Vaccins contre le paludisme : comment sortir de l’inextricable ?
Le paludisme est une maladie sévère et très répandue en zones tropicales : beaucoup de victimes, surtout chez les petits enfants.
Je ne vais pas faire une leçon sur cette douloureuse question [c’est l’objet du Chapitre 7, Partie 2 de mon livre « Les vaccins à l’ère de la COVID-19 » en librairie désormais ; ci-dessous].
J’explique dans ce chapitre comment un industriel des vaccins, l’OMS et l’Agence Européenne des Médicaments (EMA) se sont embourbés, à propos d’un vaccin contre le paludisme appelé Mosquirix, dans une situation Africaine où le déplorable se combine au répugnant. Je laisse chacun apprécier les faits tangibles et vérifiables à partir de ce qui est rapporté et documenté dans le Livre.
En un mot, ce vaccin Mosquirix est inefficace et très toxique et devrait être immédiatement abandonné !
Pourquoi j’en parle aujourd’hui ?
Parce que depuis quelques jours, divers médias se font l’écho d’un « nouveau » vaccin contre le paludisme originaire d’Inde ?
On peut certes pardonner au prestigieux Figaro dont les rédacteurs, très amateurs, ne savent comment se distinguer (ci-dessous) et racontent n’importe quoi sans prendre le temps de se documenter. Je ne sais si ce manque de professionnalisme caractérise désormais toute une profession, une époque ou une génération ; les trois sans doute !
Plus inquiétante est la façon dont un célèbre journal supposé scientifique [Nature] rapporte les faits. Nous avons vu, au cours de la crise sanitaire, que ce journal avait perdu tous ses repères et que lui-aussi racontait n’importe quoi.
Mais avec ce nouveau vaccin contre le paludisme, on atteint des sommets. Pour éviter tout malentendu, je vais reproduire des sections de l’article publié dans Nature. Personne ne pourra dire que j’invente ou maquille les faits.
Je commence par le titre (ci-dessous).
Ça ressemble à du Figaro ; mais la suite importe plus car on dévoile les secrets de fabrication.
Pour ceux qui lisent mal l’anglais, je résume : le « nouveau vaccin » indien est dérivé du précédent Mosquirix mais il est plus performant (plus forte concentration d’antigènes) et moins dispendieux à produire.
S’il est plus efficace biologiquement, il sera presque certainement [toute l’Histoire des vaccins le montre sans équivoque] plus toxique que Mosquirix qui est lui-même honteusement toxique puisque dans les essais précédents (racontés dans le Livre), on avait enregistré plus de méningites, plus de malaria cérébrale et un doublement de la mortalité féminine dans les groupes vaccinés !!
On constate ainsi que le nouveau vaccin R21 est comparé à Mosquirix en termes de concentrations de la protéine antigénique (permettant plus d’efficacité immunologique) et de l’adjuvant qui accompagne l’antigène qui serait moins dispendieux à produire dans R21 que dans Mosquirix.
A aucun moment dans cet article, on ne mentionne l’inacceptable toxicité de Mosquirix !!
Mais il y a encore pire : dans l’étude préliminaire rapportée par Le Figaro et Nature, le groupe témoin (des bébés de 5 à 17 mois) ne recevait pas un placebo mais un autre vaccin, celui contre la rage [4 injections sur une année] dont les effets indésirables dans cette catégorie d’âge sont inconnus.
Il n’y avait aucune raison d’utiliser ce vaccin contre la rage potentiellement toxique plutôt qu’un Placebo pour tester un vaccin contre le paludisme !
Les vaccins contre la rage ne sont presque jamais utilisés en préventif mais seulement en curatif chez des individus qu’on suspecte d’avoir été mordus par un animal enragé. En effet, quoique tout soit fait pour embrumer les mémoires, on sait que les vaccins contre la rage exposent à de nombreux effets indésirables qui sont certes « acceptables » quand il s’agit d’empêcher une maladie, la rage, mortelle dans 100% des cas et pour laquelle nous n’avons pas de traitement.
Peut-on penser qu’on voulait ainsi plus ou moins « masquer » les effets indésirables du vaccin contre le paludisme grâce au vaccin « témoin » contre la rage ?
Ce n’est pas une hypothèse farfelue.
Cette mauvaise façon est souvent utilisée par les industriels quand ils testent un nouveau vaccin : on utilise un autre vaccin (avec effets indésirables ) plutôt qu’un placebo.
J’en donne des exemples dans le Livre 8 de la Collection « Vaccins & Société » titré « Les vaccins contre les cancers » (en Librairie en Juin).
Dans cette épouvantable affaire des vaccins contre le paludisme, nous sommes nombreux à penser que l’OMS et l’EMA ont perdu leur crédibilité « humanitaire ».
Ces Institutions internationales sont souvent présentées comme des références scientifiques ; ce qui est généralement risible, comme on l’a vu (et comme on le voit) pendant cette crise sanitaire COVID-19.
Avec cette question des vaccins contre le paludisme, c’est l’éthique la plus basique de ces institutions qui est désormais questionnée.
Comment leur faire confiance à propos des vaccins antiCOVID ?
Un nouveau rapport de recherche sur le RTS,S/AS01E ici. Ils semblent vouloir vendre leur vaccin en l’associant à un traitement préventif. Pas spécialiste mais les résultats et les formulations me semblent parfois ambigus ou tout au moins vagues (« Administration of RTS,S/AS01E was noninferior to chemoprevention in preventing uncomplicated malaria. »)
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2026330
Pour ce qui est d’Astra Zeneca et des thromboses, les spécialistes savent maintenant (mieux) ce qu’il y a dans ce « vaccin »,ce qui leur permet de tenter des explications des thromboses qu’il est susceptible de provoquer:
https://www.sciencemag.org/news/2021/04/do-preservative-and-stray-proteins-cause-rare-covid-19-vaccine-side-effect
C’est intéressant (notamment un possible effet de l’EDTA ; on se demande qu’est-ce que ça fait dans la seringue ; pourquoi ? Bon !) mais ça reste très hypothétique ; de même d’ailleurs que cette obsession sur le PF4 plaquettaire et les anticorps correspondants.
Pour moi que j’ai beaucoup travaillé sur les plaquettes dans ma jeunesse [je fus probablement le premier cardiologue à préconiser les antiplaquettaires type aspirine dans les maladies cardiovasculaires dans les années 1970 ; sous la risée de mes confères…], tout cela me parait encore fragile…
Est-il exact que la vaccination,dans une première phase (mettons entre les deux injections, pour Pfizer Biontech) fragilise temporairement le système immunitaire, exposant le sujet à contracter dverses maladies ?
C’est ce qu’affirme un “microbiologiste” travaillant actuellement en Allemagne, à l’ Institute of Microstructure Technology de Karlsruhe.
(Mais il a passé cinq ans à l’IHU…)
“Vaccination of individuals while they are exposed to a pandemic has several adverse consequences. 1. Vaccination processes usually imply temporary immune system weakening, before vaccine-induced immunity is acquired. Hence, the vaccinated are fragilized during the vaccination process, and more likely to develop any diseases against which the immune system usually defends the body. This includes any viral and bacterial infections, and individual cancer cells that would escape extermination by the immune system during this period it is weakened. This could cause cancer in the medium- or long-term. ..” extrait d’un mémoire qui sera présenté à la Cour Suprême d’Israël
Expert evaluation on adverse effects of the Pfizer-COVID-19 …
http://www.nakim.org/israel-forums/download.php?id=837
C’est à mon avis assez hypothétique.
Mais pas impossible !
L’histoire de la médecine des vaccins nous a montré tant de chose disparates et contradictoires ; sans parler des tentatives minables de minimiser les effets indésirables des vaccins.
La principale difficulté pour répondre mieux à votre question c’est notre incapacité à comprendre et analyser notre système immunitaire en clinique. Désolé !
Michel de Lorgeril 08/05/2021 À 18:25RÉPONDRE
Tous les virus (ou presque) donnent des myocardites. Les virus sont la première cause de myocardites ; à condition qu’on les cherche un peu…
Si vous attaquez par ce biais, on vous répondra que les vaccins donnent beaucoup moins de myocardite que les virus…
Ce qui n’est pas faux !
Les vaccins Moderna et Pfizer n’introduisent pas de virus dans l’organisme.
Même s’il est des gens pour nous dire, selon la formule consacrée “à ce stade, on ne peut affirmer…”, l’hypothèse d’un lien entre ces vaccins et des myocardites paraît plausible à un nombre croissant de spécialistes.
L’armée américaine arépertorié des cas plus ou moins graves.
S’il y a un lien causal, il faudra le mettre en lumière et s’il n’y en a pas il faudra expliquer ces myocardites.
https://www.military.com/daily-news/2021/04/26/pentagon-tracking-14-cases-of-heart-inflammation-troops-after-covid-19-shots.html
Comme vous le savez après la lecture de mes 8 chef-d’œuvre sur les vaccins [Collection « Vaccins & Société »], on a aussi décrit diverses pathologies myocardiques après divers vaccins en l’absence d’injection de virus vivant.
Tout est possible mais les données sont faibles ; et rien n’est fait pour clarifier : la poussière sous le tapis…
Deux conséquences : 1) augmentation du sentiment de défiance (dite aussi « hésitation ») vis-à-vis des vaccins ; 2) perte de crédibilité des autorités sanitaires, des académiciens et des universitaires ; sans parler des « hauts-parleurs » politiques et de leurs complices médiatiques. Tous les ingrédients d’une crise inéluctable ! Quand et comment, telles sont les deux autres questions !
Brillante analyse ! lucidité parfaite entre naïveté la plus totale et complotisme le plus furieux….
Merci pour votre réponse;vous envisagez des conséquences socio-politiques.
Quid de la « science » ;peut-on espérer comprendre (un peu) ce qui se passe avec ces « vaccins » ? et d’ailleurs aussi ce qui fait que le virus provoque ces réactions « désordonnées,néfastes » du système immunitaire ?
La science (la bonne) va à son « rythme… de pèlerin » : « chi va piano va sano » aurait dit machiavel avant de se suicider !
