Les nouvelles recommandations vaccinales américaines pour les adultes
Pour essayer de comprendre la frénésie vaccinaliste [pourtant vide de toute légitimité scientifique] de notre époque, il est bon de multiplier les angles de vue.
Par exemple, nous pouvons examiner les nouvelles recommandations américaines pour les adultes.
Cela part d’un bon « sentiment » avec la constatation que les adultes américains sont de moins en moins vaccinés et ont de moins en moins envie de l’être.
Pas de panique, ils sont encore loin du scepticisme « à la française » qui donne des chiffres hallucinants… selon les autorités. Maudits français !
J’ai discuté cette comparaison franco-américaine à propos de la vaccination antigrippale dans le numéro 7 de la Collection Vaccins & Société [Les vaccins contre la grippe. Illusions et désinformations. Quel beau titre !].
Je montre – ce n’est pas difficile – que les séniors américains se sont vaccinés de plus en plus contre la grippe au 21ème siècle et qu’en parallèle la sévérité de la grippe (la mortalité attribuée à la grippe) augmentait aux USA.
Inversement, en France, les séniors se vaccinaient de moins en moins et la sévérité/mortalité de la grippe diminuait.
Interprétation minimaliste : il n’y a aucune relation entre la sévérité de la grippe et la vaccination antigrippale.
On comprend pourquoi Le numéro 1 mondial du vaccin antigrippal (Sanofi Pasteur) a décidé de concentrer son marketing vaccinal aux USA.
Sacré Bon Dieu !
Bon ! Quelles nouvelles recommandations aux USA pour les adultes ?
Je recopie le texte du CDC (l’autorité sanitaire chez nos cousins américains) pour éviter toute contestation :
« Current Recommendations: the main vaccines recommended for adults, besides flu and COVID shots, are for respiratory syncytial virus (RVS); shingles; pneumococcal disease; measles, mumps, and rubella (MMR); and tetanus, diphtheria, and pertussis (Tdap). Less commonly, booster vaccines for MM, and hepatitis are recommended when titers are proven to be low. »
En français, les experts américains recommandent donc à leurs concitoyens de se faire vacciner – ou plutôt re-vacciner pour la majorité d’entre eux – contre :
– la grippe saisonnière
– la Covid-19
– la bronchiolite
– le zona
– les pneumocoques
– la rougeole
– les oreillons
– la rubéole
– le tétanos
– la diphtérie
– la coqueluche
– les hépatites (A et B sans doute)
Cela fait 13 vaccins ; c’est beaucoup !
Certains ne nécessitent qu’un rappel ; d’autres doivent être administrés tous les ans.
Etonnez-vous que, selon les supposés experts du CDC, les adultes américains soient de plus en plus sceptiques ; au grand désespoir des mêmes experts.
Ce qui explique probablement les campagnes de promotion de la (ou des) vaccination(s) aux USA depuis la Covid, des campagnes dignes de Coca-Cola ou d’un quelconque dentifrice.
Ce qui serait amusant – mais ça n’arrivera pas – serait de confronter un vrai expert de la médecine des vaccins ; moi par exemple (auteur de 12 livres sur le sujet) avec un ou plusieurs de ces supposés experts. L’arbitre, indépendant par définition, poserait des questions simples comme :
1) quelle étude a démontré l’efficacité de tel ou tel vaccin ?
2) quelles sont les données solides de pharmacovigilance de tel et tel vaccin ?
Et d’autres…
Questions incongrues certes, mais les seules qui vaillent pour un scientifique sérieux, espèce en voie de disparition.
Bon ne nous décourageons pas et surtout n’écoutons pas le sublime « Lamento » de Monteverdi…
On aime ou pas…
personne n’est à l’abris
https://afriquemedia.tv/2024/07/31/cote-divoire-une-solution-contre-le-paludisme-controversee/
Depuis le 15 juillet 2024, la Côte d’Ivoire a introduit le R21/Matrix-M dans le calendrier vaccinal pour les enfants de 6 à 23 mois. Ce nouveau vaccin est progressivement déployé à travers le pays dans le cadre du Programme Élargi de Vaccination (PEV). Le ministère de la Santé ivoirien a déjà réceptionné 656 600 doses du vaccin, dont 131 100 doses ont été livrées le 27 juin 2024.
