Que se passe-t-il aux USA ? Mortalité ? Espérance de vie ?
Année après année, depuis deux ou trois décennies, les scientifiques (et quelques rares épidémiologistes) qui vivent les yeux ouverts sont frappés par l’évolution de l’état de santé de la population américaine ; donc au pays où les frais (et les coûts) de la santé sont les plus élevés au monde.
On peut critiquer les USA mais, par rapport à d’autres pays, les choses sont clairement exprimées… Hum !
Pas tout-à fait…
Examinons les données les plus récentes, évidemment en relation avec les évènements des trois dernières années et la COVID-19 ; et évidemment d’abord (mais pas seulement) à propos des pathologies cardiovasculaires puisque c’est mon domaine de prédilection. Voyons le message récent d’un site de cardiologie (ci-dessous).
Je traduis pour ceux qui ont des difficultés avec l’anglais : « la mortalité cardiovasculaire a fait un bond (jump) en 2020, reflet des effets de la pandémie » (sur la population américaine).
Jusque là je n’ai rien à dire sinon que le virus a eu des effets sur la physiopathologie de l’infarctus et de l’AVC ; ce que seuls les naïfs n’avaient pas vu, y compris en France.
Voyons la suite avec un commentaire d’un grand savant qui nous dit que c’est la première fois depuis une décennie que cette mortalité cardiovasculaire augmente à nouveau. C’est important à rappeler. En effet, l’espérance de vie – j’y reviens plus bas – a commencé à diminuer aux USA dans les années 2010 alors que la première cause de décès aux USA n’a pas cessé de diminuer depuis au moins 35 à 40 ans.
Et enfin, une comparaison des chiffres de 1990 avec ceux de 2019 (avant la pandémie) montrant ce que j’ai dit plus haut, c’est-à-dire la diminution lente mais significative de la mortalité cardiovasculaire aux USA jusqu’en 2019, à l’aube de la pandémie.
Notons au passage que, selon les estimations, la mortalité attribuée à la COVID-19 (indépendamment de la mortalité cardiovasculaire) était d’environ 375,000 en 2020, donc la 1ère année de la pandémie, en théorie la pire année dans toute flambée de maladie infectieuse.
Pourquoi je mentionne ces chiffres et commentaires ? Et pourquoi j’ai un ton un peu dubitatif ?
Parce qu’il s’agit de chiffres que nous connaissons depuis longtemps (ici c’est une confirmation de chiffres déjà publiés).
Or, nous somme en 2023. Que s’est-il passé depuis 2020 ?
Pour 2022, c’est un peu tôt pour le dire ! Un peu de patience, s’il-vous-plaît !
Mais pour 2021, nous avons déjà les chiffres préliminaires qui, comme pour ceux de 2020, demanderont environ deux ans pour être confirmés.
Pour la mortalité attribuée à la COVID-19 en 2021, il y aurait environ 60,000 décès de plus qu’en 2020 !
Que nous apprennent les chiffres connus de 2021 pour la mortalité cardiovasculaire (que les commentateurs cités ci-dessus connaissent aussi bien que moi) ?
Ils sont superposables à ceux de 2020 !
Dit autrement, que le virus ait frappé fort en 2020 ne peut étonner que les naïfs. Nous avons tous été surpris et beaucoup des fragiles parmi nous (les plus âgés) sont « parties » tandis que les plus jeunes s’immunisaient massivement. En 2021, chacun (parmi les moins naïfs) le reconnait : les nouveaux variants étaient moins méchants que le premier arrivé !
En conséquence, les plus fragiles étant déjà partis, les autres s’étant massivement immunisés et les « nouveaux » virus étant moins méchants, nous aurions dû avoir une diminution de la mortalité aux USA en 2021 par rapport à 2020. Ce n’est pas le cas ! Étrange !
Maintenant vous comprenez le titre de cet article. Que se passe-t-il aux USA ?
Si nous examinons les courbes de l’espérance de vie aux USA, nous constatons qu’après des décennies de fortes croissance (non visible sur le graphique ci-dessous) les pentes se sont d’abord infléchies (bien visible sur le graphique), puis on a atteint une sorte de plateau et enfin on observe un lent decrescendo qui s’accélère notablement en 2021 (ci-dessous).
Ce qui fait dire à CNN :
Pas besoin de traduction : déclin historique !
Ou bien accélération en 2021 de ce qui était visible auparavant.
