La nouvelle (la 9ème) vague de la COVID-19 arrive… et les contradictions s’accumulent
Je l’avoue, je ne lis pas le Washington Post tous les matins et pas tous les soirs non plus.
J’ai sans doute tort car c’est une bonne source d’informations.
Attention ! Je ne dis pas que c’est une source de « bonnes informations » !
Je dis que cette lecture nous informe sur l’évolution de l’état d’esprit des citoyens américains (peut-être) mais au moins des médias américains qui les influencent ou (parfois, Oups !) les désinforment.
C’est généralement plus astucieux que ce qui nous est servi en francophonie, notamment en France.
Prenons un exemple : les médias français nous annoncent la 9ème vague de Covid-19.
Ce n’est pas faux si j’examine les statistiques épidémiologiques. Un graphique ci-dessous au 3 Décembre 2022.
On voit assez clairement une augmentation des cas (diagnostiqués dans les laboratoires) au cours du mois de Novembre (petite flèche bleue à l’extrême droite) qui ressemble un peu à un rebond de la 8ème vague de l’automne.
Comme le nombre de cas positifs traduit aussi l’augmentation du nombre de tests et donc l’augmentation de l’inquiétude, on peut penser qu’il se passe quelque chose.
Quelque chose de pas trop inquiétant à mon avis pour le moment car les nombres de décès attribués à la COVID-19 restent bas.
Cela dit, j’observe des « petits » mouvements statistiques similaires dans certains pays Européens mais pas dans d’autres pays.
Conséquence inéluctable (et un peu risible) : nos Autorités et académiciens nous enjoignent d’aller prestement se faire injecter une nouvelle dose vaccinale ou éventuellement une première dose si vous êtes assez intelligent pour y avoir échappé jusqu’à maintenant.
Laissant (tout ceci) supposer donc qu’un nonvacciné est à risque de COVID-19, de même qu’un insuffisamment vacciné ; mais je laisse à chacun le soin d’en donner sa définition : 2, 3, 4 ou 5 doses ?
On ne sait pas qui sont (ou qui est) les (ou le) coupable(s) (nouveau mutant ?) mais quand même, allez-y !
Profitez-en pour vous faire injecter une dose de vaccin antigrippal, ça pourrait servir…
Le niveau scientifique de ces imprécations est lamentable et identique à ce qui nous a été servi depuis maintenant 3 ans. Ils n’ont pas progressé. Ce qui n’est pas étonnant vu le niveau de départ.
Mais vous allez vous demander : pourquoi avoir commencé ce billet par le Washington Post ?
Bonne question et la réponse se trouve dans la capture du document ci-dessous.
Je traduis (en arrangeant un peu) : « La COVID-19 n’est plus une maladie des nonvaccinés. Je vous explique pourquoi. »
Je ne vais pas expliquer les explications de la journaliste, probablement très sympathique, mais un peu cucul comme la majorité des journalistes qui ont eu le droit de s’exprimer au cours des trois dernières années.
Pourquoi dit-elle cela ?
Parce que les évidences sont criantes.
Selon les données épidémiologiques américaines, les victimes de la COVID-19 sont actuellement presque tous vaccinées. Il y a pourtant des nonvaccinés : sur 350 millions d’américains, 267 millions se prétendent vaccinés peu ou prou. Il reste donc plus de 80 millions d’américains nonvaccinés qui sont indemnes et/ou protégés par autre chose que la vaccination.
Protégés par quoi ? Réponse : par leur système immunitaire bien sûr après avoir été exposé à l’un des virus, le virus initial ou un des mutants.
Inversement, un certain nombre de vaccinés ne semblent pas protégés.
Deux questions : 1) ces vaccinés n’ont pas été exposés aux virus ? 2) ces vaccinés n’ont pas répondu aux divers vaccins et boosters ?
Je n’ai pas de réponse évidemment car chaque cas est un cas particulier.
je note toutefois que les autorités américaines estiment qu’encore 1 américain sur 20 (environ 17 millions) n’aurait pas été exposé aux virus. Hum ! J’ai des doutes.
Peu importe. Face à ces évidences peu favorables à la vaccination (et qui s’ajoutent à bien d’autres évidences…), comment conclut la journaliste ?
Réponse : allez vous faire vacciner, une 4ème ou une 5ème dose. Vite !
C’est bizarre, j’aurais conclu différemment…
… mais je n’aurais pas été publié !
Car la principale leçon politique de la COVID se trouve précisément là : la crise sanitaire a provoqué un rétablissement abrupt de la censure !
