Premier bilan du confinement de masse de l’hiver 2020
Une fois n’est pas coutume, l’Institution (avec un i majuscule) ose s’exprimer sur un phénomène sociétal majeur et inattendu survenu pendant l’hiver 2020.
Malgré les dures conséquences sociétales à assumer…
Je veux parler du confinement de toute la population (à part quelques exceptions, les « petites mains » indispensables à la survie de la majorité) décidé par les gouvernants lors de la panique provoquée par la Covid-19.
L’Institution en question est le CNRS qui publie dans le numéro d’Avril 2024 de son journal l’interview d’un sociologue du CNRS.
Ce que le sociologue analyse ce n’est pas le confinement lui-même mais la « Surveillance » de la population que le confinement a exigé !!
C’est intéressant et mérite d’être lu car pour une fois ce n’est pas une analyse « programmée » par les gouvernants et pas non plus un delirium (supposé « complotiste ») produit par un de ces nouveaux experts qui peuplent avec une sympathique naïveté les réseaux dits sociaux.
C’est là, pour les curieux : https://lejournal.cnrs.fr/articles/covid-19-bilan-dune-surveillance-massive
On peut trouver des signes de l’existence du principal auteur (Nicolas Mariot) sur Wikipédia, un site parfois utile mais à consulter avec prudence et un esprit critique assuré.
C’est lui.
Ça fait plaisir pour un scientifique (je suis moi-aussi chercheur CNRS) de lire enfin (3 ans après les faits) une analyse objective des circonstances de ce confinement inattendu et décidé par des gouvernants totalement déconcertés qui ne trouvèrent pas dans leur environnement bureaucratique (Santé Publique notamment) des conseillers susceptibles de les aider.
Dans d’autres pays, comme indiqué par Nicolas Mariot, les gouvernants surent trouver les bons conseillers et prirent des décisions différentes.
Cela dit, il est toujours plus aisé de faire des analyses a posteriori et se faire passer pour très intelligent une fois la crise passée.
Bon !
Je n’ai pas à avoir honte puisque pour ma part je m’étais exprimé très tôt lors de la crise sanitaire pour émettre un avis sur l’utilité du confinement.
C’était là : https://michel.delorgeril.info/ethique-et-transparence/science-du-confinement-ou-confinement-de-la-science/
Avec un titre qui disait tout en Mars 2020 (peut-on être plus précurseur ? ) : « Science du confinement ou confinement de la science ? »
En conséquence, je renvoie à mon argumentaire de l’époque et j’encourage chacun à lire celui d’Avril 2024 par mon collègue Nicolas Mariot.
Ce dernier est prudent – il n’est ni médecin ni épidémiologiste – et quelques uns de ses chiffres [la surmortalité en Espagne] sont faux.
Peu importe !
L’intérêt de cette analyse de Nicolas Mariot ce sont les comparaisons internationales : les gouvernants les plus sévères ont-ils été les mieux récompensés ? Moins de surmortalité ? Moins de dégâts économiques et sociétaux ?
On comprendra en lisant cette analyse – c’est la principale leçon que je retiens – pourquoi les gouvernants et leurs « petits amis » des académies (et prolifiques sur les plateaux télé) ne sont pas pressés de donner un retour d’expérience !
Il n’y a pourtant aucune honte à se demander si on a bien travaillé, si on a commis des erreurs ou si on aurait pu faire mieux.
Ce n’est pas ainsi que fonctionnent les politiciens : les pires idiots ne reconnaissent jamais leurs erreurs ! Règle basique de la politique !
Et les administrations sanitaires ne se trompent jamais, c’est bien connu !
Un aspect très intéressant évoqué par le sociologue est la surprenante « obéissance » de la population ; à mettre en parallèle avec une supposée acceptation massive de l’obligation vaccinale qui suivra.
Ces phénomènes sont intéressants et devront être examinés plus précisément.
Bon, je termine pour aujourd’hui en annonçant la publication prochaine (espérée en Août) de mon dernier opus sur la Covid-19.
On y trouvera une analyse scientifique et historique de la Covid-19 avec plusieurs grands chapitres :
1) d’où est venu le virus ?
2) la pandémie fut-elle vraiment sévère ?
3) avions-nous des traitements médicamenteux antiCovid ?
4) que valaient les vaccins antiCovid qui nous furent proposés ?
