Réunion d'information sur les vaccins
Ce sera à Meylan le 22 Novembre 2017 à 20:00 : Maison de Quartier des Buclos.
Juste en sortant de la Piscine, c’est le moment de boire un verre !
Si vous vous en foutez des vaccins, venez boire un coup et me dire que vous en vous foutez !
Ça me fera plaisir !
Meylan, c’est dans la vallée du Grésivaudan ; ne pas confondre avec le Gévaudan ; chez nous, à part moi, il n’y a pas de monstre !
Il faut toujours être précis quand on s’explique !!!!!
>
Elle est trop mignonne !!!
La petite Susie revient de l’école et dit à sa mère que les garçons lui demandent toujours de faire la roue car elle la fait très bien.
Sa mère lui dit:
» Tu devrais dire NON : Ils veulent seulement voir ta petite culotte » ..
Susie répond :
« Je sais, c’est pour ça que je la cache dans mon cartable « !…
Attention ; vous pourriez être accuser de harcèlement… de petite culotte !
Ne suscite plus trop la suspicion ! …
Moi non plus ; c’est chouette…
Au cas où, on vous traite d’Alzheimer…
elle est même super mignonne, et innocente, mais on ne nous terrorise pas seulement avec les statines, avec le sexe aussi, on vit une époque de terroristes !
Histoire de briller (je blague), je signale ou rappelle que cette pression s’appelle le Surmoi chez les psy, c’est grosso grosso la pression sociale, pourquoi est-elle en expansion (comme l’univers) ?
Je vous laisse plancher sur ce sujet passionnant…
Pensez-vous que je sois capable de disserter sur un sujet aussi complexe ?? …
Toutefois, mon fils qui a fait une formation en géobiologie, m’ouvre à une certaine compréhension de ces choses, quoique n’étant pas psychologue!
Il y aura toujours un duel entre le MOI et le SURMOI, tiraillés que nous sommes entre le Bien et Mal, l’instinct et la raison, tout ceci renforcé par la pression ambiante …
Aussi, nous appartenons au grand TOUT et ne sommes pas tout à fait responsables de la tournure des événements : sommes victimes de facteurs externes, comme, par exemple, la montée du taux vibratoire de la Terre qui fait que nous devons sans cesse nous adapter pour trouver un équilibre …
A ce sujet il est très intéressant de lire ou d’écouter LUC BODIN.
Je ne doute pas que vous ayez une autre vision, mon savoir est limité.
ah non c’est très très bien vous en savez + que moi…
Ah non, sûrement pas, Phil !!
> Le Petit Robert 2018 est arrivé!
Être au bout du rouleau : Situation très peu confortable, surtout quand on est aux toilettes.
Facebook : Le seul endroit où tu parles à un mur sans être ridicule.
Oui- Oui : Fils illégitime de Sissi.
GPS : Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur chemin.
Autobus : Véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court après que quand on est assis dedans.
Taser : Instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant entre la police et la jeunesse.
Mozart : Célèbre compositeur que l’on écoute le plus souvent dans les pizzerias car on sent bien que mozzarella.
Sudoku : Qui a le nord en face.
Porte-clefs : Invention très pratique qui permet de perdre toutes ses clefs d’un coup au lieu de les perdre une par une.
Etat : Système mafieux le mieux organisé de tous les temps.
.
Le coiffeur : Seul endroit où les Bleus peuvent espérer une coupe.
Voiture : Invention ingénieuse, permettant de contenir 110 chevaux dans le moteur et un âne au volant.
Titeuf : Ce qui sort de la TitePoule.
Orteil : Appendice servant à détecter les coins de portes.
Egalité des sexes : Nouveau concept créé par les hommes pour ne plus payer le restaurant.
Suppositoire : Invention qui restera dans les annales.
Je me suis fait un bleu : Expression couramment utilisée par Zahia.
« Oui chérie » : Gain de temps.
Soutien-gorge : Synonyme de flamby. Tu tires la languette et tout tombe.