C’est au moment où nous avions le plus besoin de transparence et d’informations intelligentes que les gouvernants (les pro-poutines comme les anti-poutines) ont décidé une censure absolue dans les médias officiels et ensuite sur les réseaux sociaux qui, supposément havres de liberté, ont aussi censuré.
J’en ai été moi-même victime sur YouTube ; mais si vous êtes malin vous pouvez me rejoindre ailleurs, deux fois par semaine désormais.
J’aurais souhaité avoir votre avis sur une question qui me brûle les lévres depuis longtemps.
Le vaccin Covid était basé sur une seule protéine de la souche de Wuhan. La vaccination massive a donc provoqué une immunité similaire et très ciblée chez toutes les personnes qui n’avaient jamais été en contact avec le virus.
J’y vois donc deux corrolaires possibles: 1) une pression selective qui accélére l’évolution du virus (un vaccin standard provoque une réponse standard donc une évolution standard du virus; 2) une explosion des cas dès qu’un variant échappe à notre immunité.
Cela pourrait expliquer la fameuse vague record omicron de janvier (500’000 cas journaliers dans une population largement vaccinée). On a évoqué un variant plus contagieux mais n’est pas l’échappement à notre immunité qui en a été la cause ?
Si tout le monde était « formaté » de la même manière et que vu que ce « formattage » est devenu inefficace, la nouvelle version du virus à infecté presque tout le monde.
Sans parler de facilitation, est-il aussi possible que nous ayons produit des anti-corps moins efficaces à cause de la réponse mémoire induite par la vaccination ?
Par contre, on constate depuis que le virus circule plus activement, des vagues d’une bien moins grande amplitude et un « bruit » de fond entre les vagues de plus en plus important. Est-ce que cela peut suggérer une transition vers une phase endémique ?
Est-ce que la « qualité » de l’immunité collective (moins ciblée car résultant de guérisons de multiples variants plus étalée dans le temps) pourrait expliquer ce phénomène ?
Confiner puis vacciner massivement toute la population ne serait alors pas la bonne solution car pour protéger les hôpitaux, il vaut mieux lisser la courbe que d’avoir des pics importants.
Il est vraiment dommage que la politisation extrême de cette pandémie empêche une information scientifique de qualité du public. C’est un sujet passionnant et ne parle que d’une guerre stérile entre anti et pro. Le dogme du vaccin s’est installé dans la communication diminuant encore l’activité électrique dans la masse molle située dans le crâne de nos semblables, sauf celle de l’amygdale.
Vous posez de nombreuses questions intelligentes auxquelles (ni moi ni personne pour le moment) nous n’avons réponses fermes !
Cela dit, que nous soyons dans une phase chronique (« endémique » selon vos termes) est assez évident ! Et dans ce contexte, la mortalité COVID reste basse ; sauf dans des pays où la flambée avait été contenue (relativement) et où un rattrapage va sans doute survenir…
Vous nous avez dit je crois qu’il ne serait plus possible de faire une étude pour tester l’efficacité du vaccin, la population actuelle des non vaccinés n’étant pas représentative de la population générale.
A supposer que les études initiales aient été faites correctement, les personnes participant à ces études étant volontaires, cela exclus de fait les personnes ne désirant pas se faire vacciner.
Pourrait-on dire de la même manière que l’absence de cette tranche de population (mais à l’inverse non vaccinée) pourrait également rendre l’échantillon non représentatif.
Merci
Lors de l’apparition d’un nouveau produit, on peut faire preuve d’un peu d’indulgence. Dans un premier temps, les investigateurs se mettent dans les conditions les plus « aisées » pour démonter l’efficacité de leur produit.
Ensuite, on affine !
Un seul essai clinique ne suffit pas à décrire toute l’utilité potentielle d’un produit.
Mais il faut bien commencer par quelque chose
C’est fois, c’est l’overdose.
Même plan d’action que l’an dernier: vacciner tout les monde y compris les enfants. Blablabla, la sénilité guête les autorités sanitaires: retour en 2021 avec la même litanie.
Récapitulons:
38,3 mio de français ont fait un Covid certifié… dont 28.2 millions en 2022… et presque 10 mio ces 6 derniers mois… 5 vagues… il reste encore un peu de place pour une 6ème.
Belle démonstration d’efficacité de la vaccination !