5) que sont réellement le Covid Long et les complications postvaccinales ?
J’adore le titre : « Dialogue de promeneurs en Covidie »...
Le bilan global en termes de décès supplémentaires n’est guère positif d’après cette étude du BMJ Public Health, malgré la vaccination et les confinements.
https://bmjpublichealth.bmj.com/content/2/1/e000282
Nous le savions. Ces données préliminaires étaient déjà connues ; aussi d’ailleurs pour 2023 : décès supplémentaires inattendus et inexplicables selon eux…
J’examine ces questions dans mon prochain livre (en librairie en août). La majorité des fragiles étant partis la première année (avant la vaccination), cet excès de mortalité les années suivantes est inexplicable sauf par la massive campagne de vaccination menée justement dans les pays concernés…
Et ces imbéciles osent écrire « malgré la vaccination ». Quand l’autruche ne veut pas sortir la tête des chiottes… comme dirait Poutine…
Sanofi préfère un vaccin « classique » (à base de protéines) contre le COVID-19 à la technologie ARN (alliance avec Novavax) :
https://www.sanofi.com/fr/media-room/communiques-de-presse/2024/2024-05-10-06-00-00-2879379
Comme il s’agit d’une info financière, je m’interroge sur ce sujet en particulier. Qui a raison d’un point de vue économique ? Les tenants de l’ARN ou des technologies éprouvées (financièrement) ? A mon avis, la réponse n’est pas si évidente !
C’est surtout du marketing. Sanofi s’enrichit avec des vaccins antigrippaux inutiles depuis des décennies. Il ne va pas abandonner ce marché.
Pour améliorer son attractivité, il a l’idée de mixer les antigrippaux avec des antiCovid ; mais pour des raisons techniques, on ne peut mélanger un vaccin classique avec un vaccin ARN messager.
D’où l’accord avec Novavax…
Ça fait déjà plusieurs fois que Sanofi essaie de torpiller l’ARN, en argumentant que cette technologie n’est pas confortable à long terme pour les patients. Il est vrai que pendant la pandémie, beaucoup de gens se sont plaints de l’avoir « senti passer ». Est-ce que l’ARN est vraiment plus réactogène, ou bien s’agit-il d’un argument commercial ? Pour essayer de rattraper le coup, après avoir échoué à proposer un vaccin ARN, et sans vouloir développer un anti-grippal ARN comme est en train de le faire Moderna ? Sachant que pour l’instant, il donne des résultats médiocres sur certaines souches de grippe (en quantité d’anticorps générés).
Novavax, lui, en profite par la même occasion pour vendre son nouvel adjuvant. A noter qu’il y a aussi des nanoparticules dans son vaccin, alors qu’on a critiqué les ARN en partie à cause de la toxicité des liposomes.
Exact !
L’avenir est aux vaccins à ARN messager. Voir la video du Dr. John Campbell sur youTube. Bill Gates a de très très gros plans pour les 5 prochaines années. Sanofi n’a bien qu’à se tenir si il veut du financement de l’homme le plus riche du monde, qui ne veut que du bien pour les gens, riches comme pauves !! Méchante salade. Il va même éliminer tous les virus !!!
https://www.youtube.com/watch?v=WgoixKhPaMY&t=35s
Paroles de couillon ignare !
Poubelle !
J’ai bien aimé le passage où le dr John Campbell dit que Bill Gates n’est ni médecin, ni infirmier, ni pharmacien, ni dentiste (peut-être jardinier de l’hôpital ?) et où il demande à ses spectateurs à quel point ils sont à l’aise avec ces personnes autoproclamées pour diriger la recherche mondiale sur la santé.
En attendant, vendredi a été un jour noir pour les investisseurs (je devrais dire : joueurs de casino) qui avaient parié sur une faillite de Novavax. Il devenait très cher de se racheter pour ces vendeurs à découvert :
https://www.boursorama.com/bourse/actualites/l-envolee-de-l-action-novavax-incite-les-vendeurs-a-decouvert-a-se-mettre-a-l-abri-47a8bb51787218724f532e3ad4ca23e3
Mais ne croyez pas que les autres aient gagné grand chose, l’action a perdu quasiment toute sa valeur depuis l’époque bénie du covid. Encore un exemple de la « destruction créatrice » dont parlait Joseph Schumpeter. Au final, tout le monde est perdant, et peut-être même les consommateurs de vaccins ARN ou autres, alors que l’innovation est censée profiter à la société, même si cela se fait au détriment des épargnants.
