Version 2024 de « L’introduction générale à la Médecine des vaccins »
La version précédente de ce livre majeur pour comprendre la médecine des vaccins a été publiée en 2018 (écrit en 2017).
Les éditions Dangles ont décidé d’en publier une version 2024.
Toute personne qui se questionne sur la médecine des vaccins doit connaître le contenu de ce livre.
Ce n’est pas de la publicité pour ma chapelle [j’ai passé l’âge de ces petites combines…] ; mais avoir digéré ces bases de la vaccination permet d’éviter de dire des bêtises ou de se bercer d’illusions ; ce dont se rendent coupables maints innocents commentateurs de tous les bords.
Cette version 2024 est plus lisible (gabarit plus large) et légèrement modifiée avec notamment un Préambule 2024 (post-Covid) qui, pour la première fois dans l’édition donne une interprétation réaliste (scientifique) de l’épopée de la vaccination antiCovid.
C’est important car on aperçoit de façon flagrante que ce qui s’est passé avec les vaccins antiCovid entre 2020 et 2023 (un simulacre de médecine scientifique) était prévisible. En fait, ils ont reproduit des malfaçons (des méfaits) antérieures.
Dès 2017-2018, en analysant rapidement l’histoire de la médecine des vaccins, cette « Introduction » annonçait ce qui allait arriver avec les vaccins antiCovid.
Certains diront : « C’était écrit ! »
On peut aussi dire qu’en analysant la brève histoire des vaccins antiCovid, on comprend soudain toute l’Histoire de la médecine des vaccins depuis environ 1950. Ils ont procédé AVANT (pendant environ 70 ans) comme ils ont procédé AVEC les vaccins antiCovid.
En comprenant la vaccination antiCovid, on comprend l’histoire de la médecine des vaccins.
Inversement, si on a compris la médecine des vaccins depuis 70 ans, on comprend mieux la vaccination antiCovid !
Disons-le sans ambages ni faux-semblant, depuis 75 ans, les uns se bercent d’illusions et les autres s’abreuvent de mensonges !
Quand serons-nous capables d’arrêter ce convoi funeste ?
Peut-être en faisant écouter un duo ?
Celui-là par exemple ?
Bonjour,
qu’en est-il des vaccins pour chien, en l’occurrence l’antirabique qui contient des adjuvants tel que l’aluminium et que les vétérinaires poussent à faire tous les ans, alors que certains, dont le Rabisin, a une notice qui indique qu’une vaccination tous les 3 ans est suffisante ?
Faut-il aussi souvent vacciner nos chiens alors que certains ont fait des recherches démontrant qu’une vaccination pouvait être efficace jusqu’à au moins 5 ans, voir plus pour certains vaccins ?
Comment se situe la balance bénéfice / risque ?
Que risquent-ils à être vacciné si régulièrement aussi bien contre la rage que d’autres maladies ?
N’est-il pas gênant qu’ils soient toujours vacciné au même endroit, le plus souvent vers la nuque ? Cela ne fait-il pas s’accumuler les adjuvants dans le même muscle engendrant une concentration néfaste ?
Avez-vous des livres de référence en la matière à défaut d’éventuellement pouvoir répondre, svp ?
Merci d’avance.
Désolé, j’ignore la médecine vétérinaire ; je ne peux pas vous aider !
Merci de vous être donné la peine de me répondre en tout cas.
Le concept de votre site est super bien et je compte acheter quelques uns de vos livres dans les prochains jours avec un de ceux du Dr Raoult sur l’obligation vaccinale des 11 vaccins dont il fait l’annalyse qui je pense viendra complété mes lectures de vos livres.
Bien cordialement.
Raoult a approuvé (encouragé) les obligations vaccinales démontrant ainsi sa totale incompréhension de la médecine scientifique ; sans apercevoir que la médecine des vaccins n’est pas scientifique…
Désolant !
Vous caricaturez : les techniques permettant la fabrication des vaccins ARN messagers étaient probablement « au point » et on avait beaucoup travaillé sur les coronavirus que l’on connaissait très bien.
Ce sont des faits indiscutables.
Tout était donc prêt pour une « action industrielle » ; mais la pandémie est un accident technologique qui n’a probablement pas été intentionnellement provoquée… Du calme !
Les « soins precoces » ???
On en est encore la ???
Je ne comprends pas votre question.
Assez d’accord avec vous sur ce point: difficile de juger d’une intention.