Ajoutez tous ceux qui ne se sont pas fait tester et ceux qui n’ont pas remarqué qu’ils étaient positifs. Allez, à la louche 50 % de cas en plus… ça donne 19 millions de plus…
L’addition (les cafés sont offerts par Pfizer) se monte à grand total 57.3 millions sur 65.6 millions. Reste 8.3 millions qui n’ont jamais fait la maladie. Alors soit ils sont vaccinés (je plaisante), soit protégées autrement ou alors ils vivent dans une grotte avec un FFP2.
Alors rien à craindre de leur côté.
Autre scoop pour le gouvernement: delta a disparu, c’est omicron. Ce cousin semble provoquer peu d’hospitalisations en desous de 65 ans.
Il est temps de changer de disque.
Pas vraiment la place pour ce commentaire mais faute de mieux…
Une étude qui pointe vers les perturbateurs endocriniens comme facteurs précipitants ou facilitateurs dans l’épidémie d’obésité. Je ne sais si la méthodologie est rigoureuse mais les résultats sont troublants si justes.
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0006295222001095
Merci.
C’est une excellente piblication
J’ai lu l’article Obesity II qui a le mérite d’ouvrir des pistes de recherche pour trouver les causes de l’épidémie mondiale actuelle d’accumulation d’adipocytes dans les viscères dont le foie. Braquer le projecteur sur les causes externes possibles comme les perturbateurs endocriniens, ne doit pas laisser dans l’ombre les causes internes certaines (pic d’insuline postprandial, rôle du microbiote, présence de fructose, etc.). L’absence de fibres alimentaires dans le tube digestif lors de l’ingestion de sucres ou d’amidon semble être une condition indispensable pour le développement d’une stéatose hépatique, pourquoi n’en parle-t-on pas davantage ?
On en parle !
Et les solutions sont connues.
Mais on préfère essayer (consommer) des médicaments plutôt que réfléchir à son mode de vie.
C’est vrai pour le prescripteur ; et aussi pour le malade !
Merci ! Je confirme: marqueurs du « foie gras » dans le sang…
45 minutes de sport par jour.
perdu 2 tailles de costume
réduction du sucre et des graisses animales
retour à la normale en 6 mois.
Des « marqueurs de Foie gras dans le sang » ?
De quoi parlez-vous ?
C’est mon médecin qui m’a parlé d’un début de maladie du foie gras non alcoolique. C’est quand on mange mal et que le gras s’accumule dans le foie. Il n’a dit que ça pouvait évoluer en maladie grave du foie (stéatohépatite ou cirrhose ?)
Il y avait des marqueurs dans le sang.
OK
Mais c’est un peu plus compliqué que ça…
J’espère que votre médecin en a conscience et que la simplicité de votre propos ne traduit pas une certaine naïveté de sa part.
Cela dit, la stéatose hépatique non-alcoolique [c’est comme ça qu’on dit en principe] est en progression constante dans nos pays riches…
Certains utilisent le FLI: Fat Liver Index pour estimer la stéatose
(Stéatose > 60 Pas stéatose < 20 incertitude entre les 2)
https://www.mdcalc.com/calc/10001/fatty-liver-index
Mais bon maintenant que l'on a tous lu ou entendu de source solide que le dosage des triglycérides n'est pas ce qu'il devrait être, ce test n'est peut être pas si fiable que cela ?
@ Jacques Beau : je suis svp intéressé si vous avez un lien pour ces données là « L’absence de fibres alimentaires dans le tube digestif lors de l’ingestion de sucres ou d’amidon semble être une condition indispensable pour le développement d’une stéatose hépatique ».
Merci 🙂
Bonjour,
Il est écrit dans l’introduction : « L’opinion dominante est que le déséquilibre énergétique qui caractérise l’obésité est dû à une alimentation excessive et à une activité physique insuffisante ».
Cette opinion relève du dogme. C’est la théorie du calories IN / calories Out qui voudrait que la thermodynamique s’applique à l’humain. A quand la nutrition de précision…
Cette remarque ne remet pas du tout en cause la qualité de cette étude. Mais c’est juste pour souligner que les dogmes existent et perdurent dans de nombreux domaines.
Où donnez-vous vos conseils santé deux fois par semaine depuis la fermeture de votre chaîne YouTube ?
Vous pouvez essayer avec ça [https://secrets-de-lorgeril.com/etape/boire-du-the-bonne-ou-mauvaise-idee/?token=BoEwBEemGj5Y0ouMHK%2BlMrbVhNfL10rmS%2FRlUICSfqHYSRVbs9GSPqUlyicToBVR5DajBFcmohQhHogj3i25fYKEQn9IYr%2FiCVmEMp5faaYaqcsJHYMWzniUsPJYPKVayNhkb5CsZnKu8PR4xEoN2olWqltbRPdX9TSAwSUDlgXLY74LSZnSS3AhKTXsPTSnQV%2BpOrqNcCuTZjhUbXYMVWyLFejMQ9f6h05tUT2gUUTLlSQ7HFs%2B8CLgYzrOz9OdSY8xohpIW0SGp2GsShp7Xg%3D%3D] mais mon éditeur va proposer une façon plus facile.