Aaaaaaah, Schumpeter !
Tellement sexy !
Astra Zeneca fait aussi un premier bilan et jette l’éponge.
https://www.channelnewsasia.com/world/astrazeneca-covid-19-vaccine-withdraw-side-effect-tts-4319771
Bien sûr !
Quel médecin injecterait encore cette saleté ?
Et pendant ce temps, le Ministre de la Santé « clame » que TOUS les vaccins antiCovid étaient efficaces et sans problème…
Mais AstraZeneca vient au secours du Ministre en prétendant que le retrait du marché a des raisons « commerciales » !
Illustration de ce que je disais ailleurs ici, à propos du calcul du risque (en % du total plutôt qu’avec des groupes appariés) :
« Dès mars 2021, Londres a signalé trente cas, dont sept mortels, de formation de caillots sanguins (thromboses cérébrales) chez des jeunes, vaccinés à l’AstraZeneca. Des cas rarissimes, rapportés aux 18,1 millions de doses déjà administrées. »
Cet argument a été utilisé pour faire accepter le vaccin aux ignorants. Voir le scandale récent de l’Androcur, où l’Assurance maladie a eu recours à la méthode classique des odd ratios, faisant apparaître immédiatement le risque élevé du médicament (après 20 ans d’aveuglement).
https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-le-vaccin-astrazeneca-retire-du-marche-502fd9d0-0d1e-11ef-8ec1-43107fb4d6b9
Deuxième erreur :
« Le produit d’AstraZeneca utilise la technologie classique à vecteurs viraux, ce n’est pas un vaccin à ARN messager. »
Cette technologie n’est pas classique, on injecte des virus, atténués ou désactivés, pas des vecteurs de matériel génétique, et il est aussi à ARN, puisqu’une fois entré dans le noyau, le virus envoie son ARN dans la cellule. Pareil pour le vaccin de J&J.
https://www.lavoixdunord.fr/1459843/article/2024-05-08/un-effet-secondaire-rare-et-dangereux-astrazeneca-retire-son-vaccin-covid-19-de
Que des médias « pantouflards » comme Ouest-France et La Voix du Nord se fassent l’écho de ce type d’informations – quoique mal digérées et analysées – dit quelque chose de l’évolution des idées !
Essai clinique final disponible sur le site de l’UE:
https://www.clinicaltrialsregister.eu/ctr-search/trial/2020-005226-28/results
« A Phase III Randomized, Double-blind, Placebo-controlled Multicenter Study in Adults to Determine the Safety, Efficacy, and Immunogenicity of AZD1222, a Non-replicating ChAdOx1 Vector Vaccine, for the Prevention of COVID-19 »
Ce document est la preuve qu’il faut une dizaine d’années pour tester un produit correctement.
C’est plein de de perles et d’incohérences pour cacher les faits.
Parmi elles, on peut relever dans les effets indésirables 28.75 % de Covid rapportés dans le groupe vacciné contre 25.16 % dans le groupe placebo !
Et aussi 2x plus de thromboses veineuses profondes (6 pour mille) et même là les chiffres sont trafiqués: il est rapporté 13 cas au total dont 14 ne sont pas dûs aux vaccins ! (cherchez l’erreur).
Pareil pour les fausses couches: 0.07 % dans le groupe vacciné contre 0.03 %. Mais là, sur les 17, une est attribuée au vaccin ?
Bref, ce document pourrait donc se révéler très utile pour les avocats…
Pour les avocats oui, pour les médecins (sauf pour les conventionnels), le verre est bu depuis longtemps…
Ne faites aucune confiance aux chiffres de PV fournis par les fabricants : les fraudes de codage sont légions.
Bien sûr !
Pendant la pandémie, j’avais trouvé des informations éclairantes sur ce qui se déroulait sous nos yeux dans ce document « Le phénomène des sectes » (surtout dans les annexes).
