Vaccin connection… et anticholestérol : le monde est petit !
Parfois, il ne faut pas chercher longtemps pour trouver de quoi s’instruire et comprendre comment fonctionnent certains petits mondes, expression subtile extraite d’un fameux roman décrivant le monde universitaire.
Ci-dessous un morceau d’anthologie adressée aux médecins qui auraient tendance à se poser des questions et à essayer de répondre aux questions de leurs patients.
C’est une capture sans trucage. Tout y est, si on peut dire, et si vous aviez des doutes.
Le jeudis de la formation, donc, nous disent ce qu‘il faut faire à propos de la vaccination des enfants.
Ils nous disent aussi (en haut à droite) que nos formateurs diplômés sont connectés directement à l’industrie des médicaments et, en l’occurrence, à l’industrie de l’immunothérapie puisque les anti-PCSK9 sont des anticorps monoclonaux et que AMGEN est une compagnie qui commercialise un médicament anticholestérol à base d’anticorps monoclonaux. Vous savez ce que j’en pense !
Nous sommes donc dans le « petit monde » prolifique de l’immunothérapie : d’un côté l’immunothérapie curative (les anticorps monoclonaux), et de l’autre l’immunothérapie préventive : les vaccins !
Notre très honoré formateur nous annonce qu’il y a beaucoup de risques à se poser des questions. On mesure l’outrecuidance de la démarche, vue par un scientifique : Silence dans les rangs ! Garde à vous !
Si vous n’aviez pas encore compris, se poser de questions, c’est faire du prosélytisme !
C’est quoi ça, Bon Dieu ?
Définition : zèle déployé pour répandre une religion !
Voici un révérend formateur qui assimile les questionneurs à des adeptes forcenés d’une religion…
Voilà un formateur qui a beaucoup de respect pour les gens qu’il souhaite formater ! Oups !
Un formateur qui formate : le bel animal que voilà !
Au cas où vous auriez encore des questions, notre indispensable formateur [Seigneur, que ferais-je sans toi ? dit un très beau cantique…] nous annonce que la question de la vaccination est délicate et qu’elle « échappe à la simple raison » dit-il.
Effectivement !
Des comme ça, je ne pensais pas que ça puisse exister…
EPVL lance un appel :
http://www.epvl.eu/dossier-conseil-constitutionnel/
Quand la Silicon Valley prend ses distances avec les réseaux sociaux
Ce revirement n’est pas un cas isolé. « Dieu seul sait ce qu’ils font aux cerveaux de nos enfants », s’était déjà alarmé l’ancien président de Facebook, Sean Parker, sur le site Axios (en anglais). Selon, lui, le site exploite les vulnérabilités psychologiques humaines pour pousser les utilisateurs à publier toujours plus de contenus pour obtenir des réponses et des mentions « J’aime » : « Les inventeurs et créateurs – moi, Mark [Zuckerberg], Kevin Systrom sur Instagram, tous ces gens – l’ont très bien compris. Et l’ont fait quand même, en connaissance de cause. »
Le créateur du bouton « J’aime » de Facebook, Justin Rosenstein, a décidé de bouder les réseaux sociaux Reddit et Snapchat, révélait le Guardian (en anglais) en octobre. L’ingénieur a même demandé à son assistant de lui installer un filtre parental sur son téléphone, pour l’empêcher de télécharger toujours plus d’applications. « Il est révélateur que beaucoup de ces jeunes experts n’utilisent plus leurs propres produits, soulignait alors le quotidien britannique, en envoyant leurs enfants dans les écoles élites de la Silicon Valley où les iPhones, les iPads et même les ordinateurs portables sont interdits. »
Voici le genre d’articles de merde que Alternatives Économiques est capable de pondre :
https://www.alternatives-economiques.fr/etienne-caniard/vaccination-lobligation-nest/00082049
La coupe est archi-pleine, elle déborde … ça coule partout. Faut vraiment arrêter de la remplir.
Faut pas s’énerver.