C’est un travail collectif nécessitant prudence et humilité.
A mon avis, ça avance bien, plutôt vite et même très vite si vous comparez avec l’épisode HIV-sida.
Il est plus probable que le divin florentin soit décédé d’une péritonite et quoique piètre musicien https://m.youtube.com/watch?v=_5bSHuhx_28 l’on peut à la lecture de cette archive supposer qu’il préférait la soupe au piano instrument qui fut inventé près de deux siècles plus tard soit bien avant que cette fameuse expression italienne ne rentre dans le langage courant en ne voulant d’aucune manière sous-entendre qu’il pourrait être question du suicide de notre héros l’Histoire est retorse !
Je vous attendais, vous qui adorez le moine milanais autant que moi le rouquin vénitien…
Vous avez donc survécu à la COVID-19 ?
« Grâce à » ou « par suite de » fuites, le public a eu vent de cas de myocardites (dont deux mortelles) consécutives à des injections de Pfizer, en Israël.
( En principe, les données médicales des citoyens israëliens vaccinés sont la propriété de la firme Pfizer;cela, et le prix plus élevé payé pour les doses fait partie d’un accord entre Pfizer et le gouvernement israëlien qui a permis la vaccination rapide de la population.)
Mais, il y a eu des cas de myocardite ailleurs;ci-dessous un article médical datant du 9 mars et traitant du cas d’un asthmatique hypothyroïdien ayant fait une myocardite grave consécutivement à deux injections de Pfizer… C’est en espagnol,langue proche du français,et il y a des images.
Si un cardiologue passait par ici…
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0300893221001391?via%3Dihub
Tous les virus (ou presque) donnent des myocardites. Les virus sont la première cause de myocardites ; à condition qu’on les cherche un peu…
Si vous attaquez par ce biais, on vous répondra que les vaccins donnent beaucoup moins de myocardite que les virus…
Ce qui n’est pas faux !
L’OMS vient d’inclure un vaccin chinois anti-covid dans le programme Covax ,de le déclarer sûr et efficace.
Pourquoi maintenant ?
Les données des essais cliniques n’étaient-elles pas connues depuis des mois ?
Est-ce en lien avec la pénurie de vaccins ? Avec le fait que cette pénurie risque de durer
puisque l’Allemagne s’oppose à la levée des brevets et que et l’unanimité est requise à l’OMC pour qu’une telle levée ait lieu ?
En tout cas, à mesure que les injections vont se multiplier hors de Chine, on en apprendra peut-être plus sur la “sécurité” de ce vaccin “ à l’ancienne “ fabriqué à partir de virus “atténué”.
Quand les premiers vaccins sont apparus, le Professeur Caumes a déclaré que le seul vaccin qu’il serait à la rigueur prêt à se faire injecter était le vaccin chinois.
Depuis,il s’est fait vacciner (mais on ne sait pas avec quel produit.)
https://cdn.who.int/media/docs/default-source/immunization/sage/2021/april/2_sage29apr2021_critical-evidence_sinopharm.pdf
A ma connaissance, ce sont des vaccins « inactivés » ; ce qui signifie que les virus dans la seringue sont des cadavres de virus ; un peu la poubelle après extermination…
Il semblerait que ce soit ce type de vaccin qui ait été utilisé aux Seychelles avec le succès que l’on sait.
En principe, ce type de technique (tous les antigènes du virus sont présents dans la seringue) est ce qui semble le plus efficace pour neutraliser le virus « vivant ».
Mais il y a un problème de toxicité, proportionnelle à la dose. Donc on diminue les doses et, en conséquence, l’efficacité immunologique diminue. Pour compenser, on ajoute des adjuvants type aluminium pour stimuler le système immunitaire ; mais pas trop car l’alu est toxique et des doses maximales admises sont publiées par les autorités sanitaires américaines.
Tout cela est « parfaitement » [Oups !] expliqué dans mes Livres.
Qui veut comprendre n’a aucune excuse…
A ma connaissance, aucun Livre sur les vaccins n’apporte des explications aussi claires que les miens… Suffit de comparer avec les banalités du Célèbre Professeur Marseillais… OOups !
Seychelles: recrudescence des cas fin avril début mai;un tiers parmi les vaccinés
“The archipelago of nearly 100,000 people recorded close to 500 new cases in the three days to 1 May and has about 1,000 active cases.
A third of the active cases involved people who had had two vaccine doses, the country’s news agency said.”
Aux Seychelles, deux vaccins sont utilisés: Sinopharm et Astra Zeneca…(60%,40% respectivement)
Quels vaccins avaient reçu ceux qui ont contracté le covid ? Dans quelles proportions ?
“The Seychelles, which relies on tourism for much of its income, began vaccinating its population in January using Chinese-made Sinopharm vaccine doses donated by the United Arab Emirates.
By mid-April about 60% of the vaccine doses administered in the country were Sinopharm, with the rest Indian-made AstraZeneca vaccine doses, Bloomberg reported.”
https://www.bbc.com/news/world-africa-56992121
New Quality-Control Investigations on Vaccines: Micro and Nanocontamination
https://www.nanodiagnostics.it/wp-content/uploads/2017/02/IJVV-04-00072.pdf
Une étude publiée en 2017 sur les contaminations des vaccins par des micro et nanoparticules.
Une nouvelle etude epidemio d’observation du Lancet
https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)00947-8/fulltext
où ils comparent l’incidence des malades covid dans 2 echantillons, les vaccinés à 2 injections au dessus de 16 ans, environ 70% des étudiés et un groupe de 30% de non vaccinés (apparemment enfants et jeunes ados)
Pas très equilbré comme echantillonage, neamoins la conclusion est:
Il y a eu des baisses marquées et soutenues de l’incidence du SRAS-CoV-2 correspondant à l’augmentation de la couverture vaccinale. Ces résultats suggèrent que la vaccination COVID-19 peut aider à contrôler la pandémie. Tant qu’on reste dans les suggestions et qui en plus peuvent, sans en etre certain.
Vous avez bien analysé. Les supposés scientifiques doivent s’occuper un peu « entre les repas ». Ils font des analyses et les publient dans le Lancet tout en sachant (et les éditeurs du Lancet aussi) que ça ne vaut rien : « Ces résultats suggèrent que… D’autres études sont nécessaires pour confirmer que… »
Et les perroquets des médias [faut bien s’occuper un peu « entre les repas »] et des autorités sanitaires répètent que…
La médecine en temps de pandémie est devenue une médecine perroquet avec un refrain unique :vaccinons,vaccinons et la France est sauvée!..
C’est calamiteux.
Le (ou la,peu importe) COVID est devenu le grand méchant loup pour tous les petits cochons de français.
La raison N°1 pour laquelle mes patients se sont fait vaccinés est…la peur du virus.
@papidoc
Il y a une manip statistique grossiere. Vous comprenez facilement que y’a moins de noirs dans les accidents de la route en france, non parce qu’ils conduisent mieux, mais parce qu’il y’a moins de noirs que de blancs dans la population francaise. C’est exactement ce genre de grosse ficelle ( et même de grosse corde 🙂 ) qui est utilisée dans cette etude. On sait depuis le debut qu’il y a moins de tests pcr positifs chez les vaccinés. Donc y’a moins de test pcr positifs hospitalisés, moins de tests pcr morts etc… C’est pas que y’a moins d’hospitalisé, ou moins de morts. C’est juste que y’a moins de tests pcr positifs. Donc, absolument aucun contenu clinique interessant dans cette etude. Meme pas besoin de regarder la repartition des groupes.
Depuis le debut de la vaccination, je n’ai vu que des mesures de tests pcr dans tous les sens, aromatisées à toutes les sauces. C’est encore le cas ici. Mais je n’ai pas vu encore une seule etude qui etablirait un lien entre l’etat sanitaire des patients et les tests pcr.
Pour prendre une analogie chere a notre hote, c’est bien d’avoir un medoc qui fait baisser le cholesterol, encore faut il que cette baisse du cholesterol ameliore notre santé. C’est bien d’avoir un vaccin qui baisse la postivité des tests pcr. Encore faudrait il que cette baisse des pcr ameliore notre santé.
Bravo !
Bravo ? vraiment ? J’ai du mal a comprendre.
L’etude parle de morts, pas de PCR+ morts. Le nombre de mort est le nombre total de deces Covid, pas le nombre de mort parmi les PCR+. On a une population a 60% completement vaccinee, le nombre de mort du Covid parmi la population vaccinee est de 715. Le nombre de mort parmi la population non vaccinee est de 138. Qu’est ce que les tests PCR viennent faire la dedans ?
A moins que vous ne suggeriez que les vaccins peuvent rendre une personne souffrant de la Covid PCR- tout en le tuant quand meme ? Ou que les deces soient massivement attribues faussement au Covid ?
Bravo !
Tout est possible !
Lisez quelques uns de mes Livres sur les vaccins et vous comprendrez, sans être parano, que tout est possible.
Si vous voulez vous limiter à un seul exemple récent, je vous renvoie au Livre 8 [Titre : Les vaccins contre les cancers. En Juin dans les Librairies].
Les vaccins contre les papillomavirus (HPV) ont donné lieu à des malfaisances que… personne ne voit ou dénonce…
Et récemment la HAS a recommandé la vaccination des garçons contre les HPV en l’absence de toute donnée scientifique. Et personne ne dit rien…
@akira Il s’agit bien de tests pcr pour valider la covid. Je cite l’article : « Specimens are tested, using national testing standards, at one of 48 clinical diagnostic laboratories with use of real-time PCR tests. » Donc du point de vue de l’article, malade du covid=pcr positive. D’ailleurs je ne vois pas bien comment vous feriez autrement qu’un test pcr pour valider la covide.
Donc au depart vous avez environ une population 10 fois plus petite chez les vaccinés a cause de ce filtrage pcr. Ensuite vous rajoutez n’importe quelle condition ( avoir une montre, etre en bonne santé, etre hospitalisé, mourrir, etre né un jour pair…) on s’attend toujours a avoir environ 10 fois moins de personnes dans le groupe vacciné. Donc l’etude ne prouve rien du tout. Elle dit que y’a beaucoup moins de morts du covid ( donc avec pcr positive), ce qu’on savait d’avance, puisqu’au depart y’a tres peu de pcr positive chez les vaccinés.
