TOP SECRET – NAVY Message : l'huile d'olive en crise !
On ne le dit pas ; ou on ne l’entend pas, peu importe !
Ne pas répéter ! C’est un message secret réservé aux habitués de ce blog, urgent de s’approvisionner en huile d’olive avant que les prix n’explosent…
Les oliveraies méditerranéennes subissent une grave crise, notamment en Italie, en France et en Espagne : les arbres sont attaqués par une bactérie ici, par des champignons là ; et ailleurs encore les fruits succombent à cause de vilaines mouches qui pondent dans les fruits !
La Grèce et la Tunisie semblent épargnées pour le moment.
Ce n’est pas une plaisanterie ; c’est aisément vérifiable via Internet ; quoique personne n’en parle…
La question est la suivante : comment expliquer ce phénomène ? Cette concordance tragique dans 3 pays méditerranéens ?
L’huile d’olive française représente peu sur le marché, certes, par comparaison avec l’espagnole et l’italienne ; mais ce n’est pas ça qui importe.
Trois attaques, dans 3 pays différents, par 3 « parasites » apparemment différents !
Est-ce le hasard ?
On pourrait le croire tant que nous n’avons pas de mécanismes biologiques homogènes et cohérents pour expliquer le tout.
Un fait important : la production d’huile d’olive, du fait de la forte demande [mea culpa, nous n’y somme pas pour rien, tant nous avons vanté cette huile et le modèle nutritionnel qui va avec…] et le modèle agricole traditionnel a dû s’adapter.
Les mêmes oliveraies produisent plus qu’auparavant, et ce n’est pas du bio !
Inutile donc de se plaindre des écologistes qui auraient favorisé ces épidémies ou ces invasions. Au contraire, c’est probablement la surproduction (sur des terres peu adéquates) et donc l’abus d’intrants variés, y compris de pesticides, qui pourraient être en cause en sélectionnant des parasites dont l’arbre ne sait pas se défendre !
On peut aussi penser que le changement climatique joue un rôle, subrepticement mais sûrement !
Ainsi, comme nous l’expliquons dans notre livre, le mode de production de nos aliments et les questions environnementales sont étroitement liés.
Ici à propos de l’huile d’olive. Plus de 20 pages écrites serrées à propos des produits de la mer dans notre dernier livre récemment paru.
Il ne suffit pas de protéger notre santé, il faut aussi protéger notre environnement, les deux problématiques sont étroitement liées !
Faut-il l’envelopper ?
Voila l’huile que j’utilise :
http://www.moulindevillevieille.com/web/Produit_Terroir_Detail.aspx?CodeArticle=184
Elle a un petit gout d’artichaut vert qui est tres agreable. Je ne la commande pas sur le net, mais je vais la chercher au moulin.
Aucune importance…il s’agit d’une autre « prévention » !!!
Ce qui n’empêche pas en attendant de suivre les préceptes du dr de lorgeril !
Je remarque un peu partout…du pessimisme !!!
Je sais…je ne suis pas devin…mais il existe un écrit un livre millénaire qui se trouve souvent dans des étagères avec de belles images, plein de poussière !!!
Si l’on prenait le temps…de temps en temps. Ou un peu plus…de l’ouvrir par exemple dans ce qu’on appelle le Nouveau Testament…2 Timothée 3:1 ect…vous seriez surpris !!
L’actualité nous le rappelle tous les jours…mais malheureusement c’est comme tout le reste. La vie, la terre se dégrade parce que l’homme ne prend pas soin de cette belle planète…mais son propriétaire (nous ne sommes que locataires) va nous demander des comptes c’est clair. Un peu comme un propriétaire qui loue sa maison…au bout du compte il va le jeter dehors vite fait. C’est ce qu’on appelle « les derniers jours difficiles… »dans le texte cité.
Mais…je vais aussi lire votre livre parce qu’en attendant je veux aussi protéger ma santé qui est précieuse aux yeux de notre ‘créateur…allez…je vous donne un site unique en son genre JW.Org…c’est vous qui voyez…
Libre à vous de chercher des réponses dans la bible!
Mais sur ce blog « scientifique », avec une majorité d’athées et/ou d’agnostiques (du moins, je l’espère!), je doute que votre approche fasse avancer le débat.
