Une tragédie neurologique chez les enfants aux USA : les troubles autistiques !
C’est un sujet difficile à analyser car beaucoup de familles avec enfants sont (de plus en plus souvent) concernées aussi en France. Ce sont des situations très pénibles, source de souffrances pour les parents surtout.
Que se passe-t-il ?
Les autorités sanitaires américaines (qui semblent suivre de très près l’évolution de cette problématique) enregistrent un nombre croissant de pathologies neurologiques chez les petits enfants (avant 7-8 ans).
Cela concerne plusieurs types de pathologies sous le terme générique de « developmental disabilities » que l’on traduit généralement par « déficience intellectuelle » en français, ce qui n’est pas tout-à-fait approprié.
Parmi ces troubles neurologiques, il y a notamment le syndrome appelé « attention-deficit/hyperactivity disorder » [traduction « trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité »] que les enseignants français aussi voient de plus en plus souvent.
Mais la principale pathologie en progression constante est ce que l’on appelle le « autism spectrum disorder » (ou ASD) que je traduirais par « troubles autistiques ».
Je vais être prudent car je ne suis ni pédiatre ni pédopsychiatre ; et si je parle des USA, c’est parce que ce pays (malgré tous ses défauts et faiblesses) reste la meilleure source d’informations dans le domaine de la santé ; au moins pour ceux qui savent « lire entre les lignes ».
Régulièrement les autorités sanitaires américaines publient les chiffres de l’épidémie d’ASD aux USA ; car il s’agit réellement d’une épidémie chez les enfants ; épidémie que je trouve beaucoup plus inquiétante que l’épidémie de COVID-19 à la fois pour les familles [chacun d’entre nous peut avoir des témoignages dans son environnement] et aussi pour l’avenir du pays.
Il est probable que nous avons un peu la même chose en France mais il est de bon ton de n’en rien dire !
Récemment, nous avons eu le rapport des autorités américaines (ci-dessous) ; chacun peut s’y référer.
Je donne quelques généralités (ci-dessous).
Vous avez bien lu, ce sont des chiffres officiels que personne ne conteste : 1 enfant américain sur 44 serait autiste !
Imaginez que dans une société donnée un enfant sur 40 ou 50 ait une autre maladie sévère type cardiopathie ou cancer… Ce serait l’affolement !
Avec l’épidémie d’ASD aux USA (avec probablement une tendance comparable en Europe), on détourne les yeux.
Pire, un enfant américain sur 6 serait atteint de « déficience intellectuelle »…
Je ne fais aucun commentaire supplémentaire. C’est inutile !
Seulement une question : pourquoi cette léthargie chez les scientifiques, les médecins et les politiques à propos de ce drame ?
Il y a une autre observation qui fait (un peu) peur, c’est la courbe évolutive de la fréquence de ces problèmes (ci-dessous).
Vous avez bien lu : on est passé pour les troubles autistiques à une incidence de 1/150 en 2000 à 1/44 en 2018.
A ce rythme-là, à quoi ressemblera la société américaine (et la nôtre probablement) en 2050 ?
L’autre question majeure, c’est pourquoi ?
Comment explique-t-on cet extraordinaire phénomène épidémiologique ?
Il n’y a pas d’explication pour le moment ; mais il n’y a pas non plus de gros efforts pour comprendre… C’est curieux.
Comme indiqué dans le document des autorités sanitaires, il n’y a pas de prépondérance « raciale », ethnique ou socioculturelle. C’est un point très important pour la recherche d’une cause.
La génétique (prédisposition familiale) ne peut expliquer une évolution aussi rapide du phénomène mais le fait que les garçons soient beaucoup plus souvent atteints que les filles est indicatif.
Certes, ce type d’épidémie est toujours multifactorielle et il serait absurde de chercher une cause unique.
Une (ou des) cause(s) environnementale(s) est (sont) probablement à l’œuvre. Les pesticides ?
A mon humble avis, une des causes possibles est l’inflation vaccinaliste que subissent les enfants.
Dès la naissance et tous les enfants, quelle que soit leur classe sociale !
En France, les vaccinations de nos petits représentent environ 40% de l’activité des pédiatres. Sans compter les vaccins administrés par les généralistes.
Il y a déjà eu plusieurs alertes, notamment à propos du Mercure et de l’Aluminium présents dans les seringues.
D’autres ont alerté à propos des vaccins contre la rougeole et aussi de ceux contre la coqueluche.
Des pédiatres américains ont accusé le paracétamol, donné parfois systématiquement lors des vaccinations.
Chacune de ces alertes donne lieu à des polémiques hystériques avec, de chaque côté du champ de bataille, la même pauvreté scientifique.
Faute de données scientifiques solides et indépendantes [des industriels, des experts et des autorités sanitaires, tous également « compromis »] il est impossible de clarifier la situation.
Une certitude : il n’y a pas une cause unique mais une convergence de facteurs qu’il faudrait systématiquement analyser.
Mais c’est presque impossible. Pourquoi ?
- Du côté des familles victimes, on ne dispose pas des moyens techniques (et scientifiques) pour faire avancer les choses.