Je l’indiquerai dans un prochain message.
Bonjour
Un avis éclairé serait le bienvenu
Pour les hospitalisations ou décès par statut vaccinal j’ai regardé l’exemple de la Suisse :
https://www.covid19.admin.ch/fr/vaccination/status?vaccineBreakthroughAgeRange=all&indicator=death
Pour les deux catégories, du 11/09 au 24/11, il y une chose qui m’interpelle :
Pour les courbes des graphiques, Les vaccinés MOINS de 6 mois sont plus nombreux que les non vaccinés.
Mais les vaccinés de PLUS de 6 mois sont légèrement moins nombreux.
Les vaccinés qui auraient reçus récemment une dose seraient ils plus susceptible d’être hospitalisés et part la force des choses de décéder ?
Merci
Il est impossible de dire autre chose que des hypothèses fragiles sur la base de ce type de données.
Je ne m’y aventure pas !
C’est possible mais il y a un biais de taille: on ne connaît pas le nombre d’infections antérieures et les 6 derniers mois. Et c’est loin d’être mineur en terme d’immunité.
Il faudrait aussi intégrer le taux de vaccination pour chaque tranche d’âge.
En fait, les données ne sont pas suffisamment complètes pour tirer des conclusions. Sauf que globalement, la Suisse s’en sort presque mieux que la France avec un taux de vaccination bien inférieur et très peu de boosters. Tout cela avec une levés de toutes le mesures sanitaires 2 mois avant la France.
Les anglais sont/étaient (un peu) plus transparents.
En fait, les données publiées par une majorité de pays ne sont pas exploitables. C’est de la com.
C’est de la com, comme vous dites…
Interview sur France Info du 4.12: « La présidente du Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires juge le niveau de la vaccination désolant ».
Franchement, ce qui est désolant, c’est son discours dogmatique et sans fondement scientifique. C’est fatiguant.
Exemple: « Les Français ne se vaccinent pas, ou pas assez »
« Les Français » suppose une stratégie de vaccination de masse ce qui n’est plus d’actualité.
« Pas assez » par rapport à quel objectif et pourquoi ? Des millions de Français ont attrapé le Covid ces 6 derniers mois. Impossible de parler ainsi sans connaître le taux d’immunité de la population par groupe d’âge (guérisons incluses).
Finalement, impossible de définir une cible lorsqu’on on ne peut afficher clairement un taux d’efficacité du dernier booster contre: 1) la transmission; 2) la maladie symptomatique; 3) les formes graves. Or, aucune étude valable n’a été conduite qui permttre d’articuler une efficacité de ces boosters.
Le consentement éclairé implique que le patient recoive une information précise sur la protection (transmission, maladie et formes graves) et les risques d’effets secondaires.
Oser continuer à marleler ce discours qui met la faute sur le patient alors que l’on est incapable de donner ces informations est inacceptable.
Il est grand temps qu’ils fassent leur travail correctement s’ils espèrent convaincre un plus grand nombre de patients (la campagne est un échec total). Car l’obligation ne fonctionnera pas cette fois-ci vu les mauvaises expériences de certains et ça pourrait alors malheureusement mal tourner.
Cette « Présidente du Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires » est d’une désolante, voire accablante, tristesse intellectuelle.
Ce qui n’est pas nouveau. On cherche désespérément de quoi remplacer les gérontes qui l’ont précédée.
Comme dirait une femme iranienne aujourd’hui, cet aveu d’impuissance traduit quelque chose d’important dans nos sociétés… De très important !
Seules idiots ont encore confiance… Ça fait quand même encore beaucoup de monde.
Bonne analyse de ce qui se passe :https://twitter.com/DIVIZIO1/status/1599142662384521216?s=20&t=KRIul-0c1PWzeKr7cbADAQ
Au moins un politique qui ne mâche pas ses mots …. même s’il ne plaît pas à tout le monde. Mais dans cet hémicycle vide il prêche dans le désert.