Les ex : C’est comme la prison, si tu y retournes c’est que tu n’as pas compris la leçon
Où est donc mon Ricard : Conjonction de coordination
La beauté intérieure : Concept inventé par les moches pour pouvoir se reproduire.
Péniche : C’est oune zizi portugaiche.
Pruneau : Synonyme de personne âgée. Qui est ridé et qui fait chier.
Aides internationales : Aides payées par les pauvres des pays riches pour aider les riches des pays pauvres.
Pharmacie : Confiserie pour vieux
Blonde : Concept pour faire croire que les autres femmes sont intelligentes.
Un meurtre de sang froid : Un ice – crime
Sentiments partagés : Quand votre belle-mère est en train de reculer dans le ravin avec votre voiture toute neuve.
Archipel : Outil pour creuser des archi trous
Cellulite : Couche graisseuse qui enveloppe souvent les femmes mais emballe rarement les hommes.
Les ciseaux à bois : Les chiens aussi.
Femme : C’est comme le café, au début ça excite mais rapidement ça énerve
Carte bleue : Viagra féminin.
Le Gospel : C’est quand ton gamin a pris un coup de soleil
Homme riche : Celui qui gagne plus d’argent que ce que sa femme n’en dépense
Grand amour : Expression datant du 15ème siècle, lorsque l’espérance de vie était de 35 ans.
Et pour ceux /celles qui ont dépassé la soixantaine, rajoutons la meilleure réponse à une question que nous nous posons à chaque rencontre entre vieux amis :
> > Quelle est la capitale du Tamalou ?
> > Jébobola.
>
MAGNIFIQUE !
Bellissimo !
Merciiiiiiiiiiiiiiii !
Brève de consultation cardio:
« Vous savez Dr, depuis que j’ai arrêté mon Crestor ma glycémie a nettement baissé »
« Et oui, c’est normal », lui dis-je.
« Mais mon généraliste m’a répondu que cela ne voulait rien dire. Pourtant lui ai-je dit , mon cardiologue m’a dit que les statines faisaient monter la glycémie ! »
« Oui, seulement je n’y crois pas… »
VOILA la réponse à toutes les questions posées sur les statines: en France les médecins sont une majorité de « CROYANTS ».
Eh oui. C’est un affaire croyance, les statines ont été deifiees comme tous les medocs ou produits anti cholestérol. Leurs prêtres, au lieu de lire leur bible dans le texte en ont laissé le soin à d’autres faux prophètes interpréter les écrits des vrais exégètes, c,’ est plus facile.
http://www.worldometers.info/fr
Horloge mondiale.
Séquelles physiques, maladies, retard dans le développement ou encore souffrance mentale… Les violences envers les enfants ont des conséquences graves. Une Journée universitaire de pédiatrie médico-légale a réuni ce vendredi 17 novembre 600 professionnels de la protection de l’enfance à Nantes pour évoquer cette thématique. A l’occasion de la journée mondiale des droits de l’enfant, son objectif, mettre à jour les connaissances concernant les conséquences de ces actes sur la santé des plus jeunes. Mais aussi améliorer le dépistage et la prévention. Le point avec le Dr Nathalie Vabres, pédiatre au CHU de Nantes.
« Ce qui ne tue pas rend plus fort. » Cet adage est « une énorme fumisterie », selon le Dr Nathalie Vabres. Bien au contraire, les violences envers les enfants, qu’elles soient physiques, psychologiques et/sexuelles, ont des conséquences graves sur leur santé à long terme. Les victimes ont davantage de risque de développer des maladies cardiovasculaires, des cancers, d’éprouver un retard du développement cognitif et/ou sensoriel. « Ces enfants ont parfois des séquelles physiques, mais aussi des difficultés à grandir ou à grossir », précise la pédiatre de l’unité d’accueil des enfants en danger du CHU de Nantes. « Ils ont un retard d’acquisition intellectuel, du langage et présentent de nombreuses conduites à risque comme des addictions ou des scarifications. »
Les compétences sociales sont elles aussi impactées. « Victimes des violences conjugales de leurs parents, les enfants ne parviennent pas à mettre en œuvre la négociation et se retrouvent à reproduire des actes violents envers les autres », ajoute-t-elle. Et les difficultés se font ressentir fortement à l’école. « Sauf exception, la plupart de ces jeunes éprouvent des retards scolaires car ils se trouvent en permanence en reviviscence des scènes vécues », explique le Dr Vabres.