Comme on ne peut pas attribuer (contrairement à 2020) cette accélération aux virus, avez-vous une explication autre que la massive campagne de vaccination de 2021 ?
Je note finalement trois points cruciaux :
1) les chiffres au Royaume-Uni (autre temple de statistiques nationales) sont comparables à ceux des USA avec un petit décalage, un petit retard ;
2) Les tendances en France (avec en général quelques années de décalage/retard) rejoignent celles du Royaume-Uni ! Inéluctablement, l’espérance de vie en France va commencer à diminuer d’ici peu, si ce n’est pas déjà le cas, les statistiques publiées à ce jour s’arrêtent en 2017 ! On va voir…
3) si vous entendez un politicien vous raconter que, du fait de l’augmentation de l’espérance de vie en France, il faut de toute urgence réformer le système des retraites, envoyez-le moi !
Je vais lui expliquer qu’il doit trouver autre chose pour se justifier !
à JeanLucB : ce blog N’est PAS un forum ! bis repetita => raz 01/02/2023 à 16:34 ++
que vous postiez une ou deux fois ok mais que vous créez un fil puis que vous l’alimentez ensuite 4fois … c’est trop. merci de le (re-)faire sur le forum. !
M de L dixit en bas de l’article : 3) si vous entendez un politicien vous raconter que, du fait de l’augmentation de l’espérance de vie en France, il faut de toute urgence réformer le système des retraites, envoyez-le moi !
de mémoire en 92 c’était l’argument majeur, il débouchait sur trop de retraités vs actifs cotisants.
c’était un argument correct, il est donc devenu caduque. Merci de l’avoir souligné !
Caduque !
Et tous les idiots diplômés ne cessent de le répéter.
Il suffit de regarder les courbes…
Meme en 1992,l’argument majeur n’etait pas correct du tout:depuis longtemps les syndicats proposaient de faire » cotiser les robots » : c’est un choix les benefices de la productivite pour les actionaires ou pour le bien de tous; pour « big pharma »ou pour la sante de tous…..
La diminution de l’espérance de vie est difficilement liable via la santé cardiovasculaire au besoin de financement des retraites car la dispersion de cette baisse de d’espérance de vie n’est pas étudiée.
Ceci étant par ailleurs il n’y a aucun besoin de réforme des retraites actuellement en France si ce n’est peut-être des retraites du public et du financement de celles-ci ; mais cela tient à autre chose que l’espérance de vie
Vous vous trompez.
Pendant la Covid, nous avons déploré plus de 150,000 décès essentiellement des séniors, donc bénéficiant d’une retraite. C’est un gain majeur pour le systèmes de retraite !
Ce n’est pas un évènement exceptionnel. C’est une tendance profonde de tous les pays riches : la diminution de l’espérance signifie moins de retraités à « entretenir ».
Les calculs des réformateurs prédisant une faillite du système à moyen terme sont basés sur des chiffres faux, hélas !
De plus, indépendamment de toute cause relais comme éventuellement le vaccin, la mortalité aurait dû mécaniquement baisser, après une hausse transitoire due au covid, on aurait dû avoir une reprise de cette hausse transitoire, c’est-à-dire, non seulement un retour à la normale, mais une régression par rapport à la normale, c’est ce qui s’est passé en 2003 après la canicule.
Je m’explique, on nous a dit que 80% des gens morts du covid n’avaient de toute façon plus qu’une espérance de vie de moins d’un an, donc, le raisonnement est simple, s’ils meurent un an plus tôt; ils gonflent la mortalité au moment où il décèdent, mais ensuite, comme en général, les gens ne meurent pas deux fois, ils viennent diminuer la mortalité de la période à laquelle ils seraient mort sans le covid.
Exemple chiffré archi simplifié:
deux périodes seulement, 100 morts prévus chaque période.
manque de chance, épidémie, 10 personnes qui auraient dû mourir en P2 décèdent en P1, on a donc prélevé 10 personnes de la liste P2 pour les placer dans la liste P1, résultat mécanique:
P1 = 110
P2 = 90 (et non pas 100)
Si on ne comprend pas le raisonnement ci-dessus, vérifier que le Qi ne soit pas inférieur à la température ambiante.
Bien sûr.
Ce fut aussi très bien décrit pour la mortalité cardiovasculaire lors du tremblement de terre de Los Angeles en 1994.