Y a plus que les curés et les forains qui ne nous ont pas encore dit leurs profonds sentiments sur le sujet vaccinal…
Des fois on trouve des infos sur le blog de Nau :
https://jeanyvesnau.com/2017/12/13/democratie-vaccinale-preferez-vous-le-prevanar-pfizer-ou-le-synflorix-gsk/
Synflorix (GSK) je ne connaissais pas. Cet article donne des indices sur la manière dont se fera à l’avenir l’évolution de la politique vaccinale. Le Prevenar fait parti des nouveaux vaccins rendus obligatoires par la ministre pour les nourrissons à partir du 1er janvier 2018. Du coup, un autre vaccin peut potentiellement entrer dans le club des vaccins que l’on injectera DE FORCE à la population, on pourra le faire peut-être SANS ATTENDRE une évaluation minimale de sa tolérance … après tout, on a bien commercialisé le Gardasil avec une procédure fast-track alors même qu’il n’était pas obligatoire, alors pourquoi se gêner avec Synflorix ?
Synflorix a été beaucoup mieux investigué que les Prevenar ; merci aux cobayes québecois…
Il n’est pas plus rassurant pour autant : les vaccins anti-pneumocoques sont neurotoxiques ; selon les industriels eux-mêmes…
Ne le dites pas à l’autre crétin, ça pourrait lui échauffer la bile… Oups !
Neurotoxiques les vaccins anti-pneumococciques ça m’étonnerait, on nous aurait prévenu quand même? J’ignore si les canadiens ont dégusté mais j’ai cru comprendre qu’en Argentine les essais avaient entrainé 14 décès de nourrissons recrutés en 2007 et que GSK avait été condamné à casquer pour réparer.
Les recrutements s’étaient réalisés parmi une population pauvre et pauvre aussi les médecins du coin qui touchaient seulement 300 dollars par inclusion d’enfant. Voilà, le prix d’un nourrisson argentin pour essai thérapeutique; 300 dollars.
D’après mes sources le Synflorix est quatre fois plus chargé en alu que le Prevenar 13 et un labo allemand lui a trouvé 34,2 microgrammes/L de Gallium en plus. GSK nous inventera bientôt le nourrisson phosphorescent on y est presque, tellement plus pratique à localiser en cas panne d’électricité…
J’ai déjà envoyé le document suivant, datant de 2011, sur le Club Avenir de la Santé qui regroupe des parlementaires, fonctionnaires, etc.. sous la houlette de GSK. Je ne sais pas si c’est toujours d’ actualité, mais il ne faut pas s’étonner que l’ augmentation du nombre de vaccins à administrer aux tout petits soit à l’ordre du jour. Tous les moyens sont bons .
http://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/le-club-avenir-de-la-sante-23-105878
Personnellement j’ai indiqué à mon médecin que je ne souhaite pas être vacciné contre la gripe. Et pourtant il insiste. Enfin il insistait car il s’est lassé le premier. De même pour la rosuvastatine que l’on m’a infligé pendant 4 ans.
Comme quoi on peut tenir tête à son médecin, gentiment, sans se fâcher, mais avec fermeté . Il a fini par m’avouer un jour que le médecin propose mais que le patient dispose. Je continue de le consulter quand quelque chose ne va pas. En général il me soigne bien. Nous nous entendons bien.
Synflorix :très poetique
Ne saurait être toxique!
Un type décide de prendre son baptême de l’air.
Il se rend dans un aéroclub
et engage la conversation avec le pilote :
> > > > » Voilà… J’aimerais prendre mon baptême de l’air
mais je voudrais un vol à sensations,
pas les petits vols pépères que vous réservez aux touristes »
> > > > » Pas de problème,
si vous êtes amateur de sensations fortes, vous allez en avoir »
> > > > Le type et le pilote montent donc dans un petit avion.
L’avion prend de la vitesse…
il roule de plus en plus vite mais ne décolle pas !
Il fonce droit sur un arbre !
Au dernier moment, le pilote tire sur le manche
et l’avion décolle en frôlant les branches de l’arbre…
> > > > Le pilote entend son client assis derrière lui dire :
> > > > » Ça, je m’y attendais ! »
> > > > l’avion a maintenant pris de l’altitude.
> > > > Comme le type ne semble pas avoir eu peur au décollage,
le pilote tente la figure de « la feuille morte ».
Il coupe le moteur de l’avion et ce dernier chute vers le sol.
L’avion part en vrille,
le sol se rapproche de plus en plus vite et au dernier moment,
le pilote remet les gaz et tire sur le manche !
L’avion fait un rase-mottes et reprend de l’altitude..
> > > > Le pilote entend son client dire :
> > > > « Ça, je m’y attendais aussi ! »
> > > > Énervé, le pilote bascule l’avion sur le dos.