Ces conséquences sont de plus en plus expliquées par la science. Ainsi, « les hormones du stress qui sont au plafond en permanence ont un impact très fort chez des enfants en pleine croissance », poursuit-elle. D’autant que l’hormone de croissance, elle, est produite essentiellement au cours de la nuit. Or « si l’enfant ne dort pas en raison de son état d’angoisse, les séquelles à long terme sur la santé sont importantes ».
Dépister et mettre à l’abri
Au CHU de Nantes, l’unité d’accueil des enfants en danger est spécialement destinée à repérer les victimes et les prendre en charge. « Nous avons une salle protégée dans laquelle les enfants ne risquent pas de croiser des auteurs présumés de violences, comme c’est le cas dans un commissariat », explique Nathalie Vabres. Cette organisation qui permet l’audition filmée est en œuvre depuis 2010 en accord avec l’ARS des Pays de la Loire et le conseil départemental de Loire Atlantique. Ce qui les empêche de revivre plusieurs fois les violences subies. Au cœur de la pédiatrie, « les victimes redeviennent des enfants, mais aussi des sujets de ce qui leur arrive ». Les recevoir dans un lieu de soins « limite les séquelles à distance et le surtraumatisme ».
EMkaphotos/shutterstock.com
Après le dépistage, la prise en charge n’est pas toujours facile. Par manque de moyens souvent, comme c’est le cas en termes de lits en pédopsychiatrie dans le département de Loire Atlantique qui en dispose de 12. Mais « le fait d’être cru, et reconnu représente déjà un soin », assure le Dr Vabres. Et plus cette reconnaissance est précoce, « plus on a de chances de réduire les séquelles ».
Prévenir par la bienveillance
Dépister au mieux les violences. L’objectif est affiché. « Nous devons tous être concernés », souligne Nathalie Vabres. Et cette injonction va bien plus loin. « La lutte contre les violences faites aux enfants débute dans l’éducation. » Ainsi, « chacun doit-il agir avec bienveillance, parfois contradictoire avoir l’éducation que les adultes ont eux-mêmes reçue », admet-elle.
Or, « on peut tout à fait éduquer un enfant sans être dans la violence », détaille-t-elle. « L’enfant n’est pas un être inférieur qu’on doit dominer. Malheureusement, beaucoup de parents pensent en toute bonne foi que les petits doivent juste obéir, et que les punitions physiques sont nécessaires pour qu’ils grandissent »
Tiré encore de Destination santé.
Et quand on leur inflige les vaccins, en plus ????!!!! ça fait froid dans le dos!!
Hors-sujet, encore! Tiré de Destination santé :
Une des pathologies cardiaques les plus répandues, la fibrillation atriale reste encore peu connue du grand public. Sous-diagnostiquée, elle figure pourtant parmi les causes les plus importantes de l’Accident Vasculaire Cérébral (AVC). Dépistée précocement, elle peut être guérie de façon mini-invasive, par une alternative aux traitements médicamenteux. A l’occasion de la Semaine européenne de la fibrillation atriale (20-26 novembre), zoom sur cette affection aux symptômes peu évocateurs.
