Vaccination antiCovid à répétition : une étude importante avec les IgG4 en vedette !
C’est une information très importante : la vaccination antiCovid, surtout quand elle est répétée (rappels et boosters), suscite la production d’immunoglobulines G de type 4 (IgG4).
C’est bien démontrée.
Une revue de cette problématique est publiée en Mai 2023 dans la revue Vaccines dédiée en général à la célébration de la vaccination tout azimut.
Il est étonnant que ça ne soit pas censuré parce que c’est très important et confirme beaucoup de nos observations récentes.
Donc, ce n’est pas anodin.
Pourquoi ?
Explications.
1) Une grande partie de la « méchanceté » du virus est due à une protéine membranaire, la Protéine Spike (ou Protéine S). Elle est d’ailleurs la cible désignée des soignants (et des industriels) via des vaccins ou des anticorps monoclonaux, tous visant une activité anti-Protéine S ;
2) les vaccins antiCovid proposent de susciter la production d’anticorps anti-Protéine S en suscitant – paradoxe assez extraordinaire – la production de Protéine S par nos propres cellules. Dit autrement, on nous demande de sécréter le poison (la Protéine S) à l’origine de certaines complications (notamment cardiovasculaires) de l’infection ;
3) mais les vaccins antiCovid (surtout quand les injections sont répétées) suscitent chez certains (outre la production d’IgG1 anti-Protéine S) une production importante d’IgG4 – immunoglobulines G de type 4, dit simplement – qui induisent une tolérance inattendue à la Protéine S du virus Covi-19 [c’est le titre de l’article ci-dessus] et ainsi autoriserait des réinfections par le virus et évidemment des complications (notamment cardiovasculaires) provoquées par la Protéine S.
4) ces auteurs citent de nombreux travaux montrant que la surproduction d’IgG4 et la haute concentration d’antigènes (ici la Protéine S vaccinale) peuvent aussi engendrer des maladies autoimmunes (notamment des myocardites) et promouvoir la progression de certains cancers chez des sujets prédisposés (ci-dessous).
Je pense inutile de traduire ce paragraphe en français, il dit ce que j’ai dit au-dessus.
Nous avons maintenant sous les yeux le mécanisme physiopathologique qui explique de nombreuses questions sans réponse.
Ce qui nous amène au 5ème point.
5) ces complications (myocardites et progression rapide de cancers, notamment, et aussi d’autres) ont été réellement décrites après vaccination antiCovid mais sont systématiquement minimisées par les industriels, les autorités sanitaires et les soignants qui (non alertés) ne les déclarent pas.
6) au-delà du doute, il est clair que le rapport bénéfice/risque de la vaccination antiCovid n’est pas favorable ! Ces vaccins n’empêchent pas la transmission du virus et ne diminuent pas la fréquence des cas graves, c’est désormais une certitude !
7) combien de temps faudra-t-il aux experts connivents (de l’industrie), aux autorités sanitaires et aux gouvernants pour admettre ces évidences ?
« une tolérance inattendue à la Protéine S ».
Je vais vous dire que quand on vit un covid long depuis 3 ans, cette tolérance « inattendue » est plus que bienvenue !!!
5 doses Pfizer à ce jour, et je ne me plains pas de mes rappels vaccinaux, bien au contraire, les 2 dernières doses ont diminués mes symptômes chroniques.
Ah !
Un ami proche a fait l’expérience opposée…
Les études sont arrivées a des résulats contradictoires de la vaccination pour soigner ou réduire le
Covid long. Un syndrome post-vaccinal avec des symptomes similaires au Covid long a aussi été démontré par une étude.
La raison est probablement que de le Covid long regroupe plusieurs pathologies avec des causes diverses.
Soigner le mal par le mal, pourquoi pas ? Pas certain des conséquences à long terme et des effets collatéraux.
Des examens sanguins très poussés permettent de mieux cibler le problème en cas de réaction auto-immune. Il faut alors être très précis dans la prescription du bon inhibiteur.
Mais c’est extrêmement coûteux et les effets indésirables à considérer dans la pesée d’intérêt.
@François
Bien sur que des syndromes post-vaccinaux existent. Il suffit d’avoir été contaminé antérieurement et d’avoir un système immunitaire peu réactif à l’infection pour la vaccination déclenche des réactions immunitaires contre la persistance du virus. Il n’y a pas de combat sans feu.
La vaccination est à double tranchant, c’est un fait mais comme d’autres substances qui boostent le système immunitaire. Certains ont des réactions au lactose, au gluten etc.
Lors d’une vaccination classique, certes. Quand l’antigène est soit un virus/une bactérie désactivé ou tout simplement une toxine comme dans le cas de la vaccination contre le tetanos.
