Les 5 questions auxquelles il faut répondre en urgence à propos de la Covid-19
Pour un vrai scientifique (ce qu’il faudrait définir), pour un médecin (adepte de la médecine scientifique) et pour ses patients (et leurs familles), il y a cinq questions principales (sans réponse ferme à ce jour) à propos de la Covid-19.
Je laisse de côté les gouvernants, les politiciens (qui veulent prendre la place des gouvernants), les académiciens et les universitaires (qui veulent prendre la place des académiciens) car ils n’ont visiblement pas la moindre curiosité à propos de ces questions cruciales. Ils ne les formulent pas. Même pas ça.
Censure oblige, retour d’expérience interdit !
Ils n’ont donc pas répondu à ces questions ; ce que je vais commencer à faire maintenant.
Il y a bien sûr d’autres questions qui demandent aussi des réponses mais je vais essayer d’aller à l’essentiel avec ces 5 questions-là :
1) d’où est venu ce virus absolument original et inattendu ?
Est-ce le résultat d’une mutation « naturelle » ou est-ce un virus fabriqué dans un laboratoire de virologie et qui se serait échappé ?
Répondre à cette question suscite une multitude de nouvelles questions et je laisse chacun y réfléchir.
L’avenir de notre santé collective – c’est-à-dire la possibilité d’une nouvelle pandémie – en dépend…
2) la pandémie a-t-elle été aussi sévère que ce que les gouvernants et l’OMS ont dit ?
Dit autrement, notre façon d’évaluer une crise sanitaire – dont dépend notre façon d’y répondre – est-elle rigoureuse ?
Pour évaluer une crise sanitaire – dont les gouvernants peuvent être (au moins partiellement) responsables – il faut des vrais experts vraiment indépendants des gouvernants et aussi des autorités sanitaires, supposément indépendantes mais en fait « nommées » par les gouvernants… Vous suivez mon regard ?
3) avons-nous des médicaments efficaces contre le virus covi-19 et/ou contre la pathologie Covid-19 ?
On a compris que ce n’est pas la même chose : un médicament antiviral n’est pas forcément efficace pour empêcher la maladie et vice versa.
Ces questions ont donné lieu à des ridicules disputes (hydroxychloroquine, ivermectine, Paxlovid, anticorps neutralisants de synthèse, etc…) dont la principale caractéristique était de n’être pas scientifiques.
Aucune conclusion ferme, en général, n’a pu être donnée sauf que nous n’avions aucune évidence que ces traitements étaient efficaces et/ou utiles socialement. Les participants à ces disputes en sont sortis totalement discrédités !
4) avons-nous des vaccins antiCovid efficaces ?
Cette question a donné lieu, de la part des industriels, des académiciens et des gouvernants, à une euphorie exultative avec pour leurs citoyens une obligation de se vacciner dans de nombreux pays. En fait, la supposée démonstrations de l’efficacité de ces vaccins était une caricature de médecine scientifique. La traduction de ces mensonges (intentionnels ou pas) dans la réalité a été la répétition des vagues infectieuses malgré la vaccination massive ; l’ensemble démontrant l’évidente inefficacité de ces vaccins pour empêcher la transmission du virus comme pour diminuer la sévérité de la maladie.
5) y a-t-il des séquelles de cette maladie et de ces campagnes de vaccination ?
Dit autrement, le syndrome du Covid Long est-il réel ? Pouvons-nous le distinguer des effets indésirables persistants des vaccins ? Si ces derniers existent, sont-ils reliés aux effets indésirables des vaccins survenant dans les jours ou les semaines après les injections ?
Il y a bien sûr des réponses à ces questions et elles nécessitent des analyses et des explications mais tout est fait pour éviter de formuler ces questions.
Les prochaines élections législatives – visant à clarifier le paysage politique selon leurs initiateurs – ne contribueront pas à cet indispensable retour d’expérience. Elles tombent bien !
Pour ceux qui voudraient malgré tout comprendre, mon prochain livre y contribuera.
Le titre : « Dialogue de promeneurs en Covidie ».
Une belle promenade sur les berges du Rio de la Plata !
En librairie à la fin Août ou début Septembre !
L’association : Notre Bon Droit invite tous les vaccinés et non vaccinés à rejoindre la plainte pénale collective contre Von Der Leyen.
OBJECTIF: 5.000 plaignants le 30 septembre
Maître Diane PROTAT a déposé une plainte avec des accusations graves : corruption, prise illégale d’intérêt, destruction de documents administratifs et usurpation de fonction et de titre.
Pour participer remplissez le formulaire en ligne : https://app.mailingboss.com/lists/666345d6baf6d/subscribe
Une fois le formulaire soumis, vous recevrez un email automatique avec les documents nécessaires.