Ca se passe en Australie et le Sénateur ne mâche pas ses mots … pas comme les nôtres :
La vérité progresse. Trop lentement, mais elle avance
https://www.lelibrepenseur.org/gerard-rennick-senateur-australien-explose-le-narratif-covidiste/
Oui la censure ! Cela fait plus d’un siècle que Béchamp subit cette censure. Et pourquoi, à votre avis, sinon parce que ces travaux dérangent un système bien en place.
Accepterez-vous de regarder cette synthèse (pas si simple à faire, d’où la tension évidente que je ressens à transmettre) mais qui donne une vision globale du vivant qui manque à la science :
https://www.youtube.com/watch?v=Y-NVLWkCtCM&t
Je transmets pour qui veut mais je le confesse, je ne suis pas intéressé par les « conflits » autour du duo « Pasteur-Béchamp »…
Oh non ! Je ne cite à aucun moment le mot Pasteur. Je ne suis pas dans la polémique. J’explique une théorie s’appuyant sur des faits scientifiques. Je fais ensuite le parallèle avec les découvertes récentes.
C’est une censure que vous appliquez ! Ne voyez vous pas comment sont discrédités les gens intègres en ce moment. Ce n’est pas autrement que Béchamp a été écarté.
Qui écouteriez-vous aujourd’hui, un chercheur médiatisé ou bien un chercheur qui tente en vain de se faire entendre.
Vous tombez dans le même piège qui a été tendu aux chercheurs.
S’il vous plait Michel, prenez ce temps, vous ne serez pas déçu !
Merci de vos conseils.
Merci à vous
Dans un autre domaine, je me souviens souvent, dans cette situation, de Galilée. Mais il y a eu d’autres scientifiques, découvreurs, dans des époques plus proches, qui ont été rejetés. Il ne faut pas déranger ce qui est établi et pour le présent, en ce qui concerne les « vaccins » (Ça ne se discute pas!!!), rapporte un gros paquet de billets verts et autres.
Merci d’avoir transmis ce lien. Merci à Brigitte Fau pour sa présentation des études d’Antoine Béchamp. Le premier visionnage suscite des interrogations ; en voici quelques- unes :
Pourquoi appeler théorie, une observation de la réalité vivante invisible à l’œil nu ?
Cette réalité invisible n’invite-t-elle pas à revoir le récit de l’histoire des maladies infectieuses ?
Cette réalité invisible ne vient-elle pas confirmer que c’est le milieu qui façonne l’être vivant ? Et que la moindre intervention artificielle sur le milieu déséquilibre l’ensemble du vivant ? Le milieu étant le corps humain, le corps du vivant et le milieu de vie.
Bonjour Mr, pardonnez mon intrusion, mais en visitant les ondes pour trouver des réponses à ma situation, je viens de tomber sur ces discussions. Pour ne pas prendre trop de place ici, après infarctus en mai dernier, et pose de stents, 4, je ne sais pas trop comment fonctionner, je n’ai pas osé encore virer les statines, mais là c plus possible…il y a deux jours, les reins en feu, une raideur au mollet comme je n’ai jamais eu, une sorte de flottement aussi dans mon comportement….et donc je veux virer ça rapidos…mais j’ai besoin de conseil et trouver un cardiologue sur la région toulousaine qui soit fiable….merci merci….je ne suis pas très geek, vous pouvez me contacter ici…. mireille.touet@gmail.com…j’ai peur de ne pas savoir revenir sur cette discussion après fermeture…..merci encore pour vos alertes.
Je vous réponds à titre très personnel et exceptionnel.
Ce n’est pas la bonne façon de me contacter.
Un conseil absolu: n’arrêtez SURTOUT PAS les statines brusquement!
Arrêtez-les TRES progressivement en coupant, par exemple, vos comprimés, je dirais sur 1 mois 1/2: prenez 3/4 de la dose pendant 2 semaines, puis 1/2 pendant 2 semaines; puis 1/4 pendant 2 semaines…
Moi, je les ai arrêté brusquement (Tahor 80 – je ne pouvais plus les supporter) et j’ai eu de (très gros) ennuis (resténose de stent 3 jours plus tard)!!
Une certitude : ce n’est pas l’arrêt de la statine qui a provoqué une resténose en 3 jours…
Vos recommandations sont sympathiques mais dénuées de sens ! Désolé !
Cela dit, vous avez « resténosé » ; c’est rare ; vous êtes un cas particulier qui nécessite une approche spécifique dont (c’est une impression) vous n’avez pas bénéficié jusqu’à maintenant…
Quels processus immunitaires connus aujourd’hui, mais inconnus à l’époque d’Antoine Béchamp, pourraient être en lien avec la présence des microzymas ?