@akira Je ne sais pas combien vous etes familier avec les modeles de proba stats, mais c’est assez facile de se convaincre que dès que vous avez un marqueur de la maladie qui baisse avec un traitement inefficace quelconque qui laisse la mortalité totale identique, vous pouvez bricoler une presentation comme celle de l’article qui laisse penser que la situation sanitaire s’ameliore.
Papidoc 06/05/2021 À 07:59
Le gouvernement américain a annoncé mercredi 5 mai qu’il était favorable à la levée des protections de propriété intellectuelle pour les vaccins contre le Covid-19. Cette intention sera t elle suivi d’une levée du secret industriel sur la fabrication des vaccins covid? grosse révolution ou tempête dans un verre d’eau.
En tout cas,les arguments de l’industrie pharmaceutique pour le maintien de la “propriété intellectuelle” des vaccins sont écoutés avec intérêt et attention par l’ Agence européenne des médicaments ; pour mémoire, sa directrice Emer Cooke a longtemps travaillé comme “lobbyiste” pour ladite industrie.
https://corporateeurope.org/en/2021/04/big-pharma-lobbys-self-serving-claims-block-global-access-vaccines
Ne vous faites aucune illusion. Une Commission va être nommée…
Les Danois travaillent eux aussi sur un (des ?) vaccins ; peut _-être envisagent-ils de se passer des vaccins américains ?
Que penser de ce travail sur un vaccin basé sur une “imitation de capside virale “ ?
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33436573/
Dans la “start-up” danoise, une Française Cyrielle Fougeroux:
Une startup danoise dans la course au vaccin contre le Covid-19 !
Par Joëlle Borgida | Publié le 27/05/2020 à 07:00 | Mis à jour le 17/11/2020 à 08:20
https://lepetitjournal.com/copenhague/une-startup-danoise-dans-la-course-au-vaccin-contre-le-covid-19-281249
Dans la suite du paragraphe « Vaccins et business », je vous rappelle qu’au moment où j’écris ces lignes, il y a des centaines de vaccins dans le monde à différents stades d’expérimentation… Pas étonnant qu’il y en ait un au Danemark.
Pas étonnant non plus qu’il y ait une biologiste française dans l’équipe danoise ; nous ne savons plus que faire de nos biologistes : ils s’expatrient et ainsi diffusent la culture française.
C’est beau le monde moderne. On a trop de biologistes et pas assez de médecins : quelle est la proportion exacte de médecins d’origine étrangère [bienvenus les gars !] dans la médecine française ?
Question idiote que se pose l’homme de la rue: comment se fait-il que l’Europe ne s’intéresse qu’aux techniques ultra-innovantes ,telles que les vaccins à vecteurs viraux ou à ARN messager ?
Désolé, vous n’avez pas compris, quoique je soupçonne que vous fassiez exprès.
Pour ceux qui voudraient une réponse, quelques mots : l’Europe administrative et politique [avec sa Présidente et son parlement] est une entité essentiellement économique et commerciale dont le but primordial est de maintenir la Paix entre pays européens. Elle y réussit très bien ! Bravo !
Dans le monde Capitaliste moderne [où le Sentimentalisme et l’Honneur sont des valeurs obscures et surannées], le meilleur moyen de faire la paix est de faire du commerce, entre soi et avec les autres.
Qui dit faire du commerce, dit business et production de valeurs avec comme but ultime s’enrichir ! Par tous les moyens disponibles : Business first !
Les produits de santé et la médecine en général sont devenus un enjeu majeur du business : ça représente près de 20% du PIB américain !
On ne produit pas de valeur avec des vaccins archaïques (tels que décrits dans le récent Livre somptueux [Les vaccins à l’ère de la COVID-19] du prestigieux savant le Dr de Lorgeril dont je représente les intérêts). On produit de la valeur, dans notre monde, grâce à l’innovation technologique, ce qui est très différent de la science.
Si vous ne comprenez pas, demandez à Bill et Mélinda ; quoique ces jours-ci, les assiettes doivent voler dans la cuisine de Mélinda. Façon de parler, zont de quoi se partager !
Ben quand on voit les perfs des rares vaccins vivantes attenues sur le SARS-COV2 … on se dit aussi que la techno « archaique » a pas l’ai de tres bien fonctionner …
Les Danois,après avoir banni le “vaccin” Astra Zeneca, ont décidé de bannir aussi le “vaccin Johnson et Johnson”;dans le texte d’explication rendu public,ils expliquent que le “rapport bénéfice/risque” ne plaide pas pour l’utilisation de ces produits.
Soit leur mode de calcul est différent de celui de l’agence européenne du médicament,soit leur appréciation des données est différente.
Comme,de toute façon on découvre chaque jour de nouveaux risques, qu’on ne sait rien des risques à moyen et long terme et comme d’autre part, on ne sait pas quelle est la durée de l’immunisation ,ni contre quels variants les prétendus vaccins protègent, cette notion de rapport bénéfice risque est floue.
Bien vu !
Ainsi vous comprenez que les décisions des autorités de santé (ici et ailleurs) n’ont rien à voir avec la médecine scientifique…
C’est une des leçons cruciales de l’épisode COVID-19 : les uns sont acculturés, les autres sont idiots mais aucun ne comprend la médecine scientifique, y compris parmi les académiciens et universitaires décorés !
Ainsi, personne ne peut énoncer les évidences que les citoyens attendent. Ces derniers, au lieu d’attendre, feraient bien de chercher un peu. Ce n’est pas dur de cliquer sur ce blog… Beaucoup ne le font car ils redoutent ce qu’ils pourraient y trouver. Le syndrome de l’autruche dans son bac à sable !
Triste bilan !
Le gouvernement américain a annoncé mercredi 5 mai qu’il était favorable à la levée des protections de propriété intellectuelle pour les vaccins contre le Covid-19. Cette intention sera t elle suivi d’une levée du secret industriel sur la fabrication des vaccins covid? grosse révolution ou tempête dans un verre d’eau.
Vous avez donné la réponse.
Chez nous, face à ce type de question, on fait quoi ?
On créé une commission !
Non, non, on vote.
Et la majorite a vote non a un amendement demandant la levee des brevets … (le 20 avril si ma memoire est bonne).
https://slate.com/technology/2013/04/wormwood-tea-to-treat-malaria-the-who-is-opposed-to-an-effective-preventive-medicine.html
Il est essentiel de denoncer les abus,mais il est aussi utile de chercher des solutions.
L’homme dont il est question dans cet article, Patrick Obwang,a depuis brevete une preparation a prendre enprevention de la malaria, a base de la plante artemisia annua,l’ambroisie si je ne me trompe.
Il est indiscutable que le composant anti malarial principal de cette plante est l’artemisine,cependant le pauvre homme a ete contraint d’extraire l’artemisine de son elixir car les labos lui montraient les dents.Les labos pretendant que sa potion traditionnelle modeste, donnee journellement ou semanalement aux travailleurs de plantations, allait creer une resistance a leurs cachets d’artemisine purifiee!!!
Alors que de toute evidence ceserait polutot l’inverse,les cachets/injections d’artemisine concentree de labos sont lesproduits qui creent la resistance malariale.
D’ailleurs en cas de resistance les enfants sont ensuite traites par la plante entiere apparemment avec succes.
Le monde a l’envers literalement.
Lapotion est tout de meme efficace malgre cette amputationj de son ingredient le plus actif, car l’action d’une plante est synergique de plusieurs composes chimiques.
Ce que nous affirmait deja J-Louis Pelletier il y a 40 ans.
Pouvez-vous evaluer les travaux de Patrick Obwang?
Il y a quelques unes de ses etudes en ligne.
Nous l’avons déjà fait du temps où j’évoluais « patiemment » à l’AIMSIB.
Il faudrait des confirmations avec des étude plus élaborées.
Artemisia annua est une variété d’armoise (pas n’importe quelle armoises, pas celle qu’on trouve un peu partout en France dans les terrains vagues ou autres).
L’ambroisie était, d’après la mythologie grecque, la nourriture des dieux !
Dès décembre 2020, on savait pas mal de choses sur les dommages causés par la spicule « baladeuse »; le pédiatre qui signe la lettre ci-dessous à la Food and Drug Administration se posait beaucoup de questions sur les dangers de la vaccination anti-covid.
https://www.regulations.gov/document/FDA-2020-N-1898-0246
Merci, c’est une publication (avec références) très importante.
Bizarre que ces imbéciles de la FDA aient laissé passer ça…
c’est une mine d’or le blog du dr de Lorgeril!
Merci !
Qui aurait des infos sur le COVID 21 ?
à droite de Ursula
https://www.welt.de/politik/ausland/plus230730895/Digitaler-Impfpass-Besonders-Deutschland-bereitet-der-EU-Kopfschmerzen.html
Je ne lis pas l’allemand. Ça dit quoi ?
Pas grand chose, c’est un article sur le certificat de vaccination numérique européen qui sortirait en juin au plus tôt et qui serait voté jeudi, mais ce qui m’interpelle c’est (sur la maquette) cette liste de virus qui commence par Covid 2019 puis Covid 2021!…
Ce certificat n’a aucune raison sanitaire d’exister. Il sert à protéger les non-vaccinés ? Mais ceux-ci n’auront pas besoin de passer les frontières pour se faire contaminer, car les vaccinés pourront déambuler librement à travers toute l’Europe.
La médecine progresse !
On commence à savoir diagnostiquer et soigner les thromboses provoquées par la vaccinationanti covid !
Super!
La société américaine d’hématologie, par exemple, a élaboré un protocole de diagnostic et de soins.
https://www.hematology.org/covid-19/vaccine-induced-immune-thrombotic-thrombocytopenia
(et à la fin de l’article, plusieurs autres références-
Il y a quelque chose de très agaçant dans le délire actuel, témoignage d’une acculturation accélérée des professionnels et des médias.