Ce qui me dérange, c’est que cet accident résulte de mauvaises pratiques qui n’ont pas été sanctionnées. Il n’y a aucune leçon tirée d’un possible incident de cette nature, rien ne figure dans les rapports de l’OMS et rien n’est prévu dans les futurs traités. Le PDG de Moderna n’a pas été questionné sur ses activités passées pour monter des labos de ce type dont celui de Wuhan.
De nouvelles expériences de ce type ont donc repris dans divers labos dans le monde.
Si vous roulez à 120 km heure dans un village avec 3 pour mille dans le sang et que vous tuez quelqu’un. Ce n’est pas intentionnel …
Et si aucun radar n’est installé ni aucun contrôle effectué malgré plusieurs accidents …
Quand les intérêt économiques ou politiques sont d’un tel ordre de grandeur, où commence l’intention ?
La vaccination Covid des enfants/nourrissons, les pass sanitaires, etc. Tout cela n’est pas sorti par hasard. Tout comme les profits gigantesques de certains actionnaires.
Il y a donc matière à une enquête plus approfondie qui n’aura jamais lieu.
Une enquête qui n’aura jamais lieu…
Et on se moque de Poutine…
C’est en effet très suspect…
Comme je le raconte aux abonnés de mes deux vidéos hebdomadaires (site suisse : https://secure.tsapublications.com/tsaemdl/order-form/index.html), les autorités sanitaires sont directement impliquées dans la manipulation des données de vaccination. L’EMA est au service de l’industrie et des gouvernants. Aucune illusion à se faire !
Un débat, parfois houleux mais de bonne tenue, entre les professeurs Steve Pascolo et Martin Zizi, qui intéressera (passionnera ?) les amateurs de biologie moléculaire et de technologie ARNm :
https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/l-arnm-et-les-vaccins-au-coeur-d-un-debat-essentiel-entre-pr-steve
2h36, ce n’est pas trop long pour un tel sujet.
Au programme : « … cinq problématiques liées à cette technologie : la dose de l’antigène produite, la biodistribution de l’antigène, la pharmacocinétique, la fidélité de traduction des ARNm et la suppression temporaire de l’immunité innée chez les personnes vaccinées, ce dernier point n’ayant pas été abordé pour des questions de temps. Ces cinq points avaient déjà été soulevés dans une vidéo par le Pr Martin Zizi. »
Tous ces points sont importants et mériteraient mieux qu’un débat chez France-Soir…
Il y a une suite sur le compte Twitter de Martin Zizi qui cite trois etudes confirmant sa position.
Franchement, c’est de TRES mauvaise qualité. J’ai tenu 30 minutes puis j’ai sauté de quart d’heure en quart pour constater que c’était pareil. C’est une démonstration qu’un débat public sur un sujet scientifique pointu est impossible. Vous avez deux personnes butées qui se contredisent en sortant à peu près n’importe quoi et aucun facilitateur capable de jouer l’arbitre.
Le gaillard qui bosse avec BioNTech est bien formatté et croit en ce qu’il dit sans se poser de questions. Il semble d’une intelligence assez moyenne car s’il en avait un peu plus, il réaliserait certaines de ses énormités.
Par exemple, il commence à justifier la démarche de l’ARNm en affirmant que l’on vaccine déjà depuis un siècle avec de l’ARNm car le vaccin de la fièvre jaune est un virus ARN désactivé donc c’est pareil. Mais le débat ensuite est noyé sur « vivant/pas vivant/adjuvant/pas adjuvant.
Aucune question pertinente pour démonter scientifiquement quelles sont les différences.
Il affirme aussi que les vaccins ARNm contre les cancer fonctionnent car ils induisent une réponse immunitaire mais que le problème est que l’immunité induite est rapidement contournée par la tumeur (mutations) et que la réponse immunitaire est de trop courte durée ! Sans blague, ça vous rappelle rien concernant le SARS-Cov2 ?
Et comment on mesure l’efficactité d’un vaccin ARNm ? Réponse de l’expert: « Taux de lymphocytes T ». C’est marrant car l’efficacité des vaccins ARNm dans les essais cliniques ne concerne que que l’immunité humorale, rien sur l’immunité cellulaire.
Sur le sujet des impuretés ADN dans le processus de fabrication, il répond que ça existe pour tous les produits et vaccins. Donc rien de nouveau dans le processus de production des vaccins ARNm. Au passage, il affirme que ce sont les labos qui fixent les limites selon les résultats des essais cliniques.