Au cours du XXème siècle, l’utilisation des antibiotiques, des antifongiques, des vaccins et la diffusion dans le milieu d’une pollution physicochimique auraient-elles modifié l’activité des microzymas ? Générant par exemple des déséquilibres en cascade.
Bonjour Libellule,
Il s’agit d’un changement de paradigme. La méconnaissance du vivant en nous a entrainé les scientifiques dans des interprétations par rapport à ces éléments vivants qu’ils ont considéré comme étrangers. Interprétant leur invasion, interprétant les réactions de l’organisme en réaction à cette intrusion déduite du dogme de l’asepsie (non démontré).
On ne peut remonter la science en appliquant ces interprétations devenues vérités. Il faut repartir de la connaissance « nouvelle » du vivant et réinterpréter les faits observés sous ce nouvel angle.
L’immunologie reviendrait alors à trouver les causes qui peuvent provoquer un changement des conditions internes qui déclenchent la maladie et la capacité de l’organisme à y réagir.
C’est un sujet qui est développé déjà par des scientifiques qui ont pris du recul, même sans connaître les microzymas. Exemple Bruce Lipton, auteur de la « biologie de croyances », qui a compris l’importance du milieu.
Bonjour Brigitte Fau,
Merci pour cette référence. Il est certain que la croyance emprisonne dans un monde artificiel, dans l’illusion. Quant à l’interprétation, ne déforme-t-elle pas la réalité ? Il me semble que c’est l’intelligence sensible qui donne directement accès à la réalité : maillage relationnel, en grande partie, insoupçonné (invisible) au sein du vaste tissu vivant.
Le milieu vivant naturel ayant précédé l’humanité, la science n’a-t-elle pas à effectuer un exercice d’humilité ?
Le végétal grimpant, comme le liseron par exemple, qui s’enroule autour d’un autre végétal, ne se laisse-t-il pas guider par ce dernier ? Et s’il s’enroule toujours dans le même sens, sommes-nous obligés d’en rechercher le pourquoi du comment ? Le mystère qui l’élance, ne ferions-nous pas mieux de le respecter ? Et de nous laisser porter nous aussi par ce grand mouvement spontané qui anime tout l’Univers ?
Ce qui anime les microzymas, est sans doute ce qui nous fait tourner autour du centre de la Voie Lactée. Et peut-être que la Voie Lactée et toutes les galaxies tournent autour du centre de l’Univers qui est aussi le milieu. C’est ainsi que l’Immunité serait universelle et veillerait à l’épanouissement du vivant.
Voici une étude dans Nature qui expliquerait pourquoi un nombre important de personnes non vaccinés font une infection Covid-19 bénigne:
« Cross-reactive memory T cells associate with protection against SARS-CoV-2 infection in COVID-19 contacts »
Cette même étude conclu qu’il faudrait revoir l’approche pour les prochains vaccins.
Avoir massivement vacciné en se focalisant sur la protéine de surface n’a fait qu’accélérer l’échappement vaccinal en particulier avec des mutations sur le receptor binding domain). C’était le meilleur moyen de devoir refaire des rappels tous les 2-3 mois.
Merci.
Cet article est très intéressant.
Intéressante aussi la façon dont les auteurs introduisent leur étude.
Je copie : « Despite mass deployment of effective vaccines against SARS-CoV-2, correlates of protection against infection remain unknown… »
Voilà donc des gens très intelligents (apparemment) qui pensent nécessaires d’affirmer que nous avons « déployé » des vaccins efficaces contre la COVID-19 ; bla bla…
A moins qu’ils le pensent réellement ; ce qui traduirait une « inquiétante » inculture médicale et scientifique (sur la vaccination en général) et jetterait un voile de scepticisme sur leur intelligence, voire sur leur honnêteté, et surtout sur leur étude…
Comment savoir ?
Je penche plutôt pour une certaine finesse de leur part: ne pas démolir les vaccins pour s’assurer d’être publiés dans Nature et que l’étude soit revue par les pairs donc soit crédible. L’étude thailandaise sur les effets secondaires cardio-vasculaires chez les ados avait adopté le même ton. Je n’ai d’ailleurs pas relevé de biais majeur et c’est l’étude est assez cohérence en terme de données et d’analyse.
Il faut d’ailleurs reconnaître que ces vaccins ont probablement sauvé des vies chez les personnes âgées ou à risque face à des variants plus pathogènes. Mais on n’expliquait pas pourquoi cerains personnes traversaient la Covid sans aucun symptomes.