Les complications thrombotiques de la COVID-19 dont l’ampleur et la sévérité restent inconnues puisqu’elles sont « banalisées » : si je fais un infarctus ou une embolie pulmonaire alors que je suis ou pas PCR-positif à un moment donné, va-t-on accuser le virus ?
Les complications thrombotiques des vaccins – celles qu’on veut bien attribuer aux vaccins, pas celles qui ressemblent à celles de la COVID – sont très spécifiques avec une chute des plaquettes et présence (parfois) d’anticorps antiPF4.
Seuls quelques experts travaillant avec les industriels et les autorités sanitaires ont vraiment toutes les données cliniques et biologiques de toutes les victimes.
Sachant ce que nous savons sur les industriels et les autorités sanitaires (sur la base des aventures du vaccin contre le paludisme), pouvons-nous avoir confiance ?
à propos des mutants et variants du sars-cov-2, et du système immunitaire
Evolution of SARS-CoV-2: review of mutations, role of the host immune system
Banoun H, Nephron (2020) https://www.karger.com/Article/Abstract/515417
https://doi.org/10.1159/000515417
PMID: 33910211.
This article will be part of our COVID-19 topic article package (http://www.karger.com/Tap/Home/278492), where all articles are freely accessible.
Merci beaucoup !
Très intéressant !
un chapitre du document publié par Pfizer confirme la contamination des non-vaccinés par les vaccinés
(à partir de la page 67)
sections
8.3.5.
8.3.5.1.
8.3.5.2.
8.3.5.3.
https://media.tghn.org/medialibrary/2020/11/C4591001_Clinical_Protocol_Nov2020_Pfizer_BioNTech.pdf
Ça n’a rien d’étonnant vous diront les vaccinateurs : ces vaccins ne sont pas efficaces à 100%.
Suite du raisonnement : puisque les vaccins sont probablement peu efficaces [au-delà de l’effet placebo dans les essais cliniques, qui peut prétendre savoir ?], il faut vacciner le plus de monde possible. En effet, les vaccinés étant (probablement) peu protégés, ils peuvent contaminer les zotres.
Pour diminuer la probabilité de contamination « altruiste », il faut diminuer le nombre de non-vaccinés (100% de risque si on oublie les infectés asymptomatiques) et augmenter le nombre de vaccinés, même s’ils bénéficient d’une protection relative (10%, 30%, 50% diminution du risque ? Personne ne sait).
Ce raisonnement est ancien, typique des justifications de la vaccination antigrippale.
Faites-leur confiance !
je crois comprendre que les proteines de pointe produites par le vacciné peuvent se transmettre aux autres personnes par contact ou respiration – ce serait une methode utilisee pour la vaccination de animaux : en vaccinant quelques individus, on vaccinerait aussi ceux qu’ils cotoient
» disseminating vaccines » https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26524478/
Merci.
Très intéressant.
Je ne vois pas en quoi cette source atteste de cette possibilite pour les vaccins Covid19. Ces vaccins sont injectes en intramusculaires, les spikes issues de l’ARNm n’ont aucune raison d’etre produites preferentiellement dans les voies respiratoires donc je ne vois pas comment un individu pourrait vaccine pourrait excreter des spikes.
D’ailleurs, meme s’il les excretait (en quantite tres faible), quel serait le probleme ? On parle ici d’une proteine incapable d’infecter. Elle n’a pas de pouvoir de replication.
Vous allez un peu vite.
Nos connaissances chez l’humain sur le sort des Protéines Spike produites et libérées par les adénovirus vivants et injectés avec le vaccin, de même que le parcours des adénovirus injectés restent mystérieux.
On peut avoir des idées générales, certes, mais en médecine, il n’y a que des exceptions. Nous pouvons avoir des terribles surprises. Un exemple ? Les indiens se croyaient protégés il y a encore deux mois ; et aujourd’hui, il ne savent plus à quel saint se vouer. Et on n’est qu’au début…
D’autres populations ont fait les « plus malins » ; ou aujourd’hui même se pensent plus « malins »…
Beaucoup d’eaux va encore couler sous les ponts de la Tamise…
Bonjour, Très intéressant cette réflexion. On peut imaginer que sans infecter, la protéine peut créer des symptômes et une reaction immunitaire chez le non vacciné…. Cela m’éclaire une parole de la généticienne Alexandra Henrion -Gaude, il y a quelques semaines ,sur des études de personnes vaccinées contre la grippe et qui émettent beaucoup de » particules » virales dans l ‘air… comme vous, je ne comprenais pas le comment. Comme le dit MdL il y du mystere dans ce que l on fait avec ces vaccins.
Attention.
Tout dépend du vaccin antigrippal. S’il s’agit d’un vaccin vivant…
« Attention.
Tout dépend du vaccin antigrippal. S’il s’agit d’un vaccin vivant… »
Je crois que les vaccins antigrippaux sont à base de virus inactivés. Donc quand j’entend dire que les vaccinés « soufflent » des « particules » virales , je me demande: comment est ce possible ? …..Sauf que : » On peut avoir des idées générales, certes, mais en médecine, il n’y a que des exceptions »: MdL. Merci du rappel… ou alors le virus de la grippe n’est pas si inactivé que cela . ….. De toute façon on joue aux apprentis sorciers, inactivé ou pas ( grippe), ARNm ou adénovirus ( covid), les « particules » virales ou les protéines Spike se baladeraient, créant symptômes chez l hôte vacciné comme chez le non vacciné qui en auraient captés … J’en perd mon latin ! De plus » on ne vaccine pas en période d épidémie » dixit les recommandations. Un porteur sain vacciné peut faire une recombinaison entre l ARNm du vaccin et son corona perso etc…. ( vidéo de Christian Vélot généticien)….. Enfin tout il est quasiment possible mem si j’ai écrit quelques âneries..
Des âneries ?
Un peu ! Pas trop ! L’autruche a sorti un œil du bac à sable ; c’est bien, continuez. L’autruche a deux yeux..
https://www.santelog.com/actualites/covid-19-comment-spike-en-fait-aussi-une-maladie-vasculaire
https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCRESAHA.121.318902
Tous les états modernes (et les fédérations d’états modernes) protègent leurs industries pharmaceutiques comme leurs « bijoux de famille ».
Il y a de la diversité dans « l’industrie pharmaceutique »; Pfizer est-il européen ? Il me semble que l’Institut Pasteur a longtemps fait des recherches dans le domaine des vaccins ; où en est-il maintenant ?
Est-il soutenu par l’Etat ?
Valneva est une firme franco-autrichienne, qui entre autres, produit un vaccin contre l’encéphalite japonaise; sa direction regrette de n’avoir reçu aucun soutien de la part de l’Europe pour ses recherches sur un vaccin anti covid; les essais cliniques de phase III ont commencé;l’argent provient d’une pré-commande effectuée par le Royaume Uni.
Il semblerait sain que les instances chargées de la sécurité des vaccins soient indépendantes de l’industrie.
Mettre à la tête de l’Agence européenne du médicament une dame qui a passé des années à faire du « lobbying » au profit de l’industrie pharmaceutique me semble curieux.
Curieux non !
Absolument logique !
“Dans cette épouvantable affaire des vaccins contre le paludisme, nous sommes nombreux à penser que l’OMS et l’EMA ont perdu leur crédibilité « humanitaire ».
Ces Institutions internationales sont souvent présentées comme des références scientifiques ; ce qui est généralement risible, comme on l’a vu (et comme on le voit) pendant cette crise sanitaire COVID-19.”
Emer Cooke dirige l’EMA (Agence européenne du médicament, depuis novembre 2020;or elle a longtemps travaillé omme “lobbyiste”, au service de l’industrie pharmaceutique; cela me gêne un peu.
https://www.europereloaded.com/european-medicines-agency-essentially-a-lobbying-outfit-for-big-pharma/
Tous les états modernes (et les fédérations d’états modernes) protègent leurs industries pharmaceutiques comme leurs « bijoux de famille ».
On met des personnes sûres (nommées par qui et en fonction de quoi ?) aux postes clés.
Si vous ne saviez pas pourquoi avant la crise de la COVID-19, maintenant vous le savez : aucun gouvernant d’un pays libre et indépendant n’a envie de devoir mendier un vaccin à un autre…
Une petite question aux pros et merci par avance pour vos éclaircissements
Que penser de cette interview du Dr Sherry Tempenny ? Totalement fausse ?
https://vk.com/video-194703185_456240392
Ce que raconte cette charmante dame est très hypothétique. Pas impossible toutefois ; mais nous n’avons pas d’élément probant pour le moment !
https://www.youtube.com/watch?v=1wul4z8pmzU
Covid : aux origines du mal ? Brice Perrier
Bon…
Bavardages ?
Enquête journalistique non partisane, c’est déjà pas mal non?
Non partisane peut-être mais journalistique quand même !
Je me demande ce que vous lui reprochez exactement. Il me semble que son enquête va dans le même sens, sur l’hypothèse de la fuite d’un labo, que l’article de pièces et main d’oeuvre que vous aviez partagé.
Ce n’est pas un reproche ; c’est simplement qu’on tourne en rond…
le gars a juste repris le boulot fait par les activistes américains de US Right To Know.
Merci pour votre réponse; je prends bonne note de deux expressions:i) « en principe rapidement détruites » ,ii) il peut y avoir des exceptions.
Qu’est-ce qui me dit qu’après avoir reçu le massage (« allez-y, fabriquez des spicules ») mes cellules ne vont fabriquer que la quantité minimale nécessaire ?
Et peut-être est-il prématuré de fabriquer un vaccin contre un virus dont on ne connaît pas le mode d’action (particulièrement sa faculté de dérégler notre système immunitaire.)
Bien sûr !