Extrait : « La pensée totalitaire permet ainsi de créer un climat propice à la mise en place des techniques de persuasion coercitive. Ces dernières permettent de modifier la personnalité de l’individu. Voici une brève explication de ces différentes techniques. »
https://infosecte.org/wp-content/uploads/Kropveld-M.-_-Pelland-M-A.-2003.-Le-phe%CC%81nome%CC%80ne-des-sectes.pdf
Les sectes, c’est sans doute « autre chose » car les sectaires ne pensent pas par eux-mêmes (en principe) ; ils ont renoncé…
Avec la Covid-19, nous avons vu « fleurir » des grands penseurs, et pas qu’à Marseille !
Pour moi, le confinement est révélateur d’un phénomène qu’on a appelé en psychologie sociale le « groupthink » (ou « pensée de groupe » en français).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pens%C3%A9e_de_groupe
Et ici, un schéma explicite :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pens%C3%A9e_de_groupe#/media/Fichier:Sch%C3%A9ma.pens%C3%A9e.de.groupe.Janis.1972.png
Que la plupart des gens soient tombés dans le piège, y compris des éminences grises, ou qu’on croyait telles, n’est pas non plus étonnant si on a quelque expérience de l’humanité. Je pense à la fameuse parole d’Einstein sur la bêtise humaine.
Et le pire, c’est qu’à titre individuel, on peut être plus intelligent que le groupe, mais qu’on n’a quasiment aucun pouvoir pour corriger les effets délétères de cette pensée de groupe.
Quelqu’un (je ne sais plus qui) avait dit en tout début de crise que chaque épidémie apportait son lot d’irrationnalité, et que celle-ci n’y ferait pas exception.
Merci beaucoup.
C’est intéressant !
A propos de « quelqu’un qui aurait dit que’, je vous rappelle l’exclamation très précoce (début 2020) du Dr de Lorgeril : « La Covid rend fou ! »
Lui et Bill Gates ont la main beaucoup plus longue qu’on peut le penser…Pourquoi tous les pays sous l’ONU (ou presque) ont confiné, couvre-feu, imposé des amendes très salées pour ceux qui n’écoutent pas ? Si les objectifs de Fauchi et Gates ne sont pas atteints, il y a des conséquences financières pour les gouvernants, hôpitaux , universités, chercheurs, etc., et ce même au delà des frontières des USA. Tel est leur pouvoir. Il ont mis ensemble un système de santé pour developper des médicaments et vaccins sous brevets , pour redonner des redevances aux compagnies pharmaceutiques, dont ils ont des intérêts financiers très importants……
Pas vraiment d’accord.
De nombreux pays (les pays scandinaves notamment et en particulier le Danemark) sous obédience Kapitaliste et qui auraient pu craindre des brimades ont su agir avec modération…
Mais ils n’avaient pas eu les « gilets jaunes » en 2018-2019, un mouvement qui a terrorisé les gouvernants !
La passivité de la population s’explique: la majorité n’étant pas qualifiée scientifiquement et ne disposant pas des données réelles sur cette pandémie, elle dépendant à 100 % des médias.
Or, ceux-ci n’ont pas joué le rôle du 4ème pouvoir: à partir de l’instant où le président décrète l’état de guerre, ils n’ont été que le relais de la propagande. Les dirigeants politiques ont donc pris le contrôle des médias. Tous ceux qui ont résisté ont été censuré ou décrédibilisés quels que soit leur réputation. Même un prix Nobel ne suffisait pas,
L’article parle de « peur du virus et de peur du gendarme ». Si les médias propageaient la peur du virus, la forte mobilisation policière et une capacité de repression bien rôdée dans les passé (gilets jaunes) explique la peur du gendarme. La France a été particulièrement repressive.
On résume:
– fin de l’état de droit avec un régime de guerre (fusion des 3 pouvoirs)
– contrôle absolu des médias et propagande continue
– censure stricte
– destructions des opposants
– répression policière des recalcitrants
– interdiction de manifester contre les mesures (car danger de contamination)
cela porte un nom: une dictature ! Difficile d’en sortir. Rappelons qu’aux Pays Bas, l’armée à tiré à balles réelles contre ceux qui manifestaient contre le confinement.
Merci.
Je partage votre vision d’autant plus que, en dehors de moi-même, j’ai connu de nombreux « résistants passifs »…
Merci beaucoup pour cette référence qui est de plus en plus citée. Il est vrai qu’il est plus facile de faire des analyses a postériori mais ce qui interpelle, précisement, c’est que l’expérience scientifique acquise lors épidémies précédentes n’a pas été utilisée. On a demandé aux professionels d’oublier les protocoles établis et la gestion est devenue purement politique et médiatique.