On est en territoire connu avec, parfois, les effets que vous décrivez. A noter quelques échecs lorsque les anticorps deviennent facilitant (Dengvaxia): il existe plusieurs souches de dengue et une infection vous rend plus vulnérable aux autres.
Les vaccins Covid ont suivi une autre voie: le vecteur viral ou l’ARN messager.
Les vaccins a vecteur viral ont révélé des problèmes d’auto-immunité: les cellules infectées par le vecteur produiront l’antigène mais seront détruites. Il faut donc bien savoir les maîtriser…. et cela n’a pas été le cas.
Les vaccins à ARN messager modifié fonctionnent selon le même principe: vos cellules vont fabriquer l’antigène. Là aussi, une bonne maîtrise de la bio-distribution est importante ainsi que de la quantité et la durée de « production » de la protéine par nos cellules.
Or, pour atteindre les niveaux de concentrations requis pour être efficace, l’ARN messager a été fortement modifié. Ainsi, la production de protéine peut atteindre plusieurs semaines (voire mois !) et les concentrations sont proches des formes sévères…
Ajoutez à cela la toxicité démontrée de cette protéine et vous commencez à comprendre.
Bref, le tissus endothélial n’apprécie pas trop, pas plus que les cardiomyocytes comme l’a démontré le Pr Mueller à Bâle… (2.8. % de lésions cardiaques légères à plus grave). Un taux d’incidence de 1:10000 de myocardites est aujourd’hui admis.
Certes, tout les monde ne meurt pas instantanément mais on est très loin des profils de sécurité des vaccins standards.
Voir l’enquête parue dans le BMJ: « Is the US’s Vaccine Adverse Event Reporting System broken? » 1.7 mio de déclarations contre 60’000 avant le vaccin…
https://www.bmj.com/content/383/bmj.p2582
Même le nombre d’injection ne l’explique pas. J’aimerais bien me tromper mais il faudra que la pharmacovigilance fasse son travail pour pouvoir me convaincre.
Calcul de mortalité post vax dans les pay de l’hémisphère sud:
« Nous venons de sortir avec Denis Rancourt, Marine Baudin et Joseph Hickey notre dernier article scientifique sur le calcul de la mortalité causée par les « vaccins contre le Covid » dans 17 pays équatoriaux et de l’hémisphère sud.
Nous calculons environ 0,126% de chance de mourir par dose reçue (tous âges confondus).
Cette chance de mourir après le vaccin augmente exponentiellement avec l’âge. C’est pour cela que chez les plus de 90 ans cette chance de mourir après le vaccin est d’environ 5 % par dose.
Calcul très intéressant car on arrive à faire un lien de causalité entre les campagnes de vaccination et des pics de mortalité car ces campagnes de vaccination ont été faites en plein été dans l’hémisphère sud, à des moments où la mortalité est normalement basse et stable.
En extrapolant ce résultat obtenu pour l’équivalent de 10 % de la population mondiale, nous en déduisons que 17 millions de personnes ont été tuées par les « vaccins contre le Covid » dans le monde. »
https://www.researchgate.net/publication/373989367_COVID-19_vaccine-associated_mortality_in_the_Southern_Hemisphere
Merci.
Intéressant !
En contradiction avec ce qu’on a observé chez nous : un public jeune, majoritairement féminin, comme principale victime de ces vaccins.
C’est intéressant. La question est de savoir si nous avons observé correctement vu les graves lacunes dans les processus de pharmacovigilance (voir par exemple la commission d’enquête parlementaire en Allemagne qui a auditionné les responsables du RKI – effrayant.
Quand un senior de 90 ans décède en période Covid, personne ne pense à incriminer un vaccin.
Quand les données sont pourries, on observe mal…
Par contre, les données de surmortalités sont peu discutables. Seule l’imputation à une cause donnée sans la moindre preuve nous éloigne de la science.
Ainsi l’INSEE dans son rapport de juin n’hésite pas à faire endosser 11 % de surmortalité en 2022 à la grippe et la canicule. Quand aux jeunes (10 % de surmortalité), les accidents de voiture et le retard dans le dépistage de maladies graves seraient de bonnes explications.
Bien sûr, aucune statistique sérieuse sur la base des véritables causes de décès n’est publiée: on ne fait que supputer.
C’est beau la science !
La science ce n’est pas à l’Insee que vous la trouvez ; et pas non plus dans les universités où les chercheurs indépendants ont été baillonnés.
Même chose au CNRS et à l’INSERM.
