L’écologie par temps de canicule
Chacun l’aura noté : il fait chaud !
Quelques crétins dans les médias – à la suite du clown de Washington – prétendent que « pas du tout », il ne fait pas plus chaud qu’autrefois, il n’y a rien de nouveau !
Continuez comme de coutume, mes chers frères, surtout ne rien changer ; mieux, il faut accélérer !
Creusez, creusez, disent-ils, aux USA ; ne pas manquer une goutte de pétrole !
Fait-on mieux chez nous ?
Pas vraiment, on revient plus ou moins (à Bruxelles comme à Paris, Londres ou Rome et Berlin) sur toutes les formes de règlementation qui permettaient de ralentir la rapacité humaine.
Les riches s’en foutent, ils sont climatisés et,encore mieux, quand il fait chaud quelque part, ils vont se distraire là où il fait plus frais et quand il fait froid, ils vont se distraire là où il fait moins frais ou plus chaud…
En avion, de préférence ; c’est bon marché, ces temps-ci !
Bref, tel est l’état des lieux !
Depuis longtemps, je suis plus préoccupé – c’est un point de vue personnel – par l’effondrement de la biodiversité et encore plus par l’invasion de la chimie toxique (et il n’y a pas que les perturbateurs endocriniens…) dans notre quotidien que par le réchauffement climatique (quoique ça aille de pair, comme disent les savants).
Sans doute parce que pour un médecin qui fait face à des malades qui appellent au secours, la question de la pollution biochimique de notre environnement est au premier plan.
Mais cette prépondérance de l’économie et du business – il y a des guerres à conduire, il faut relancer les usines d’armement – sur la santé des populations n’est pas nouvelle et ne concerne pas que l’écologie primaire.
Des millions (rien qu’en France) de pauvres bougres sont systématiquement intoxiqués avec des médicaments prétendument miraculeux : les uns pour abaisser leur cholestérol, les autres pour abaisser leur pression artérielle, et encore d’autres pour diminuer leur glucose sanguin ; et j’en passe…
On pourrait se passer de ces médicaments ; mais surtout, contrairement aux proclamations des experts/complices de l’industrie et des gouvernants (la main dans la main), ces médicaments (sauf très rares exceptions) ne sauvent pas des vies. Pire, ils altèrent la qualité de vie !
Et ainsi l’Assurance-Maladie est en déficit. Etonnez-vous !
Chaque année, des centaines de milliers de bébés (rien qu’en France) se font injecter des substances inutiles (parfois toxiques) qu’on appelle des vaccins alors que la démonstration scientifique de l’utilité de ces produits est loin d’être acquise.
Jusqu’à avoir confisqué l’histoire de ces maladies et des vaccins correspondants pour faire croire des balivernes. Les académiciens et les docteurs en Sorbonne, plus nuls et acculturés que jamais s’en donnent à cœur joie dans une désinformation putride ; tout en accusant les hésitants et autres sceptiques de « complotistes ».
Une bande de rigolos vaccinalistes de toujours à Marseille et à Paris (avec des leaders charismatiques dont l’Ego n’égale que la nullité ) participent au carnage en se prétendant plus intelligents que tous les autres. Jamais les vrais scientifiques indépendants (du secteur vaccinal) n’ont été aussi mal traités ; dans l’indifférence de leurs collègues des autres secteurs.
Et ainsi l’Assurance-Maladie est en déficit. Etonnez-vous !
Aux USA, les controverses entre les corrompus de l’avant-Trump (qui ne veulent pas lâcher leur proie) et les idiots de l’après-Trump (guidés par Kennedy) prennent une amplitude inouïe du fait de l’absence de méthodologie scientifique dans les deux camps.
L’article (misérable de nullité) est paru dans la revue « Conversation » qui, à ma connaissance, publie beaucoup d’idioties malgré sa prétention à l’expertise universitaire comme ils disent.
Sur la photo, c’est le malheureux Kennedy qui à mon avis est en train de se noyer dans la mare aux crocodiles !.
Le « physician » qui écrit l’article est un certain Jake Scott qui se dit « Clinical Associate Professor of Infectious Diseases« , Oups ! Je ne retiens rien de son jeune CV.
Je note que sous la photo, les éditeurs font appel à des « Public health experts » qui à mon avis sont des coreligionnaires des experts vaccinalistes de l’avant-Trump
Tout cet imbroglio est la triste confirmation que la médecine des vaccins n’est définitivement pas (avant et après Trump) scientifique (chez eux comme chez nous) permettant des disputes qui n’ont pas lieu d’être si les idiots des deux camps avaient un peu travaillé après avoir compris (ça prend plus que deux minutes) la médecine scientifique.