Il vole ainsi un petit moment puis enchaîne les loopings.
Lorsqu’il termine ses acrobaties,
le pilote entend le type dire :
> > > > » Ça, par exemple, je ne m’y attendais pas ! »
Comme le client a enfin eu les sensations fortes demandées,
le pilote pose le petit avion en douceur..
Après avoir atterri,
il dit à son client :
> > > > « J’ai cru que je n’arriverais jamais à vous faire peur !
Vous n’arrêtiez pas de dire « ça, je m’y attendais ! »
> > > > » Écoutez bien ! « dit le type.
» Quand j’ai dit
ça, je m’y attendais !
au moment du décollage,
c’est parce que j’ai pissé dans mon pantalon
tellement j’ai eu peur!
Ensuite, quand l’avion a chuté vers le sol,
j’ai dit ça, je m’y attendais !
parce que j’ai chié dans mon pantalon tellement
j’ai eu peur ……..
Par contre, quand vous avez volé sur le dos
et fait les loopings à l’envers,
tout est remonté dans le col de ma chemise,
et ça, je ne m’y attendais pas ….!!!
Un peu vulgaire mais j’ai ri vu que je suis moi-aussi assez vulgaire, putain de Dieu !
On l’est tous un peu à un moment où à un autre ! …
376 ème commentaire, un peu de son bordel… accompagnée par la voix de la belle Cristina Scabbia, vu en concert au NINKASI Kao le jeudi 7 décembre dernier.
https://youtu.be/s9sVUqOhcPU
La loi sur les vaccins obligatoires EST passée comme une lettre à la poste.
L’affaire Médiator est une anecdote dans un océan de mensonges… Cette affaire a permis au système de se refaire une virginité. L’affaire Médiator est un des alibis qui a permis au système de s’ériger avec une morale suffisante pour proposer une obligation vaccinale qui serait modifiée annuellement.
On a DONNÉ LES CLEFS aux experts pour décider de la liste des vaccins obligatoires…
Où est Irène Frachon actuellement ? Que pense-t-elle de l’obligation faite aux nourrissons de recevoir 10 injections avant l’âge de 2 ans ?
J’ose vous livrer cette analyse qui peut, chez certains, provoquer des réminiscences …
C’est mon cas, il faut pourtant regarder devant… forts d’une expérience acquise !
698 – CONFLITS DE GENERATION
par Yves Ponroy
J’ai récemment réalisé que lorsque l’on devient grands-parents, l’on se trouve généralement à la charnière de 5 générations. Nous avons connu nos parents et grands-parents, nous connaissons notre propre génération, puis celles de nos enfants et petits enfants. Nous sommes donc au centre de plus d’un siècle d’histoire familiale et sociétale!
Les grands-parents nous ont bercés avec leurs récits des drames de la première guerre et ses conséquences sur la vie des hommes et femmes de leur génération. Ils nous ont parlé du temps de la lampe à pétrole et des premières voitures. Souvent, ils ont connu la vie rurale, les durs travaux des champs, les familles nombreuses, le travail essentiellement manuel, la vie animée au village, intense et fraternelle. Ils ont été éduqués par les deux piliers qu’étaient l’instituteur et le curé, l’école obligatoire et la religion. Ils étaient travailleurs, patriotes, religieux et dévoués. Sur les photos on les voit sévères et fiers d’eux-mêmes, sans arrogance. Ils ont été pour nous des maîtres car ils ont traversé deux guerres sans courber l’échine.
Nos parents ont hérité de ces valeurs et auraient pu les perpétuer, mais la deuxième guerre a de nouveau tout bousculé et rebattu les cartes. Ce sont les enfants du Front Populaire. Ils ont connu le déshonneur de l’occupation, l’humiliation de la défaite, les souffrances du rationnement. Sous l’effet de la mécanisation, ils quittèrent leur village et les travaux des champs pour un travail à la chaine déshumanisant dans des villes froides et austères, coupés des liens qui faisaient leur joie et leur richesse. Ils perdirent leur liberté en même temps qu’ils devinrent marxistes. Néanmoins, l’avortement était encore un crime et l’accouchement hors mariage un déshonneur ! Ceux qui avaient poussé les études au-delà de 14 ans devinrent des cols blancs que l’on repérait en regardant leurs mains, blanches elles aussi. Puis, ils ont travaillé à reconstruire ce que deux générations avaient détruit, avec un acharnement méthodique, entêté et aveugle.
