude (essais clinique en double aveugle) dans un journal (supposé) de référence avant de nous prononcer…
Les idiots des médias bien pensants crient déjà au miracle, comme d’habitude, mais nous (les scientifiques) ne pouvons strictement rien dire à ce stade…
Donc, chuuuut…
ah, ben je ne désespère pas de venir vous saluer à l’occasion, mais, pour cela faudrait accepter de « rayonner » plus loin que le long de l’autoroute qui joint Grenoble à la méditerranée.
Presque pas d’autoroute entre Grenoble et Manosque…
Revoyez votre carte de géographie…
Cette organisation de la recherche clinique paraît en effet plus pertinente sur le papier. Cependant, le sempiternel problème de la viabilité commerciale des laboratoires pharmaceutiques se pose en la circonstance. Financer des essais de grande ampleur coûtant la bagatelle de plusieurs millions d’euros ne peut s’envisager de la part d’une société privée que si le retour sur investissement est garanti ou fortement probable. Si sur 10 molécules innovantes testées (avec robustesse méthodologique) au moins 7 s’avèrent infructueuses ou toxiques, c’est la banqueroute assurée et tout un modèle économique qui s’effondre. Peut-être existent-ils d’autres paramètres qu’il faille prendre en compte pour une appréciation plus exhaustive de la situation, mais le profane que je suis se dit que cette industrie ne peut être autre chose qu’endémiquement corruptrice. Produire de la « Bad Science » s’avère finalement être pour elle qu’une question de survie et de perpétuation de son activité. Corrigez-moi si je me fourvoie quelque-part…
Ce que vous dites est un peu vrai et un peu faux. Pourquoi ?
Vous dites qu’il y a un investissement considérable pour conduire les essais cliniques. C’est vrai mais ce pourrait être radicalement diminué si on cesse de « rémunérer » abusivement les investigateurs (pour chaque patient recruté) et les volontaires et si on utilise des infrastructures existantes (unités INSERM et CHU) mises en place une fois pour toutes.
L’autre condition est évidemment qu’on teste des produits à réelle valeur ajoutée et pas des duplicatas de produits existants.
Enfin, il faut que cette industrie « rentre dans le rang » et cesse de choyer abusivement ses actionnaires.
Bref, on pourrait faire beaucoup d’économies…
Ce qui nécessiterait de refonder notre « économie de la santé » ; ce qui, dans le système Kapitaliste tel qu’il est, demanderait une Révolution !
Qui y est prêt ?
On a donc ce qu’on mérite !
Vos idées sont intéressantes notamment celle qui concerne l’utilisation des instituts publics déjà existants pour diligenter ces fameux essais cliniques et les rendre ainsi moins onéreux. La problématique des « Me Toos » est probablement corrélée à celle du brevetage des molécules. Les capitalistes cupides et rationnels que sont les industriels du médicament ont bien évidemment compris que produire des succédanés était le meilleur des compromis économiques. Peu d’investissements (car réalisés par les concurrents) pour des taux de profit élevés du fait de l’exclusivité d’exploitation que leur procure les isomères dont ils détiennent la propriété.
Je reste cependant assez circonspect quant à volonté des laboratoires de prendre part à un telle réorganisation de ce business des produits de santé. Leur activité perdrait beaucoup en attractivité et il n’est pas à exclure qu’ils se repositionneraient sur un autre marché. On verrait ainsi et petit à petit, le secteur public financer de ses subsides la quasi totalité de la recherche médicale.
Vous avez probablement raison.
Quand ça risque de bloquer d’un côté, on va ailleurs. On l’a vu avec le soudain enthousiasme de firmes pour les vaccins.
Cela dit, et comme déjà dit, il faudra de nouveaux acteurs qui n’apparaitront qu’à la suite (ou au cours) d’une crise ; c’est une sorte de Révolution qu’il faudrait dans ce secteurs. Qui en veut ?
On a ce qu’on mérite !
Merci, encore et toujours, pour vos efforts déployés pour informer au mieux sur « l’utilité » des vaccins.
Pas sûr que le discours soit le même que celui d’associations avant-gardistes comme « Vaccins et Lien social » (le site est ici : https://vls.direct/informations/maladie-vaccin-fakenews.html).
J’avoue, le simple nom de l’association m’a fait m’étrangler de rire (mais jai souvent un mauvais esprit haha) !
Bien sûr, ce sont des rigolos. Je suis aimable ! Une telle nullité !
Qui finance ça ?
Facile à savoir, allez à la rubrique « nos partenaires » et vous trouvez qui ? GSK, Sanofi…
Pour dénoncer leurs « fakenews », je vous encourage à lire « Les vaccins des voyageurs » ; un résumé de tous ou presque !
Quelles seraient selon vous les solutions envisageables sur le long terme afin de pérenniser une recherche scientifique indépendante? Parce que finalement, si les laboratoires pharmaceutiques ne s’érigent pas en bailleurs de fonds de « l’evidence based medecine », celle-ci sera forcément financée par les deniers publics. Or, est-ce qu’historiquement, l’appareil d’Etat et ses agences ont fait preuve davantage de diligence dans la bonne administration des budgets qui leur ont été octroyés? Et se sont-ils montrés à la hauteur d’un point de vue des exigences de résultats qu’on escomptait d’eux par rapport à leurs coreligionnaires du privé?
Merci de votre réponse.
Bonne question et bien posée en plus.
La solution évidente serait de mettre à la tête du Ministère de la Santé et des Instituts de recherche (INSERM par exemple) des gens compétents.
Ceux-là seraient en charge, avec leurs employés, de répondre à votre question.
Une solution possible serait de confier la conduite de tous les essais cliniques à des employés (et salariés) de l’INSERM. Bakchich interdit évidemment !
Ces essais cliniques (testant des produits potentiellement commerciaux) seraient financés intégralement par l’industriel détenteur du brevet, source potentiel de revenus commerciaux…
Est-ce possible et pourquoi pas encore ?
Parce que les lobbys en action (les industriels) ne veulent pas de ça évidemment. Ils veulent faire leurs confitures en toute tranquillité. Et « pondre » des essais cliniques merveilleux mais biaisés ; simulacre de science médicale comme c’est visible pour tout professionnel consciencieux avec les statines ou encore mieux avec les vaccins antiCovid. Sur ce dernier point, vous remarquerez qu’aucun universitaire ou expert « officiel » n’a émis le moindre doute concernant l’efficacité de ces vaccins ; ce qui donne une idée de la compétence « moyenne » de ces corporations ou (explication alternative) de leur complicité avec le système actuel.
allez où ? avant d’aller à la rubrique…