Surmortalité cardiovasculaire au Royaume-Uni depuis la Covid-19
Les chiffres parlaient d’eux-mêmes depuis un moment mais les autorités sanitaires britanniques ne voulaient pas y croire.
Mais la réalité est têtue et finalement le constat est évident : depuis 2019, il y a une surmortalité cardiovasculaire chez nos cousins British.
On avait déjà constaté la même chose aux USA mais, ne faisons pas les fiers, la même chose va nous arriver en France.
Quand ?
Quand des statistiques solides (certificats de décès vérifiés) seront publiées en France. Ça prend environ 2 ans de plus que chez nos voisins British…
Une fois les choses admises, on peut essayer de comprendre ; et essayer d’expliquer à des médias curieux.
Voyons comment les chose sont présentées par la British Heart Foundation (BHF, ci-dessous), les autorités sanitaires britanniques n’ayant pas encore eu le courage d’admettre les faits et encore moins de les commenter.
Ils disent « early deaths » car les chiffres concernent les moins de 75 ans. On dit aussi en français « mortalité prématurée ».
C’est encore pire chez les plus âgés mais on a une explication toute trouvée : c’est la faute au virus !
Les moins de 75 ans étant – nul ne le conteste – résistants au virus, il faut trouver autre chose. Ils cherchent !
A mon avis, la surmortalité cardiovasculaire chez les plus de 75 ans s’explique de la même manière que chez les moins de 75 ans : après la 1ère année (2020), le virus est innocent !
Bref, la BHF parle de la pire crise « cardiovasculaire de mémoire d’homme ».
C’est idiot, j’ai connu pire, mais ça donne une idée de degré de panique…
Laissons les chiffres bruts (d’un faible intérêt) et regardons plutôt les tendances. Graphique ci-dessous.
C’est dans ce graphique que gît la panique des autorités, au point de rester muettes.
Depuis 2004 (et bien avant), la mortalité cardiovasculaire diminuait en Angleterre avec certes une atténuation de la pente de la courbe depuis environ 2013.
Ce n’est pas inattendu, toutes les courbes sanitaires optimistes ont une fin.
La flèche rouge oblique (elle est de moi) indique un brusque changement de tendance au moment de la Covid-19.
En 2019, ça diminue encore et brusquement en 2020, la tendance s’inverse.
On a d’abord (en 2020) accusé le virus car on a vite compris que la fameuse Protéine Spike (bras armé du virus) provoquait des crise cardiaques et des AVC.
Et bien sûr, on se disait que grâce aux vaccins on allait maitriser la situation.
Patatras, lors de l’année de vaccination massive (2021), la tendance ne s’est pas inversée mais au contraire aggravée : 2021 est pire que 2020 !
Les plus fins d’entre nous ont immédiatement conclu que ce n’était plus le virus le coupable.
D’autant plus que si le virus avait tué prématurément certains d’entre nous, on aurait dû constater un rattrapage l’année suivante – c’est une règle épidémiologique classique – quand le virus est neutralisé grâce aux vaccins. En effet, ceux qui sont morts prématurément en 2020 ne sont plus là pour mourir en 2021 et les statistiques se corrigent ! Facile à comprendre.
Il se passe donc quelque chose d’étrange en 2021 !
Mais voilà encore pire (d’où l’affolement de la BHF) : la surmortalité cardiovasculaire s’aggrave encore plus en 2022 qui est pire que 2021 !
Ainsi s’explique le commentaire de la BHF : la pire crise de mémoire d’homme !
Les idiots convenus ont vite expliqué ce phénomène par des supposées diminutions de la prise des médicaments protecteurs (pour abaisser le cholestérol, la pression artérielle ou la glycémie) pendant la Covid-19 par les victimes de crise cardiaque ou d’AVC. C’est bien fait pour eux, ils n’avaient qu’à suivre nos bienfaitrices prescriptions.
Cette explication ne repose sur rien : on n’a pas constaté une diminution de la consommation de ces médicaments pendant la Covid.
D’autres plus sérieux ont évoqué la crise du système sanitaire qui est aussi terrible au Royaume-Uni que chez nous. Certes les urgences sont (étaient) encombrées mais, à mon avis, les suspicions d’infarctus et d’AVC sont restées des priorités dans tous les services d’urgence.
Il faut trouver autre chose.
Cette autre chose est évidente mais inadmissible ! Inadmissible pour les vaccinateurs comme pour les dizaines de millions de vaccinés.
Si on accuse la Protéine Spike du virus pour expliquer la surmortalité cardiovasculaire en 2020, que penser de la Protéine Spike vaccinale en 2021 et 2022 ?
Les vaccins antiCovid (ceux à base d’ARN messager notamment) sont conçus pour apprendre aux cellules des vaccinés à fabriquer de la Protéine Spike avec l’intention de stimuler la production d’anticorps dirigés contre cette Protéine Spike.
Ces vaccins sont conçus pour que le modèle (l’ARN messager) soit protégé et robuste ; et ainsi survive le plus longtemps possible chez les vaccinés de façon à produire le plus possible de Protéine Spike le plus longtemps possible et ainsi stimule le plus longtemps possible le système immunitaire des vaccinés.
Mieux que le virus chez certains d’entre nous, mais dangereux !!
Conséquence inévitable : certains vaccinés vont être victimes de la Protéine Spike qu’ils fabriquent eux-mêmes. C’est l’arroseur arrosé…
Dans mon prochain livre (en librairie cet été), j’apporte tous les arguments utiles pour défendre cette théorie.
Je dirais lol…vacciné 3 doses de Pfizer..pas de problème..j’ai eu 2 fois le Covid depuis 1 an, donc bien après les vaccins, et bim 2 fois je fais de l’hypertension..du coup ça se passe comment…👀… Un coup de pas de chance..(suivi d’un an avec prise de sang, traitement contre la tension, cardio puis arrêt pendant 9 mois avec une tension stable….)…mmmmh
Et oui : ça vous fait 5 fois la Protéine Spike !
Cela dit, il y a peut-être « autre chose » ; je ne me prononce pas sans avoir le dossier en mains…
Une bonne nouvelle: la cause de cette surmortalité sera connue en 2065.
En effet, un nouveau scandale sanitaire révèle que l’Androcur, ce traitement hormonal provoque des tumeurs cérébrales. Or, le médicament est prescrit depuis 1980. On a ensuite constaté une augmentation des tumeurs en 2004 mais on agit en 2024.
Après le sang contaminé, le Mediator, le Distilbène et des dizaines de scandales sanitaires, l’ANSM démontre une fois de plus la grande qualité et la célérité de ses processus de pharmacovigilance !
… et va se retouver au Tribunal !
Alors pour la vaccin Covid, il faudra être patient mais les plus jeunes connaîtront un jour la vérité, les autres seront déjà enterrés.