Beaucoup ont trouvé ça plutôt confortable…
La spike favoriserait la maladie d’alzeimer
“Hellstrand, et al. at Linkoeping University in Sweden—
SARS-CoV-2 Spike amyloid fibrils specifically and selectively accelerates amyloid fibril formation of human prion protein and the amyloid β peptide.”
#CourageousDiscourse
https://open.substack.com/pub/petermcculloughmd/p/spike-protein-linked-to-alzheimers?
Merci. Très intéressant.
Est-ce qu’à l’origine de la maladie d’Alzheimer, il y a une inflammation qui altérerait la barrière hémato-encéphalique ?
Merci
Peut-être !
Mais je préfère rester prudent car ce n’est pas mon domaine professionnel et il me faudrait beaucoup de temps pour faire le tour de cette question importante.
Bonjour à tous, je suis Idel, et suis une patiente avec une prnc avec anticorps antiglangliosides(igloo antiGm1 Et GD1b) qui a 70 ans qui ne répond pas au ttt qui se retrouve tétraplégique et qui se pose la question si ce n est pas la vaccination Covid car symptômes débutant octobre 2022, elle est aujourd’hui hospitalisée, je voudrais juste savoir si il y a bien des augmentations de ces pathologies ?
La PRNC (polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique) est une maladie auto-immune et toute stimulation du système immunitaire (notamment par des injections vaccinales répétées) ne peut que contribuer à aggraver la situation pathogène autoimmune…
Évidence que les experts vaccinalistes ignorent froidement.
A mon avis, il ne faudrait jamais vacciner les patients atteints de maladie autoimmune.
Les experts préconisent le contraire !
c’est malheureusement plausible. il y a une étude epi-phare non publiée sur le risque de guillain barré
La question est peut-être naïve et relevant d’une logique trop mécanique, mais serait-il possible de « neutraliser » voire de « contrer » l’effet facilitateur des IgG4 ou leur activation, et si oui comment?
Vous voudriez que je sorte de mon domaine de référence ?
Non, bien sûr. Je prenais le risque que vous ayez vu ou entendu quelque chose. Il me semble qu’il y a une piste là.
J’ai écrit, il y a quelque temps, sur ce blog, que devant les cas qui se multiplient de cancers dits fulgurants dans mon entourage immédiat, il était difficile de ne pas continuellement soupçonner un effet d’accélération ou de potentialisation des vaccins covid. Et que ça, c’était aussi une séquelle de la pandémie.
La légendaire goutte dans mon vase est l’encéphalite herpétique fulgurante d’un autre proche. Bien sûr, pas de preuve, pas de données solides. Mais le doute… et surtout le sentiment d’impuissance.
D’où cette demande sur de possibles actions de neutralisation. Je vous sais ne pas être omniscient (ça, c’est apparemment le privilège de l’autre, en haut – mais j’ai mes doutes). Mais comme vous êtes une des seules sources fiables d’info…
Merci du compliment ; mais pour le moment, je n’ai rien à proposer de solide !
https://pharm-enews.fr/2023/07/13/malades-apres-une-vaccination-covid-72-personnes-indemnisees-a-lamiable/
Tiens, Tiens…
Ce nombre tres faible d’indemnisés montre la difficulté que rencontrent les victimes – tout est fait pour nier la responsabilité des produits injectés-
ceci est l’aspect juridique –
mais il y a surtout l’aspect medical :
les victimes sont mal recues, mal prises en charge et baladées de service en service
( quand elles ont la chance de pouvoir accéder à des soins ).
Les traitements d’après -vaccin devrait devenir une branche majeure de la médecine vu le nombre de sujets concernés et la diversité des pathologies
J’approuve !
Question subsidiaire : est-il vraiment utile de faire toutes ces injections vaccinales ?
Non seulement j’en doute mais je suis presque sûr que ça ne sert à rien !
Bonjour, au Canada on prépare l’automne ! Article publié aujourd’hui dans La Presse canadienne: Le CCNI recommande un nouveau rappel du vaccin contre la Covid à l’automne : https://apple.news/Aw71mwtNETaGhsYh99IfWWg
Contre la Covid ? Alors que la plupart des vaccinés ont contracté la Covid ! On tourne en rond…..J’ai bien hâte de voir la réaction de la population. Moi, je ne serai pas de la partie. Salutations.
Il faut essayer de comprendre leur état d’esprit.
1) ils n’ont pas encore admis que les vaccinés transmettaient le virus ;
2) Ils n’ont pas encore admis que la vaccination ne protégeait pas des formes graves ;
3) ils ont parfaitement compris que s’ils admettaient le 1) et le 2) , toute leur politique sanitaire serait remise en question ; et eux avec ;
4) Comment faire ? Gagner du temps ! Donc, continuer sans désemparer et sans donner l’impression qu’ils sont devenus « hésitants »…
Quel est aujourd’hui l’avis des épidémiologistes sur l’efficacité des vaccins ? Certains prétendent-ils encore que le vaccin nous a sauvé la mise ? Comment avec les données peuvent-ils s’illusionner ? La science est en principe la même pour tous les scientifiques.