Le gouvernement vise 250 000 enfants dans 38 districts sanitaires répartis dans 16 régions, avant de l’étendre aux 75 autres districts sanitaires d’ici la fin de l’année. Cette initiative s’inscrit dans la lutte contre le paludisme, une maladie qui reste la principale cause de consultation médicale en Côte d’Ivoire malgré une baisse des décès liés à cette maladie, passant de 3 222 en 2017 à 1 316 en 2020.
Cependant, des inquiétudes grandissent quant à la sécurité de ce vaccin. Des informations circulant sur les réseaux sociaux ont récemment rapporté le décès d’une petite fille après avoir reçu une dose du vaccin dans la commune d’Abobo, au nord-est d’Abidjan. Cet incident alarme les parents et les professionnels de santé quant aux potentiels effets secondaires du R21/Matrix-M.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a donné son feu vert à l’utilisation du R21/Matrix-M, affirmant que ce vaccin est sûr et efficace à près de 77%. Le R21/Matrix-M est le deuxième vaccin contre le paludisme recommandé par l’OMS, après le RTS,S/AS01. Il a été créé pour réduire la mortalité infantile due au paludisme, qui a causé plus de 600 000 décès dans le monde en 2022, dont 95% en Afrique et 80% parmi les enfants de moins de cinq ans.
Le ministère de la Santé, sous la direction de M. Pierre N’gou Dimba, soutient fermement l’introduction du vaccin, en insistant sur la nécessité de protéger les enfants contre le paludisme. Ils prévoient de distribuer le vaccin en quatre doses administrées à 6, 8, 9 et 15 mois. Dr. Aka Charles Koffi, Directeur de Cabinet du Ministère de la Santé, a souligné que cette campagne vaccinale est cruciale pour réduire le taux de mortalité infantile et lutter contre la résistance des vecteurs aux insecticides.
Malgré ces assurances, l’introduction de ce vaccin suscite des controverses. Les parents sont encouragés à vacciner leurs enfants, mais certains restent sceptiques face à l’enthousiasme du gouvernement. Les effets secondaires possibles du R21/Matrix-M et les récents incidents rapportés soulèvent des questions sur la précipitation de cette campagne de vaccination.
La critique principale porte sur le fait que la Côte d’Ivoire a permis l’utilisation de ce vaccin, qui n’a pas été suffisamment testé, sur ses enfants. Il est inacceptable que des vaccins non éprouvés soient déployés en Afrique, transformant les enfants africains en cobayes pour les essais cliniques occidentaux. Les autorités ivoiriennes doivent assumer la responsabilité de cette décision précipitée et potentiellement dangereuse.
Merci de ce message .
Au-delà des aspects sociologiques, cette étude soulève une autre question et elle caractérise la période post-Covid, surtout post-vaccins antiCovid.
Les industriels, avec la connivence des gouvernants, ont menti à propos des vaccins antiCovid.
Ils ont maquillé les essais cliniques pour nous faire croire à leur efficacité et innocuité. Qui peut encore les croire ?
Dès lors, comment pourrions-nous croire les industriels (et les gouvernants) qui sont derrière les vaccins anti-malaria ?
Pire, mon impression est qu’il ne faut pas les croire : l’amoralité règne en maitresse dans ce monde-là !
Dire cela ce n’est pas du complotisme [j’entends déjà les idiots utiles habituels], c’est du simple réalisme !
Pour pouvoir les croire, il me faut l’intégralité de la base de données, des données brutes !
Mieux, les essais cliniques devront désormais – pour être crédibles – être conduits par des investigateurs indépendants des industriels et des gouvernants !
Des investigateurs qui devront être des vrais scientifiques et pas, à titre d’exemple, des académiciens ou des universitaires (y compris français) dont toute la carrière s’est faite à l’ombre des industriels de vaccins…
Et vlan !