Bizarrement, dans ce cas, les médecins alertent sur la multiplication du risque, de x7 à x20. Les médecins de plateau disaient pourtant, à propos du vaccin covid, que la dangerosité d’un médicament se jugeait sur la base du nombre de personnes touchées, en pourcentage de ceux qui le prennent. Je fais le naïf, car évidemment, c’est bien la multiplication du risque qui est importante, chez ceux qui prennent le médicament vs. ceux qui ne le prennent pas, avec des groupes bien appariés. Là, le risque de myocardite était multiplié par 10 (chez les jeunes en bonne santé).
Ils n’ont aucune excuse, car ce type d’étude épidémiologique est très efficace s’il est bien fait, comme il semble que cela ait été le cas ici, mais beaucoup trop tard. 5 ans d’exposition suffisaient pour savoir. Et tout autre effet indésirable apparu dans les 5 ans aurait pu être vu de la même façon. L’Assurance maladie possède un dossier de santé sur chaque personne. C’est l’idéal pour ce genre d’étude. Plus compliqué aux USA par exemple, en raison de la privatisation du système de santé (données souvent non disponibles).
« Résultats de l’étude de l’Assurance maladie
Pour préciser en vie réelle la relation entre la prise du médicament, notamment la dose et la durée de traitement, et l’apparition de méningiome, une étude a été menée par l’Assurance maladie en coopération avec le service de neurochirurgie de l’hôpital Lariboisière. Cette étude a été réalisée sur 250 000 femmes exposées au cyprotérone, en comparant celles qui ont reçu de fortes doses (plus de 3g sur 6 mois, soit au moins 3 boites, puis poursuite du traitement) à celles faiblement exposée (moins de 3g sur 6 mois, soit une ou deux boites, puis arrêt du traitement). La survenue d’un méningiome chez ces femmes a donc été surveillée pendant 7 ans.
Les résultats complets seront disponibles ultérieurement.
Les résultats indiquent que l’exposition à l’acétate de cyprotérone à forte dose expose à un risque de méningiome – pris en charge en neurochirurgie – multiplié par 7 par rapport au groupe de femmes faiblement exposées et qui ont arrêté le traitement.
Il existe par ailleurs une forte relation entre la dose et l’effet, le risque étant multiplié par plus de 20 au-delà d’une dose cumulée de 60 g, soit environ 5 ans de traitement à 50 mg/j ou 10 ans de traitement à 25 mg/j (lorsque le traitement est pris 20 jours par mois). »
https://ansm.sante.fr/actualites/androcur-acetate-de-cyproterone-et-generiques-risque-de-meningiome-lors-dune-utilisation-prolongee
outre les injections , on mange on boit et on respire beaucoup de plastique
Une équipe italienne a constaté que les patients chez lesquels des micro et des nanoplastiques étaient retrouvés dans l’athérome carotidien présentaient un risque cardiovasculaire plus important.
Ces résultats sont publiés dans The New England Journal of Medicine (NEJM).
Merci !
Vous avez la référence et le pdf ?
voici:
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2309822
Microplastics and Nanoplastics in Atheromas and Cardiovascular Events
List of authors.
Raffaele Marfella, M.D.,
patients with carotid artery plaque in which MNPs were detected had a higher risk of a composite of myocardial infarction, stroke, or death from any cause at 34 months of follow-up than those in whom MNPs were not detected.
Bonjour Docteur,
j’essaie de prendre un rv assez urgent avec vous à travers le numéro qui apparaît sur internet, mais il ne répond pas!! Pouvez vous me dire comment vous contacter?
Je ne réponds pas au téléphone. Trop peur que Poutine ou Trump m’appelle au secours…
Pour me contacter, vous allez sur la page d’accueil de ce Blog. Vous allez en haut à droite sur « Contact » et vous suivez le guide…
Sans danger, les vaccins covid.
À preuve: https://www.theguardian.com/society/2024/mar/06/hypervaccinated-man-217-covid-jabs-no-side-effects-germany
Ça, c’est de la science Monsieur!
Enfin, quelque chose comme de la science…
Un tout petit peu de science?
Bon d’accord, disons de la poudre (de science) aux yeux.
vous avez compris que ce gars « hypervacciné » n’existe pas ? 217 doses ça fait plus d’une dose par semaine
On navigue en compagnie du « Vaisseau Fantôme »…
Wagner aurait adoré en faire un opéra, tellement c’est con…
C’est un beau scénario pour la prochaine série de science-fiction Netflix
Vous c’est Netflix, moi c’est Wagner…
Nous ne sommes pas de la même époque…
Ça me fait penser au récent film « One life » avec Anthony Hopkins que je recommande vivement à chacun : https://www.youtube.com/watch?v=bfHOiHuKnhk
en fait j’ai jamais accroché à Wagner ni à l’opéra en général
Ne pas aimer l’opéra, l’art de tous les arts (théâtre et décors, texte et poésie et musiques avec un S) c’est qu’on n’a ps été « initié » ou bien qu’on est un peu « handicapé »…
Oups !
C’est l’art de tous les arts mais c’est d’un autre temps !
Tout cela serait plutôt cocasse si ce n’était publié dans The Lancet et largement relayé dans le presse:
https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S1473-3099%2824%2900134-8
Tout cela pue l’opération de communication. C’est aussi un moyen de contrer les accusations de toxicité.
Reprenons: 217 vaccinations en 29 mois dont 130 certifiées en 9 mois.
Si l’on s’en tient aux certifiées, cela fait environ 14 vaccinations par mois donc 3-4 par semaines, une tous les deux jours. En fait, il contourne l’obstacle en se faisant vacciner 2x par jour ! (voir feuille excel en annexe de l’étude). Sans compter le panachage: J&J, AZ, Moderna et Pfizer…
Techniquement, on ne peut plus alors parler de vaccination distinctes mais de surdosages (le poids de l’individu n’est pas mentionné…)
Le fait que personne ne s’en soit aperçu démontre de graves lacunes de sécurité.
Tout cela me semble donc suspect. Alors, arrosons l’arroseur: si être exposé de manière permanente à cet antigène durant 3 ans (217 fois) alors attraper le Covid 217 fois de suite ne devrait pas non plus poser de problèmes contrairement à ce que certaines études avaient conclu.
A moins qu’essayer de déduire quoi que ce soit d’un patient, visiblement gravement atteint dans sa santé mentale pour faire quelque chose d’aussi idiot, ne soit pas vraiment possible.
Mettons tout cela à la poubelle et le « Lancet » avec…
Savent plus quoi dire !
Celui-ci est plus crédible :
https://www.rtl.fr/actu/international/coronavirus-un-bresilien-se-fait-vacciner-cinq-fois-en-dix-semaines-7900062992
Et quelque part, plus fort encore, car il a testé toutes les technologies et de tous les continents : ADN (UK), ARN (USA) et à virus inactivé (Chine).
Merci pour cette référence. Le type a profité de pannes informatiques pour se faire vacciner 5 fois et a été repéré lorsqu’il tentait la 6ème dose.
Conclusion: soit cette histoire de vacciné 217 fois, c’est du pipeau; soit les services de santé Allemands sont 43 fois moins bien organisés que les Brésiliens. J’espère que l’OMS va sévir avec une excommunication !