Et qui a pratiqué la médecine sait qu’il n’y a que des exceptions à la règle…
A 30 mn 35, ce scientifique Russe explique que dans le Sputnik ils utilisent 2 adénovirus humains » qui ne se réplique pas » ??? . Je suis perdue! Mais c’est la base de « l’ efficacité » de cette technologie , la multiplication du virus afin que il produise la protéine spike dont on a introduit le gene dans l ADN de l’ adénovirus choisi , et ceci grace à une transcriptase inverse de synthese. Plus je lis plus j entend des incohérences techniques incroyables : https://www.youtube.com/watch?v=vPp0b-RNV9A A part Christian Vélot , Enseignant chercheur ,qui est clair pour moi ici sa dernière réponse suite aux critiques crasses de Mr Fisher notre ministre du vaccin : https://www.youtube.com/watch?v=MG0AOKssJII
Vous ne comprenez pas.
Les adénovirus viraux « libèrent » leur protéine Spike après qu’elles aient été multipliées dans les virus.
Mais les virus eux ne se multiplient pas ; à moins que des petits copains leur refilent ce dont ils ont été privé…
Véran saisit la HAS sur la possibilité d’ouvrir la vaccination AstraZeneca à tous les volontaires en signant une décharge
https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-veran-saisit-la-has-sur-la-possibilite-d-ouvrir-la-vaccination-astrazeneca-a-tous-les-volontaires-20210430
…elle est belle la médecine moderne.
Alors pourquoi ne pas proposer de l’ivermectine aux gens en signant une décharge 🙂
Signer une décharge ?
Ponce Pilate aurait-il trouvé mieux ?
Cette épidémie de Covid marque un tournant dans l’histoire de la médecine.
Une nouvelle ère médicale est née : celle de la dé-responsabilisation du médecin.
La responsabilité est transférée aux gouvernements!
Le hold-up parfait!
Et l’écrasante majorité des médecins est d’accord…
Certes !
Mais vu l’état de la médecine moderne ! Et le niveau des médecins ! Oups ! Faut bien rire un peu !
En plus, le jour les médecins, enfin éduqués (notamment en éthique), voudront reprendre le pouvoir, ils ne mettront pas longtemps…
Mais, comme vous l’observez vous-même, ils ne veulent pas !
c’est déjà le cas avec les vaccinations obligatoires depuis 20 ans (régime d’indemnisation sans faute à l’oniam)
Avez vous eu connaissance de ce pre-print du Lancet sur le vaccin R21 expérimenté au Burkina Faso?
https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3830681
Bien sûr, c’est le point de départ de mon message sur le Blog.
Il venait compléter ce que j’avais analysé dans le Livre « Les vaccins à l’ère de la COVID-19 ».
Il n’y a pas de hasard !
J’ai d’autres splendeurs à analyser et discuter, notamment à propos des vaccins contre les papillomavirus qui sont l’objet du Livre 8 de la Collection Vaccins & Société.
L’ensemble de ces données sur d’autres vaccins que ceux contre la COVID-19 [mais produits par des industriels qui fonctionnent exactement comme ceux qui commercialisent les vaccins antiCOVID] me plongent dans un grand désarroi. Pourquoi ?
Pour deux raisons principales :
1) les données scientifiques accessibles décrivant les miracles des vaccins antiCOVID ne sont ni solides ni crédibles !
2) est-il possible que nous soyons face à une extraordinaire mise en scène à propos de ces vaccins antiCOVID à l’image de ce qui nous est servi avec les vaccins contre le paludisme et ceux contre les papillomavirus ?
Je ne sais que penser !
Je me méfie de moi-même : suis-je dans une totale erreur d’appréciation ?
Tout de même; lorsque l’on est ScientiVax comme vous l’êtes, ne risque t’on pas de se tromper moins massivement que si l’on est ProVax ou AntiVax…
Vous êtes trop bon !
Mais je me méfie de moi comme de la peste. Faites-en autant !
L’homme de la rue ne devrait pas parcourir des articles scientifiques, surtout quand ils semblent répondre à des questions idiotes qu’il se pose.
Question idiote: sachant que le virus covid provoque chez des malades une ou des réactions immunitares “excessives et désordonnées” , responsables d’aggravations parfois mortelles (thrombocytopénies, thromboses, hémorragies, embolies pulmonaires…), sachant d’autre part que le processus n’est pas à ce jour expliqué,est-il prudent d’injecter à des personnes des “vaccins” dont la fonction est de faire produire par des cellules de l’organisme la spicule du virus ?
Voici une étude publiée en janvier 2021 dans la revue Vaccines-et qui semble (à l’homme de la rue,qui n’aurait pas dû en prendre connaissance) répondre par la négative.
A elle seule, la fameuse spicule déclenche un processus dangereux.
“…it is important to consider the possibility that the SARS-CoV-2 spike protein produced by the new COVID-19 vaccines triggers cell signaling events that promote PAH [pulmonary arterial hypertension], other cardiovascular complications, and/or complications in other tissues/organs in certain individuals … We will need to monitor carefully the long-term consequences of COVID-19 vaccines that introduce the spike protein into the human body. Furthermore, while human data on the possible long-term consequences of spike protein-based COVID-19 vaccines will not be available soon, it is imperative that appropriate experimental animal models are employed as soon as possible to ensure that the SARS-CoV-2 spike protein does not elicit any signs of the pathogenesis of PAH or any other chronic pathological conditions.”
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7827936/?fbclid=IwAR0wyf2iLwjc5RJoThVHRfqev_Qk5pnpjpetwIXwfYRhZlUxbZ5HA0ekbYA
L’homme de la rue ne peut juger de la scientificalitude médicinique de cet article.
C’est un travail intéressant mais avec une limitation majeure : il analyse l’effet de la protéine Spike sur des cellules isolées, pas sur un organisme humain entier.
Les protéines Spike introduites dans nos tissus par les vaccins (les adénovirus vivants) sont en principe rapidement détruites. Celles engendrées par les ARN messagers des vaccins correspondants le sont aussi.
Mais il peut y avoir de exceptions.
Cela dit, que la protéine Spike soit mauvaise pour notre santé ne fait pas de doute. C’est le processus vaccinal lui-même qui consiste à introduire dans nos organismes un peu de « mal » en espérant faire du « bien »…
« Est-ce lui qui a le premier mesuré l’oxygène dans le sang ? »
C’est une blague ?? Vous pensez serieusement qu’il serait le premier a mesure la sat en oxygene pour une maladie respiratoire ??
Je ne pense rien du tout; je pose une question.
Cela dit, lors de la première vague 20% des personnes hospitalisées sont décédées dans les vingt-quatre heures suivant leur arrivée.
Le covid n’est pas une maladie foudroyante; il y a fort à parier que ces personnes avaient atteint à un stade avancé de la maladie.
Avait-on mesuré leur saturation en oxygène ?
PS Prendre des questions pour des affirmations est une attitude répandue en « population générale »; je m’étonne de rencontrer une telle attitude chez des personnes qui comprennent et maîtrisent les « sciences médicales. »
akira 30/04/2021
« Il doit bien y avoir moyen de savoir si ces études sont valables. »
C’est tres simple et largement documente. Elles ne le sont pas. Elles sont bourrees de biais qu’on pourrait qualifier d’erreur si on etait sympa … mais qui ressemble plus a de bidouillage d’analyse pour imposer en force une conclusion contraire a ce que montrent les donnees (changement de groupes de patients, biais de temps immortel, etc).
Pour l’homme de la rue (que je suis) cela est consternant: on publie dans des revues de médecine ayant pignon sur rue des études sans valeur,qui sont signées par des docteurs de l’Université.
Vous dites : « Pour l’homme de la rue (que je suis) cela est consternant… »
Cher ami, vous semblez vous réveiller…
De mon côté, bien que je ne sois pas sans domicile fixe comme vous (homme de la rue), je me suis aussi « réveillé » très tardivement ; ce qui explique que je n’en veuille à personne de rester idiot.
Je me réveille de mon grand sommeil en 2005 (à l’âge de 55 ans) au moment de l’affaire des coxibs. Certes j’avais été préparé par la lecture assidue des situationnistes et d’autres vilaines bêtes ; mais 2005 est le coup de semonce. Je ne m’en suis pas remis. Comme si j’avais découvert que la Terre était ronde !
Mon plus grand étonnement, depuis que j’ai pris mon bâton de pèlerin (mais sans dormir dans la rue), c’est la candeur des uns et le cynisme des autres.
Chaque année apporte son lot de démonstrations supplémentaires ; mais peu de choses bougent… Le troupeau d’un côté, des résistants de l’autre !
J’ai un moment espéré avec la COVID-19 que plus d’esprits s’éveilleraient ; mais c’est presque le contraire que j’observe… Je ne comprends pas !
Vous l ignorez peut être mais la revue ou Raoult publie un bon tiers de ses articles a été créé par des membres de l ihu et le rédacteur en chef est un coauteur régulier de Raoult.
Ses papiers y sont relus en moyenne en trois jours (contre plusieurs semaines dans les revues sérieuses). C est tout simplement de la publication de complaisance !!
Vous y allez fort ; mais je ne peux pas, faute de temps, vérifier vos dires…
Bonjour, Peut être pourrez vous m’éclairer. Le séquençage est il accessible aux laboratoires de ville ? Que penser d ‘un résultat PCR positif le matin ( prélèvement la veille) avec complement d’info l après midi que c’ est le variant anglais . Y a t il des tests PCR special variant anglais ? Ont il gardés un bout du prélèvement pour le faire séquencer ? Où : chez eux ? dans un autre labo ? J avais compris que pour séquencer un virus il faut être bien équipé.
La PCR, dans des mains (un peu) expérimentées et selon des procédures simplifiées (et répétitives), est à la portée de tout biologiste un peu équipé. Pas besoin de gros matériel.
les étudiants en thèse (et souvent en master) font ça tous les jours !
Pour identifier un variant spécifique, ça devient plus compliqué et seuls des labos (assez) spécialisés peuvent le faire. Il y en a de plus en plus sur le territoire. Le problème est de bien définir ce que l’on cherche. On peut procéder à partir du prélèvement initial si celui-ci a été conservé proprement.
Merci et meme un labo spécialisé peut faire cela en 4 ou 5 h ?: un séquençage… ? ou un test PCR adapté aux variants…. ? quelle cuisine…. Ces tests PCR sont adaptés au virus théorique de l’année dernière basé sur des données chinoises?
Non !