Vous n’êtes pas contents, vous les français ?
Peu importe, les députés que vous avez élus vont augmenter vos impôts pour calmer le déficit de l’Assurance-Maladie.
On vous dit que c’est pour votre bien et que votre espérance de vie n’a jamais été aussi bonne…
Vous avez les chiffres ?
Je l’ai dit et écrit maintes fois, il n’y a pas qu’aux USA que l’espérance de vie régresse ; et cette vilaine (l’espérance de vie) n’avait pas attendu la COVID-19 pour nous trahir.
Contrairement aux imbéciles qui discutent des retraites (comme si c’était une priorité civilisationnelle) et aux statisticiens « officiels », la santé des populations n’est pas bonne, y compris en France ; et c’est évident pour toutes les générations, sauf les centenaires. Tout le monde le sait – c’est évident dans notre vie quotidienne : les cabinets médicaux et les hôpitaux sont assaillis comme jamais – mais il est interdit de le dire !
Ce qui sauve temporairement les Européens (et les français), c’est un système de soins presque gratuits, et donc dispendieux, gaspilleur et inflationniste.
Et ainsi l’Assurance-Maladie est en déficit. Etonnez-vous !
Les riches ne vont pas tolérer longtemps ces gaspillages et une fois nos labeurs citoyens accomplis (le paysan, l’ouvrier, le soldat bientôt comme en Ukraine), notre santé et notre repos ne seront plus que des contingences.
Alors, vacciner les bébés, quelle importance ? Du moment que le business vaccinal prolifère…
Le harcèlement fiscal et social que nous subissons s’explique fort bien et n’a rien à voir avec les prétendus excès du citoyen lambda.
Depuis quelque 30 ans, très exactement depuis le retour de la droite au pouvoir en 1993 (et avec une accélération jamais ralentie depuis 2002), la magouille politicarde se gargarise des « prestations sociales » dont les pauvres se saturent pendant que les grandes entreprises triment pour nourrir les assistés.
Du poudro-pomponné Balladur au sarko-juvénile Macron, en passant par les consternifiants Raffarin, Hollande ou Castex, pour ne citer que ces pépiteux de la tartufferie, tous les squatters de l’exécutif n’ont eu de cesse, avec la complicité éhontée d’une presse corrompue à l’os, d’astiquer cette ritournelle implacable : la France est en faillite par la faute exclusive des pauvres (et des étrangers) qui se gavent.
Ce fatras de sornettes débitées à longueur de lustres sans que la moindre gauche ne fasse sérieusement exploser l’imposture, ont permis (outre la liquidation déjà évoquée du pays au profit de la finance mondiale réactionnaire et de l’Amérique prédatrice) de mettre en place au sein de l’Etat le plus injuste des impôts et la plus scandaleuse des dépenses.
L’impôt le plus injuste est connu et s’appelle CSG, laquelle frappe le plus durement les plus modestes avec à la clef une ponction en 2023 de plus de 144 milliards d’euros (devant la TVA pour quelque 100 milliards et l’IR pour environ 87 milliards)
La dépense la plus scandaleuse se situe à l’exacte inverse sous la forme des aides « balancées » aux plus riches et plus grandes entreprises : songez que ces aides, dispensées sous le délirant (et crapuleux) prétexte de prétendue « compétitivité » représentent en toute simplicité plus de 150 milliards (voir rapport « Un capitalisme sous perfusion » page 175) dans le même temps où leur« l’efficacité » se résume à une vaste fumisterie.
Evidemment pour le grand patronat qui manipule nos dirigeants chaque jour un peu plus bêtas l’avantage est double : tout euro versé au pot des multinationales aggrave le déficit public (plus de 150 milliards) et justifie du même coup une hausse de la pression sur les plus faibles sous la forme d’une hausse des prélèvements ou d’une baisse des prestations sociales …
Un coup d’œil rétrospectif dirait que depuis plus de 20 ans le grand patronat saigne la nation en prélevant (avec la complicité des dirigeants) peu ou prou l’équivalent du déficit budgétaire qu’il appartient ensuite au quidam de payer …
https://www.blast-info.fr/articles/2024/60-milliards-de-dette-pour-les-francais-la-grande-arnaque-continue-avec-bayrou-vgS530cWRNy34ZWwMOySjw
https://france.attac.org/nos-publications/notes-et-rapports/article/note-qui-veut-gagner-des-milliards-en-finir-avec-les-niches-fiscales-injustes
https://analyses-propositions.cgt.fr/aides-publiques-aux-entreprises-le-rapport