Dans les deux cas, c’est pas brillant. Mais vu que le type est encore en vie, je penche pour la 1ère hypothèse.
Bonjour Docteur,
Il y a quelques jours j’ai téléchargé un article scientifique sur les vaccins mRNA. Je ne suis pas un expert, loin s’en faut, mais la lecture de ce document me fais peur! Je n’arrive pas à croire ce que j’apprends à la lecture de l’article. Le titre: « COVID-19 mRNA Vaccines: Lessons Learned from the Registrational Trials and Global Vaccination Campaign ».(Cureus). Cet article a été « peer reviewed »; j’aurai bien aimé vous faire parvenir le lien mais curieusement l’article à été retiré (censuré) du site…sans doute sous pression de « Big Pharma » J’ai téléchargé une copie PDF du document si cela vous intéresse. Cordialement.
Je connais cet article et je le cite dans mon prochain livre « Dialogue de promeneurs en Covidie. Une analyse rétrospective et prospective de la récente pandémie » en librairie en Août 2024.
C’est un très bon article avec une analyse très fouillée et une liste de références exceptionnelle. Je ne partage pas toutes leurs conclusions mais c’est, à mon avis (en dehors de mon livre) la meilleure synthèse en langue anglaise de nos connaissances sur les vaccins antiCovid.
J’ai lu les motifs de la « rétraction » par les éditeurs. C’est honteux mais pas inattendu. Les politiques veillent…
J’étais étonné qu’ils aient laissé passer !
en langue ANGLAISE ?? la synthèse pas le livre 😉
le titre est long ; quel est l’éditeur ??
Polle 05/03/2024 à 13:47: J’ai téléchargé une copie PDF
très bon réflexe dans le numérique…
il y a quelques conneries dans le papier, genre ça :
« Prior to the rapid authorization process, no vaccine had been permitted for market release without undergoing a testing period of at least four years, the record set by Merck & Co., Inc. (New Jersey, US) in 1967 with the development of the world’s first mumps vaccine [4]. Pfizer’s vaccine (BNT162b2) completed the process in seven months. Previous timeframes for phase 3 trial testing averaged 10 years [5]. Health departments have stated that 10-15 years is the normal timeframe for evaluating vaccine safety [6]. »
Trois des auteurs : Steve Kirsch, Peter McCullough et Stephanie Seneff, sont bien connus de tous les vaccino-covido-sceptiques, et font régulièrement l’objet de fact-checking/debunking dans la presse mainstream. En revanche, ils ont été tous les trois été interviewés par France Soir. Des trois, un seul est médecin : McCullough, un cardiologue. Kirsch est un entrepreneur, Seneff une chercheuse du MIT.
France-Soir serait peut être plus inspiré en interrogeant des scientifiques du CNRS qui sont aussi des médecins hautement spécialisés…
J’en connais au moins un (auteur d’une douzaine de livres sur la médecine des vaccins) mais que France Soir ne connait pas…
France Soir n’a que ce qu’il mérite !
Telle est la Société du Spectacle !
Mais si ! Ils vous ont consacré un débriefing d’une heure (09/12/2021) :
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings-videos-ne-pas-manquer/michel-de-lorgeril-les-autorites-sanitaires-ont-ferme
Il y a un moment déjà, c’est vrai.
Et puis, plus rien…
Mais je m’en fous !
« Ces vaccins sont conçus pour que le modèle (l’ARN messager) soit protégé et robuste ; et ainsi survive le plus longtemps possible chez les vaccinés de façon à produire le plus possible de Protéine Spike le plus longtemps possible et ainsi stimule le plus longtemps possible le système immunitaire des vaccinés. »
Combien de temps ? A vie ? Peut-on affaiblir cette protéïne Spike ? Certains préconisent la prise de curcumine+Bromélaîne+ Nattokinase. Merci d’avance
Quelle est la question s’il y en a une ?
The Telegraph, UK News:
https://www.telegraph.co.uk/news/2024/02/27/mhra-covid-vaccine-side-effects-mps-all-party-parliamentary/
« Medicines regulator failed to flag Covid vaccine side effects and must be investigated, say MPs. All-party group believe MHRA were aware of heart and clotting issues in February 2021 but did not highlight the problems for several months ».
Cet article fait suite à la publication d’un rapport de 28 parlementaire:
https://appgpandemic.org/news/mhra-letter-health-select-committee
N’oublions pas qu’en plus des désastreux vaccins ARNm, l’empire brittanique a essuyé les plâtres avec son Astra-Zeneca, finalement retiré discrètement après avoir fait pas mal de victimes.
Mais ne nous y trompons pas, Pfizer et Moderne ne valent pas mieux: ils ont simplement été un peu plus malins et ont trouvé, en plus, un moyen d’élliminer un concurrent.
Car, si le MHRA n’est pas « capable » de détecter des signaux aussi évidents, il ne l’est pour aucun traitement. Un article dans le BNJ avait déjà relevé ce point.
Mais, en France, la priorité est de museler ceux qui osent s’exprimer sur le sujet. Pour combien de temps encore ?
Le Bristish Healthcare Products Regulatory Agency (MHRA) est en aussi flagrante déliquescence que sont le VAERS américain ou les HAS et autres Pharmacovigilance Institutionnelle « à la française ».
D’autres ont montré que les 35 ans de commercialisation du Médiator « sans rien voir » ont des équivalents ailleurs…
Peuchère !
PS revoir le film « La fille de Brest » ; ça aide à comprendre ; au moins pour ceux (rares) qui veulent encore comprendre…
Le Royaume-uni réduit les estimations de décès excédentaires après avoir annoncé un nouveau système de calcul !
https://childrenshealthdefense.org/defender/united-kingdom-ons-excess-deaths-reporting-covid-shots/
Quand la fièvre persiste, autant changer de thermomètre…
voir aussi la publi de l’INSEE (juin 2023): 53 800 décès de plus qu’attendus en 2022 : une surmortalité plus élevée qu’en 2020 et 2021; Chez les femmes âgées de 15 à 34 ans, la surmortalité est particulièrement élevée en 2022 (16 %), alors qu’elle était modérée en 2021 (3 %). La surmortalité des hommes du même âge a également augmenté (8 %, contre 3 % en 2021).
Le même phénomène, incompréhensible à ce jour pour les conventionnels, est observé spécifiquement dans les pays où on a beaucoup vacciné.
Comme toujours, aucun phénomène épidémiologique n’a une explication unique.
J’ai choisi de discuter la surmortalité cardiovasculaire au Royaume-Uni car la Protéine Spike vaccinale ne peut être considérée innocente dans les pathologies cardiovasculaires !
C’est comme une pièce de plus dans le puzzle…
Si les scientifiques sérieux, ici et ailleurs, se mettent au travail et surtout ont le courage de communiquer, il est probable que beaucoup de données vont nous arriver dans les semaines et mois à venir.