Bonjour Docteur. Vous dites entre autre, que des vilaines mouches pondent dans les fruits ( olives…), mais ça ne date pas d’hier. Ex. J’ai une maison achetée il y vingt ans ( plus exactement construite par ma famille et moi-même) sur un terrain contenant à l’époque quelques Oliviers. Il en subsiste deux dont je peux dire que depuis vingt ans, la « mouche » abîme les olives systématiquement avec plus ou moins d’intensité selon les années : j’ai pu une seule fois faire des olives à la « Grans », ça n’a pas été une réussite mais c’était ma faute, et l’année dernière j’ai enfin récolté récolté suffisamment de fruit pour en faire cinq litres. Elles n’étaient que peu attaquées par la mouche et au moulin à huile qui les a transformées, il m’a été dit que ce n’était pas grave, que ça valait mieux que celles avec les produits toxiques utilisées pour les traitements. (J’avais ajouté en plaisantant qu’en plus on avait des protéines avec l’huile…)
Cette année, impossible de ramasser les olives , trop touchées. Je pense ainsi qu’il y des cycles et je ne vais pas faire comme me le conseillait un ami s’occupant de centaines d’Oliviers du côté d’ Aups , utiliser deux ou trois fois pas ans ce produit qui protégerait les arbres certes, mais qui ferait bien atténuer les bénéfices santé de leur huile.
A notre santé. Tchin…
Bonjour, je possède une vingtaine d’oliviers en Provence et je fais ma propre huile avec les olives que j’apporte au moulin a pierre, rien a voir avec celle qu’on achète en supermarché ! Cette année les arbres étaient bien remplis mais les olives sont tombes a terre déjà en Septembre alors que la récolte a lieu en Décembre ou Janvier. Les anciens pensent que c’est a cause de l’hiver dernier qui a été trop doux. Cette hiver s’annonce meilleur avec déjà plus de gelées, donc pas de panique pas besoin de se faire un stock, surtout que l’huile ne se conserve pas trop longtemps.
Bonjour à tous,
Le danger de votre post et des comportements associés, c’est ce qu’on appelle « le survivalisme ».
On fait des réserves … et puis, on reste 200, 3 000 à s’entasser dans un bateau en attendant le déluge ?
Noé va s’marrer grave.
Cela dit, les salops qui détiennent les grands groupes agroalimentaires (une poigné de très riches) doivent eux de leur coté manger sain, bio, il est presque certains (affimartion de ma part) qu’ils font leurs réserves d’huiles bio et autres !
Alors on fait quoi ?
Je n’ai pas de réponse, mais en tout cas, je n’ai pas non plus la place de stocker ce qu’il me reste de vie (j’ai 43 ans …) d’huile d’olive bio première pression à froid.
Alors, je risque fort d’être empoisonné comme « les autres » un jour ou l’autre.
Je le suis (nous le sommes) déjà en respirant la même air que tous (plus ou moins je sais …)
Après moi le déluge ?
NON !
Me protéger pour continuer à diffuser l’info ?
OUI, certainement !
Pas d’égo, pas d’égoïsme, du partage et de la joie de vivre.
Retour vers la terre, retour à la terre, vite, DECROISSONS ensemble, allons ‘y, montrons l’exemple nous qui savons et qui avons les « moyens » de le faire, …. il est temps.
gweN
Bonjour Docteur,
Je n’ai pas encore reçu votre livre mais je compte bien le commenter sur votre blog après lecture !
A propos de l’huile d’Olive :
Que pensez-vous de cette huile, promotionnée par votre confrère Henri Joyeux… ?
http://www.olivie.ma/fr/olivie-plus.html
Je pense connaître par avance votre réponse (à vous de dire si je suis dans l’erreur) qui doit être la même que celle concernant le fameux curcuma (notamment absorbé en gélules ou cps)… Il ne faut pas médicaliser l’alimentation !
Néanmoins, les arguments des promoteurs de Olivie 30X, un alicament de plus, ne sont pas à la base faux je pense…
Je cite :
« Pourquoi OLIVIE Plus 30X a-t-il des bienfaits si particuliers?
Simplement parce que cette huile provient d’oliviers plantés dans un désert rocailleux. Tout comme la vigne, il est bien connu que l’olivier doit souffrir pour produire le meilleur de lui-même. Face à un environnement très chaud (jusqu’à 53°C en été), un sol rocailleux où les racines ne peuvent pas se développer aisément, un manque d’eau, les oliviers stressent. Il se produit un phénomène de panique dans l’arbre (instinct de survie) qui se traduit par une production élevée de polyphénols (antioxydants) et plus particulièrement en Hydroxytyrosol et Tyrosol (phénomène d’auto-défense). »
Pourquoi, ce qui ne peut apparaître qu’un argument marketing, est-il intéressant, à mon humble avis ?