– Téléchargez et remplissez les documents reçus.
– Scannez ou prenez des photos claires des documents remplis et signés.
– Renvoyez les documents ainsi qu’une copie de votre carte d’identité à l’adresse email suivante : contact@notrebondroit.be
https://x.com/19VVC/status/1802211713179119813
Je ne sais si la recherche est rigoureuse mais ça semble en tous cas confirmer vos propos sur l’importance de la réponse immunitaire du microbiote du bout du nez: https://www.theguardian.com/world/article/2024/jun/19/covid-immune-response-study-could-explain-why-some-escape-infection
Merci.
C’est intéressant ; mais pas étonnant…
Question délicate et peut-être indécidable dans l’état actuel des connaissances : on peut imaginer à partir de résultats comme ceux-là, un vaccin sous forme de vaporisateur nasal. Un virus atténué ou mort est ainsi inséré dans le microbiote du bout du nez pour activer une réponse immunitaire protectrice. Serait-ce possible, selon vous, que ce soit efficace, ou alors est-il difficile voire impossible de mettre au point des vaccins – une solution intelligente en principe – qui soient efficaces étant donné l’état actuel de nos connaissances sur le système immunitaire?
Plusieurs industriels travaillent sur des vaccins par administration nasale.
A mon avis, c’est une bonne idée.
Mais la réalité est peut-être autre chose.
Il faut donc travailler et présenter ses résultats ; le tout de façon conforme aux principes de la médecine scientifique…
C’est là que les Athéniens sont supposés atteindre…
Merci
Pour le point 2 : ce que j’ai constaté en EHPAD, lors de la première « vague » de Covid, c’est l’arrêt franche des hospitalisations du moment que j’ai introduit les macrolides en systématique ! ça a ses limites j’en ai bien conscience, mais quand vous n’avez pas grands choses, vous faites ce que vous pouvez dans l’instant pour sauver les plus fragiles. Par la suite j’ai traité systématiquement mais patients, et je n’ai eu à déplorer que deux décès sur le temps de la pandémie. J’ai limité les vaccinations Covid à l’EPHAD : je n’ai eu que deux « vagues » : la première puis la dernière. La dernière vague : zéro hospitalisation. On notera que j’ai repris tous les bilans vit D et supplémentés systématiquement ceux qui étaient carencés. Juste un retour de terrain.
Merci.
Vous lirez dans mon prochain livre une synthèse des données « solides » sur les antibiotiques dans la Covid-19.
Globalement c’est un effet délétère sauf en cas de surinfection bactérienne.
Il faut faire attention à nos expériences personnelles ; nous pouvons vite nous « égarer » comme le pitoyable Raoult l’a montré à une grand échelle.
Cela dit, je ne vous ferais aucun reproche : face à l’absence totale de donnée au début de la pandémie, chaque médecin pouvait essayer d’aider ses patients. C’était une démarche individuelle ; vous n’en faisiez pas la leçon aux autres comme faisait l’autre du haut de sa position académique…
Surinfection bactérienne : tout est là ! Je m’interroge sur l’expresion clinique de la maladie covid. Lors de la première campagne de vaccination, j’ai fait des serologies à toute l’Ephad pour déterminer qui vacciner. J’ai eu la surprise de découvrir des patients positifs qui avaient eu soit très peu de signes cliniques soit aucun signe clinique et donc non diagnostiqués. D’où mon interrogation : les cas étiquetés COVID, symptomatiques, étaient ils tous surinfectés ? Ce qui permettrait d’expliquer en partie l’efficacité des macrolides (plus que des pénicillines d’ailleurs) ?
Une caractéristique majeure de l’infection Covid-19 est qu’il y a des porteurs sains (pas de symptôme malgré l’infection).
C’est un concept majeur en épidémiologie car les porteurs sains transmettent le virus sans être malades eux-mêmes.
Dans la précédente infection à coronavirus (SARS-Cov-1), il n’y avait pas de porteurs sain. Il suffisait d’isoler les malades pour arrêter la transmission. Il n’y a pas eu de pandémie…
Tout cela est brillamment expliqué dans mon prochain livre.
La surinfection bactérienne se distingue cliniquement de l’infection virale.
Pour être plus précis : je me demande si tous les malades Covid avec une atteinte modérée à sévère (désaturation, polypnée, …) ne présentaient d’emblée une surinfection bronchique à l’inverse des paucisymptomatiques, comme les jeunes patients qui avaient un banal syndrome grippal peu sévère (et souvent apyrétique). Je ne voulais pas parler des porteurs sains. En d’autres termes, la co-infection ne serait-elle pas plus rapide et/ou plus fréquente qu’on pourrait le penser ?