Le terme fibrillation atriale (FA) n’est pas encore passé dans le langage courant, comme peuvent l’être l’infarctus du myocarde ou l’insuffisance cardiaque. Et pourtant, la FA constitue le trouble du rythme cardiaque le plus fréquent, avec 33 millions de patients dans le monde. En France, son incidence ne cesse d’augmenter du fait du vieillissement de la population. La FA est repérée lorsque « Les palpitations sont irrégulières », explique le Pr Frédéric Anselme, cardiologue au CHU de Rouen. L’oreillette gauche du cœur ne se contracte plus, le sang s’évacue mal et stagne dans cette partie du muscle cardiaque.
Principaux facteurs de risque : l’âge et le profil cardiovasculaire
L’âge du patient constitue le principal facteur de risque de FA. En cause, les modifications structurelles des oreillettes, phénomènes croissant au fil des années. Mais aussi l’hygiène de vie et son impact sur le muscle cardiaque : les FA sont d’autant plus fréquentes en cas de comorbidités cardiovasculaires telles que l’hypertension artérielle, le diabète, l’apnée du sommeil ou l’obésité. A terme, une FA mal prise en charge augmente le risque d’accident vasculaire cérébral (AVC). « Principaux risques liés à la FA, les AVC proviennent en fait de la formation d’un caillot sanguin lié à la mauvaise évacuation du sang. » Aujourd’hui, on estime que les patients atteints de FA ont cinq fois plus de risque de faire un AVC.
La prise de pouls chez le médecin généraliste, indicateur indispensable
Dans certains cas, les patients sont asymptomatiques, la FA est alors qualifiée de silencieuse. Dans ce cas, « la prise de pouls vient confirmer la sensation d’irrégularité des palpitations cardiaques. Un geste à réaliser par le médecin généraliste. Le patient lui-même peut aussi avoir une notion de la fréquence du pouls pour aller consulter en cas d’anomalie ». Mais « le diagnostic officiel est forcément effectué à partir d’un électrocardiogramme pour enregistrer le tracé électrique du cœur », indique le Pr Anselme.
La prise de pouls est aussi à effectuer auprès des patients symptomatiques car les ressentis se confondent avec ceux d’autres pathologies. La FA peut se traduire par des essoufflements, des épisodes de fatigue et de douleurs thoraciques ou encore des poussées d’insuffisance cardiaque et des palpitations, sources de malaises.
Ballonnet gonflé à l’aide d’un gaz réfrigérant pour geler les tissus malades du cœur
Traitement curatif : détruire les zones atteintes par la congélation à -80°C
Lorsque le diagnostic est posé et selon le type de FA, une des approches thérapeutiques pouvant être proposées aux patients est une technique mini-invasive permettant de supprimer la survenue du trouble du rythme cardiaque. Il s’agit de l’ablation par cryothérapie, technique curative. Une technique efficace dans 80% des cas, 1 an après l’intervention.
Aucune ouverture du cœur n’est nécessaire. « Selon les établissements de santé, l’anesthésie est générale ou locale, et le temps d’hospitalisation est compris entre 48 heures et 72 heures. » En quoi consiste l’acte ? « Après avoir percé la membrane entre l’oreillette droite et gauche du cœur, on applique un ballonnet refroidi à -80°C pendant 3 à 4 minutes au niveau des veines pulmonaires. L’idée étant de détruire les tissus cardiaques au pourtour des veines, là où des impulsions électriques anormales sont capables d’initier l’arythmie. »
Le retour à la normale après l’intervention prend-il du temps ? « Il est possible de reprendre une activité classique la semaine suivante. Mais concernant le sport, tout dépend du niveau du patient. Si la pratique est intense, mieux vaut attendre une dizaine de jours pour retrouver son rythme », conclut le Pr Anselmé de Destination santé :
Bonjour docteur,
S.V.P. On y parle d’une méthode curative, l’ablation par cryothérapie, autre que celle qui m’avait été proposée et que j’avais refusée, il y a huit ans.
Il s’agissait de l’ablation par radiofréquence, par cathétérisme transseptal.
Je pense qu’il n’y a pas moins de risques à courir puisque dans les deux cas on doit transpercer la membrane ?
J’aimerais avoir votre avis. Je vous remercie.