Tout simplement parce que cet argument (de vente) met le doigt sur une réalité…
Il y a « huile d’olive » et… huile d’olive »… Et la qualité (comme vous le dites pour les oeufs) n’a rien à voir avec le fait qu’elle soit « bio » ou non… (même si « bio » est mieux… pour nous et la Planète, c’est évident).
Combien d’huiles d’olive, coupées, frelatées… phénomène amplifié par la potentielle rareté du produit que vous mettez en avant dans cet article….
Du coup, quelle huile d’olive acheter ? la provençale bien de chez nous, l’italienne, la marocaine, la crêtoise ? Et à quel prix ?? (paramètre important !)
Sans avoir lu votre livre (pas encore), personnellement, et sans doute influencé par mes nombreux voyages en Inde du Sud et par la lecture des ouvrages du cancérologue canadien Béliveau (vous vous rejoingnez bien que objectifs et recherches soient différents), je procède à un mélange quotidien du type : poudre de curcuma bio + huile d’olive + huile de colza + poivre comme assaisonnement…
Personnellement, et après lecture (lecture mais pas vérification) de nombreux écrits dont ceux de Béliveau, je crois beaucoup à l’introduction du curcuma associé au poivre dans l’alimentation de type méditérranéenne… J’irai même jusqu’à dire qu’introduire un peu de nourriture indienne dans notre alimentation serait un plus… Je sais, je fais une entorse aux concepts de saisonnalité et de localité que vous exprimez semble-t-il dans votre ouvrage dernier….
A bientôt après lecture attentive de votre bouquin… !
Alain
Pourquoi pas !
Très intéressant !
Merci de ces commentaires ; j’espère que vous ne relayez pas une « pub » déguisée.
Faudrait voir le prix aussi.
Mais nous ne partageons pas le concept d' »alicament »…
Les polyphénols sont de antioxydants certes mais bien d’autres choses ; et surtout des poisons pour se défendre contre les prédateurs de la plante [quoique nous ne sachions pas si le tyrosol est produit par la plante pour se protéger des UV ou pour faire fuir les mouches ; et donc « beaucoup » pourrait ne pas être favorable ; à moins que « beaucoup » dans la bouteille se traduise par « très peu » dans l’assiette à la journée.
Et surtout à condition de ne pas oublier tout le reste de la diète méditerranéenne…
Je ne crois pas non plus aux « conditions extrêmes » ; l’olivier n’est pas un arbre du désert évidemment, plutôt d’une zone maritime ; mais cette olive-là est peut-être adaptée aux « habitants du désert », qui sait ?
Sommes-nous des touaregs ?
Re-bonjour,
Pas de pub déguisée. Non, je vous assure que je citais ce « produit » Olivie 30X comme exemple pour rebondir sur votre article et pour illustrer le fait que les huiles d’olive (comme le reste… ) ne se ressemblent pas… Et qu’il est difficile de faire son choix….
Olivie 30X me parait être, à vue de nez, davantage un produit marketing vendu à un prix prohibitif…. Donc… je ne fais pas du tout de pub… Et chacun est libre d’adhérer à ce produit… ou pas !
Effectivement, les distributeurs de cette huile préconisent un usage modéré de cette huile (de toute façon, au vu du prix, on ne va pas en consommer 1L/jour !!) et donc rejoignent ce que vous dites : « beaucoup » dans la bouteille doit se traduire par « très peu » dans l’assiette à la journée. (ce qui permet de limiter les calories pour les personnes à faible activité physique).
Bien entendu, et en aucun cas, il ne s’agit d’un produit miracle, comme le curcuma et autre… Le régime méditerranéen est avant tout… un TOUT… Une COHERENCE… sans oublier la « résilience » (je ne sais si le terme est exact, on va dire la « lutte contre le mauvais stress »… Pas facile… ) et l’exercice quotidien… Ca fait beaucoup… mais l’enjeu en vaut la peine !
Alain
Nous reparlerons du curcuma…
Bonjour Docteur. Pour en revenir au Oliviers Espagnols et Français, il faut savoir que dans ma région (disons autour de Marseille) le commerces d’Oliviers ne proposent en plantations que des Oliviers originaires d’Espagne, avec parfois un âge respectable… Je ne suis pas très connaisseur, mais il me semble qu’il pourrait y avoir une contamination par plants importés.