Plus de crises cardiaques le jour et la semaine de la catastrophe (par rapport à la moyenne attendue) et beaucoup moins les semaines suivantes…
J’ai une question, peut etre stupide, mais lancinante : une variation de 10% sur l’espérance de vie est elle importante pour l’espece humaine?
C’est très important mais ça dépend du point de vue.
Selon certains, une simple stagnation de l’espérance de vie dans les 10 ans (ce qui est très probable) permettra au système de retraite actuel de générer des bénéfices plutôt qu’un déficit.
A vérifier !
Or, la mortalité 12 mois était de 600 000 en France en décembre 2019, on est monté à 660 000 et ensuite, jamais redescendu en dessous de 640 000.
Certes, il faut tenir compte du fait qu’il y a une tendance lourde de + 13 000 décès par an, donc, en 2023, il n’est pas anormal de se retrouver à 640 000, mais le problème, c’est qu’à aucun moment on n’a constaté de reprise de cette surmortalité transitoire de 60 000, donc, effectivement, une autre cause de mortalité a dû prendre le relai.
Voir ici
https://jeune-nation.com/actualite/actu-france/mortalite-du-covid-les-questions-qui-fachent-a-lined-et-a-linsee
ou, si on veut actualiser les calculs, directement sur le site Insee:
https://www.insee.fr/fr/statistiques/serie/000436394
à fin déc 2022, on est à 657 000, on a retrouvé le maximum du pic covid sans être jamais repassé par les 600 000
Merci
Avec un vaccin à ARNm, l’antigène est-il produit par nos propres cellules ?
Nos cellules produisent-elles alors une substance étrangère à notre organisme ?
Comment notre organisme traite t’il les cellules qui ont produit cette substance ?
Quelle est la quantité d’antigène qu’une dose de vaccin doit faire produire pour être efficace ?
Combien de cellules seront nécessaires pour produire cette quantité ?
SARS-Cov2 peut-il infecter une cellule qui ne comporte pas récepteur ACE2 ?
Est-ce-qu’une nano-particule lipidique du vaccin transportant l’ARNm peut atteindre n’importe quelle cellule ?
Une cellule de notre système immunitaire peut-elle être concernée ?
Ces question sont-elles stupides ? Qu’en pensez-vous ?
Ce ne sont que des bonnes questions et pour la plupart nous avons des réponses !
Merci ! J’aurai souhaité avoir les vôtres. La seule pour laquelle je n’ai pas de réponse, c’est la 4ème. Je suspecte (donc sans preuve) que, pour être efficace, la quantité de protéine S dans le plasma doit avoisiner celle d’une infection sévère ?
Donc potentiellement plus dangereuse qu’une infection bénigne où la majorité du virus se concentre dans la sphère ORL ?
Pensez-vous qu’en cas de charge virale légère, l’immunité innée puisse être suffisament efficace pour venir à bout du virus en évitant les dégâts aux autres organes ?
Pour ces individus, le vaccin serait alors plus toxique que l’infection ?
Un médecin ne devrait-il pas avoir ces réponses avant d’injecter le vaccin à un de ses patients ?
Pour répondre à toutes vos intelligentes questions et référencer ces réponses, il faudrait écrire un livre.
Désolé, je n’ai pas le temps !
Je réponds quand même à la dernière : « Un médecin ne devrait-il pas avoir ces réponses avant d’injecter le vaccin à un de ses patients ? »
Il devrait !
Mais, vue la complexité du métier, il ne peut pas « contrôler » tout ce qu’il fait. Il s’en remet donc de façon générale aux recommandations officielles rédigées par des experts dont l’expertise est très relative (je suis gentil…).
Ainsi va le monde : les médecins font beaucoup de choses qu’ils ne comprennent pas, les pôvres !
Imaginez une seconde la prescription de médicaments anticholestérol…
Quant aux vaccins des nourrissons, Jésus, pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font !
Bonjour Docteur
Content de faire partie des naïfs, pourtant, rien qu’à partir de documents et de données officielles, je démontre qu’il ne s’est rien passé sur les maladies respiratoires, par rapport aux années précédentes. J’ai des preuves et de multiples supports de comparaison.
Le supplément de mortalité dont il est assez facile de voir l’évolution en 2020, mois par mois, est probablement dû à des virus respiratoires certes, encore qu’on notait une pénurie de tests et de réactifs à la 1ere vague.., mais il peut être attribuable aux déprogrammations massives de mars à mai suite au plan ORSAN REB qui a mobilisé 10 % des établissements hospitaliers Français. Bizarre que ce point soit parti aux oubliettes ou ignoré, la base du tour de passe passe des réas est expliqué par la cour des comptes.