Le traitement de la FA, c’est la conversion d’un rythme irrégulier en un rythme régulier, est un problème sans solution univoque (qui marche à tous les coups).
Désolé !
La cryothérapie n’a pas meilleure presse que les autres techniques.
On peut essayer (risque d’accident faible) mai pas répéter. A mon avis.
Beaucoup pensent que rien (de mécanique ou électrique) ne marche et que quand ça marche c’est une sorte d’effet placebo…
Les médicaments sont décevants…
N’ayant pas travaillé moi-même cette question (et trouvant les experts en cette matière fort médiocres), je me vois fort contrit de vous dire que je suis moi-même très confus.
Le plus important est d’avoir un mode de vie protecteur le plus tôt possible dans la vie pour ne pas avoir à affronter ce problème à l’orée du début de la fin…
Certains trouvent des solutions pour respecter leur FA sans en avoir le risque d’AVC ou le risque d’hémorragie dû aux anticoagulants…
Bon vent, matelot
Merci Docteur.
Mon cardio n’a jamais admis mon refus et me le reproche toujours.
Il n’a jamais rien compris non plus à ce que j’aie pu diminuer beaucoup de médicaments et même en supprimer … « Promis, je ne toucherai pas à l’anticoagulant » !
En plus il prescrit les statines et approuve les vaccins … lorsque je me permets de manifester mon désaccord en toute humilité, il me rétorque : ah, vous, vous me mettez les pendules à l’heure!
Je le connais depuis longtemps et ne le crains pas … ce qui m’importe c’est de passer « électro » … et « écho » … là, la machine ne se trompe pas ! ? …
Difficile !!
@aubepine. Le dernier numéro de S&V parle en page intérieure d’ électro stimulation du nerf vague , un article bateau en page intérieure avec un beau dessin de ce nerf et les organes et maladies pouvant être traitées par cette méthode. Selon l’un des renvois, on serait passé à l’ expérimentation humaine pour les fibrillations atriales.. un chercheur de Grenoble, Bruno Bonaz serait impliqué dans ces recherches. Je ne suis pas chez moi en ce moment et ne peut vérifier. J’ai essayé le flashage pour le lien de cet article mais je ne suis pas doué avec une tablette. Pas pu accéder, mais notre docteur MdL le connait-il? En tout cas faudra attendre encore un peu pour voir l’ efficacité de cette méthode qui si elle fonctionne devrait être moins invasive ou traumatisante que les autres. Espoir?
B. Bonaz est le professeur-enseignant de gastro-entérologie au CHU de Grenoble.
Très impliqué dans le stress comme cause de pathologie colique.
Pas impossible qu’il stimule le vague pour lutter contre cette sorte de stress
M’étonnerait qu’il bricole le FA
Merci Inox! c’est sympa!
Demain je vais à la ville voisine et me procurerai ce n° de science et vie ….
B.Bonaz n’est pas le seul, mon gastro-entéro a aussi insisté sur le stress comme origine possible de pbs dans gastro intestinaux. En l’absence de pathologies décelables.
J’ai dû me pencher là-dessus aussi pour les CPPS (Chronic Pelvic Pain Syndrom, dsl, pas le temps d’approfondir ici) : il s’agit d’une tension chronique des muscles du plancher pelvien, sans raison apparente, les urologues n’y comprennent rien.
La seule médecine qui peut intervenir ici relève de savantes manips ou de l’ acupuncture, une immense littérature existe sur le sujet mais elle n’est pas enseignée à la fac, on ne peut pas tout faire, notre médecine à nous est « cartésienne »
pour ceux que ça intéresse, la bible est le bouquin de Travel & Simon’s « Myofascial Pain and Dysfunction, the Trigger Point Manual », ou l’ostéopathie scientifique ! Les connaissances sont là mais personne n’est formé, il n’y a pas de thérapeutes !