Les publications des PVs du Robert Koch Institute en Allemagne le démontrent: les recommandations des scientifiques étaient beaucoup plus modérées et ils disposaient des données brutes qu’ils ont pu analyser.
Ce sont des politiciens qui ont imposé de ces mesures sans aucune base scientifique et au mépris des recommendations de leurs autorités scientifiques.
La transmission entre asymptomatiques a, par exemple, été largement surestimée: il s’agissait souvent de patients avec des symptômes légers et qui prennaient un pyrétique pour pouvoir continuer à vivre normalement.
Un isolement des personnes symptomatiques ainsi que des personnes vulnérables offrait un bien meilleur rapport d’efficacité pour des dégâts bien moindre sur le société (les confinements ont aussi tué indirectement notamment avec l’arrêt de certains soins médicaux).
De plus, après 3 mois, le profil des personnes à risque de forme grave était connu. On savait que les plus jeunes ne risquaient pas grand chose. Les données d’autres pays ont révélé que les moins de 65 ans ne représentaient que 3 % des hospitalisations.
Par contre, en fermant les écoles et en confinant les jeunes, on a retardé l’apparition d’une l’immunité collective. Ainsi, au lieu de « lisser » les courbes de chaque vague, on faisait exploser les cas et donc le risque de contamination des personnes vulnérables. Sans compter que l’isolement et son effet anxiogène (stress, manque de sommeil) sont des ennemis de notre système immunitaire.
Mais, comme vous l’indiquez, les politiciens font rarement leur auto-critique. Par contre, ce qui diffère aujourd’hui, c’est que la publication de ces documents officiels ouvrent la voie à des actions juridiques.
Par exemple, la discrimination calomnieuse des personnes non-vaccinées traités de criminels ne pouvait se justifier que si les autorités ne savaient pas que ce vaccin n’avait aucune utilité sur la transmission de la maladie. Le fait que des documents officiels mentionnent qu’ils étaient informés et ont, au mépris des faits, décidé la mise en place de passeports vaccinaux relève du droit et non plus de la science.
Merci de votre analyse.
Je ne suis pas sûr que les gouvernants aient compris rapidement que les vaccins ne servaient à rien et que leur efficacité proclamée résultait d’un simulacre de science.
Aujourd’hui encore nos sommités francophones et anglophones n’ont pas encore admis l’évidence !
Les gouvernements allemands et suisses étaient oficiellement informés sur l’inefficacité des vaccins contre la transmission dès le 4.8.2021. C’est écrit noir sur blanc dans leurs PV.
Car, après l’Allemagne, un journal confirme que la situation était la même en Suisse. L’intégralité des PV a été publiée et analysée:
https://www.limpertinentmedia.com/post/voici-ce-que-r%C3%A9v%C3%A8lent-les-covid-files-suisses
4.8.2021: « Nouvelles données en provenance des États-Unis et conséquences potentielles pour le certificat Covid: Les nouvelles données en provenance des États-Unis, selon lesquelles les personnes vaccinées sont également contagieuses en cas d’infection. Dans ce cas, elles sont aussi contagieuses que les personnes non vaccinées »
Un mois plus tard, la non efficacité contre la maladie était confirmée dans The Lancet. De plus, le nombre de percées vaccinées était suivi quotidiennement connu (vacciné et positif/malade).
En septembre, plus un seul gouvernement européen ne pouvait l’ignorer tant il y avait de cas. Ce qui n’a pas empêché Macron de déclarer qu’il voulait emm.. les non-vaccinés. Les effets secondaires graves étaient aussi connus et il était recommandé de rester discret là dessus.
Plus loin, il est écrit: « le 29 septembre 2021, le procès-verbal révèle la crainte de la Task Force que l’obligation de certificat entraîne plus (et non moins) d’hospitalisations. Elle prévoit que les personnes vaccinées contamineront désormais davantage de personnes non vaccinées dans les restaurants, les cinémas et les grandes manifestations, puisque les distances et l’obligation de porter un masque ne s’y appliquent plus. »
En France, le pass vaccinal est entré en vigueur en janvier 2022: on savait alors qu’il entraînerait plus de cas et de décès qu’une obligation de tests.