Soyons attentifs. Ce ne sont pas tous des pleutres carriéristes…
Précisions sur l’impact du Covid sur les poumons: « Pathophysiology of coronavirus-19 disease acute lung injury »
« In patients with COVID-19 pneumonia admitted to the intensive care unit, the PaO2 /FiO 2 ratio is typically
<26.7 kPa (200 mmHg), whereas lung volume appears relatively unchanged. This hypoxaemia is likely
determined by a heterogeneous mismatch of pulmonary ventilation and perfusion, mainly associated with
immunothrombosis, endothelialitis and neovascularisation »
« attaque pulmonaire est d’origine vasculaire ce qui confirme votre analyse de la toxicité de la protéine S sur l’endothélium. Le vaccin circule peu dans les poumons selon les études de bio-distribution par contre le coeur, le foie, la rate, les gonades en prennent pour leur grade.
La toxicité vasculaire du virus Covi-19 est indéniable mais il est probable qu’il est toxique aussi pour les épithéliums bronchique et alvéolaire.
Selon les données d’autopsie…
Bien sûr, vous avez raison mais l’expression du récepteur semble diminuer dans le tissu épithélial plus on progresse vers le poumon: « A novel ACE2 isoform is expressed in human respiratory epithelia and is upregulated in response to interferons and RNA respiratory virus infection »
« Bulk and single-cell RNA-sequencing (scRNA-seq) data detect low-level expression of ACE2 in multiple tissues. ACE2 expression in the airways is relatively high in nasal epithelium and progressively lower in the bronchial and alveolar regions. »
Ce n’est pas le cas avec l’endothélium des capillaires dans lequel se forme des micro-thromboses.
Un ami était troublé au début lorsqu’il soignait les formes sévères en réa. Il ne comprenait pas puis ils ont réalisé que ce n’était ni une obstruction ou une surinfection mais un autre problème qui provoquait l’hypoxie. Il m’a aussi parlé de quelqu’un qui s’était remis puis a constaté que plusieurs organes internes disfonctionnaient dont les reins…
tres interessante video du dr Michel de Lorgeril
https://www.youtube.com/watch?v=3XrRzneobqU
J’aurais pu être plus clair…
M’enfin… comme disait l’autre.
Il y a aussi : https://www.youtube.com/watch?v=Tvku6aSqMpA
Bonjour Docteur,
J’ai retrouvé l’article original d’où sont issues les photos. C’est curieux car cet article dit clairement que la surmortalité au Royaume Uni a commencé dès 2019, et donne un lien vers un article plus ancien où la même BHF confirme cette surmortalité. Or l’article date de mai 2019, soit un an avant le covid…auriez vous une explication? Aussi, dans l’article que vous citez, le responsable de l’association caritative donne plusieurs autres causes à cette surmortalité. Il ou elle a l’air de connaitre son sujet
Je ne comprends pas votre commentaire. Le graphique montre clairement pour les moins de 75 ans que la mortalité cardiovasculaire diminue encore en 2019.
Attention de ne pas confondre avec l’espérance de vie qui concerne toute la population : elle a commencé à décliner au Royaume-Uni (comme aux USA) avant 2019.
Il est probable que la surmortalité cardiovasculaire des moins de 75 ans observée après 2019 traduit une altération antérieure de l’état de santé de ces populations.
En épidémiologie, tout est toujours multifactoriel.
Que le commentateur connaisse ou pas son sujet n’est pas important. Faites confiance à vos propres analyses !
Merci de votre réponse. Nous parlons bien de surmortalité cardiovasculaire, c’est le but de la BHF.Le graphique dont vous parlez montre les chiffres pour l’Angleterre, mais l’article parle d’une surmortalité sur l’ensemble du Royaume Uni dès 2019: donc on peut en conclure qu’au pays de Galles en Ecosse et Irlande du nord la surmortalité date d’avant le covid, donc pas possible pour ces trois pays d’incriminer le vaccin. L’article de mai 2019 donné en line de l’artice que vous citez enumère donc d’autres raisons à cette surmortalité. Raisons reprises dans l’article de 2024. Bravo sinon pour votre travail et votre tenacité
Vous allez trop vite.
Qu’il y ait eu des « inflexions » des courbes avant 2019 n’explique pas l’explosion des cas à partir de 2020 et la persistance en 2021 et 20222.
Il ne faut pas confondre Grande-Bretagne, Royaume-Uni et Angleterre.
Quand vous envisagez des comparaisons, il faut rester sur une seule ligne de raisonnement ; comme dans le graphique de mon article.
Merci de votre réponse. C’est justement parce que je ne confonds pas GB RU et Angleterre que je pose la question, et que j’essaie de comprendre votre propos. Après réflexion et relecture des deux articles du Guardian et du votre, j’avoue que j’ai toujours une lecture un peu différente de la votre, preuve si besoin en était que vous avez atteint votre objectif de nous faire penser par nous-même. Pour moi, si le vaccin est à incriminer (et c’est probablement la cas), il n’a fait que renforcer une tendance déjà amorcée. L’Angleterre, moins pauvre et moins rurale, est en « retard » sur les autres pays du RU, mais c’était inévitable. A voir ce que donneront les stats pour des pays où la malbouffe fait moins de ravages et où le système de santé est un peu moins sinistré, comme la France ou l’Italie, Bon, j’arrête de polluer votre blog, je vous laisse travailler en paix, merci en tout cas de votre réponse, et de vos articles où votre voix discordante est souvent salutaire.
où sont les deux liens ? merci d’avance.
Lien de l’article cité par le Dr de Lorgeril
https://www.theguardian.com/society/2024/jan/22/cardiovascular-disease-early-deaths-in-england-at-highest-rate-in-more-than-a-decade
Et le lien pour l’article du 13 mai 2019 dans lequel la même BHF déclare que la surmortalité cardiovasculaire des moins de 75 ans est en augmentation sur l’ensemble du Royaume Uni (donc avant le covid)
https://www.theguardian.com/society/2019/may/13/heart-circulatory-disease-fatalities-on-rise-in-uk
Dites moi si les liens ne passent pas
Il ne faut pas prendre les analyses de la BHF « à la lettre ».
Ce n’est pas eux qui vont accuser la vaccination.
Contentons-nous d’observer le graphique !
Ben justement … si ca a commence a augmenter avant 2019, je vois pas comment on pourrait mettre ca sur la Covid ou son vaccin. Et c’est quand meme mieux de ne pas choisir que les graphique qui supportent son propos a priori …
J ai essaye de recuperer les donnees brutes sur lesquelles sont basees les etudes de la BHF (la database ONIS) mais j ai pas encore reussi a reproduire leur plot. Pas contre, dans les plots que j’ai pu faire (avec probablement des selections un peu differentes que la BHF), la diminution quasi lineaire des morts cardio commence a flechir (a s applatir) systematiquement avant 2019.
Vous devriez être attentif !
Pas une des lignes que j’écris est inutile…
L’année 2019 est la plus basse, donc avant la pandémie.
Avec 2020 et le virus (et son bras armé, la Protéine Spike), ça commence à mal tourner !
Avec 2021 et 2022 et les vaccins (et leur bras armé, la Protéine Spike), ça va de plus en plus mal !