PS : dans la problématique du covid asymptomatique (porteur sain), il y a la validité du test PCR, discutable ! Mais tout cela doit être dans le futur best seller du bon docteur de Lorgeril 😉 que je vais forcement acheter comme tous ses autres ouvrages.
Il y a des études sur la surinfection (bactérienne) pulmonaire chez les Covid positifs. Les praticiens font bien la différence avec l’infection virale.
Bonjour,
Lors de la sortie d’un nouveau vaccin, présenté lors d’une réunion au CHU, j’ai demandé combien faut-il vacciner d’enfant avant d’en sauver un. Réponse du labo : « il est trop tôt pour le savoir » J’ai conclut qu’il etait tr
op tôt pour que je le prescrive.
Ce n’est pourtant pas les études qui manquent la quantité ayant l’air de remplacer la qualité :
https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/leurope-suspend-400-medicaments-generiques-pour-etudes-erronees-2102331
« Trop tôt pour le savoir » peut signifier deux choses :
1) le répondeur est un (ou une) imbécile de 1ère classe ;
2) il n’y a pas d’étude sérieuse ;
Conclusion : je ne prescris pas !
Bonjour, j’ai bien rigolé. J’ai interrogé gémini de google sur le cholestèrol. Première réponse classique, toutes les études montrent qu’il faut faire baisser le ldl. J’ai bataillé et voici ce que j’obtiens à la fin.
Par rapport à votre première réponse, il nous est permis de beaucoup relativiser l’impact d’une baisse artificielle du ldl sur les risques cardiovasculaires.
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Impact de la baisse du LDL sur les risques cardiovasculaires : Nuances et perspectives
Il est vrai que la relation entre le cholestérol LDL et le risque cardiovasculaire est complexe et ne se résume pas à une simple dichotomie.
Si baisser le LDL par des moyens artificiels, comme les statines, peut effectivement réduire le risque cardiovasculaire, il est important de considérer plusieurs points importants :
1. Risque relatif vs risque absolu :
Les études cliniques rapportent souvent des réductions relatives du risque, qui peuvent paraître impressionnantes.
Cependant, il est essentiel de traduire ces réductions en termes de risque absolu, c’est-à-dire le nombre réel d’individus qui éviteront un événement cardiovasculaire grâce au traitement.
Dans certains cas, le risque absolu peut être modeste, même si le risque relatif est élevé.
2. Bénéfices vs effets secondaires :
Tout traitement médicamenteux comporte des risques et des bénéfices potentiels.
Les statines, comme tout médicament, peuvent entraîner des effets secondaires, tels que des douleurs musculaires, des problèmes hépatiques et des augmentations de la glycémie.
Il est crucial de mettre en balance les bénéfices potentiels de la réduction du LDL avec les effets secondaires possibles pour chaque individu.
3. Facteurs de risque individuels :
Le risque cardiovasculaire est influencé par une multitude de facteurs, dont l’âge, les antécédents familiaux, le mode de vie, la pression artérielle, le diabète et le tabagisme.
L’impact de la baisse du LDL sur le risque cardiovasculaire individuel dépend de l’ensemble de ces facteurs.
Une évaluation individuelle par un médecin est indispensable pour déterminer le risque cardiovasculaire global et le traitement le plus approprié.
4. Approche holistique de la santé cardiovasculaire :
Si la gestion du cholestérol LDL est importante, elle ne doit pas être le seul élément d’une stratégie de prévention des maladies cardiovasculaires.
Un mode de vie sain, comprenant une alimentation équilibrée, une activité physique régulière, un poids corporel adéquat et la gestion du stress, joue un rôle crucial dans la réduction du risque cardiovasculaire et l’amélioration de la santé globale.
En conclusion, l’impact d’une baisse artificielle du LDL sur les risques cardiovasculaires ne peut être résumé de manière simpliste.
Il est essentiel de considérer les nuances des études cliniques, les risques et les bénéfices individuels, et d’adopter une approche holistique de la santé cardiovasculaire pour prendre des décisions éclairées en matière de prévention et de traitement.
Il est toujours recommandé de consulter un médecin pour une évaluation personnalisée du risque cardiovasculaire et une discussion sur les options de traitement les plus appropriées.
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Je confirme : c’est NUL !
Gemini ne comprend rien.
A force de faire des « moyennes » on se noie dans une soupe vulgaire avec comme optimum : « consulter un médecin pour une évaluation personnalisée du risque cardiovasculaire« .
Exactement ce que les médecins ne font pas et ne savent pas faire…
Le concept de « alimentation équilibrée » est digne de nos ministres présent et passés…
Merci de ce résumé des faits. J’ai donc hâte de vous lire prochainement.