Ce que pensent les épidémiologistes (s’ils pensent encore), on n’en sait rien !
Une (auto) censure implacable règne…
Mince, une explosion de cas du syndrome Guillain-Barré, au Pérou !
Sans doute la faute au réchauffement climatique ? A moins que ce ne soit la guerre en Ukraine ?
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/le-p%C3%A9rou-en-%C3%A9tat-d-urgence-apr%C3%A8s-une-explosion-de-cas-du-syndrome-de-guillain-barr%C3%A9/ar-AA1dEzeS?ocid=msedgntp&cvid=79776692b9f54c8f954b7d4b1fa56f29&ei=10
Attention à la source.
Il faut une enquête !
Il y a une épidémie de dengue au Pérou.
Il y a eu 186 de syndrome guillain barré au perou en 1 an. 1 personne est décédé.
Le pays a environ 20 million d’habitants je crois.
Il semble que certains responsables voudraient traiter cela comme une epidemie.
Est ce que ca s’attrape ? Ou est ce la conséquence d’un facteur environnemental ( par exemple une certaine injection tres populaire dernierement…)
Le Guillain-Barré est typiquement une réaction autoimmune ; généralement à proximité d’un stimulus.
Il faudrait une enquête sérieuse (avec une chronologie) pour chaque cas…
On peut rêver : qui veut de la « bonne » médecine scientifique ?
Les uns ont peur d’éventuelles mauvaises nouvelles ; les autres s’accrochent à des fantasmes…
Où est la médecine scientifique ? Aux oubliettes ! Plus personne n’en veut !
toujours aller lire la référence indiscutable !!!
https://www.msdmanuals.com/professional/neurologic-disorders/peripheral-nervous-system-and-motor-unit-disorders/guillain-barr%C3%A9-syndrome-gbs
Cette histoire d’épidémie de GBS est troublante. Le gouvernement a été jusqu’à décréter des confinements locaux.
En plus des infections, les vaccins sont réputés pour les GBS en tant qu’effet indésirable grave (y compris celui du Covid)
Mais il y a généralement une coincidence temporalle ce qui ne semble pas être le cas (à moins qu’un autre vaccin soit déployé).
Résurgence du Covid ? Ou alors effet indirect du vaccin lors d’une réinfection ?
La Dengue peut aussi en être la cause. Mais c’est très rare.
Sujet compliqué.
@Francois L.
Des confinements locaux pour une « épidémie » de Guillain Barré ?
Ils sont devenus totalement « locos », alors, nos amis péruviens !
Ou peut-être sont-ils complètement « barrés » ?
Ou alors parle-t-on de confinements pour empêcher la transmission de la convid-19 ??? Perplexe…
Ou bien il se passe quelque chose d’autre qui n’est pas dite… pour le moment…
Pathogenicité de la p spike et réponse thérapeutique : lipoic acid.
Toxicity of the spike protein of COVID-19 is a redox shift phenomenon: A novel therapeutic approach
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0891584923005014
There is already evidence that Lipoic Acid, in combination with Coq10 is effective at treating Long COVID.
Merci.
Je suis en montagne et avec peu de réseau.
Je regarderai ça à mon retour…
Et des mauvais esprit poussent la désinformation jusqu’à pretendre que les produits géniques ARNm endommageraient le foie.
post:
https://www.trialsitenews.com/a/research-review-at-univ.-of-patras-covid-19-vax-can-induce-liver-injury-2d92b6fc
Quelle mauvaise foi !
Je ne trouve pas la référence citée dans le World J Virology…
voici un lien
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37033146/
Novel vaccine delivery platforms, e.g., mRNA-containing lipid nanoparticles and adenoviral vectors, contribute to the inflammatory background that leads to an exaggerated immune response, while patterns of molecular mimicry between the spike (S) protein and prominent liver antigens may account for the autoimmune presentation.
full text
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10075055/
Merci
Attention!