Notre génération fut bénie entre toute parce qu’elle ne connut pas la guerre, sauf par ouï-dire. Elle était ambitieuse, enthousiaste et travailleuse, animée du sentiment profond que s’ouvrait une ère nouvelle où tout restait à faire. Les villages continuèrent de se vider et devinrent des déserts peuplés de vieillards. Les usines et les banlieues sortirent de terre, le confort s’améliora et l’on devint exigeant. Il fallut des week-ends, des loisirs, des vacances à la mer et à la montagne. Le soir, devant la télévision, toute la nation devint égoïste et bourgeoise. La pensée scientifique commença à supplanter la pensée religieuse. La pilule mit fin aux familles nombreuses et le divorce rendit l’amour éphémère. Les rivières et nos campagnes furent polluées par une agriculture industrielle qui rendit nos jardins potagers inutiles et dérisoires, supplantés par les supermarchés. Nous sommes la génération qui a vécu 68, l’année où, dans le monde, tout a définitivement basculé !
Puis vint la génération de nos enfants, la génération Y, celle de la fin du siècle, celle qui envoya promener les convenances, les interdits et les tabous. Pour eux, toute convention était un carcan, un obstacle à la liberté. La première des libertés fut la liberté sexuelle, sans procréation. Les liaisons devinrent moins stables, plus éphémères, sans contrat, sans engagement. Ils sont plus éduqués que leurs parents et pensent donc ne plus avoir besoin de conseils. Ils changent de travail aussi facilement que de conjoint. C’est l’époque de l’apogée du féminisme, de la revendication des femmes pour l’égalité. Les hommes ne veulent plus faire la guerre ou mourir pour des idées, ils font désormais la cuisine et le ménage, dans une famille réduite souvent à sa plus simple expression. Ils sont dorénavant plus intéressés par les nouvelles technologies que par les joutes politiques ou les cérémonies religieuses. Hédonistes et apôtres du carpe diem, ils sont vulnérables et fragiles, souvent au bord du « burn-out », en manque de sens, ne sachant pourquoi ils travaillent.
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Les petits enfants ouvrent l’ère d’une vie qu’ils croient faciles, l’ère de l’enfant-roi. Le confort, les vacances, les loisirs, l’argent, sont pour eux des évidences. Leurs parents sacrifient tout pour eux et ils ne veulent surtout pas les contrarier avec trop d’exigences. Ils sont élevés dans l’excès de sucre et de calories. Cette génération Z va se trouver confronter à des défis immenses et risque de manquer de goût pour l’effort afin de les affronter. Ils sont de plain-pied dans le digital, les jeux vidéo, l’intelligence artificielle et les robots, qui vont demander un haut niveau d’exigence. Ceux qui n’auront pas fait des études longues et très spécialisées risquent de se retrouver sur le bord du chemin. Autant dire que l’avis des grands-parents est devenu de peu de poids pour les aider à inventer le futur. On parle déjà pour eux du « revenu universel de base » qui sonne à nos oreilles comme une insulte et un déshonneur mais qui demain, sans doute, permettra à la moitié d’entre eux de survivre ! Il leur faudra donc trouver eux mêmes des raisons de vivre
Les grands-parents d’aujourd’hui se retrouvent à mi-chemin entre ces extrêmes. Ils furent nourris par une génération qui connut la voiture à cheval et ils doivent tracer leur route et continuer de progresser dans un univers virtuel peuplé de robots intelligents. Quel défi !
Ils ont travaillé toute une vie, souvent 60 heures par semaine, mais en France, leur retraite est aujourd’hui convoitée par une génération qui travaille 35 heures par semaine et revendique 5 semaines de vacances. C’est la génération de nos enfants, la génération Macron, qui trouve que nous avons bien vécu et que nous devons désormais nous serrer la ceinture. Oui, cette génération a bien vécu, mais elle a été aussi très exigeante avec elle-même. Elle n’a jamais pensé que la vie est facile et elle a toujours fait passer le travail avant les loisirs.
Le rapport entre ces deux valeurs s’est aujourd’hui inversé. Pourquoi pas ? Ce choix implique une autre conception de la vie et il convient que les nouvelles générations en assument les conséquences.