Donc, pour le cholestérol : nouvelle question à Perplexity : Quels sont les arguments
scientifiques de Michel De Lorgeril à propos du lien entre cholestérol et risque cardiovasculaire ?
Réponse :
Michel de Lorgeril est un chercheur français qui remet en question le lien entre le cholestérol
et les maladies cardiovasculaires. Voici ses principaux arguments scientifiques :
1. Études observationnelles
De Lorgeril cite plusieurs grandes études observationnelles qui n’ont pas trouvé de
corrélation entre les niveaux de cholestérol et le risque cardiovasculaire, comme
l’étude Framingham et l’étude MONICA de l’OMS.
2. Populations à faible risque cardiovasculaire
Il souligne que certaines populations comme les Inuits, les Masaïs ou les habitants de Crète
dans les années 1960 avaient des niveaux élevés de cholestérol mais un très faible risque
cardiovasculaire, remettant en cause le rôle du cholestérol.
3. Essais cliniques négatifs
De Lorgeril affirme que plusieurs grands essais cliniques testant des médicaments
hypolipidémiants n’ont pas montré de bénéfice significatif sur la mortalité cardiovasculaire,
comme les études ALLHAT et ASCOT-LLA.
4. Hypothèse oxydative
Il propose que ce n’est pas le cholestérol lui-même qui est nocif, mais sa forme oxydée.
Selon lui, l’inflammation et le stress oxydatif seraient les véritables facteurs de risque
cardiovasculaire.
Bien que controversés, ces arguments de De Lorgeril remettent en question le dogme
du « cholestérol = mauvais » et appellent à davantage de recherches sur les véritables causes
des maladies cardiovasculaires.
C’est absolument NUL !
Je n’ai jamais raisonné de cette façon.
Les LDL oxydées ? J’ai toujours dit que c’était stupide.
Vous pouvez mettre « Perplexity » à la poubelle !
Si je reformule la question de la façon suivante : « Quels sont les arguments scientifiques de Michel De Lorgeril
à propos des vaccins » la réponse est un peu différente :
» Voici les principaux arguments scientifiques de Michel De Lorgeril concernant les vaccins, basés sur les résumés
fournis:
Manque de preuves scientifiques solides
• Aucune étude scientifique épidémiologique n’a démontré de façon pertinente l’efficacité, l’utilité et l’innocuité
des vaccins obligatoires pour les enfants.
• Les essais cliniques de Pfizer sur leur vaccin Covid-19 n’ont pas permis d’évaluer la prévention des formes
graves, puisqu’aucun décès n’a été observé dans l’essai.
• Les déclarations sur la capacité des vaccins à empêcher les formes graves de Covid proviennent
d’observations rétrospectives non solides scientifiquement.
Remise en cause de l’évaluation des effets secondaires
• Les procédures standard d’évaluation des effets indésirables des vaccins (essais randomisés en double
aveugle) n’ont pas été respectées pour les vaccins Covid.
• Il soulève des inquiétudes sur la perturbation possible du système immunitaire par les vaccinations,
citant une étude observationnelle liant vaccinations et troubles neurodéveloppementaux.
Critique de l’approche des autorités sanitaires
• Il accuse les autorités sanitaires d’avoir « fermé les yeux » sur les lacunes des essais cliniques de Pfizer.
• Il dénonce une absence de normes scientifiques et de consensus dans l’évaluation des vaccins pendant la
pandémie.
Oups !
Là c’est beaucoup plus mauvais ; et témoignage d’une incompréhension totale de la médecine scientifique !
Bon ! On est meilleur que les robots qui de leur côté participent à la désinformation.
Cela dit, les robots sont quand même meilleurs que les experts « conventionnels » des gouvernants…
J’ai posé au moteur de recherche IA Perplexity la question suivante : que dit Michel De Lorgeril sur les vaccins ?