Il y avait autre chose dans mon sublime article ?
Vous écrivez 100 fois plus mortelle que la grippe.
Je suis très surpris j’ ai lu la rubrique nécrologique de ma région pendant ces dernières années et je ne l’ai pas
remarqué, il aurait du y avoir plein de cadavres dans ma rue ! Rien vu ! Il semble pourtant qu’il y a bien eu une “petite” hausse (10% de plus qu’en 2019) Heureusement sinon j’ y passait avec ma vieille leucémie!
Mais 100 fois ! ??
Vous êtes amusant avec vos statistiques villageoises…
En moyenne, selon les données officielles de l’INSERM, la grippe a tué environ 500 personnes par an au cours des 10 dernières années.
Si vous n’avez pas le courage de chercher ces chiffres par vous-même, vous les trouverez (avec les documents idoines reproduits) dans le Livre 7 de la Collection Vaccins & Société, désormais la seule référence solide pour qui veut comprendre la médecine des vaccins.
Au cours des trois premières années de Covid, on a compté (statistiques officielles) 150 000 décès attribués au virus. On peut discuter les causes réelles pendant des semaines si vous voulez comme pour la grippe. Mais, en moyenne, ça nous donne 50 000 décès par an. Vous suivez ?
De 500 à 50 000, ça fait combien de fois plus ?
Vous avez besoin d’une calculette ou d’un ordinateur ?
Merci pour ces références. Ces chiffres permettent de mieux comprendre votre perspective.
La létalité a fortement diminué avec l’évolution des variants (notamment omicron). La souche originale du SARS-Cov2 était la plus létale mais moins moins contagieuse, ce n’est donc pas celle qui a tué le plus (on est toutefois très loin du MERS dont la létalité était de presque 30 %).
Des variants plus contagieux mais toujours très dangereux pour les populations à risque ont donc plus tué.
Avec omicron, on est arrivé à un équilibre: presque tout le monde a eu la maladie mais la mortalité a fortement chuté, L’âge moyen des décès a aussi fortement augmenté.
Si l’on regarde l’historique des épidémies de grippe, il y aussi eu des années avec 20000 décès attribués à Influenza en France.
Durant la saison 23-24, la grippe a plus tué que le Covid das certains pays.
Comparer ces maladies n’est pas simple. La plus grande difficulté pour évaluer le Case Fatality Rate n’est pas le numérateur (il suffit de compter les morts) mais le dénominateur car il faut tester tout le monde pour connaître le nombre de cas. C’est ainsi qu’une scientifique Suédoise a remis les pendules à l’heure: le CFR du Covid était nettement inférieur aux estimations officielles.
J’attend votre livre avec impatience.
Très vite.
On peut discuter des heures en se jetant à la figure les références ou les études de tel ou tel.
Rester simple reste la meilleure méthode ses scientifiques dans les périodes de grande confusion.
Par exemple, on compare les chiffres français de grippe, ceux de l’INSERM (vérifiés) plutôt que ceux de l’INSEE toujours faux car préliminaires.
Rester sur une période récente, 10 dernières années pour la grippe (comprenez pourquoi grâce au Livre 7 ; allez courage ; faut travailler) ; grosso modo 500 décès par an en moyenne !
Éviter les élucubrations et fantaisies (néanmoins sympathiques) des virologues et épidémiologistes concernant les mutants : à la fin de la 3ème année de Covid, on comptait 150 000 décès attribués à la Covid ; donc grosso modo 50 000 par an en moyenne.
De 500 à 50 000, ça fait combien de fois plus ?
Ce qui me paraît plus pertinent que de comparer la létalité de chaque maladie, c’est de comprendre « qui » meurt et « pourquoi ». Ainsi, la toxoplasmose est bénigne mais très dangereuse pour les femmes enceintes et les immunodéprimés,
Comparer grippe et Covid ne fait pas vraiment de sens: Influenza utilise, par exemple, le récepteur de la transferrine 1 pour entrer dans la cellule et se multiple d’abord dans les cellules épithéliales de l’arbre respiratoire,
On ne sait d’ailleurs pas tout sur la grippe dont certaines souches pourraient causer des dégâts considérables dans le futur.
Le Covid attaque les cellules endothéliales des vaisseaux via le récepteur ACE2.
Actuellement, les complications de la Covid sont donc vasculaires et celles de la grippe plutôt respiratoires (surinfections, etc) bien que le réaction immunitaire puisse faire des dégâts ailleurs.
Ce qui va faire la différence, c’est la capacité du système immunitaire inné à bloquer la multiplication virale et contenir la charge virale dans la partie ORL ce qui semble plus facile avec le variant omicron.
Les personnes jeunes en bonne santé passent en général cette épreuve sans trop de dégâts.
Par contre, si le virus atteint les organes internes et se multiple, c’est catastrophique: tous les organes sont concernés et pas uniquement les poumons. Sans compter les dégâts à l’endothélium qui vous font prendre 10 ans d’age…
La mauvaise nouvelle ? La vaccination peut provoquer des dégâts similaires car la protéine S toxique se retrouve dans le plasma en forte concentration ce qui n’est le cas lors d’un Covid léger.
Hum !
Vous écrivez : « les complications de la Covid sont donc vasculaires… »
La majorité des décès dus à la Covid sont respiratoires ; à moins que vous considériez que les atteintes endothéliales pulmonaires fassent partie des complications vasculaires…
Pourquoi pas !
ça me dérange pas de travailler à la louche pour faire simple mais il faut que cela reste crédible:
Grippe: moyenne des décès sur 10 ans pré-covid: env. 9000 (source Santé Publique France), La grippe a « disparu » durant le Covid. Pic 2014: env. 20000 morts.
Si vous voulez faire une comparaison crédible, il vous faut 10 ans de Covid.
Mais on ne les a pas, alors il faut analyser:
Décès Covid
2020: 70000, 2021: 60000, 2022: 33000, 2023: 18000
Moyenne sur 5 ans 36’000.
Le Covis a été environ 2-3 fois plus meurtrier que la grippe. Pour le futur, on verra. Actuellement les deux concurrents sont au coude à coude.
Si le Covid avait été 100 fois plus dangereux que la grippe, nous serions toujours confinés.
Vous me fatiguez.
Les données de Santé Publique France ne valent rien. C’est de la propagande vaccinaliste.
Merci de vous référer aux gens sérieux dont c’est la profession de vérifier les causes de décès : l’unité INSERM dévolue à cette problématique. Et ça donne en moyenne 500 décès par an, parfois beaucoup moins parfois plus mais en moyenne on tourne autour de 500.
La phase aiguë de la Covid a duré 3 ans. Ce sont les années cruciales à considérer. Faites la moyenne de ces 3 années : 150 000 divisés par 3.
A ce jour (4 ans de Covid : 2020 + 2021 + 2022 + 2023 et il ne passe rien en 2024), selon Woldometer (données fragiles car gouvernementales), on est à environ 170 000 décès attribués à la Covid, donc 42 500 par an ; contre 500 par an à la grippe. Ce n’est pas la bonne façon de procéder ; il faut considérer la phase aiguë des 3 premières années. Peu importe. De 500 à 42 500, c’est « presque » 100 fois plus !