Ne pas confondre Vaccines MDPI avec Vaccine Elsevier
MDPI permet beaucoup de publications critiques
Exemple
Banoun, H. mRNA: Vaccine or Gene Therapy? The Safety Regulatory Issues. Int. J. Mol. Sci. 2023, 24, 10514.
https://www.mdpi.com/1422-0067/24/13/10514
https://hal.science/hal-04140477
https://doi.org/10.3390/ijms241310514
Traduction ici en français
https://hal.science/hal-04142870
ARNm : vaccins ou thérapie génique? les enjeux de sécurité de la règlementation
Forte augmentation du diabète depuis la pandémie, selon le Dr John Campbell :
https://www.youtube.com/watch?v=GRohIT7-aik
Une hypothèse (si j’ai bien compris) serait que les cellules β des ilots de Langerhans possèdent un récepteur ACE2 qui se lierait à la protéine de pointe du SARS-CoV-2 « d’où qu’elle vienne », c’est-à-dire, pour ce médecin qui joue avec les règles de Youtube, le vaccin.
Les données épidémiologiques, pour le moment, ne sont pas claires.
Augmentation ? Oui !
Rôle éventuel du vaccin ou de la Protéine S ? Douteux ; mais possible !
Des maladies infectieuses (hors covid et sans vaccins) ne sont-elles pas supposées susceptibles de favoriser ou déclencher la survenue d’un diabète ?
Dans le cas de la pandémie covid, si, a posteriori, il était mis en évidence que la survenue d’un diabète est plus fréquente chez les vaccinés, est-ce que cela permettrait de dire que ce sont les vaccins anti covid qui en sont en la cause ?
D’autres vaccins provoqueraient le diabète .
C’est fort possible puisque tous les vaccins favorisent les maladies autoimmunes.
entre les effets croisés du vaccin et du covid, il n’est plus possible d’étudier sérieusement quoi que ce soit.
Exactement.
Dans mon prochain livre, je traite cette question : « Covid long » versus « effets indésirables des vaccins »…
Il y a toutefois de forts enseignement à en tirer !
Plusieurs études ont conclu à un risque élevé de diabète suite au Covid.
« Association of COVID-19 Infection With Incident Diabetes » (JAMA):
« In this cohort study, SARS-CoV-2 infection was associated with a
higher risk of diabetes and may have contributed to a 3%to 5%excess burden of diabetes at a population level. »
Alors, pourquoi pas le vaccin ? Le problème, c’est que la recherche préfère se concentrer sur les effets du Covid plutôt que ceux du vaccin. Problème de financement ?
C’est surtout un problème de censure !
« To publish or to perish » tel est le mot d’ordre en recherche médicale.
Si votre travail n’est pas publié (censuré), vous périssez !
Un tweet du biologiste et médecin Martin Zizi qui confirme ce que dit Marc Gozlan dans son article. Les cellules qui devraient capter l’ARN sont les dendritiques, d’après les concepteurs de la technologie ARNm. Des réactions auto-immunes sont à craindre si ce sont des cellules non spécialisées qui le prennent :
« C’st marrant – même un des plus grand promoteurs de cette techno en BE, le Prof Michel Goldman de l’ULB a du reconnaitre en public – le 4 Février 2023, devant l’ordre des médecins du Bruxelles – que ce sont les myocites qui prennent l’ARN et NON les cellules dendritiques.
Le president du Conseil de l’OM de Bruxelles, a reconnu devant moi que ce mis-targetting – expliquait en effet myosites, fascéites, myocardites etc… mais dit que ces cas sont rares.
Vous devez être rudement calé pour en savoir plsu qu’un des pères de cette techno – qui bien qu’il nie la catastrophe, ne nie pas la biologie…
Si vous avez 10 min., lisez à propos du self-modifié et du diabète de type I chez l’enfant, vous risquez d’apprendre qlq chose…
Beati Pauperes Spiritu »
https://twitter.com/MartinZ_uncut/status/1680460364058886146
Merci pour cette info. Qu’entendez-vous par « capter » ?
Quel serait le méchanisme qui ferait qu’une nano particule lipidique qui peut fusionner avec n’importe quelle cellule pour y introduire l’ARNm cible une cellule dendritique plutôt qu’une autre ?
De plus, si les cellules dendritiques sont choisies pour produire la protéine S, n’y a t’il pas un risque d’affaiblissement du système immunitaire ?
Cette technologie semble reposer sur des bases fragiles pour assurer la sécurité.
Rapellons que l’étude Mueller à Bâle a révélé un taux anormal de troponine post-vaccination chez 2.8 % des patients. Le captage par les myocytes serait donc avéré chez un patient sur 35. La rareté est donc une question de définition.
Ne pensez-vous pas que l’ampleur du problème est largement tous-estimé ?
Pour le mécanisme des cellules dendritiques après injection d’un vaccin à ARNm, je vous renvoie à l’article de Marc Gozlan, section « Mode d’action des vaccins à ARN ».