Quel rôle pour ces grands-parents que plus personne ne consulte et dont la parole n’est pas entendu? Bien sûr, ils n’ont pas d’avis pertinent sur la révolution numérique, mais ils sont dépositaires d’une certaine sagesse et d’un certain bon sens qui ont valeur universelle. Ils sont porteurs de valeurs qui ne sont peut-être plus à la mode mais qui peuvent être utiles en période de turbulence.
Ils peuvent aider les jeunes à trouver un sens à leur vie. Ils peuvent répondre à leurs besoins de transcendance, ils peuvent leur enseigner que l’amour et le bonheur ne tombent pas du ciel mais se cultivent et se soignent comme des fleurs fragiles et belles. Les petits enfants ont besoin des grands parents pour connaître toutes ces choses que l’on n’enseigne jamais à l’université mais qui sont essentielles dans la vie, pour lui donner de l’épaisseur, de la consistance. En retour, les grands-parents ont besoin des petits-enfants pour se sentir utiles, pour donner un nouveau sens à leur vie et échanger de l’amour.
Aujourd’hui, les grands-parents se trouvent en décalage énorme entre les valeurs qui les ont nourris et les valeurs actuelles. Jamais, au cours de l’histoire de l’Occident, il n’y eut un tel gap entre les générations : entre le mariage sacré et indestructible, et le mariage pour tous, à géométrie variable ; entre une jeunesse chaste mais frustrée et l’amour libre, tout azimut ; entre faire l’amour avec respect et « baiser » à la chaîne ; entre la primauté du travail et de l’effort et la primauté des loisirs et de la facilité ; entre le respect de la religion et la mort de Dieu ; entre la vie de village et les voyages low-cost ; entre les vacances à la campagne et les vacances à Bali ; entre la lecture des classiques et les jeux vidéos ; entre l’enfant soumis et l’enfant-roi ; entre la certitude d’un monde stable et la peur d’un monde inconnu ; entre le réconfort de la transcendance et l’angoisse du néant.
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Les grands-parents sont là pour faire le lien entre les générations, pour rattacher les petits-enfants à une lignée qu’ils auront à perpétuer, à une tradition qu’ils doivent connaître. Grâce à nous, ils auront plus tard connu 5 générations qu’ils auront aussi à transmettre. Grâce à eux nous serons encore présents deux générations plus loin. Nous sommes des passeurs de culture. J’ai de la compassion pour les enfants et les grands-parents qui ne se sont pas connus, quel qu’en soit le motif. Ils seront, les uns et les autres, comme des mutilés…
J’ai trouvé des choses intéressantes dans ce texte… et aussi à redire !
C’est sûr que face à toutes les généralisations qu’il fait, ça ne me donne guère envie de lui demander son point de vue…
Un exemple ?
Aussi longtemps que les personnes sont mariées, il y a de l’amour…
Mais dès qu’elles divorcent, il disparait ?
Quelle équation simpliste !
(avec un petit « c’était mieux avant ! » en bruit de fond ? )
Allez tous en file indienne, rentrez bien dans le moule, je ne veux voir qu’une seule tête !
Sinon pour les rebelles à l’ordre social établi, il y a la BD « Les sentiments du Prince Charles » de Liv Strömquist… qui remonte à encore bien plus loin que le siècle dernier 😉
Merci, chérie !
Et la prochaine fois, il faudra un peu plus de « soumission »…
Moi j’adore « être soumis » ; par forcément « attaché » mais menotté oui !
Votre réaction m’émeut : mes filles auraient, sans aucun doute la même, avec autant de véhémence ! … (ce n’est pas une critique)
Conflits de générations !
C’est un moderne, ancien de chez Servier, critique et chroniqueur à la Chronique du jour, patron d’un laboratoire éponyme, suisse et écolo, scribouillard et naturaliste à la philosophie passéiste que me ferait oublier ce que ma grand-mère aimait à dire : « la ville émancipe ».
On peut critiquer l’industrie pharmaceutique, avoir recours à la nutrition, condamner les satines et être terriblement réactionnaire, c’est en ça que l’on reconnaît les modernes.
Lorsqu’une avalanche de soucis de santé a déferlé sur moi, il y a 10-15 ans et plus, ce Monsieur a joué le rôle d’éclaireur par ses livres, ses conseils que je me permettais de solliciter …
Il a fait germer en moi ce qui fait qu’aujourd’hui, je me retrouve à vos côtés à tous …
Effectivement, il y a environ 40 années, il a pris ses jambes à son cou, ayant TOUT COMPRIS,
pour quitter le labo que vous citez … et se reconvertir dans ce qui lui correspondait …
il a fondé comme vous le savez les Laboratoires du même nom.