Le coup de la baisse des morts de la circulation ne tient pas la route, la baisse sur la période est de 700 morts. par rapport à 2019 et 2018..
Pour l’instant, les rares toubibs et scientifiques qui ont passé une heure 30 à m’écouter, n’ont pu démonter une seule partie de mon étude.
Ca explique encore mieux 2021 et 2022.
Vous n’êtes pas clair…
Je m’en doute, les tours de passe passe normatifs et de bureaucratie infectiologiques qui ont permis un état d’urgence à partir de pas grand chose, ne sont pas simples à comprendre.
Je l’ai déjà évoqué chez vous…
« A partir de pas grand chose » vous dites ?
Désolé, je ne vous suis pas sur ce terrain !
« Le pas grand chose », comme disent d’autres semi-débiles aura fait au moins 150,000 décès en France… En 3 ans et en % c’est pas « grand chose » pour un démographe !
C’était, comme disent d’autres, des vieux qui allaient « crever » alors on s’en fout…
Moi je trouve que le « pas grand chose » c’est beaucoup !
Relisez, s’il-vous-plaît, les calculs (et les biais statistiques) que j’ai publiés sur ce Blog pour évaluer le « pas grand chose ». Merci !
Je me doute que vous ne me suivez pas, mais pas grave ça sortira tôt ou tard, même si c’est dans 10 ans…
Avez vous ausculté la méthode et les chiffres pour sortir 150 000 décès de maladies respiratoires ? Allez donc lire les fiches pathologies d’AMELI des iRC (infections respiratoires chroniques) de 2018 et 2019.
JE vous fais gagner du temps
– nombre de patients pris en ALD :3 000 000 (arrondi)
– nombre de décès annuel : + 80 000…
ce qui fait 160 000 sur 2ans et le COVID : 150 000 sur 2ans parce que votre chiffre de mortalité est un cumul de 2 ans. J’ai les tableaux du CEPIDC des décès « associés au COVID » qui ont disparu depuis du site comme par enchantement en septembre/octobre 2021…
Il faut aussi se demander pourquoi l’ATIH fait disparaitre les chiffres de l’activité hospitalière de 2022. Ca n’a rien de scientifique, c’est vrai
Mais bon !! je crois il ne faut pas déplorer si dorénavant des arnaqueurs de différentes disciplines, font repartir n’importe quoi en état d’urgence et proposent comme miracle, des produits innovants sous secret des affaires ..
Je ne comprends pas pourquoi vous vous référez aux maladies respiratoires.
Mais je comprends que vous n’avez pas affronté, comme tous les médecins et soignants hospitaliers et libéraux, les évènements de 2020 et même 2021.
A mon grand âge, je n’avais jamais vécu ça ! Et les chiffres officiels et officieux ne peuvent rien contre les réalités vécues…
Votre réponse est étrange docteur, je me réfère simplement aux maladies respiratoires, parce que tous les rapports, consignes, avis, recommandations émis par l’OMS et les agences d’état dont Santé Publique concernant « la maladie du coronavirus sarscov19 (ou 2) ».
3 années à éplucher tout ce qui a été écrit sur le sujet par tous les organismes officiels et les infectiologues depuis janvier 2020.
Je n’irai pas vous chercher sur les piqures, mais si vous avez un dépôt de documents à me mettre à disposition pour le COVID de 2020.. (jusqu’à l’apparition des piqures, je vous fais parvenir mon immense documentation pour vous prouver que tout le monde parle bien de détections de cas possibles d’IRA (infections respiratoires aigües; Tout le monde médical a répondu à cette norme.
A propos de la Covid et de ce qui s’est passé aux USA, je me base sur le seul critère solide à ce jour : le nombre de décès attribués à la Covid. J’ai ajouté la mortalité cardiovasculaire car le virus et les vaccins augmentent le risque cardiovasculaire ; c’est bien documenté.
Inversement, les décès par cancer n’ont pas augmenté et ceux dus aux maladies respiratoires non plus. Vous êtes apparemment « hors sujet » ; au mois par rapport au thème de mon article.
Vous dites que le nombre de décès par cancer n’a pas augmenté ..certes mais le nombre de cancers traités, le connait on? sait on si le nombre de cancers dépistés ou qui rechutent a augmenté? pour ma part, j’ai trois exemple très proches de cancers en cours de traitement apparus récemment , d’assez bon pronostic pour deux d’entre eux..néanmoins nécessitant prise en charge, surveillance et traitement
Très bonnes questions !