Dans les grands malheurs qui secouent nos sociétés paranoïaques, il y a aussi des bonnes nouvelles : les ingénieurs biologistes font du bon boulot !
ok donc en quelques heures un labo spécialisé peut sequencer un prélèvement bien fait, après un PCR positif .
Bien sûr, ça n’a rien de génial !
Faut savoir le faire et chercher la bonne cible sur la PCR !
Il y a des tests PCR qui utilisent les cibles spécifiques aux mutations des variants.
ok, donc dans ce doc sur les tests PCR de Réinfocovid, ils ne sont pas à jour : Par collectif Reinfocovid, le 8 décembre 2020
Synthèse de l’article de P. Borger et coll :
[1] External peer review of the RTPCR test to detect SARS-CoV-2 reveals 10 major scientific flaws
at the molecular and methodological level: consequences for false positive results.
Temps de lecture : 5 minutes
Compte tenu de toutes les conséquences de l’article de Corman-Drosten [2]pour les sociétés du
monde entier, ce test ayant été recommandé en l’état par l’OMS, un groupe de chercheurs
indépendants a réalisé un examen point par point de ladite publication dans lequel 1) tous les
éléments de la conception du test présenté ont été vérifiés par recoupement, 2) les
recommandations du protocole RT-qPCR ont été évaluées par rapport aux bonnes pratiques de
laboratoire et 3) les paramètres ont été examinés par rapport à la littérature scientifique pertinente
couvrant le domaine.
Cet examen externe par les pairs du test RT-PCR révèle 10 failles scientifiques majeures au
niveau moléculaire et méthodologique.
Le premier et principal problème est que le nouveau Coronavirus SARS-CoV-2 (dans la publication
nommé 2019-nCoV et en février 2020 nommé SARS-CoV-2 par un consortium international
d’experts en virus) est basé sur des séquences in silico (théoriques), fournies par un laboratoire
Chinois, car à l’époque ni le matériel de contrôle du SARS-CoV-2 infectieux (« vivant ») ou inactivé ni
l’ARN génomique isolé du virus n’étaient disponibles pour les auteurs. Ainsi, une conception
reposant uniquement sur des parents génétiques proches ne remplit pas l’objectif d’un « test de
diagnostic robuste » car la réactivité croisée et donc les résultats faussement positifs se
produiront inévitablement. La validation n’a été effectuée qu’en ce qui concerne les séquences in
silico (théoriques) et en laboratoire, et non comme cela est nécessaire pour les diagnostics in vitro
avec de l’ARN viral génomique isolé. Ce fait n’a pas changé, même après 10 mois d’introduction du
test dans les diagnostics de routine.
Il existe de nombreuses autres erreurs scientifiques graves concernant la conception
biomoléculaire des amorces, la méthode PCR problématique et insuffisante, la validation
moléculaire absente du test décrites dans le document de Corman-Drosten, qui sont examinées en
Les dossiers thématiques pour
Mieux comprendre les enjeux de la covid-19 en France
détail. Cette analyse démontre qu’un grand nombre de résultats faux positifs sont générés par ce
test, même dans des conditions de laboratoire contrôlées, ce qui le rend totalement inadapté en
tant que méthode fiable de dépistage du virus pour des populations entières dans une pandémie
en cours.
Ainsi, ni le test présenté ni le manuscrit lui-même ne remplissent les conditions d’une publication
scientifique acceptable. En outre, de graves conflits d’intérêts des auteurs ne sont pas
mentionnés. Enfin, le délai très court entre la soumission et l’acceptation de la publication (24
heures) signifie qu’un processus systématique d’examen par les pairs n’a pas été effectué pour cette
publication, ou qu’il a été de mauvaise qualité.
Compte tenu des implications de grande envergure, notamment les mesures de quarantaine, les
fermetures, les couvre-feux et les répercussions sur l’éducation, les auteurs de cette analyse
demande que ce document soit immédiatement rétracté.
A RETENIR
• Le test inadapté en tant qu’outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus
SRAS-CoV-2
• Le test ne peut pas faire la distinction entre le virus entier (infectieux) et les fragments
viraux. Par conséquent, le test ne peut pas être utilisé pour faire des déductions sur la
présence d’une infection.
• Les preuves irréfutables présentée par les auteurs rendent le test PCR du SRAS-Cov-2
inutile.
REFERENCES
[1] https://cormandrostenreview.com/report/
[2] https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045
Peut-on s’éviter une fatigue en éludant une question ?
Oui, probablement, mais alors pourquoi dire : votre question me fatigue ?
Vous êtes sympa ; mais vous ne lisez pas, ou pas bien ; et ça me fatigue de répéter les mêmes choses…
« …on ne peut pas « pratiquer » les sciences médicales sans comprendre la médecine, et plus généralement sans être médecin…,je ne dis pas qu’il y a un charlatan à Marseille mais seulement qu’il ne comprend pas les sciences médicales… »
Et pourtant,il est docteur en médecine et il prétend pratiquer la médecine.
Il serait simple de vérifier les statistiques des soins , guérisons, décès à l’IHU de Marseille. Lui prétend que ses résultats sont meilleurs que tous les autres.
Entre un médecin qui comprend parfaitement les sciences médicales et me déclare: Monsieur, la science dit: »allez vous coucher et attendez que ça se passe » et un médecin qui ne comprend pas les sciences médicales mais me dit: »vous êtes malade, je vais vous examiner et vous hospitaliser si nécessaire », je choisis le second.
A cela, une raison simple:moi non plus je ne comprends rien aux sciences médicales.
Vous me fatiguez vraiment beaucoup !
« Michel de Lorgeril 30/04/2021 À 09:01
Tout en expliquant que la COVID était une maladie bénigne… Fort le Grand Savont ! »
A-t-il vraiment dit cela ?
Vous me fatiguez…
« Avec la Chloroquine, la théorie qu’elle est utile n’est pas défendable à ce jour ! »…
« Ça ne veut pas dire que ça ne marche pas, seulement qu’on ne sait pas… »
Donc la théorie selon laquelle l’hydroxychloroquine n’est pas utile n’est pas défendable à ce jour.
Bravo !
Vous faites des progrès !
Maintenant il faut passer à la pratique : que fait un médecin quand il est dans le doute avec un traitement ?
S’il est un aventurier, il fonce ! Beaucoup l’ont fait et beaucoup de leurs patients l’ont regretté. Toute l’histoire de la médecine regorge d’histoires extravagantes avec des aventuriers comme protagonistes.
A force, mais déjà du temps des médecins grecs et jamais démenti depuis, les docteurs ont érigé quelques règles simples que les aventuriers ignorent. Dans le doute on s’abstient !
Mais parfois (rarement), un aventurier peut avoir une géniale intuition… En général, quand ce miracle survient, il est rapidement confirmé par d’autres aventuriers.
Je vais me faire taper sur les doigts car je vais rapporter des faits beaucoup moins scientifiques et moins vérifiés que les autres intervenants.
En « off » des médecins ont essayé aussi dans leur coin, notamment au début, perdus qu’ils étaient face à cette nouvelle maladie.
Les échos – flous, ce ne sont que des échos – que j’ai pu avoir étaient du genre une personne pour qui qui cela a peut être fonctionné – mais multi-pathologies et autres traitements en cours, pas sûr qu’évolution soit liée à HCQ – et surtout des échecs multiples.
Ce ne sont que des échos, c’était du traitement direct « sauvage », chacun plus ou moins à sa sauce j’imagine, bref ça ne veut à la fois pas dire grand chose mais ça peut expliquer aussi, si ces expériences ont été répétées à plusieurs reprises, que, au-delà des réactions face aux affirmations péremptoires de Raoult et à ses façons de procéder dommageables, une majorité du corps médical ait laissé tomber cette approche.
J’ai eu ces échos assez longtemps après avoir bataillé ailleurs face à des personnes hélas affirmatives sans nuance et vindicatives pour le traitement HCQ.
Michel de Lorgeril 30/04/2021 À 09:01
Tout en expliquant que la COVID était une maladie bénigne… Fort le Grand Savont !
i) Je demande à vérifier les propos exacts qu’il a tenus (il y a un verbatim pour cela.)
ii) Comme beaucoup de gens, j’ai eu le covid (l’année dernière). Mon médecin a appliqué les instructions du Ministère: »restez chez vous, consultez moi par téléphone,mouchez-vous soigneusement après vous être pulvérisé du sérum physiologique dans les narines,prenez du paracétamol; si ça va très mal ,appelez le 15. »
Heureusement, je n’ai pas eu à appeler le 15 (vu mon âge, on m’aurait très probablement administré du Rivotril.)
Evidemment, on n’était pas sûr que c’était le covid,puisque on ne pouvait se faire tester. (La confirmation est venue plus tard, via test sérologique , présence d’anticorps.)
Je peux dire que ,pour moi, la maladie a été bénigne, pas plus grave qu’un rhume; il paraît que pour 95% des gens , ça se passe comme ça.
Dans ce « traitement », la seule chose tangible qui ait pu avoir une certaine efficacité, c’est le lavage-mouchage:cela ne me paraît pas illogique, puisque le virus rentre par le nez; je suppose que mon système immunitaire a opposé une barrière efficace , ne laissant pas le virus aller plus loin.
J’ai demandé à mon médecin: »suis-je immunisé ? » Réponse : »je ne sais pas. »
Un vaccin me protégerait-il mieux que mon immunité naturelle contre une nouvelle mouture du virus ?
Je ne sais pas .
Ce que je sais en revanche, c’est que les vaccins disponibles actuellement provoquent une foule d’effets secondaires inexpliqués et parfois gravissimes. Pourquoi par exemple tous ces zonas avec Pfizer ?
Et comme le précise le Docteur De Lorgeril, on ne sait rien du moyen et du long terme.
Donc je ne me fais pas vacciner.
akira 30/04/2021 À 09:03
« Quand on ne connait pas l’efficacite d’un traitement (et c’etait le cas pour la chloroqine a ce moment la, maintenant on sait que ca ne fonctionne pas)… »
« On sait que… »
Pourtant Raoult ,son équipe et d’autres ne cessent de se référer à des études qui « prouvent » que ça marche; « ça marche », c’est-à-dire: administrée au début de la maladie, associée à un antibiotique (défini), l’hydroxychloroquine fait baisser la quantité de virus présents dans l’organisme.