Tout cela n’est désormais plus du domaine scientifique, médical ou politique mais de la justice !
Je ne suis pas sûr que l’Impertinent soit mon journal (ou source d’information) de référence.
Cela dit, que quelqu’un dise quelque chose ne veut pas dire que les gouvernants (et leurs valets de pied) le comprennent.
En toute humilité, dès Mars 2021 (dans le sublime opus « Les vaccins à l’ère de la Covid-19 »), j’expliquais déjà que ces vaccins n’avaient pas été analysés correctement et que c’était probablement intentionnel ; et donc la traduction de la compréhension par les investigateurs eux-mêmes (les ingénieurs de l’industrie) que leurs « machins » étaient de la merde ! Dit poliment !
Mars 2021 ! Écrit donc à la fin de l’année 2020 et au début de l’année 2021. Joyeux Noël !!
Que pouvaient faire les gouvernants et l’OMS ?
Je crois que je me suis mal exprimé: les textes choisis ne proviennent pas de l’Impertinent mais des autorités elles-mêmes ! Le journal a obligé l’OFSP a publier ses PVs sur son site…
Ce que vous avez exprimé avant tout le monde était correct. Mais vous êtes un spécialiste du domaine et plutôt brillant. D’autres médecins ont aussi exprimé leurs doutes début 2021.
Mais ce que ces PVs révèlent aussi, c’est qu’il fallait gérer la communication pour éviter une hésitation vaccinale…. donc faire taire les médecins comme vous notamment en ne leur donnant pas la parole dans les médias !
Si je résume le propos de ces PVs, ça donne: « Zut, le vaccin ne fonctionne pas, qu’est-ce qu’on fait ? Réponse du reponsable politique: alors rendons le obligatoire ». Un passage concernant l’extension de la vaccination aux enfants est particulièrement choquant.
Pourquoi ? Parce que déjà à l’époque, les autorités de chaque pays ont perdu le pouvoir. Les USA donnaient les ton et l’UE relayait les consignes aux divers Etats. Même la Suisse n’y a pas échappé pour des raisons évidentes.
Le confinement, c’est la recommandation du Dr Fauchi, en l’absence de médicaments pour traiter la COVID-19 (selon lui). Pour autoriser un vaccin expérimental en urgence sanitaire, il y a une obligation: aucun autre traitement n’est possible. Ensuite, son médicament miraculeux Remdesivir, très toxique et inefficace. Tout ça est de la faute de Fauchi, il à totalement échoué à la tête de la NIAD pendant tout près de 40 ans, avec une idée fixe sur le Sida et le VIH. Ensuite, la COVID-19…possiblement un fuite de laboratoire, suite à des expériences de gains de fonction, financé par Fauchi ! Gérer un budget de plus de 8 milliards de dollars et distribuer à son gré tout cet argent lui ont donné un pouvoir et une influence ultime. Un fiasco pour la science.
Vous voulez parler de Anthony Fauci.
Il a en effet de grandes responsabilités concernant le financement des labos qui ont fabriqué le virus Covi-19.
Pour le reste – décision de confinement, fatalisme des populations, obligation vaccinale – vous lui attribuer des pouvoirs qu’il n’avait pas? Ce faisant, vous disculper les vrais responsables des confinements et des obligations.
Quant à la passivité de populations (bien décrite par les collègues du CNRS et fait crucial pour l’avenir), nous n’avons à n’en prendre qu’à nous-mêmes !
C’est la première fois que je vois un article dans une publication québécoise grand public et crédible, ouvrant sur les tentatives de cacher la participation des États-Unis à la recherche sur le gain de fonction qui aurait pu donner lieu à la fuite de labo du virus de la Covid. Avec en prime, une dénonciation de ce que Fauci aurait dit de « faux ».
Les trois derniers paragraphes sont particulièrement intéressants.
Faux croire que le proverbial chat commence à pointer son museau hors du sac…
Oups, j’avais oublié d’inclure le lien; désolé.
https://lactualite.com/monde/etats-unis/les-etats-unis-financent-ils-la-prochaine-pandemie/
Que l’origine du virus ne soit pas « naturelle » est désormais évidente. Vous lirez le raisonnement et les données acquises dans mon prochain livre ; en librairie fin Août j’espère.