Extraits : « Une étude sur la souris, publiée en 2015 dans la revue Immunology, a montré qu’après injection intramusculaire d’un ARN messager auto-réplicatif l’antigène pouvait être exprimé par des cellules musculaires puis être capté par des cellules présentatrices d’antigène qui migrent vers elles. »
« Cela dit, quand bien même l’ARN messager parviendrait à pénétrer dans des cellules musculaires, il semble bien que le mode d’action d’un vaccin à ARN messager repose principalement, sinon essentiellement, sur les cellules dendritiques dont le rôle clé est de présenter l’antigène au système immunitaire »
https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2020/12/14/laventure-scientifique-des-vaccins-a-arn-messager/
Selon Martin Zizi, le problème est en effet largement sous-estimé.
Merci pour ces clarifications. Je pense que nous avons compris plus ou moins la même chose. Donc, l’antigène est exprimé par les cellules musculaires si le vaccin reste en local. Mais nous savons qu’il circule dans tout le corps donc n’importe quelle cellule produira la protéine (y compris des cellules endothéliales, cardiaque ou d’autres organe internes).
Il y aura donc un phénomène inflammatoire provoqué par la réaction immunitaire et tout cela que cela implique. Le fait que les cellules dentritiques présentent des fragment de l’antigène pour activer la production d’anticorps et activer la mémoire immunitaire n’empêchera une éventuelle réaction auto-immune et, à minima, la destruction des cellules concernées.
Pourquoi le système immunitaire traiterait-il une cellule infectée par un virus à ARN différement qu’une cellulle qui produit un antigène ? Et, vu la persistante de cette ARNm modifié, peut-t’on exclure totalement un phénomène d’apoposte ?
Les cellules musculaires comprennent le coeur, mais aussi les muscles lisses des artères et l’utérus. L’ANSM et d’autres agences ont reconnu, en plus des myocardites (et peut-être aussi les problèmes de cycle dus pour certaines à une inflammation de l’utérus), des effets secondaires neurologiques (Guillain-Barré, paralysie de Bell). Pour les autres effets secondaires, je pense qu’on manque encore de données.
La réaction inflammatoire n’est pas non plus systématique. La plupart des vaccinés n’ont rien eu. Et si l’antigène est sorti de la cellule, je ne crois pas qu’il pose de problèmes, sauf peut-être s’il était produit en très grande quantité (intoxication).
Dans le diabète de type 1, auquel fait référence Martin Zizi, ce sont des adénovirus (de rhume) qui infectent régulièrement le pancréas et finissent par induire le système immunitaire en erreur. Il faut quand même des infections répétées pour en arriver là, ce qui pourrait ressembler aux boosters.
« la surproduction d’IgG4 et la haute concentration d’antigènes (ici la Protéine S vaccinale) peuvent aussi engendrer des maladies autoimmunes (notamment des myocardites) et promouvoir la progression de certains cancers chez des sujets prédisposés »
vu le nombre de personnes concernées reellement ou potentiellement, ne s’agit il pas du principal probleme de santé public pour les prochaines années ?
si c’est le cas, ne faut il pas engager dès maintenant une campagne de depistage, en particulier cardiaque , pour que les personnes atteintes sachent quelles peuvent plus courir un marathon…
Merci de ressortir cette étude bien flippante, qui semble confirmer beaucoup de craintes initiales.
J’en ai lu des parties (c’est quand même bien dense pour un non spécialiste) : y a t-il encore des médecins pour promouvoir ces vaccinations ?
Je ne réussis pas à retrouver une info : la vaccination qui cause ces horreurs, des maladies graves parfois létales pour les gens fragiles (ceux qu’ils voulaient vacciner à tout prix), est-elle svp considérée, dans l’article, répétée et à effets secondaires à partir de la 2nde injection ? De la 3 ème ?
Merci pour cette référence. Elle confirme les craintes de cette étude plus ancienne:
« Class switch towards non-inflammatory, spike-specific IgG4 antibodies after repeated
SARS-CoV-2 mRNA vaccination » dont j’avais donné la référence il y a quelques mois.
Ces vaccins devraient être purement et simplement retirés de la circulation.
Merci.
Vous noterez que les auteurs eux-mêmes écrivent (1ère phrase de l’Abstract) : « RNA vaccines are efficient preventive measures to combat the SARS-CoV-2 pandemic »
Ce n’est pas avec eux qu’on avancera…
Une telle phrase est peut être ajoutée par l’éditeur pour faire croire que l’auteur respecte la doxa. Ou ajoutee pat l’aiteur pour qu’on autorise la publication —
Car nous sommes dans un regime de pensée unique – seuls les obeissants peuvent publier.
Bien possible.
C’est progressif.
Les IgG4 augmentent avec le nombre de doses.
Tandis que les IgG1 restent plus ou moins stables.