Le même phénomène existe pour les arbres fruitiers à bois tendre, abricotiers, cerisiers et même pruniers sauvages : J’en avais quelques spécimen dans mon jardin, plantés par mes petites mimines, tous sont morts en raison d’un parasite, le capricorne chinois, l’ Anoplophora chinensis; dont la grosse larve se niche dans le tronc et racines et vous tue l’arbre en moins de temps qu’il ne faut pour le réaliser; Ce parasite, importé par les plantations, bois d’ emballage provenant de chine a pollué les forêts d’Alsace, commence a s’étendre et détruire nos arbres fruitiers. Déclaration obligatoire par les agriculteurs (ce qu’ils ne font pas…) et seule solution à connaissance, arrachage de l’arbre et brûlage, ce que j’ai fait . J’ai photographié la larve pour comparaison et l’ai brûlée, et j’ai également constaté la présence de l’insecte dont l’apparence est caractéristique. Je n’ai pas constaté de contamination d’arbres alentours depuis au moins quatre ans,(mon voisina de beaux arbres fruitiers qui ne semblent pas atteints) mais il doit y avoir d’autres plantations infectées. On peut vérifier sur le lien ci-dessous :
agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/anoplophora-chinensis_symptomes.pdf · Fichier PDF
Ceci pour dire qu’il me semble que la « mondialisation » des échanges internationaux pourrait aussi être une cause d’ « épidémies » végétales comme en d’autres matières.
Ouais !
≠ Je suis Olive (la femme de Popeye)
Plus sérieusement c’est le Mossad. Evidemment. D’ailleurs le Mont des Oliviers n’est pas atteint alors hein bon.
Ou le lobby du tournesol ?
il n’y a qu’à prendre de l’huile de colza:(
elle est aussi contaminée?
au moins on en produit chez nous à gogo
Le colza « bio » est rare et cher…
Et n’a pas les mêmes qualités et avantages que l’huile d’olive… Lire dans la suite dans notre livre !
Merci pour ce rappel. On a beau le savoir, être informé depuis un petit moment sur ce risque, pas eu le réflexe encore de faire quelques achats supplémentaires.
Protéger notre environnement ………………………………………….. Je suis bien d’accord, c’est même une partie de mon métier. Juste quelques mots pour dire que là comme ailleurs, il faudrait, il faut, avoir un peu de recul sur les émotions médiatiques dans ce domaine. Tel aménagement ultra décrié peut l’être à tort ou à raison, ou entre les deux. Et en même temps, beaucoup d’autres plus discrets feront beaucoup, beaucoup de dégâts, au quotidien.
Souvent en France, c’est le cas de l’agriculture quand elle est intensive. On ne se rend pas assez compte de l’occupation du territoire que ça représente, des modifications des milieux que ça entraîne, encore plus quand c’est peu adapté à nos vrais besoins. J’avais pu il y a quelques années travailler dans une usine de fabrication d’aliment pour bétail : maïs concassé, provenant des immenses champs autour, pleins de toutes sortes de produits (on en voit parfois les traces épaisses sur les feuilles, y compris sur des zones protégées pour la protection des captages d’eau de source de la ville d’à côté – no comment !). Champs qui nécessitent de combler les mares , raser les haies, encore aujourd’hui, bref, des hectares de disparition de tout lieu de biodiversité.
Mélange de ces grains à des quantités (en variété de molécules et en poids) astronomiques d’antibiotiques , de tourteaux de soja qui ont pris la mer, avec beaucoup de fioul utilisé, après avoir été planté au détriment des forêts d’amérique du sud, et des amérindiens qui y habitent, de graisses animales cuites à plus de 300 ° C (j’ai … un doute sur la qualité nutritionnelle de ce produit pour le bétail !, et pour nous quand nous mangeons ce bétail), et d’autres éléments minéraux, divers, en fonction du type de bétail visé.
Bref, manger soit un peu moins de viande, soit de la viande bio quand on peut, ou si possible provenant d’un endroit où le bétail es en majorité à l’extérieur pendant l’année, ça contribue beaucoup plus qu’on ne le croit à préserver un peu mieux l’environnement.
Je suis impatient de lire le livre, ce sera pour février.
Effectivement nous parlons assez longuement des « produits de la ferme et de l’élevage » ; vos commentaires seront bienvenus.