http://www.dgs-academy.com/fr/therapie-des-points-trigger/therapie-des-points-trigger
Je partage votre vision concernant l’importance, la pertinence et l’urgende du dépistage de la fibrillation atriale même et surtout intermittente pour éviter un grand nombre d’AVC ischémiques. Je recommande l’utilisation d’un scope de poche, qu’on applique sur le thorax et qui en 30 secondes permet de faire la différence entre des extra-systoles et une fibrillation atriale. Une fois la Fibrillation atriale découverte, je prescris (après élimination d’éventuelles contre-indications) une HBPM sous cutanée pendant quelques jours et 2 mg de warfarine per os le soir avec INR après 6 jours de dose inchangée, en visant 2,5 pour l’INR chez les moins de 65 ans (qui sont rares) et 2 chez les plus de 65 ans qui représentent la grande majorité.
Efficacité garantie de la Coumadine° dès que l’INR dépasse 1,7, et sécurité tant qu’il ne dépasse pas 2,3. Autour de 2 l’INR est bien plus stable qu’autour de 3, et la posologie n’a pratiquement plus besoin d’être modifiée ensuite (sauf en cas de prise de certains médicaments).
La fibrillation atriale survient dans diverses conditions (hypoxie, troubles électrolytiques) mais plus particulièrement sur des cardiopathies hypertensives avec hypertrophie atriale gauche, qui se voit bien à l’écho coeur.
Merci pour tant de clarté !
J’aurais beaucoup à raconter …
J’ai partagé sur ma page 🙂
Merci encore <3
https://www.facebook.com/toutestpourlemieux/
Bonsoir docteur. Le 22 je serai sur Paris; Je vais essayer de convaincre un proche demeurant à Grenoble d’y aller s’il a le temps.
Par ailleurs, je viens de d’acheter, après moults recherches dans les librairies des environs le numéro de NEXUX dans lequel un septuor de médecins, de scientifiques et de lanceurs d’alerte vraiment indépendants et bien au fait, expliquent de façon précise pourquoi des vaccins comme le DTP sont inutiles actuellement voire dangereux. Ce numéro et son article sont tombés entre les mains et sous les yeux d’une jeune mère de famille en visite chez moi. Sa lecture a jeté l’effroi !
Au moins quelqu’un qui a l’esprit ouvert.
Au moins une ! Bravo !
Le dernier numéro de Nexus est d’utilité publique ! S’il pouvait être distribué… pour éveiller les consciences. En 1958 avec la polio ils ont échoué comme nous aujourd’hui.
Il ne reste bien que l’opinion publique à alerter ! Elle sera peut-être enfin effarée, elle devrait déjà l’être avec les scandales antérieurs… J’ai du mal à comprendre ce laisser-faire !
A avoir toujours chez soi un sachet de chlorure de magnésium 🙂
J’essaie de venir ! Et je partage l’information !
Ça c’est une bonne nouvelle. J’essaie de convaincre des vaccinolâtres d’y assister mais ce n’est pas gagné. D’abord parce que certains ne vous apprécient pas (eh oui ! Cimes fait des miracles…) et d’autres part, profanes face à un professionnel, ils ne feront pas le poids et ne pourront pas débattre à armes égales. J’espère qu’il y aura des médecins pro-vaccins pour jouter avec vous. Je vais donner une affiche à ma généraliste… Ce serait bien si vous pouviez au moins l’amener à réfléchir à défaut de la retourner (sans mauvais jeu de mots)…
La retourner ?
Vous avez des façons de décrire mon art du harcèlement…
tout le monde connait Meylan et les monstres qu’on y rencontre, ils terrorisent le Roi qui a dépêché sur place ses meilleurs archers pour l’abattre, mais l’animal a la peau dure
Quand je pense que je viens de Meylan (mes parents y habitent encore), que j’ai été à la piscine des Buclos toute ma jeunesse et que je ne pourrai même pas venir à cette réunion d’information, quelle injustice!!!
Maman, prends des notes et fais une bise à Michel de ma part (sur la joue)!…