Attention, il y a une variabilité individuelle. Chez certains, ça ne bouge pas !
Non pas ajoutée par l’éditeur mais par les auteurs pour faire avaler la pilule
Moi aussi j’ai collé un mantra pour être publiée : « COVID-19 vaccines were developed and approved rapidly in response to the urgency created by the pandemic. »
J’ai écrit ça au début pour calmer le reviewer favorable à l’EMA, ça a fonctionné!
je suis en contact avec Alberto : il n’en pense pas moins que nous sur le sujet des vaccins!!
Ah !
Il s’agit d’Alberto Rubio-casillas un des auteurs de l’article en question
https://www.researchgate.net/profile/Alberto-Rubio-Casillas
OK
Merci
J’ai été infecté par le SARS-CoV-2 à la fin du mois de mars 2020. Je me suis soigné avec de la chloroquine suivant le protocole pour une crise de malaria. Se développèrent ensuite progressivement des thromboses aux pieds. J’habitais à l’époque à Santa Cruz de Tenerife et aucun médecin ne put diagnostiquer ce dont je souffrais : on me prescrivit des antibiotiques !
Les thromboses finirent par disparaître en quelques mois mais se développa alors une sorte de maladie de peau. Un dermatologue me prescrivit des stéroïdes et une analyse sanguine révéla un taux d’IgE 4 fois supérieur à la normale (517 UI/ml). Mes pulsations cardiaques restèrent aux alentours de 120/minutes pendant plusieurs mois. Dégouté par l’incurie du corps médical tant hospitalier que privé des Canaries je partis lorsqu’il fut possible de voyager et je me suis retrouvé à Papeete, avec toujours ces problèmes de peau : urticaire géant, démangeaisons, hémorragies sous-cutanées, saignements, … Bref je suis allé consulter un généraliste de 82 ans exerçant toujours. En voyant mon état il me posa la question suivante : « avez-vous attrapé le coronavirus ? » Il me prescrivit un traitement de choc pendant trois mois avec de l’hydroxychloroquine (600 mg/jour) + 2 mg de betamethazone / jour. Tout est rentré dans l’ordre mais il y a toujours une fragilité capillaire. J’ai 78 ans, je suis un ancien biologiste (CNRS) j’ai travaillé à UCLA dans le laboratoire du Professeur Emil Smith, chimie des protéine, puis pendant près de 3 ans dans le laboratoire du Docteur Roger Guillemin, prix Nobel de médecine, au Salk Institute, neuroendocrinologie. J’ai toujours suivi cette histoire de coronavirus et écrit de nombreuses notes sur mon blog.
J’en suis arrivé à la conclusion peut-être erronée que mon système immunitaire a bien produit des anticorps anti protéine spike (en octobre 2020 j’avais toujours un taux d’anticorps anti-virus élevé (analyse à grand frais payée de ma poche par curiosité) et que ces anticorps croisent avec la syncytine, comme l’avait fait remarquer le Professeur Raoult. Si on part de cette hypothèse il est possible d’expliquer les problèmes de derme et de fragilité capillaire mais également la perte de masse musculaire dont je fut victime ( moins 16 kg alors que je n’étais pas particulièrement « enrobé ») puisque la syncytine est essentielle pour la régénération des fibres musculaires longues et également du muscle cardiaque, la syncytine intervient également au niveau de la membrane basale. Tout peut s’expliquer y compris les myocardites puisque vous n’êtes pas sans ignorer que le muscle cardiaque se régénère en permanence.
Je ne comprend pas pourquoi personne n’étudie cet aspect particulier de la syncytine.
Voilà mes réflexions partant de mon cas personnel mais je peux me tromper je n’étais qu’un modeste chimiste des protéines et enzymologie …
URL: http://jacqueshenry.wordpress.com
Jacques H. Julliard
Dr en Chimie
Docteur d’Etat ès Sciences-Physiques, mention chimie biologique
Depuis Papeete
Merci de votre témoignage très intéressant.
Non seulement ils n’admettront pas leurs erreurs mais l’UE réserve déjà un futur vaccin hypothétique pour la prochaine pandémie elle aussi hypothétique bien qu’elle risque d’arriver.
« Si une nouvelle urgence de santé publique devait être déclarée, les entreprises « démarreraient rapidement la production », a-t-il déclaré. » Ce passage me laisse songeuse….peut-être que ces futurs vaccins seraient directement produits et distribués sans évaluation par des essais cliniques.
https://www.reuters.com/business/healthcare-pharmaceuticals/eu-announce-deal-with-pfizer-others-reserve-vaccines-future-pandemic-source-2023-06-30/
Vous dites : « sans évaluation par des essais cliniques » ?