Martin Zizi a analysé les données du PHE de 2020 à 2022, et on s’aperçoit que pour chaque variant, le CFR est le même du début à la fin. Il paraît donc probable que la mortalité du covid dépende énormément des variants. Elevée pour la souche originale, beaucoup plus faible pour le variant anglais (indien), et presque inexistante pour omicron. En revanche, le CFR augmente après la vaccination de masse…
Quant à l’IFR, il a toujours été très faible, légèrement plus élevé que la grippe. On est loin d’un terrifiant virus !
Pas terrifiant mais 100 fois plus mortel que la grippe saisonnière.
Tout dépend de quel point de vue on se place.
Pas terrifiant mais à ce jour 1 million 200 mille décès aux USA et 232 000 au Rpoyaume-Uni…
C’est exactement ce que je dis: ce sont les capillaires qui assurent l’échange gazeux qui sont attaqués et bouchés par le virus.
Le poumon est atteint mais pas de la même manière que la grippe, d’où l’utilité de la prescription d’anti-coagulants,
Mais le virus peut aussi s’attaquer à l’endothélium des vaisseaux de nombreux autres organes (intestin, foie, gonades, etc). La forme grave est une forme vasculaire. Je pensais que vous le saviez.
Chiffre officiel ATIH : en 2020, 2% des entrées en hospitalisation étaient Covid !
Il faudrait enlever des décès tous ceux morts dus à la mise en coma artificiel avec intubation ( Ils appelaient ça “reanimation” ! ) et ceux du Rivotril puisqu’ils étaient en rupture de Midazolam. Puis plus tard les décès dus au vaccins : Vendée : une communauté de prêtres décimée par le Covid
En à peine un mois, sept prêtres vivant en communauté à Chavagnes-en-Paillers sont morts infectés par le Covid-19. Un drame pour cette congrégation des Fils de Marie Immaculée, dont la quasi-totalité des membres avait récemment reçu l’un des vaccins. Source :
Source revue famille Chrétienne ou RTL ( recherche Google)
J’en connaissais perso un!
Merci pour vos références. J’ai cherché et suis tombé sur:
https://www.inserm.fr/dossier/grippe/
ça aide pas beaucoup: ils parlent de 4000-6000 /an en France. Ils citent aussi la grippe de Hong Kong de 1968 (virus H3N2) qui a fait un million de morts dont 40 000 en France.
Où peut on trouver les stats brutes ?
Ah, je comprends : vous ne savez pas chercher.
Le plus simple est de vous procurer le Livre 7 de la Collection Vaccins & Société.
Bonjour, pour les chiffres « officiels » de la grippe: 10000 morts pour vendre le vaccin. 500 morts (inserm CépiDc) quand il faut montrer que le vaccin est efficace. Ce sont de toute façon des estimations.
Ce sont des moyennes…
La différence de mortalité entre grippe et covid peut aussi s’expliquer par l’absence de prise en charge précoce au moment où sévissait la souche originelle et son descendant immédiat. Les gens arrivaient en USI avec une septicémie. Le virus avait eu le temps d’infecter profondément l’organisme.
C’est la thèse de Martin Zizi pour expliquer la différence entre IFR et CFR du covid. Si le CFR est élevé, c’est qu’on a foiré la gestion de crise. La grippe est une maladie connue pour laquelle on consulte et qui est gérée par la première ligne, la médecine de ville.
Je pense que les hypothèses médicales du Martin Zizi ne sont pas solides…
Il essaie de défendre ses points de vue mais il serait préférable qu’il reste dans la théorie biologique où il est très brillant !
Je pense que nous ne nous mettrons pas d’accord sur ce point et ce n’est pas grave.
Si le taux de mortalité de la grippe sont sur-évalués par les vaccinologues, ceux du Covid le sont aussi: l’étiquetage se faisait manière assez rapide surtout quand il y a un bonus financier à la clé pour un hôpital. Les vaccinologues ont ensuite pris le relais car le développement du vaccin a démarré quasiment en parralèle.
Je ne nie pas une létalité importante du virus au printemps 2020 qui n’a rien a voir avec la grippe saisonnière: il s’est passé quelque chose de grave. Mais la situation n’était déjà plus la même en fin d’année. Lorsque les vaccins ont été déployés, la perception de leur « efficacité » s’appuyait sur des variants déjà bien moins dangereux, des groupes risque déjà décimés et une immunité partielle de la population.
A partir de janvier 2021, c’était une mise en scène avec amplificateur médiatique dont le seul but était la vaccination de toute la population. Je n’ai donc aucune confiance dans ces chiffres.
En répliquant le même bazar, une mauvaise souche d’influenza fera parfaitement l’affaire.
D’ailleurs, comme vous le faites remarquer: il n’y a presque plus rien actuellement (en tout cas pas plus que la grippe) et c’est toujours un SARS-Cov-2 qui circule !
Tous les data analysts vous le diront: c’est complexe et très loin d’une science exacte: maivaise qualité de données (manquantes, erronées, mal classées). etc.
Le pire ne provient pas des chiffres mais de la manière de les interpréter: changement de méthodologie ou de classification.
C’est utile parfois quand il s’agit de réduire le chômage, l’inflation ou gonfler la croissance. C’est aussi utilisé pour faire monter le cours d’une action au bon moment (acquisition, calcul du bonus, etc). Il y a même des formations spécifiques sur ce sujet.
Je rappelle que les fameuses subprimes étaient évalués AAA par les experts et, qu’en 24 heures, ce sont devenu des « junk funds ».
The Telegraph: « ONS accused of overestimating excess deaths in first year of pandemic »
Ainsi la surmortalité aurait été sur-estimée en 2020 puis sous-estimée. L’article parle aussi des morts de maladies cardiaques.
On ne travaille jamais qu’avec un seul indicateur: pour évaluer une situation, il faut considérer la situation dans son ensemble et éliminer les incohérences.
Convernant ce vaccin, les données convergent: pharmacovigilance, études prospective et rétrospectives, examens histologiques (autopsies), surmortalité chez les jeunes, augmentation des incidents cardiaques graves, surmortalité chez les personnes vaccinées, explosion de la prescription de certains traitements, etc.
Ces preuves ne font que confirmer des hypothèses solides dont la toxicité de la protéine S et les réactions auto-immunes (votre système immunitaire attaque les cardiomyocytes contaminées par un virus ou un antigène). Or, les études de biodistribution ont confirmé une présence dans le coeur du vaccin et la protéine S a été retrouvée dans le plasma plusieurs mois après la vaccination.
Nous sommes dont loin d’être dans l’inconnu. Si un tribunal devait juger un criminel avec un tel faisceau de preuves concordantes, il prendrait perpette.