Réponse :
» Michel de Lorgeril, médecin et épidémiologiste, adopte une position critique envers les vaccins
et remet en question leur sécurité et leur efficacité. Voici les principaux points soulevés dans les sources citées :
Il soutient que le principe de base du rapport risques/bénéfices doit s’appliquer à la médecine vaccinale.
Selon lui, aucune étude scientifique n’a démontré de façon pertinente l’efficacité, l’utilité et l’innocuité des vaccins
obligatoires.
Il affirme qu’il n’y a aucune preuve que les enfants vaccinés seront moins en danger face aux maladies visées, ni qu’ils ne risquent pas de souffrir de pathologies induites par les vaccins à long terme.
Il remet en cause la toxicité des substances non microbiennes et des combinaisons de vaccins dans une même
seringue, questionnant les effets sur le système immunitaire, en particulier chez les bébés et personnes fragilisées.
Il dénonce la « propagande vaccinaliste » des autorités sanitaires et des médias, les accusant de désinformation sur
les risques des vaccins.
Il critique vivement l’obligation vaccinale, la qualifiant de « procédé violent et sadique » envers les parents hésitants.
En résumé, Michel de Lorgeril adopte une position anti-vaccins, remettant en cause leur sécurité, leur efficacité et
dénonçant ce qu’il considère comme une désinformation des autorités sur les risques liés à la vaccination ».
La question que l’on peut se poser est donc : l’IA peut elle nous aider à construire de solides arguments
scientifiques ? Ça va pas être facile !
Je trouve que ce résumé de mes positions est assez « plutôt » correct quoique très insuffisant ; et donc caricatural. Ce n’est qu’un résumé…
Évidemment, il faudrait « substantier » tout ça avec un argumentaire référencé ; et pour chaque vaccin !
Faut pas rêver !
Vous devriez poser la même question à propos du cholestérol…
Les Autorités sanitaires et autres « experts » français s’inquiètent eux aussi de la très faible couverture vaccinale pour le COVID chez les seniors. Ils ont fini par creuser la propre tombe de ces « vaccins » en voulant forcer les gens.
Exact !
Et, en plus, ils ont injecté à la population (bien confiante jusqu’alors) une bonne dose de scepticisme vis-à-vis de la médecine des vaccins en général.
J’ose penser que « subrepticement » (mais sûrement) la Collection « Vaccins & Société » fait son œuvre…
La foi en vaccins sauveurs génère des bonnes intentions dont l’enfer est malheureusement pavé. Voici ce que La Croix publiait le 2 mars 2019 à propos du vaccin Dengvaxia et des décès aux Philippines d’enfants vaccinés, je cite :
« depuis novembre 2017, Sanofi fait profil bas. Le laboratoire a alors annoncé que son vaccin était en fait protecteur uniquement chez les personnes ayant déjà été infectées par la dengue par le passé. « Quant aux personnes ne présentant aucun antécédent de dengue, les analyses montrent qu’à plus long terme à la suite de la vaccination, davantage de cas sévères de dengue pourraient être observés en cas d’exposition au virus », précisait alors Sanofi. »
Certes, le Dengvaxia a été pour ceux qui ont un peu de mémoire l’illustration tangible que la médecine des vaccins n’est pas scientifique et, en conséquence, dangereuse !
Frénésie vaccinaliste :
Je viens de rencontrer quelqu’un qui s’est fait injecter 7 vaccins covid : son médecin lui a fait croire qu’il fallait remettre ca tous les trois mois car la « protection « baisse.
A la grande vague de scepticisme et de bon sens s’opposent l’obeisance de ceux pour qui la parole officielle est sacrée surtoutquand elle et relayée par le médecin
Parole sacrément « stupide »…
7 vaccins ! Tous les 3 mois ? Serait-il possible d’avoir la photo de cette personne multi-injectée, afin d’observer les effets secondairtes? Je plaisante mais étudier les analyses de telles personnes serait si intéressant ! (Et si elle ne présente ni signe d’inflammation chronique, de coagulation sanguine ou de légère dépression… moi, je dis : « Chapeau ! »