En fait, c’est le 3ème article que je lis sur cette hypothèse qui me paraît solide: ce n’est pas un scoop, ça s’est déjà vu avec d’autres virus. Il faudra donc suivre les autres études qui développeront le même sujet.
Car cela pourrait jouer un role majeur dans le futur pour réduire les effets secondaires des vaccins actuels.
Vous écrivez : « ces vaccins ont probablement sauvé des vies chez les personnes âgées ou à risque… »
Je ne sais pas d’où sort ce « probablement » mais je crains que vous perdiez la rigueur qui semblait vous habiter…
Pour démontrer un effet (positif évidemment) d’un produit de santé, la seule méthode rigoureuse est l’essai clinique randomisé en double aveugle.
Faute de quoi on se perd dans le bavardage…
On aurait pu faire ces essais « rigoureux » [toutes les conditions étaient réunies… à condition de faire appel à des vrais professionnels vraiment indépendants !] mais on ne l’a pas fait !
C’est le nœud central de la question des vaccins (et pas seulement les anti-COVID) : pourquoi ne font-ils correctement le travail ?
Question subsidiaire : pourquoi les autorités sanitaires et les académiciens « ferment les yeux » ?
On n’avancera pas tant qu’on n’aura pas répondu à ces questions.
Bavardages, bavardages…
Vous avez raison, évidement. Mais cela aurait dû être fait au début. Il est trop tard maintenant: tout le monde a été exposé à ce virus d’une manière ou d’une autre.
Alors, je veux bien accepter sur la base d’études rétrospectives que ce vaccin ait joué un rôle à court terme (2 mois) durant la vague du printemps 2021 pour un petit groupe exposé de la population dans un contexte compliqué après un an de mesures drastiques.
Mais tout cela aurait dû être fait avec le consentement éclairé des patients, ciblé et stoppé à la fin de l’automne 2021.
Plus généralement, nous doutions de ces vaccins dès le début vu les caractéristiques des coronavirus.
Mais quand les labos ont vendu cette technologie comme un moyen de s’adapter « on the fly » et livrer des « updates » vaccinaux en quelques semaines (comme les mises à jour de votre antivirus d’ordinateur), on a eu la confirmation qu’on était dans le marketing et non plus dans la science.
Ces histoires d’abonnements vaccinaux et les publications de taux d’anticorps humoraux comme seule preuve d’efficacité ont achevé de decrédibiliser le bazar.
Mais, vu les données dont on dispose depuis Q3 2021, ce vaccin aurait dû être retiré du marché début 2022.
Quand à votre question subsidiaire: 25 % d’incompétence, 35 % de lâcheté et 40 % d’avidité ?
(j’insiste sur le 25 % d’incompétence: si vous saviez ce que j’ai entendu de la part d’éminents biochimistes et autres « spécialistes », c’est effrayant…)
Bon !
Votre réponse n’est pas très claire.
Vous dites que vous « voulez bien accepter que… »
Désolé, je ne peux (veux) pas faire de la médecine comme ça ! Il me faut des éléments solides avant d’injecter des produits de santé à des gens en (relative) bonne santé ; sous prétexte de leur conserver cette (relative) bonne santé…
Les biochimistes, selon vous, sont de spécialistes ; mais de quoi ? De la biochimie certes mais pas de la médecine !
Il n’y a rien à attendre d’eux dès qu’on sort du « fondamental » (ce qui n’est pas négligeable) mais au stade du traitement curatif ou préventif, ils n’ont rien à dire !
Cher Confrère. Il m’est Impossible d’être bref dans une affaire devenue très compliquée mais d’autant plus instructive sur le fonctionnement de la démoc-rature française parce que relative aux transfusions faites avec les flacons de sangs du CNTS non déVIcHysés dans la première moitié des années 1980 (et au-delà ?)
« L’affaire du sang » avait permis à certains Chefs de Services de l’AP-AP de transgresser très éthiquement et de la façon la plus « crade » qui soit les lois morales et judiciaires relatives à la protection des personnes indument contaminées. Ces mandarins pouvaient se le permettre parce qu’à cette époque ils y avaient été ‘invités’ par les autorités politico-administratives françaises.