Personnage m’inspirant toute confiance.
Qu’il ait pu vous aider et vous soulager sont une bonne chose, comprenez simplement que nous puissions avoir du mal à partager sa philosophie, ceci n’étant pas autre chose qu’une critique de celle-ci et non une condamnation de vos choix.
Bienveillamment.
Rassurez-vous Ricomart, je l’avais parfaitement compris!
La définition du mot bienveillant renvoyée par Google est la suivante :
« La bienveillance est la disposition affective d’une volonté qui vise le bien et le bonheur d’autrui »
Ça me semble évident que Marc est bienveillant. Il est allé jusqu’à se mettre personnellement en danger pour NOUS défendre.
« L’affaire mediator » était un alibi au système pour ne JAMAIS faire le bilan de la campagne de vaccination H1N1 de 2009. Je ne vois pas en quoi le fait d’affirmer celà rend malveillant…
Je gère le compte AIMSIB sur Diaspora* et Mastodon j’ai fréquemment repartagé les articles de Marc, mais aussi de docteurdu16, de MdL (évidemment) et du site aimsib.org (notamment les derniers articles de notre ami Reliquet).
https://framasphere.org/u/aimsibnews
Il y a des gens qui nous suivent attentivement sur ce réseau social …
Bref, Marc s’est personnellement engagé pour NOUS défendre, il est clairement bienveillant.
Émission « là bas si J’y suis » (avancer à 20’45 », celui qui réalise l’interview est François Ruffin).
http://media.la-bas.org/mp3/091123/091123.mp3
Je diverge à propos du Mediator : beaucoup ont compris à ce moment-là qu’on leur mentait…
Ça aide à ouvrir les yeux pour le reste…
Peut-être qu’en l’absence d’un petit scandale Mediator, la loi sur les vaccins obligatoires serait passée comme une lettre à la Poste…
Peut-être pas !
Esquiver, avec une apparente longanimité, la signification de mes constats derrière un manque de « bienveillance » désolant, mais anodin (il aboie, mais ne mord pas), c’est simplement les occulter. Ce qui a permis jusque récemment de fantasmer une convergence d’engagement avec, par exemple, Irène Frachon, quand je n’ai pris la plume contre elle que pour montrer qu’après la mystification H1N1 (dont je me permets de rappeler que je l’ai dénoncée dès le printemps 2009: les « lanceurs d’alerte » étaient encore en hibernation…), elle permettait de détourner l’attention du principal scandale qui se tramait: l’élargissement des obligations vaccinales.
Si c’est être malveillant de s’interroger sur une « contestation » qui dissimule l’essentiel tout en parvenant à réunir les pires crapules de l’ANSM, les responsables de l’industrie pharmaceutique, les opportunistes de tout poil, la presse – j’en passe (dont les promoteurs de la ciclosporine post-mortem) -, je suis fier d’être malveillant.
Et j’ai bien l’intention de continuer…
La bienveillance de mon point de vue s’adresse aussi à ceux qui, lanceurs d’alerte ou autres, maladroits ou adroits, essaient…
On peut ne pas être bienveillants, d’une certaine manière, sans être malveillants pour autant…
De mon point de vue de « Bhagavadgitiste« , il faut de tout pour faire un monde ; et à la fin, arrive ce qui devait arriver…
J’ai la faiblesse de penser que nous sommes tous un peu utiles, même les pires crétins des Ministères (cela dit en route bienveillance), pour accélérer la maturation du processus qui, de toute façon nous échappe, pauvres de nous !
Reste ce que tu es, personne hautement respectable, et j’adore ta mauvaise humeur de grincheux ; et moi, je reste ce que je suis, sans illusion sur ce qui nous attend !
Bon vent, matelot, et sache que je lis tes analyses avec la plus grande attention sans forcément tout partager ; la biodiversité est notre richesse !
Je suis contente que Marc Girard vienne s’exprimer sur ce forum alors je vais quand même venir mettre mon grain de sel…
D’abord, j’apprécie particulièrement les écrits de MG même si je ne suis pas d’accord sur tout.
La forme est un peu spéciale mais je m’en accommode.
Cette histoire de bienveillance est assez drôle.