Et personne n’est fichu de contrer avec une question du genre: « oui mais c’est la première fois que l’on utilise cela en conjonction avec des nano-particules qui vont amener ces résidus directement dans les cellules ».
Bref, très frustrant !
Le vaccin contre la fièvre jaune est à virus vivant atténué. Le Pr Pascolo a pris cet exemple parce que : 1) le virus utilise son ARN en quantité et durée inconnues 2) le vaccin est sûr 3) personne ne s’était jamais préoccupé de ces questions jusqu’au vaccin ARNm anti-covid. 4) le vaccin à ARNm est plus sûr que ceux à virus vivant atténué, car on n’a pas toutes les protéines du virus, dont beaucoup sont toxiques.
En résumé : l’industrie vend un produit nouveau dont elle ne connaît pas grand-chose, sur la base de similitudes avec des produits précédents, que de toute façon on ne connaît pas bien non plus. Mais tout ceci n’est pas grave, car les vieux produits ont fait leur preuve, et les nouveaux n’ont plus les défauts des précédents.
NB : le Pr Pascolo a été le premier homme à s’injecter de l’ARNm (luminescent) pour montrer son innocuité.
Je ne sais pas si vous reprenez fidèlement les propos du Professeur pour nous expliquer ou si vous croyez à ce que vous dites.
Je me permets (pour tous les visiteurs) de donner deux informations :
1) le vaccin contre la fièvre jaune est un des plus toxiques connus et utilisés. Pour des références et explications, je vous renvoie au sublime livre du non moins sublime Dr de Lorgeril : « Les vaccins des voyageurs » numéro 9 de la « Collection Vaccins & Société« , livre que tout un chacun devrait consulter avant de voyager…J’attends encore (j’attendrai longtemps) qu’un professeur de quelque chose vienne se comparer… Oups !
2) les nouveaux produits n’ont pas les défauts des vieux produits ; mais ils ont (au moins la grande majorité ) des défauts majeurs notamment de ne pas avoir fait la preuve de leur efficacité clinique… Oups ! A quoi servent-ils ?
Ce sont les propos du Pr Pascolo, en tout cas tels que je les ai compris. Qu’est-ce qui est toxique dans ce vaccin ?les protéines, ou autre chose, ou même le virus entier ? L’ARN n’étant toxique que parce qu’il permet au virus de se dupliquer (il a aussi un pouvoir immunogène, selon Pascolo, mais cela ne semblait pas très important à ses yeux).
Pour l’efficacité, Pascolo s’en remet aux 95% de Pfizer (bon, il travaille pour BioNTech). Quand Corinne Reverbel le reprend en lui disant qu’aucune étude randomisée n’a démontré l’efficacité de ce vaccin, il répond qu’elle plaisante.
Ce charmant Steve Pascolo est « peut-être » immunologiste mais il ne comprend rien aux sciences médicales. Il ne donne pas envie…
@Etienne,
Il n’y a pas « de » l’ARN mais « des » ARNs (vous savez comme moi qu’il existe au moins 3 types).
Le vaccin est un ARN messager modifié. C’est un mix, du bricolage où on utilise la pseudo-uridine qui existe dans certains ARN non codant mais pour créer un pseudo ARN messager.
Résultat: la lecture par les ribosomes produit parfois de la m….
De plus, il faut recourir à divers subterfuges supplémentaire pour augmenter sa durée de vie et la quantité de protéine produite. Enfin, la protéine diffère de celle du virus car sinon elle se replierait sur elle-même sans provoquer la réponse immunitaire souhaitée: elle est donc modifiée pour ressembler à l’état de préfusion et exposer ainsi certains épitopes.
Et tout ce petit bazar est fait en quelques mois, à peine testé (opération Wharp Speed oblige) et « tout va bien se passer ». En tout cas, rien à voir avec l’ARN du virus original.
Quand aux virus à ARN, si une cellule est infectée par un virus pour se reproduire, elles sera généralement détruite par le système immunitaire (exception faite de certains type de virus dont le VIH).
Merci, j’avais compris la démonstration que ce clown essayait de faire. Ce qui est frustrant, c’est que le Pr. Zizi n’a pas été capable de le contrer avec des questions et des argumentations crédibles. C’est parti en débat digne des pires politiciens où on s’accuse mutellement d’être idiot, rien à voir avec un débat scientifique.