François : suis pas vraiment compétent ds les thèmes que vous discutez. Juste pr la pharmacovigilance : j’ai fzit 1 déclaration apres mon 1er (grosse pression professionnelle, bravo a tous les esquiveurs). Jai pu voir que : cetait acressible qua une partie de la population (habitude de se depatouiller ds les formulaires administratifs ; d’avoir gardé le no de lot du vaccin ce qui a de facto exclu pleins de declarants). Conseil de ne pas declarer des effets deja connus : ce qui empechait tout calcul de frequence meme approché et qui exluait toute nuance (entre 1 diarrhee legere et une duarrhee lourde et durable il y a un monde). Etc. Si malgre tout au moins en France des effets 2nd ont émergé qd même cest suils devraient etre sacrement presents. Pas sur que beaucoup de chantres du « y a pas eu trop deffets 2nd » aient tenté de faire des déclarations de pharmacovigilance.
Les idiots « utiles » (type Pr Flahaut à Genève et quelques ministres) vont être très déçus quand ils liront le livre du « gentil » Dr de Lorgeril…
Déçus aussi ceux qui prétendent que la Covid fut une maladie bénigne ; quoique tout réside dans la notion de « bénigne ».
100 fois plus souvent mortelle que la grippe saisonnière c’est « bénigne » ?
@Olive, malgré les sous-déclarations, les signaux concernant les myo/péricardites sont reconnus. Dans l’étude que j’ai citée, on est à 6x le risque chez les vaccinés.
PS: je trouve qu’on est bien trop dociles. Si votre médecin refuse de faire la déclaration, déposez plainte: la loi l’oblige à le faire même si ça l’arrange pas pour d’autres raisons.
J’explique dans mon prochain livre les raisons multiples qui expliquent les sous-déclarations des effets indésirables des produits de santé, pas seulement les vaccins. C’est crucial aussi avec les statines…
Tout le monde le sait, mais on fait comme si…
Cette sous-déclaration a été quantifiée dans plusieurs études (citées dans le livre). En bref, par rapport à une attitude proactive, les déclarations ne représentent que 10% des effets indésirables réellement constatés.
En un mot, à chaque fois qu’un idiot « utile » vous donne un chiffre, il faut le multiplier par 10 !
Merci pour votre réponse.
Je suis bien d’accord , 50000 morts par an de plus sur 600000 avant Covid Ça fait bien environ 10%!
J’ ai lu vos livre sur les vaccins, j’ attends avec impatience le prochain épisode!
il y a de la littérature sur la sous notification. Un facteur 100 voire 1000 est plus réaliste que 10.
Je dis que seulement 10% des effets indésirables sont déclarés parce cela a été testé dans des études.
François : désolé pr l’orthographe depuis le tel. Je comprends l’idée. Mais vaccin fait par centre de vaccination et pas trouvé de generaiiste (c’était après 1 déménagement) : le manque de médecins dispos est d’ailleurs un autre frein a la déclaration, encore plus en plein covid vue la désorganisation du moment.
La pharmacovigilance institutionnelle n’a jamais fonctionné.
Pour documenter les effets indésirables des produits de santé, il faut des études spécifiques, proactives, avec des hypothèses a priori. Bref de la médecine scientifique ; avec ses limites.
Sinon, on a le Médiator : 35 ans sur le marché sans rien voir jusqu’au jour où, alerté par la pneumologue de Brest, un fonctionnaire de l’Assurance-Maladie à conduit discrètement l’enquête qui aurait dû être faite 20 ou 25 ans avant ; mais il n’avait pas le droit de prendre cette initiative…
Tel est le système !
… à la question « Il y avait autre chose dans mon sublime article ? » … comme on creuse ici il n’y a plus de bouton REPONDRE ! OUI : il y avait » prochain livre (en librairie cet été) » c’est en dernière ligne de l’article… et des dédicaces (Francois L. 19/02/2024 à 11:47) :
– on les attend tous les deux – le livre et la séance : c’est nouveau 😉
J’ai oublié d’archiver un exposé de Didier Raoult qui montrait un Western blot (une technique que j’ai utilisé comme l’amplification PCR au cours de ma carrière de recherche en biologie) révélant une cross-réactivité d’un sérum de malade du coronavirus avec diverses protéines dont la syncytine; or vous n’êtes pas sans ignorer que la syncytine est essentielle pour la formation de fibres musculaires longues et que le muscle cardiaque d’un être humain adulte se renouvelle entièrement en 5 ans. Ce renouvellement fait donc appel à la syncytine. Si le SARS-CoV-2 ou pire le vaccin à ARN messager codant pour la sous-unité 1 de la spicule du coronavirus font apparaître des anticorps cross-réagissant avec cette syncytine alors vous avez l’explication de cette véritable épidémie de crises cardiaques soudaines. Qu’en pensez-vous cher Monsieur ?
JH Julliard
Dr en chime, Dr en biologie
Ancien élève du Dr Roger Guillemin, prix Nobel de médecine
Depuis Papeete
Je ne vous contredirai pas, étant peu familier des syncytines myocardiques : avez-vous des références récentes concernant cette question ?
D’autre part, les complications cardiovasculaires du virus covi-19 et des vaccins antiCovid sont assez bien décrites désormais. C’est du thromboembolique essentiellement mais des myocardites peuvent être dues à des microthromboses myocardiques.
Une nouvelle étude suggère que les rappels vaccinaux anti Covid-19 fréquents chez les personnes immunodéprimées pourraient causer plus de dommages que de bénéfices.
https://link.springer.com/article/10.1007/s10238-023-01264-1#Sec3
De l’eau à votre moulin…
Andrew Bridgen : Débat sur la surmortalité Westminster Hall 16 Janvier 2024
https://youtu.be/hJ7BESd1rFc
Sunak en mauvaise posture
https://www.youtube.com/watch?v=cuLS5zFZLjg
https://www.youtube.com/watch?v=G69EqpMz-6M&t=0s
L’Angleterre semble avoir une longueur d’avance sur la France.
Comme d’habitude…
le royaume uni a publie des statistiques détaillées de mortalité ( vax / non vax ) alors que les autres pays européens ne le faisaient pas
( ces pays ont ils recu des directives de Pfizer, ou de McKinsey, ou des services americains .. ? ).
puis le royaume uni a cessé de publier les décès ventiles par statut vaccinal. (pourquoi ?)
ils ont donc eu du retard dans la censure, ce qui a révélé l ampleur des dégâts.
Des données rétrospectives vaccinés/nonvaccinés ont peu de valeur pour un scientifique. Ces populations sont différentes et incomparable
Cette approche a été utilisée par les crétins vaccinalistes jusqu’au moment où ils sont compris que ça se retournait contre eux.
Ne faisons pas la même erreur !
« Certains vaccinés ». A priori ceux qui ont une tendance à l’auto-immunité, ce qui a été concédé par le Pr. Delfraissy en réponse à cette jeune femme (l’extrait vidéo ne contient malheureusement pas le passage de Delfraissy) :
https://www.france.tv/france-5/c-l-hebdo/saison-8/5331822-effets-secondaires-du-vaccin-le-temoignage-de-samia-abdellah-louis-amar-c-l-hebdo-07-10-2023.html
Michel Georget parle dans son livre ‘L’apport des vaccinations à la santé publique », du système HLA, chapitre II, A. Ceux qui en ont un mauvais ne devraient surtout pas être vaccinés. Le vaccin est standardisé mais la réponse ne l’est pas, elle peut être inefficace ou explosive.