Il me semble évident que personne ici ne pense que les intentions réelles de MG sont « malveillantes ».
Dénoncer cette scandaleuse loi d’élargissement de l’obligation vaccinale est bien évidemment « bienveillante »…
Ce qui nous interroge un peu tous il me semble (ou alors je ne parle que pour moi), c’est cette façon de mettre presque tout le monde dans le même sac.
En particulier, puisque c’est bien cet article paru dans Nexus qui a allumé la mèche, les gens de l’AIMSIB, Reliquet, Georget, Guennebaud…qui sont tout sauf des opportunistes avides de rentrer dans le grand club médiatique des lanceurs d’alerte (ou alors j’ai rien compris?).
Critiquer l’article paru dans Nexus, pourquoi pas.
Mais pour le reste, ces gens sont bien intentionnés, ils réfléchissent sainement, travaillent, font ce qu’ils peuvent avec leurs petits moyens, pourquoi tant d’acharnement?
J’en ai déjà parlé, il y a 2 articles de Marc qui sont à la base de sa réflexion et de sa critique. L’article La France s’indigne présente les « invariants » des scandales contemporains et l’article sur les « preuves à l’épreuve de la science » présentent les « critères intrinsèques de crédibilité » de l’expertise.
Si l’on a pas lu ces 2 articles, on a quelques difficultés à identifier le fond de son propos, qui est une critique radicale du système, dans lequel on se débat sans parvenir à trouver la sortie. Marc met en lumière la manière dont les personnes se font instrumentaliser pour permettre au système de se perpétuer.
Certains de ses articles m’ont littéralement bouleversé… Il a répondu présent lorsque les nourrissons ont été menacé. Il a annoncé ce qui est en train de se produire au sujet des obligations vaccinales. Lorsque les gens se sont égarés sur des débats sans intérêt il a voulu recentrer la critique sur le seul sujet qui (je parle pour moi) m’a complètement paniqué = la menace d’élargissement des obligations vaccinales. Il a identifié la nature de la violence à l’oeuvre derrière l’idée de rendre obligatoire un traitement médical.
La France s’indigne….
http://www.rolandsimion.org/spip.php?article208
La preuve à l’épreuve de la science – Partie II (lire le pdf au bas de l’article)
http://www.rolandsimion.org/spip.php?article154
Un manque de bienveillance n’est pas de la malveillance. Concernant le DTpolio, notre ministre de la santé répète inlassablement que pour redonner confiance, il faut rendre obligatoire les autres vaccins. Son raisonnement est le suivant: personne ou presque ne remet en cause le DTpolio, car il est obligatoire et les gens ont confiance, donc il faut généraliser. Si l’utilité du DTpolio est remise en cause, tout l’édifice s’écroule et le brasier avec.
Je dis donc bravo aux auteurs de l’article .Il faut toujours des pionniers.
Rien n’empêche, par ailleurs de continuer à dénoncer cette loi d’une violence hallucinante!
Quant au Dr Frachon,pour ceux qui ne comprennent pas sa position, lisez son livre(vous pouvez sauter les passages sur ce qu’elle boit) ou procurez- vous son film: « La fille de Brest ». Vous aurez un petit aperçu du cynisme , des pressions et des menaces qu’exercent les grands groupes, tout en continuant d’agir en toute impunité. On utilise effectivement ce scandale et on a changé le nom de l’agence du médicament et quelques têtes pour dire: » Voyez, tout est clean maintenant et sous contrôle.
Mais de qui? Et qui est dupe?
Croyez-vous vraiment que sans ce scandale, la loi sur l’obligation vaccinale ne serait pas passée?
Pour reprendre une métaphore du film, je pense qu’après s’être tant débattue pour sortir la tête de l’eau, elle n’a pas voulu être renvoyée dans les bas fonds. Qui peut lui en vouloir?
On regrette bien sûr qu’elle ne soit pas avec nous dans le combat contre les statines et l’obligation vaccinale, mais vous semblez oublier ce qu’il en coûte à ceux qui la ramènent un peu trop, surtout s’ils sont brillants et influents.(Cela ne s’adresse évidemment pas à Marc Girard qui est bien placé pour savoir)
« Les ennemis de mes ennemis ne sont pas mes amis » dites-vous. A mon avis, ils valent tout de même beaucoup mieux.