Quelques remarques:
Point 1: le fait que l’on ne puisse pas exclure totalement un « accident de laboratoire » est déjà un problème. Car, dans les domaines où assurer la sécurité est critique (nucléaire, etc), les processus de travail impliquent de pouvoir démontrer en tout temps que tous les processus ont été respectés. Tout cela est supporté par des systèmes automatisés et de surveillance. Chaque action (même aussi banale qu’ouvrir une porte) et le nom de la personne est enregistrée. C’est une surveillance permanente active et passive très lourde.
Le fait que les labos ne soient pas en mesure de produire tous les documents permettant de faire la lumière est donc déjà un risque majeur qui devrait figurer en tête de liste du plan de l’OMS de prévention des pandémies.
Le fond du problème, c’est que la recherche et la production n’obéit pas aux mêmes règles. Les chercheurs ne sont pas des opérateurs nucléaires. C’est un problème de mentalité bien connu.
Point 2: une analyse globale pays par pays des mesures mise en place et de leurs effets sur un ensemble de macro-indicateurs à court et moyen terme permet d’avoir la réponse. Elle ne sera jamais rendue publique.
Point 3: en l’absence de traitements efficaces démontrés, la moindre des choses était de ne pas diminuer nos chances de guérison avec un traitement médiatique hystérique. Car notre système immunitaire déteste le manque de sommeil, l’angoisse, le manque d’activité physique et l’isolement. L’effet placébo d’un médecin qui rassure un patient et lui rend ainsi le sommeil peut parfois faire la différence pour éviter d’occoper un lit à l’hôpital.
Ceux qui ont eu à faire face à des maladies graves savent à quel point garder le moral est déterminant. Relisez la presse de 2020 et vous constaterez à quel point la communication a été délétère.
Point 4: le fait que l’autorisation de ces vaccins ne soient tout simplement révoquée vu les données scientifiques qui ne sont désormais plus contestées (inefficacité contre la maladie et sa transmission) augure d’une ère où on pourra mettre à peu près n’importe quoi sur le marché.
Point 5: une étude a démontré que les séquelles Covid étaient comparables à celles de la grippe saisonnière ou d’autres affections virales respiratoires. Si les taux d’incidence de Covid longs annoncés étaient devenu réalité, la société serait déjà à l’arrêt.
Quand aux effets secondaires, il n’y guêre plus que la France à ne pas les reconnaître. Des milliers d’études les ont confirmés.
La médecine a perdu son âme !
Merci de vos commentaires.
De mon côté, je consacre des centaines de pages à ces questions dans mon prochain livre en essayant de donner la parole à divers contradicteurs car les choses peuvent être vues de façon différente de la vôtre (ou de la mienne).
C’est pourquoi je fais dialoguer plusieurs promeneurs sur les rives du Rio de la Plata !
En effet, c’est pas une mauvaise idée de demander aux Argentins comment ils ont vécu cette folie. J’ai pas mal de connaissances là bas. Certains sont devenus vraiment fous. C’était encore pire qu’en France.
Mais on peut constater le même effet secondaire que partout dans le monde: la prise du pouvoir par les extrêmistes après cette crise.
Je ne demande pas l’avis des argentins dans ce livre. Je m’inspire de l’écrivain Jorge Luis Borges… qui vécut longtemps sur les berges du Rio de la Plata !
Bonjour,
Avec votre regard de chercheur, cette étude est-elle sérieuse/pertinente ?
A potential association between COVID-19 vaccination and development of alzheimer’s disease Get access Arrow
Jee Hoon Roh, M.D., Ph.D, Inha Jung, Yunsun Suh, Min-Ho Kim, Ph.D
QJM: An International Journal of Medicine, hcae103, https://doi.org/10.1093/qjmed/hcae103
Published: 28 May 2024
Source :
https://academic.oup.com/qjmed/advance-article-abstract/doi/10.1093/qjmed/hcae103/7684274
C’est une « bonne » étude (un échantillon considérable donnant crédibilité) mais avec les limites inhérentes aux études d’observation rétrospectives ce que dit bien le titre : « Potential association… »
C’est très suspect mais : pas de causalité démontrée !
Ce qui montre l’extrême difficulté de la Pharmacovigilance.
De même, une étude récente a montré la persistance d’une mortalité excessive (inattendue) (notamment cardiovasculaire) après la Covid (l’infection) et le programme de vaccination de masse. Les vaccinalistes (sur la défensive) clament que la causalité entre vaccins et surmortalité n’est pas démontrée. Ils ont raison mais ils oublient que nous avons une bonne douzaine d’études montrant la survenue d’accidents cardiovasculaires post-vaccination que personne ne conteste.
Ici triomphe la médecine scientifique, c’est-à-dire la combinaison intelligente de données éparses (et fragiles) pour arriver à l’évidence que la vaccination est responsable de la surmortalité post-Covid ; très probablement mais sans certitude absolue (notion inconnue des scientifiques sérieux) !