Il doit bien y avoir moyen de savoir si ces études sont valables.
Il me semble que Raoult, avant d’en administrer à des malades avait testé le produit in vitro.
Enfin, je suis étonné qu’on l’accuse de ne pas suivre une démarche scientifique; par exemple, il a d’emblée mis au point une technique de test PCR et a testé des milliers de Marseillais à un moment où les autorités affirmaient qu’il n’existait pas de test.
Est-ce lui qui a le premier mesuré l’oxygène dans le sang ? En tout cas tous les hôpitaux le font maintenant.
Est-ce lui qui a le premier examiné les poumons et vaisseaux des malades au scanner faible dose ? En tout cas, tous les hôpitaux qui en ont les moyens le font maintenant.
Quand on regarde les documentaires sur l’IHU datant d’avant le covid,on se dit que si vraimlent Raoult est un charlatan, sa chute a été extrêmemnt rapide et vertigineuse . Qui pourrait l’expliquer ?
1) vous ne comprenez décidément pas les sciences médicales !
2) la virologie – que Jésus protège les virologues – est une discipline « annexe » des sciences médicales. On peut être virologue sans être médecin ; on ne peut pas « pratiquer » les sciences médicales sans comprendre la médecine, et plus généralement sans être médecin, quoique je connaisse des non-médecins qui comprennent très bien les fondements des sciences médicales ; ce qui n’est pas le cas du Grand Savont de Marseille…
3) je ne dis pas qu’il y a un charlatan à Marseille [ou alors 90% des universitaires et des académiciens seraient des charlatans]; mais seulement qu’il ne comprend pas les sciences médicales ; et vous non plus !
4) vous feriez un très bon académicien !
« Il doit bien y avoir moyen de savoir si ces études sont valables. »
C’est tres simple et largement documente. Elles ne le sont pas. Elles sont bourrees de biais qu’on pourrait qualifier d’erreur si on etait sympa … mais qui ressemble plus a de bidouillage d’analyse pour imposer en force une conclusion contraire a ce que montrent les donnees (changement de groupes de patients, biais de temps immortel, etc).
» il a d’emblée mis au point une technique de test PCR »
Pardon ? Il n a pas mis au point de technique PCR. Il a achete les amorces le premier mais c’est tout. Vous considerez aussi que vous avez mis au point une voiture quand vous etes le premier a l’acheter ? Et ca, ca n’est pas de la science. C’est de la technique.
« Est-ce lui qui a le premier mesuré l’oxygène dans le sang ? »
C’est une blague ?? Vous pensez serieusement qu’il serait le premier a mesure la sat en oxygene pour une maladie respiratoire ?? Ils faisent comment en Chine des mois avant que Raoult ne voit le premier virus du SARS-COV2 en France ?
Votre devotion vous aveugle totalement !!
Merci de cette belle analyse !
Les derniers convertis sont les pires prosélytes, disait Jésus en multipliant les « petits pains »…
Utiliser un vaccin plutôt qu’un placebo est désastreux pour évaluer sérieusement les effets indésirables d’un vaccin, mais il faut reconnaître que cela peut être utile pour en vérifier l’efficacité.
Dans les vaccins Covid, par exemple, ils causaient tellement d’effets indésirables que cela « désaveuglait » ceux qui l’ont reçu, et risquait de fausser les résultats. Pour la Covid, il aurait sans doute fallu faire 3 groupes au lieu de deux, avec le groupe « placebo » divisé en deux entre vrai placebo et vaccin réactogène similaire. Non ?
Bonne idée !
Mais dangereuse pour le business : tout cowboy qui se respecte évite de se tirer des balles dans les pieds…
Ce discours sur le fait qu’administrer un placebo désaveugle est une d’une débilité confondante (mais c’est pourtant la réponse du groupe d’oxford sur twitter), il suffit d’aller faire doser les anticorps un mois après votre vaccination pour savoir quel produit vous avez reçu.
Le groupe placebo a beaucoup moins d’effets indésirables [voyez la description que j’en fais dans mon livre Les vaccins à l’ère de la COVID-19].
Les vaccinés peuvent ainsi se reconnaître comme « vaccinés » et, fous de joie, espérer être protégés.
C’est un effet placebo majeur dans le groupe vacciné !
Ce n’est pas du 100% bien sûr chez les vaccinés mais c’est un biais considérable qui en grande partie [je laisse de côté tous les biais intentionnels introduits par les investigateurs qui sont tous des employés des sponsors (on croit rêver !)] sans doute explique les 90% d’efficacité des vaccins.
Mais vous avez raison, chaque vacciné peut aussi aller vérifier gratuitement s’il est vacciné ou pas et, à nouveau, effet placebo garanti !
Pas belle la science moderne ?
Vous pensez que l’effet placebo peut expliquer les 90% d’efficacite ?
A linverse, on pourrait aussi largement argumenter que les personnes vaccinees, se sachant vaccinees, baissent largement la garde et soient au contraire plus susceptible de contracter la maladie.
Et cela irait dans le sens contraire … minimisant les resultats d’efficacite.
Vous avez encore raison ; mais vous négligez la force extraordinaire de l’effet placebo, surtout face à des maladies bénignes.
La COVID-19 est une maladie bénigne pour 95% des infectés.
Le suivi dans les essais cliniques est d’environ deux mois : suffisant pour voir un remarquable effet placebo mais probablement insuffisant pour voir un effet contraire dû aux relâchement des gestes barrières !
C’est un point de vue !
« Cette mauvaise façon est souvent utilisée par les industriels quand ils testent un nouveau vaccin : on utilise un autre vaccin (avec effets indésirables ) plutôt qu’un placebo. »
Pour son essai clinique, Valneva compare les effets de son vaccin à ceux d’Astra Zeneca et non à ceux d’un placebo.
Pourquoi ?
https://valneva.com/research-development/covid-19-vla2001/?lang=fr
Valneva a initié une étude clinique de Phase 3 pour son candidat vaccin contre la COVID-19
L’étude de Phase 3 « Cov-Compare » a été initiée fin avril 2021 et va comparer VLA2001 au vaccin Vaxzevria d’AstraZeneca, qui a déjà reçu une autorisation conditionnelle de mise sur le marché, lors d’une étude-pivot d’immunogénicité chez 4000 participants .
Je n’ai pas de commentaire à faire, je connais déjà la conclusion : ils vont nous servir des « tests de non-infériorité » pour justifier qu’on utilise le Valneva au lieu du AstraZeneca.
Business !
Niveau de confiance proche de zéro !
J’ai la nausée…
On peut utiliser comme placebo un produit dont on ne connait pas les effets à long terme ? On est en train de construire un château de cartes…
« Si je ne me permets pas de critiquer le grand Savont de Marseille quand il fait le virologue, je souris gentiment quand il parle des essais cliniques qu’il ne veut pas faire pour des raisons obscures. »
Quand les premiers malades sont arrivés à l’IHU, le Professeur Raoult a donné une raison qui m’a semblé parfaitement claire de son refus: administrer aux uns un traitement qu’on espère efficace et aux autres un placebo, c’est accepter le risque de laisser mourir ceux qui ont reçu le placebo.
Tout en expliquant que la COVID était une maladie bénigne… Fort le Grand Savont !
Cela dit, c’est la problématique ancestrale de la recherche médicale.
Ainsi, comme je le raconte dans le Livre « Les vaccins à l’ère de la COVID-19 » [lecture que je vous recommande !], Calmette ne put jamais tester son BCG miraculeux en France.
La gente médicale de l’époque considérait que tirer au sort des patients était immoral et qu’eux-seuls devaient décider du traitement à appliquer à leurs « victimes ».
Calmette alla ainsi tester son BCG (de façon lamentable) en Algérie…
Après tout, les habitants de la casbah d’Alger…
Est-ce que, vu par les experts de l’OMS et de l’EMA, ça vaut plus que les petits Africains qu’on utilise pour tester les vaccins contre le paludisme ?
Tout ça pour dire que vous auriez fait un bon docteur non-scientifique, un peu comme le Grand Savont (que je respecte hautement quand il se contente de faire le virologue !)
Quand on ne connait pas l’efficacite d’un traitement (et c’etait le cas pour la chloroqine a ce moment la, maintenant on sait que ca ne fonctionne pas), il n’y a pas de perte de chance a donner le placebo puisque le traitement alternatif peut avoir des effets positifs ou negatifs. Et sans les tests, il est impossible d’avoir l’information d’efficacite …
Je vous invite a lire sur le concept d’equipoise qui conceptualise cette question :
https://ferry-danini.medium.com/petite-introduction-%C3%A0-l%C3%A9thique-des-essais-cliniques-d1b6d9f0bbb2
Merci beaucoup.
C’est aussi très bien expliqué dans les livres du célèbre Dr de Lorgeril dont je représente les intérêts contre « vents et marées »…
Certes, mais l’approche du Dr Ferry-Danini (en philosophie) presente un angle different : le point de vue ethique.
C’est complementaire et mutuellement non exclusif.
Ça y est c’est commandé (le livre sur les vaccins au temps du Covid).
Hélas je suis très pessimiste pour la suite en raison du passeport sanitaire qui va nous être imposé.Que peuvent des arguments scientifiques fondés face à la désinformation d’Etat?
Les financiers qui marchent avec l’Industrie pharmaceutique ont découvert l’arme absolue : le vaccin obligatoire! Knock en avait rêvé, ils l’ont réalisé.
Tout bien portant est un malade qui s’ignore.C’est déjà ce qu’ont accepté de croire 15 millions de français qui n’en doutons pas seront POUR le pass sanitaire.
Les non vaccinés seront les parias de cette nouvelle société vaccinale.
Vous êtes pessimiste.
Pour le moment, les vaccins sont expérimentaux et ne peuvent être obligatoires.
Certes, un petit décret et la chose serait faite !