Ce Pr. Pascolo raconte aussi aussi lors des présentations qu’il s’est injecté de l’ARNm mon montrer sont innocuité. Oui, et alors, lequel ? modifié comment ? quelle protéine ?
Par contre, ça m’a plutôt démontré que cet ARNm était fortement toxique: virus du l’arrogance et abandon de la démarche scientifique pour passer à l’évangélisme commercial (où comment vendre des produits médiocres à des scientifiques médiocres).
Hélas !
C’est un parmi d’autres.
Et comme les businessmen tiennent les politiques dans le creux de leurs mains, nous avons ce que nous méritons…
Cela dit, si le (ou la) moindre politique (ou futur politique) élève un peu la voix, il est immédiatement reclus dans la case « complotiste irresponsable ».
Voyez ces valeureux étudiants de Science-Po qui ont osé élever la voix contre Israël et son armée : immédiatement taxés d’antisémites…
Ils s’en remettront nos petits bourgeois de Science-Po mais ça me rappelle fortement une autre époque, quelque chose comme Mars-Avril 1968…
Voyons la suite…
NB : le Pr Zizi est sympa mais visiblement il vogue un peu au-dessus de ses moyens…
Quelle protéine ? La luciférase. Il a donc fait exprimer par ses cellules une protéine de mouche (la luciole). D’après lui (lu sur son compte Twitter), aucun effet négatif sur sa santé depuis 20 ans.
Bon…
Laissons ce businessman pénible à ces jouets…
Comme disait Brassens dans la chanson, « moi qui ne suit pas Capitaine »…
J’ai un doctorat mais pas dans le domaine de ces deux rigolos. ça ne m’empêche pas de m’être fait une opinion sur ces vaccins Covid ARNm:
– un vaccin est une mauvaise réponse à un virus qui mute aussi rapidement et dont même la maladie est peu immunogène.
– le choix de l’antigène est mauvais car il provoque une réponse immunitaire trop ciblée donc qui échappera d’autant plus vite à un variant.
– le choix de l’antigène est mauvais car la protéine choisie est probablement la partie la plus toxique du virus et provoque de nombreux effets indésirables.
– le choix d’une injection intramusculaire n’est pas bon mais n’a été dicté que par l’impératif de la capacité de vacciner un maximum de personnes en un minimum de temps.
– la technologie ARNm n’était pas meilleure que les autres.
– la technologie ARNm est mal maîtrisée en terme de biodistribution, de quantité/durée d’antigène et de traduction de l’ARNm en protéine.
– le mode de production du vaccin ARNm ne convient pas à une encapsulation dans des nano-particules lipidiques.
Pas besoin de débat, j’ai lu une bonne dizaine d’études bien faites sur chaque point mentionné ci-dessus.
« Pas besoin de débat «
Voila une maxime a graver dans le marbre !
Il faut toujours débattre !
Personne n’est parfait.
On progresse (et on se corrige) en se confrontant à des avis opposés. Processus basique de la démarche scientifique !
Certes, Steve Pascolo, immunologue et cofondateur du laboratoire Curevac [Wikipedia : « CureVac est une société biopharmaceutique dont le siège social est à Tübingen, en Allemagne. Elle développe des thérapies utilisant l’ARN messager (ARNm). L’entreprise se concentre sur le développement de vaccins pour les maladies infectieuses, et de médicaments pour traiter le cancer et les maladies rares »] est un businessman qui ne donne pas envie…
D’accord avec vous: un débat scientifique. Mais pas politique ou de vendeur de tapis !
Oui, il aurait fallu des débats, des discussions des controverses
– au lieu de cela on a eu des anathèmes et un tres grand silence des tenant de la doctrine, qui ne veulent surtout pas que l’on discute ce qu’ils appellent ( c’est un comble ) le consensus.
Donc bravo et merci aux deux participants qui ont pour une fois réussi a se parler
Puisque vous en êtets à la réédition de votre série sur les vaccins, je me permets de vous faire observer qu’il me semble y avoir une légère imprécision dans le volume 3 page 23 : vous dites » la moyenne calculée correspond à la courbe pointillée » en dessous du graphique. Cette courbe ne me semble pas être une moyenne au sens statistique du terme . Peut-être faudrait-il améliorer la formulation pour une prochaine édition ?
Merci de cette remarque intelligente ; mais c’est trop tard : la réédition du Numéro 3 est en librairie.
Cela dit, sur le graphique ce n’est pas une moyenne au sens statistique mais c’est un « moyennage » calculé…
Pour le lecteur lambda, c’est un peu la même chose.