- Du côté des experts de la vaccination et des autorités sanitaires, personne n’est prêt à endosser la responsabilité d’être (ou d’avoir été) acteur de cette tragédie.
Le mieux est de s’offusquer face à de telles théories et de poursuivre d’une vindicte acharnée les lanceurs d’alerte.
Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur la toxicité neurologique des multiples vaccins administrés aux nourrissons aux USA et ailleurs, j’encourage la lecture attentive des livres de la Collection « Vaccins & Sociétés » chez Chariots d’Or.
Si on ne devait en lire qu’un seul, je sélectionnerais le livre numéro 2 « Analyse scientifique de la toxicité des vaccins ».
Au travail ! Et sans délai, chaque minute compte !
Le problème avec l’autisme, c’est que le diagnostic ne se fait plus maintenant comme on le faisait il y a une trentaine d’années. Les critères ne sont plus tout à fait les mêmes, ce qui rend assez difficile la comparaison et donc l’évaluation de l’augmentation des cas au cours du temps. Il reste que cette augmentation, car il y en a bien une, est très préoccupante…
Bonjour, tout poison a son antidote or sur les réseaux américains circule une information basée sur une étude à San Francisco sur des enfants autistes à qui on a donné un médicament ancien : la suramin. En très peu de temps un nombre significatif d’enfants a pu avoir des contacts sociaux et même parler. Êtes vous au courant et si oui qu’en pensez vous ? Merci
Je ne suis pas expert dans le traitement de l’autisme par des médicaments.
L’étude dont vous parlez a été conduite sur une douzaine de cas dans mon souvenir et évidemment ce n’est pas sérieux pour un scientifique…
Cela dit, un effet miraculeux n’est pas non plus impossible…
Apparemment, les experts n’ont pas l’air enthousiastes.
Désolé !
amiral, par rapport au covid, j’entends beaucoup parler d’antihistaminiques en ce moment. J’imagine que les antihistaminiques peuvent aider à gérer certains symptômes, mais, à votre connaissance, un intérêt scientifiquement démontrer pour soigner/prévenir le covid?
Ces médicaments, comme une multitude d’autres, ont été proposés…
Pas d’essai clinique solide !
Cela dit, comme ces médicaments sont « un peu » psychotropes et que le virus (comme les vaccins) sont (fort probablement) neurotoxiques, il n’est pas impossible qu’ils puissent aider certains patients.
On sort de la médecine scientifique pour entrer dans le monde de l’intuition « médicale », un monde réservé aux grands médecins ; ils sont rares…
Vous me suivez ?
parfaitement, je crois. si on dit que la pratique de la médecine est un « art », les grands « artistes » ne courent pas les rues, dans ce domaine comme dans les autres
Bonjour, avez-vous pris connaissance de ce billet? En phase avec ce que vous dites depuis des années déjà.
https://qg.media/blog/laurent-mucchielli/essais-therapeutiques-et-biais-dexpertise-le-cas-du-vaccin-de-pfizer/
OUI.
Merci beaucoup.
Ce n’est pas tout-à-fait ma façon de voir les choses [voyez l’interview de moi-même par Mucchielli sur son Blog] mais c’est complémentaire !
Mucchielli fait du bon travail !
Bonjour, Ah, Enfin un coup de projecteur sur l’importance de la Différence de Risque (Risk Difference = RD) qui garde le dénominateur alors que le rapport de risque (Risk Ratio = RR) ne tient pas compte du dénominateur ce qui arrange bien les promoteurs.
D’accord avec Laurent Mucchielli sur ce point.
En revanche quand cessera-t-on de parler de « Réduction du Risque Relatif » alors que RRR représente la réduction relative du risque : en anglais « relative risk reduction » signifie que c’est la réduction qui est relative et non le risque, exemple « red sport car » ce n’est pas le sport qui est rouge mais la voiture !
Hors sujet mais je ne sais où le mettre
Pfizer en la personne de Janine Small reconnait que Pfizer n’’aurait pas testé l’efficacité de ses vaccins sur la transmission du Covid19, lors d’une commission au parlement européen.
https://www.youtube.com/watch?v=IzJJmJGFAWU
C’est autre chose.
Qu’elle ne sache pas si le vaccin empêche la transmission est une évidence. Elle ne pouvait pas le savoir !
Ou bien elle aurait menti.
Par contre son explication « nous n’avions pas le temps » est simplement stupide !
Avec cette émission sur Sud Radio, on atteint un certain niveau de médiocrité ; de tous les côtés…
Merci de ne pas vous arrêter sur ce genre « d’idioties médiatiques ».
Il n’y a pas de méthodes solides permettant d’étudier l’effet d’un vaccin sur la transmission d’un agent pathogène…
Merci pour votre réponse
si je me rappelle bien, on parle de classe dite Ulysse dans les écoles Elémentaires ?
Vous voulez dire ULIS (unités localisées pour l’inclusion scolaire) ?
Je voulais surtout alerter sur les causes possibles !
Je ne parle pas des « solutions ».
Il est impératif de stopper ce phénomène.
Pour cela, il faut y travailler, en faire une priorité… De la recherche médicale !