Quant au « pass sanitaire », il ne sera pas obligatoire partout et peu de « commerçants s’y plieront sur le long terme du fait de la perte en chiffres d’affaires…
Bref, attendons un peu ; beaucoup d’eaux vont couler sous les ponts…
« la chloroquine maintenant on sait que ça ne fonctionne pas »
Sur quelle preuve solide peut on le dire ?
Dans les sciences médicales, il n’y a pas de « preuve » [on laisse ça à la Police scientifique, Oups !], il y a des théories qui sont soit aisément défendables soit falsifiables (dans le sens anglophone du terme, c’est-à-dire qu’on peut démontrer qu’elles sont fausses).
Avec la Chloroquine, la théorie qu’elle est utile n’est pas défendable à ce jour !
Fallait mieux travailler dès le début !
Le Grand Savont n’en n’a pas vu l’intérêt, pour des raisons obscures, et maintenant !
On peut dire la même chose de l’Ivermectine et de tous les vaccins que vous vous laissez injecter…
Ça ne veut pas dire que ça ne marche pas, seulement qu’on ne sait pas…
Euh … il commence a y avoir quand meme un sacre paquet d’etudes qui montrent que ca ne fonctionne pas … voir que ca occasionne plus d’effet negatifs.
Il y a un sacré paquet d’études qui montrent qu’il n’y a aucun sur risque de SEP après vaccination contre l’hépatite B. Idem pour le Gardasil. Il faut prendre avec beaucoup de circonspections ce qu’on lit.
Connaissez-vous ce documentaire : Malaria business ?
Si oui, vos commentaires sont bienvenus
https://youtu.be/RfNI4sQpnjs
Je discute des vaccins !
Concernant les effets de l’artémisia, faute de donnes solides, je m’abstiens…
Oui je comprends, mais j’ai mal formulé mon propos.
Au delà de la question de l’artémisia, ce docu montre aussi les pratiques des laboratoires pharmaceutiques et de la fondation de Bill pour discréditer, empêcher ( intimidation, destruction de plantation) la recherche pour des traitements naturels afin de mieux pousser leurs vaccins ou traitements chimiques.
« On peut certes pardonner au prestigieux Figaro dont les rédacteurs, très amateurs, ne savent comment se distinguer (ci-dessous) et racontent n’importe quoi sans prendre le temps de se documenter. »
Je ne suis pas lecteur du Figaro et je n’ai pas non plus la même « orientation politique » que ce journal, cependant permettez-moi de prendre sa défense.
Je vois dans l’article qu’ils font référence au Lancet, et je comprends que Nature est sur la même longueur d’onde, alors il me semble que les rédacteurs , que vous qualifiez d’« amateurs », n’ont rien fait d’autre que de rapporter à leurs lecteurs les informations dont ils disposaient, et comme ils ne sont pas spécialistes ils n’ont aucune opinion particulière sur le sujet, ils relatent simplement des faits qui consistent en des déclarations de revues censées être « prestigieuses » et faisant référence.
Comme on voit tout et son contraire de la part de « spécialistes » des vaccins (mais c’est aussi valable pour le Covid-19 et bien d’autres choses) le commun des mortels, auquel appartiennent les journalistes, ne peut qu’être désorienté et ne pas vraiment savoir ce qui relève de l’info ou de l’intox.
La principale critique que je ferai concernant l’article du Figaro c’est qu’il devrait employer le conditionnel et écrire « Un candidat vaccin contre la malaria démontrerait une forte efficacité », à part cela peut-être devraient-ils vous embaucher pour leur indiquer la direction de la lumière. Mais pourquoi vous et pas Raoult, ou Perronne, ou un autre ?
Mon cher ami, dans le métier des médias, la première chose à faire est de vérifier ses sources.
C’est le minimum du professionnalisme minimum !
Je ne l’ai pas fait avec le Lancet qui est un journal moribond qui reste la tête hors de l’eau grâce à Elsevier.
Mais j’ai vérifié la publication originale (corresponding authors : Adrian Hill et Halidou Tinto) et celle de Nature ; ce que les rédacteurs du Figaro auraient dû faire. Faute professionnelle !
Il n’y a donc rien à défendre dans le Figaro.
Si je ne me permets pas de critiquer le grand Savont de Marseille quand il fait le virologue, je souris gentiment quand il parle des essais cliniques qu’il ne veut pas faire pour des raisons obscures.
Mais les essais cliniques, c’est mon job justement [première recherche pour ma thèse de médecine défendue en 1976] et je pense que qu’on devrait m’embaucher quand on parle de ces questions.
Cette question concernant le nouveau vaccin contre le paludisme [et accessoirement celui contre la rage] est mon domaine de confort. Les essais cliniques pour de Lorgeril, les virus pour le Grand Savont ! Chacun son métier ! Et le monde ira mieux !
Je ne sais pas quel est le vôtre ; mais vous seriez certainement à votre place au Figaro !
Quant à moi, je retiens quand même la belle en-tête du Figaro [il ne reste que ça de beau…] : « il n’est point de félicitations acceptables sans la liberté de critiquer ». Un truc comme ça ! Excusez-moi, Général de Beaumarchais !
Vous n’avez pas vraiment compris mon commentaire…
Les rédacteurs du Figaro ne sont pas médecins, ils sont journalistes, et vous avez raison, ils doivent vérifier leurs source, et le problème est bien comment faire pour vérifier ses sources !
Ils peuvent évidemment vous consulter si vous estimez (à tort ou à raison j’en sais fichtrement rien) que le vaccin contre le paludisme est dangereux, mais comment diable voulez-vous qu’ils sachent si vous êtres plus compétent qu’un autre ?
S’ils vous consultaient ils diraient donc peut-être que ce vaccin est dangereux, puisque de Lorgeril a dit qu’il était dangereux, et ils auraient des tonnes d’autres spécialistes qui leur tomberaient dessus pour dire que de Lorgeril raconte n’importe quoi. Dans le cas présent je ne sais pas qui ils ont consulté, peut-être un infectiologue qui leur a dit que l’étude de Nature était correcte et qu’ils pouvaient faire un article dessus sans la contester, si vous avez des informations là-dessus ce serait sympa de nous les faire partager, et si vous n’en avez pas vous faites ce qu’on appelle un mauvais procès d’intention au journal.
Vous auriez pu (mais vous l’avez peut-être fait ?) informer directement le Figaro de vos conclusions à vous sur le manque de sérieux de l’étude de Nature, avec l’espoir pourquoi pas d’avoir une tribune à votre nom (au Monde beaucoup de tribunes sont publiées de gens d’horizons très différents, je suis sûr qu’avec un peu de persuasion vous pourriez arriver à en décrocher une)
Quant à mon métier c’était comptable, mais je suis maintenant à la retraite, cela dit c’est complètement hors sujet car je n’ai jamais prétendu avoir la moindre légitimité pour avancer telle ou telle thèse concernant votre domaine à vous ; quant à me dire que je serais à ma place au Figaro j’ai bien compris que vous me preniez pour un guignol, ce qui n’est pas vraiment une façon intelligente d’argumenter.
Vous dites : « …que le vaccin contre le paludisme est dangereux, je n’en sais fichtrement rien… »
C’est pourtant facile à vérifier ; vous trouverez les références dans mon dernier Livre.
En principe, le rédacteur du Figaro (comme celui de Nature) aurait dû vérifier ce qu’est Mosquirix , le vaccin de GSK !
Et sans avoir besoin de mon Livre, s’il n’était pas un crétin… Vérification des sources : le b a ba de son métier ! Aucune excuse : c’est un crétin !
L’article de Nature (que visiblement vous n’avez pas lu) ne rapporte pas les résultats des essais cliniques testant les vaccins contre la paludisme, il en fait la promotion, sans avoir rien vérifié ! Peut-être ont-ils été payés pour cette « complaisance » ?
Vous être « lourd » !
Tenez, vous pouvez ajouter à votre blacklist les journaux Sciences et Avenir (https://www.sciencesetavenir.fr/sante/premiere-77-d-efficacite-pour-un-vaccin-anti-paludisme_153850) et The Guardian (https://www.theguardian.com/world/2021/apr/23/oxford-malaria-vaccine-proves-highly-effective-in-burkina-faso-trial)
Tous des nuls qui ne vérifient pas leurs sources, seul le bon docteur de Lorgeril est là pour (ré)informer la lourde populace !
« Science & Avenir » et encore « The Guardian » ?
De mieux en mieux : Figaro, Figaro !
Vous n’avez toujours pas compris le sens de mon commentaire initial, c’est pas grave, restez comme ça puisque ça vous convient, je ne vais pas en faire une maladie.
Cher docteur, je voulais vous répondre mais cela prendrait bien trop de place dans votre section commentaires, donc j’ai préféré écrire un billet sur mon propre blog afin d’expliquer dans le détail ce qui me chagrine dans votre article.
C’est ici : https://sogeco31.blogspot.com/2021/05/les-aventures-de-mosquirix-et-delorgerix.html
Je ne vous en voudrais pas si vous décidiez de ne pas publier ce commentaire, mais au moins vous savez maintenant où me trouver (et je ne vous en voudrais pas non plus si vous décidiez de ne pas lire mon billet, après tout je ne suis qu’un pauvre têtard comparé au vilain crapaud Le Figaro)
Vous êtes lourd !
Grace à vos travaux sur “le Cholestérol et les statines” j’ai découvert le pouvoir malicieux des labos pharmaceutiques, leur manque total d’éthique scientifique dans leurs publications.
Maintenant dans les vaccins, vous mettez le doigt non seulement sur l’éthique scientifique, mais aussi sur l’éthique la plus basique, en sorte la morale tout court, du moins la notre en occident.
L’OMS aussi forte moralement au temps de sa création semble s’effondrer sous les acoups des labos et autres donateurs volontaires qui représentent d’après son site propre 70% de son financement
( on compte dans ces donateurs propres les états qui financent au delà de leurs obligations, et pas seulement les privés). Christian Peronne souligne l’apparition des conseillers des labos dans les commitions sur les vaccins depuis les années 2000. Ceux qui ont pourfendu l’éthique scientifique semblent être les mèmes qui pourfendent l’éthique basique.