Gardez vos griffes acérées Monsieur pour les méprisants, les méprisables et les puissants. Permettez-moi de rêver en pensant que vous allez peut-être lire ces lignes, sans chercher à me démonter pour mon arrogance. Ce serait si facile et j’en serais vraiment désolée, car nous avons besoin d’experts comme vous.
@ Souris 7
Totalement d’accord avec vous, merci! Ca me fait du bien!
Bon sang! J’ai raté la ciclosporine. C’était il y a 32 ans et on s’en sert encore pour discréditer l’auteur d’une vidéo que je vous recommande: cholestérol, molécule de vie.
Elle n’est pas récente, mais à revoir pour les sceptiques.
https://www.youtube.com/watch?v=kEa9izK2xo4
Il faut effectivement saluer votre courage. Nous, à part passer pour des exaltés, voire des illuminés ne risquons pas grand chose. Merci de continuer.
https://youtu.be/K4xmqA_g5BI
Surprenant Johnny !!
bravo aubépine, le « populaire » n’est pas ringard, chez les intellos on n’aime pas djonnhy, mais c’est des cons les intellos…
Ne me demandez pas pourquoi ….
D’abord : ma génération ….
Et puis, « le coeur a ses raisons …. »
Merci Aubépine de la diversité distrayante que vous nous postez ! Entre lire, voir et entendre Il est très agréable d’être HS !
Il a chanté ça aussi !
https://youtu.be/mkCNPgSOZuU
Merci Minoque !
Hors-sujet absolu (au 355eme commentaire on a le droit)
C’est de l’humour. La blonde est pleine de grâce et d’élégance…
Par contre, à partir de 2′ son histoire part complètement en vrille … pour notre plus grand bonheur.
https://youtu.be/YNMrxKH7WmQ
Merci Emilio !
http://www.youtube.com/embed/6J37usbyk5U
Je ne sais pas quoi dire ; par rapport à l’ancien temps (les mouroirs départementaux), je trouve qu’on a fait des progrès ; certains EHPAD ressemblent à des palais ; pas tous sans doute…
Pour avoir été témoin de deux EHPAD : Tous sont pareils . Tant qu’on a de l’argent ( lire « L’or Gris) et que nos vieux on à peu près leur tête, , ils sont encore considérés, mais dès qu’ils la perdent, ils sont traités comme ne devraient même pas l’être des animaux. Et si, comme il est dit dans le clip, vous vous intéressez à eux, vous venez tous les jours pour suppléer les insuffisances des personnels : Gare à vous, les Directions font de sorte pour vous empêcher vous prétexte que vous dérangez le personnel, quant au médecin attaché à l’EHPAD, il est aveugle et sourd… et prescripteur. vous expliquerai un jour de vive voix.
En ce temps de l’avent, je préfère ne pas trop ruminer… Dieu me garde de finir dans une de ces maisons d’indignité!
j’ai vécu exactement ça en effet, la réalité est tragique, c’est que la nature n’a pas prévu la survie des « épaves ». Dans la nature les épaves meurent vite, d’abord mangées par les prédateurs, avant de l’être par les bactéries… Le cas humain est spécifique, et les progrès de la médecine ( faut-il dire hélas ? ) ont créé une nouvelle tranche d’âge : le 4ème !
Mais que faire d’une personne 100% incontinente, qui ne répond à presque aucun stimulus et à qui il faut donner à manger à la cuiller ? Cette « clientèle » est en train de se démultiplier, et c’est l’or gris en effet. Ici le personnel devient fou (qui a envie de changer 1 vieillard 4 fois par jour ? ) et l’humanisme est impossible. En dehors de votre famille (qui ne peut plus vous garder à la maison), il n’y aura personne pour vous prendre en pitié
@inox
C’est pour cela qu’il nous faut vivre le moment présent, bienveillant le plus possible …
« Ici et maintenant »
De fréquenter l’Ephad même le plus « luxueux » laisse des traces, entre les situations tragiques ou grotesques, INDELEBILES pour les plus sensibles d’entre nous !
@Phil
La désinvolture dissimule, parfois, pas mal d’inquiétude! …
Fou du Roi! ce n’est pas mal, bien trouvé!
heureusement vous semblez apprécier ces petites « incartades » — notre Maître aussi, c’est rassurant! —
qui peuvent être assimilées à la respiration de ce blog!
refus de s’y adonner : c’est l’asphyxie !
Sympathiquement vôtre.
bien vu !