Une autre question est la quantité de protéines produites avec les vaccins ARNm, a priori variable entre individus, contrairement aux vaccins produits dans des réacteurs. Martin Zizi demandait à ce qu’on fasse des biopsies chez des volontaires pour l’évaluer.
Donc, vaccin possiblement non standardisé pour une réponse également non standardisée.
Bien sûr !
La médecine des vaccins ne doit pas être exclue de la Médecine de précision décrite par le célèbre Dr de Lorgeril dans son chef-d’œuvre « Comment échapper à l’infarctus et l’AVC »
Tout chaud, vient de sortir: « COVID-19 vaccines and adverse events of special interest: « A multinational
Global Vaccine Data Network (GVDN) cohort study of 99 million vaccinated individuals »
Je pense que c’est un gros truc: 100 mio de patients. Table 4: OR 6.10/C.I. 5.52/6.72 risque myocardites Moderna 2 doses.
Dommage que vous ne puissiez l’ajouter aux références de votre bouquin.
Mais, avec un truc pareil, j’avoue que vous ne risquez plus grand chose du fameux article 4.
Par contre, je suis pas certain du futur de certains médecins qui recommendaient encore ce vaccin aux jeunes l’an dernier.
Merci.
Il est dans la bibliographie du livre, bien sûr.
Ce n’est pas le meilleur argument mais il y est !
Merci. On a retiré des produits avec un OR de 2 sur certains risques. Surtout quand il s’agit de médecine préventive. Le calcul bénéfice-risque était totalement biaisé, avec de tels chiffres, le vaccin n’aurait plus dû être proposé aux moins de 65 ans dès fin 2021. Il est au contraire devenu obligatoire pour tous en janvier 2022 !
Cette « étude » est une merde infâme huhuhu, mais bon ça fait une publication qui sera citée donc Anders Hviid pourra se faire mousser
Vous semblez savoir des choses que nous ne savons pas. Merci de développer pour nous en faire profiter, je suis preneur.
Ma lecture c’est une aggravation de signaux de sécurité importants alors que la pharmacovigilance nationale ne fait pas son job.
L’étude a ses limites (42 jours max, âge/sexe convertis en person/year, décès ?, etc). Il est clairement mentionné que les risques sont probablement sous-estimés. Des études complémentaires ciblées sont recommandées pour confirmer un lieu de causalité.
On est bien loin d’un vaccin sûr et efficace comme l’a encore osé récemment un ancien ministre de la santé.
ce genre d’ « études » rétrospectives faites sur des bases de données administratives c’est de la merde :
– les données ne sont jamais validées
– en mélangeant des pays et des bases différentes on obtient des sources totalement hétérogènes en termes de captures d’évènements et d’exposition
il suffit pour cela de regarder le fichier fourni en annexe avec les détails sur les sources, on peut en plus constater que dans les codes CIM10 retenus, ils n’ont pas inclus I31.9 ni I51.4 pour les myocardites et péricardites; et là j’ai juste survolé quelques minutes… Auditer ce type d’étude prend énormément de temps et juste en 3 minutes on voit que c’est sans grand intérêt.
ce genre de trucs est donc d’un intérêt très limité, personnellement je ne lis plus ce genre de conneries, c’est juste du brassage de vent et de la comm.
Bien sûr, mais…
Que des experts officiels (connivents avec les administrations auxquelles ils appartiennent ; ce qui est un point crucial puisque ces administrations sont responsables des effets indésirables des vaccins et pas les industriels) admettent cette avalanche (bien que sous-estimée) des effets indésirables de ces vaccins donne une idée du « retournement » en cours…
Ils n’iront pas au Paradis !
Pas plus que Poutine et Netanyahu !
quand tu regardes bien c »est une comm bien rôdée : ils admettent les effets indésirables déjà connus, laissent éventuellement passer quelques autres risques à la marge en nous expliquant qu’il faudra » d’autres études ».
Bref le bullshit habituel.
Certes mais c’est un progrès par rapport au négationnisme français !
Merci, je comprends mieux votre perspective. Je suis d’accord mais c’est la 1ère fois que je vois une étude financée indirectement par le CDC admettre autant de choses. Il y a un an, on vous censurait sur YouTube pour moins que cela.
Et ils sont d’accord avec vos remarques:
« The results from our study should, however, be interpreted considering multiple limitations. Our analyses inherently involve heterogeneity in data collection, quality, and reporting standards across countries. These differences in healthcare infrastructure and surveillance systems can introduce bias and affect the comparability of results. »
« Potential underreporting across countries may have led to an underestimation of the significance of potential safety signals. It is important to recognize the potential for false negatives, especially when detecting associations with lower confidence intervals below 1.5 that maintain statistical significance. »
Il se passe quelque chose: face à la pression, il est devenu impossible de nier le problème. Dans certains Etats (FL), le gouvernement fédéral a perdu la main. Admettre, c’est peut-être une manière de reprendre le contrôle et limiter la casse.
D’accord, le mur de la honte s’effrite ; réjouissez-vous, paroissiens !
Des centaines d’études validées font désormais référence et vont toutes dans votre sens.
La nature n’est pas totalement idiote: face à des virus respiratoires qui mutent extrêmement rapidement, notre organisme mise peu sur une immunité acquise humorale qui sera obsolète en 3 mois.
De plus, le temps de réaction est bien trop long pour empêcher le virus d’endommager massivement l’endothélium de nos vaisseaux sanguins et nos organes vitaux internes.
Alors, c’est notre immunité innée qui contient le virus localement. Celle-ci est très puissante notamment chez les jeunes et les enfants. Certes, il y aura finalement aussi une réponse immunaire humorale qui neutralisera le virus de manière définitive mais celui ci n’aura pas eu le temps faire trop de dégâts.
Vu le mode d’administration, le vaccin va, par contre, se diffuser dans tous le corps: cette protéine toxique sera produite longtemps (quelques mois chez certains individus) par divers tissus et organes. Les taux de protéine relevés sont parfois équivalents à ceux des formes graves de la maladie.
C’est exactement ce que notre système immunitaire inné nous fait éviter lors d’une infection dans 99 % des cas.
Certains labos ont travaillé sur un vaccin en aérosol local qui minimise ce risque mais Pfizer n’en a fait qu’une bouchée: quand on annonce une efficacité de 95 % en début de campagne, la concurrence peine alors trouver des investisseurs.
J’attend avec impatience la sortie de votre bouquin. Prévoyez-vous une séance de dédicaces ?
Les dédicaces dépendront de l’organisation par l’éditeur.
Ce sera, à mon avis, le document incontournable pour discuter sereinement la Covid-19 et sa sévérité, l’origine du virus, les traitements antiCovid, les vaccins antiCovid et leurs effets indésirables et finalement le Covid Long !