Mais en épidémiologie, le paramètre le plus fiable reste la mortalité « attribuée à… »
Inversement, il y a de plus en plus « d’abus en termes de diagnostic… »
C’est long à expliquer; désolé !
Bon, alors, je vais avoir du mal à me motiver pour trouver d’autres facteurs que la vaccination…je tente un geste désespéré : j’sais pas, une épidémie de dépressions qui aurait massivement dégradée l’équilibre (déjà bien précaire) du systeme nerveux autonome des individus, ce qui aurait accentué une tendance déjà installée?
Quand vous dites « une accélération en 2021 de ce qui était déjà visible avant » : vous soulevez aussi et surtout le pbm d’un tendance déjà installée, avant le covid. Certains experts (dont je tairais le nom) disent que c’est important le systeme nerveux autonome…dans un contexte déjà complètement délabré, le délabrement supplémentaire de la pandémie..Bof! En termes d’imagination, je me donne (grassement) 03/20…
Belle « humilité » !
On croirait entendre certains ministres par temps de réforme des retraites.
En fait, tout ce message n’avait qu’un seul but : la dernière idée concernant l’allongement de l’espérance de vie comme argumentaire stupide…
Pourquoi les politiciens, les économistes et les médias ne regardent pas les chiffres ?
ah ben là, je suis carrement complotiste : les politiciens veulent faire passer la réforme. ils s’en foutent des chiffres, ils disent les choses qu’ils pensent susceptibles de convaincre le péquin ; quand ils penseront qu’un autre argument est de nature à convaincre, ils changeront d’argument. Dans mon travail, dans le champ des sciences humaines, je réalise certaines analyses qui pourraient objectiver un peu les choses..;tout le monde s’en fout et préfère décider à l’aveugle…je me bat toujours avec cette forme de relativisme dont j’étais moi-même si friand autrefois (et qui a sans doute permis de se libérer de certains choses) et qui se retourne aujourd’hui contre l’homme…
Avec ces données, la question mérite d’être posée. D’ailleurs ça peut être le vaccin dans un sens très large car c’est aussi l’un des rares médicaments qui provoque autant de questions, d’inquiétude donc de stress et pourquoi pas d’effet nocebo.
Pourquoi pas !
Pour 2022, c’est un peu tôt comme vous le dites mais il y a déjà des indices en Angleterre.
La BHF rapporte plus de 30’000 décès de maladies cardiaques que d’habitude durant la pandémie (hors décès Covid). L’an dernier, durant des semaines, malgré une vaccination record, il y avait plus de 1000 morts qu’à la normale d’un problème cardio-vasculaire.
Chacun y va de son explication idiote: manque de moyens, pas d’accès au statines, hypertension non traitée, etc (à noter que l’hypertension est un effet secondaire démontré du vaccin).
Si le nombre de cas explose, il n’y que deux explications possible: Covid ou vaccin. Et vu que le vaccin est sensé protéger contre la Covid, la cause est donc le vaccin soit par sa toxicité soit par manque d’efficacité.
Bien sûr !
Merci de donner vos références concernant la situation au RU !
Voici:
https://www.walesonline.co.uk/news/uk-news/nhs-heart-doctor-who-championed-25966344
https://www.telegraph.co.uk/news/2022/10/29/disastrous-legacy-left-lockdown-non-covid-excess-deaths-overtake/
https://www.theguardian.com/society/2022/nov/03/needless-deaths-of-30000-heart-patients-in-england-since-covid?amp
https://www.msn.com/en-gb/health/medical/crisis-as-excess-deaths-soar-to-levels-higher-than-during-covid-pandemic/ar-AA13CTwn
https://www.bhf.org.uk/what-we-do/news-from-the-bhf/news-archive/2022/november/extreme-heart-care-disruption-linked-to-excess-deaths-involving-heart-disease
https://www.bmj.com/content/379/bmj.o2659
https://www.bmj.com/content/376/bmj.o378
La France vit dans une bulle. Vu son attachement pour le récepteur ACE2, SARS-Cov-2 provoque une maladie aux conséquences cardio-vasculaires. Même une forme légère en étant vacciné n’empêche pas les dégâts. Quand au vaccin, il n’améliore pas les choses en détruisant les cellules cardiaques.
Il faut des traitements qui empêche la multiplication du virus.