Le 1 et le 3 sont en librairie, mais le 2 ? Je n’en vois pas de trace.
Exact !
Ils ont commencé par ceux qui manquaient dans les réserves. Je suppose…
Je ne supporte pas de voir des musiciens masqués. Mais ça ne m’a pas empêché d’écouter cet air chanté par deux magnifiques artistes.
Décret n° 2020-1662 du 22 décembre 2020 portant modification du code de déontologie des médecins et relatif à leur communication professionnelle
Art. R. 4127-19-1.-
« II.-Le médecin peut également, par tout moyen, y compris sur un site internet, communiquer au public ou à des professionnels de santé, à des fins éducatives ou sanitaires, des informations scientifiquement étayées sur des questions relatives à sa discipline ou à des enjeux de santé publique. Il formule ces informations avec prudence et mesure, en respectant les obligations déontologiques, et se garde de présenter comme des données acquises des hypothèses non encore confirmées.
« III.-Les communications mentionnées au présent article tiennent compte des recommandations émises par le conseil national de l’ordre.
Fait le 22 décembre 2020.
Jean Castex
Par le Premier ministre
Merci, beaucoup pour ce travail titanesque ! Je cours l’acheter.
Ah mais, pour compléter cet ouvrage qui s’annonce fort intéressant, LA NOUVELLE DU JOUR, que vous aurez sans doute lue dans la-presse-qui-ne-dit-que-la-vérité-sans-jamais-mentir.
Le cas de ce surhomme allemand qui a été vacciné 217 fois contre le COVID.
1re chose extraordinaire : il a survécu aux 217 vaccinations !
2e chose extraordinaire : il n’a au aucun effet secondaire ni aucun symptôme d’aucune sorte (pas un seul début de myocardite. Pas de douleurs aux points d’injection. Pas de début de surdité. Pas de fatigue, rien, nada !)
Comme quoi, les effets secondaires, c’est que dans la tête, hein ? Et nos journalistes sont fantastiques. Ils nous permettent de connaître la vérité vraie (contrairement aux complotistes qui n’ont de cesse de tout critiquer, les vilains !)
https://www.lefigaro.fr/international/covid-a9-l-homme-le-plus-vaccine-de-l-histoire-a-recu-217-doses-de-vaccin-20240306
Poubelle direct !
Et ces crétins se moquent du Grand Savont de Marseille…
Lui il a une excuse, il est à Marseille où l’on sait que les « sardines bouchent le port » ; ce sont eux qui le disent !
Le problème, c’est que la presse a largement repris l’info dans un but de propagande pour faire taire les problèmes d’effets secondaires. Et la population y croit.
Il faudrait démonter cette supercherie car il y des limites à ne pas dépasser: il faudrait qu’un collectif écrive au Lancet.
Ce type est un trafiquant de passeports Covid19. Il les revendait donc impossible de savoir réellement si c’est lui ou d’autres personnes qu’il rémunérait ensuite pour obtenir les passeports.
D’un point de vue scientifique, cet escroc s’est fait vacciner 2 fois par jour de janvier à mars 2021. La dose standard pour Pfizer est 30 μg et 50 μg pour Moderna.
Dans les essais cliniques, Pfizer n’a jamais dépassé 2×100 μg (avec 1 mois entre les doses): « Based on previous clinical and nonclinical experience, it was expected that doses of up to 100 μg would be well tolerated ». Au delà, les tests in-vivo (animal) commençaient à être toxiques.
Or, ce type a cumulé 400 μg par semaine durant 12 semaines consécutives soit 4800 μg ! De plus il aurait déjà abusé des vaccins avant et après mais à une fréquence moindre.
Difficile d’imaginer la quantité de protéine S produite mais ça doit valoir la pire des formes graves Covid19 jamais vue. La réaction immunitaire doit, à minima, vous aliter pour quelques jours.
Alors, je ne crois pas une seconde à ces absurdités et je comprends pas que le Lancet puisse cautionner sans mettre au moins un avertissement.
Pardon, « cet escroc s’est fait vacciner 2 fois par jour de janvier à mars 2022 »
A ce niveau, ce n’est plus un vaccin, mais une thérapie. Le risque est alors d’abîmer les membranes cellulaires, une des raisons pour lesquelles on ne l’utilise pas pour ce à quoi elle était initialement destinée : remplacer des protéines défectueuses.