Ils ont déjà dit qu’il en serait ainsi !
Comme pour les vaccins antigrippaux !
Vous vous êtes révoltée contre la vaccination antigrippale ?
Comment peut on eliminer la proteine spike produite par nos cellules ?
Il faut attendre que l’ARN messager soit détruit par des ARNases.
Sauf qu’ils ont bricolé leurs ARN messager pour qu’ils soient « résistants » !
Pas cons les mecs !
Fiers même !
Quand j’ai parlé d’auto-immunisation contre le venin de serpents, j’avais mentionné ce fait que le sang de ces personnes contenait une très haute concentration d’IgG4, sans pour autant les rendre allergiques aux toxines. Mais l’immunisation se faisait lentement, avec très peu d’antigène, chaque mois, pendant des années. Quand l’exposition à la toxine était massive et fréquente, dans le cas de morsures répétées, elle rendait systématiquement allergique.
Dans ces expériences, il ne s’agissait plus seulement d’immunisation passive, comme dans l’administration d’un anti-venin (ou dans le cas du covid des anticorps monoclonaux), mais d’immunisation active, suivant le principe de la vaccination.
Sinon, l’article admet donc une production variable d’antigènes, ce qui est conforme au fonctionnement de la technologie ARN ou ADN, mais pas à celle d’un vaccin classique, où la posologie est toujours la même. Mais avec les vaccins classiques, l’adjuvant (qui n’est pas présent dans ces deux technos, ce qui au passage est un indice de leur forte réactogénicité), peut maximiser la réponse immunitaire et constituer aussi un risque similaire à la surproduction d’antigènes par notre corps.
Le Palforzia, un médicament contre les allergies aux arachides fabriqué par Nestlé, utilise également le principe de mithridatisation :
« Palforzia agit chez les personnes allergiques à l’arachide en augmentant progressivement la capacité de l’organisme à tolérer de petites quantités d’arachide (désensibilisation). Palforzia peut contribuer à réduire la gravité des réactions allergiques après le contact avec l’arachide. Il n’est pas efficace contre les allergies à d’autres fruits à coque ou aliments. »
https://www.ema.europa.eu/en/documents/overview/palforzia-epar-medicine-overview_fr.pdf
Nestlé cherche à le revendre, à cause d’une adoption insuffisante.
Cette étude ne pourrait-elle pas servir à demander un moratoire sur la vax anti cov ? Ce serait un premier pas…
Un moratoire ?
Demander à qui ?
Soyons honnêtes : ils en ont « rabattu » avec leurs saletés de vaccins. Ils promettent qu’il n’y aura plus d’obligation ; même pas pour les soignants.
Mais ils ne peuvent pas évidemment reconnaître leurs erreurs. Un politicien ne dit jamais qu’il a tort ou qu’il a eu tort.
Rappelez-vous : lors du vote de l’obligation des 11 vaccins pour nos bébés en 2017, qui s’est opposé ?
Et aujourd’hui, qui veut protéger les bébés ?
Il y a des stocks à écouler
Il y a aussi des commandes pour libraisons dans les mois et années a venir
Et il y a meme des contrats passés pour acheter la production des usines Moderna dans plusieurs pays d’Europe dont nous nous sommes ( vous et moi ) engagés à acheter la future production.
Qui sont les rédacteurs et les financeurs de la Revue Vaccines ?
Est-ce que les IgG4 correspondent à des anticorps facilitateurs ?
Merci
Une revue médicale traitant des vaccins, quelles que soient les vrais financeurs, est financée.
Qui peut vouloir financer une revue sur les vaccins ?
Je n’ai pas le temps de faire une enquête policière ; et je sais que je n’aurai pas la vraie vérité !
On peut dire que les IgG4 sont des sortes de « facilitateurs ».
« … en suscitant – paradoxe assez extraordinaire – la production de Protéine S par nos propres cellules. »
en qui est ce un paradoxe ? parce uon fait produire un corp toique par nos propre cellules ?
( pourquoi n ont ils pas choisi une autre proteine ?)
— et le fait que la technologie ARNm dispersera la spike partout dans le corps, en particulier dans des organes sensibles, n’est il pas un facteur agravant ?
Ils ont choisi la Protéine S parce qu’elle est membranaire (aisément accessible aux anticorps) et antigénique !
Idéalement, la protéine S est produite ou captée par les cellules présentatrices de l’antigène, qui sont spécialisées. Qu’en est-il des autres ? N’y a-t-il pas un risque d’auto-immunité (de reconnaissance du soi et du non-soi) ?
Il y a beaucoup d’inconnues à mon avis sur la nature des cellules qui captent l’ARN messager vaccinal et ensuite produisent la protéine S…