J’ai depuis 2009 vainement essayé de dénoncer les travers de l’AP-HP hautement conjugués avec ceux des CDOM des CROM et du CNOM au travers des articles de mon blog (le blog de leon) / https://genocides.over-blog.com / en en adressant copies aux médias réputés sérieux à défaut d’être libres et indépendants, à commencer par un article chronologique intitulé « maltraitances aux personnes âgées » numéroté 34640255 html
Plus récemment « L’AP-HP pire qu’Orpéa », « Une affaire à ne pas ébruiter », « des petits pots pour bébés pour sauver la vie des vieux » etc …
Démonter un complot, ça prend 1000 fois plus d’énergie que de le monter: preuve en est le Compte-Rendu complotiste de l’hospitalisation de mon père, qui était devenu grabataire au terme de six semaines d’une hospitalisation qui fut non seulement totalement inutile mais mortifère, et qui plus est sciemment mortifère.
Mon père avait été admis à l’âge de 79 ans dans le Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd à l’hôpital Bicêtre sur le diagnostic de maladie de Biermer, un diagnostic correctement posé et énoncé devant moi, qui suis médecin, par les Urgentistes de ce CHU au terme de leur examen clinique, qui 1°) avait révélé l’existence d’un tableau de SCM, la Sclérose Combinée de la Moelle étant le plus souvent en rapport avec cette maladie, c’est pas à vous que l’apprendrais, cette maladie qui résulte d’une malabsorption d’origine digestive de la vitamine B12, une malabsorption qui occasionne un profond déficit de l’organisme en vitamine B12, et 2°) à la lecture des résultats de l’hémogramme.
A ces médias, J’ai expliqué que la vitamine B12 est une vitamine qui est au système nerveux ce que l’huile est aux moteurs thermiques: en manquer revient à bousiller un moteur quand on continue de le faire tourner sans faire l’appoint, alors que pour ce qui est du système nerveux, il est impossible de l’arrêter de tourner. C’est pourquoi la maladie de Biermer fait partie des urgences médicales: tout retard au traitement expose les malades à des lésions neurologiques irréversibles et à une mort inopinée alors que le traitement qui permet d’empêcher ces évolutions catastrophiques est des plus simples puisqu’il consiste à administrer au plus tôt de la vitamine B12 à très fortes doses et cela sans craindre un quelconque surdosage parce que la vitamine B12 n’est pas toxique, alors que dépasser la mesure quand on fait l’appoint d’huile pour un moteur thermique expose à la détérioration du joint de culasse.
Mon père avait d’abord passé trois semaines en neurologie dans le Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd à l’hôpital Bicêtre.
Au mensonger prétexte qu’il ne souffrait aucunement de la maladie de Biermer mais d’une DTA (démence de type Alzheimer) et qu’il valait mieux, pour moi comme pour lui, qu’il ne survive pas trop longtemps à ce état puisqu’il était « de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation » (c’est ce que m’avait raconté le Chef de Clinique dix jours après son admission) mon père fut transféré en gériatrie au bout de trois semaines. Durant près de six semaines mon père ne reçut que du Prozac* (à “raison” de 1 cp / 24h ) … jusqu’à ce qu’il finisse par sombrer dans un coma carus,. Un coma qui faillit être terminal.
Il ne l’a pas été à cause de moi, son fils, qui suis un psychiatre complétement déjanté. Preuve en est : je prends S. Freud et J. Lacan pour de fieffés charlatans.
J’avais réussi à me procurer au tout dernier moment un coffret de six ampoules injectables de cyanocobalamine Labaz* à la pharmacie de la place Gabriel Péri à Vitry/Seine afin de mettre pour de bon en route le traitement de la maladie de Biermer alors que j’avais dû courir le plus vite possible pour arriver avant que la pharmacie soit fermée.
Il était 19 h 30 quand je suis arrivé. La pharmacienne était en train de fermer boutique Mon père n’aurait probablement pas passé la nuit si je n’avais pas couru assez vite pour arriver avant fermeture !
Sous l’effet du traitement de la maladie de Biermer il se remit debout en quinze jours, puis il a, contre toute attente, y compris la mienne, pu récupérer en quelques semaines 30/30 au MMSE.
La Surveillante du Service de gériatrie où il avait été transféré avait remarqué, en essayant de le faire manger,qu’il présentait une glossite de Hunter. Me sachant médecin et bien qu’elle ait été avertie qu’il ne fallait surtout écouter ce que le fils du malade pourrait leur dire parce qu’il lui avait été dit qu’il n’était qu’un psychiatre complétement déjanté, elle m’a fait savoir qu’elle avait reçu la consigne de ne faire que semblant de faire administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer. J’avais pourtant demandé que celui-ci soit appliqué malgré la normalité du test de Schilling (vérification faite, une prétendue normalité).
Ce test avait été pratiqué en neurologie avant son transfert en gériatrie.
Les neurologues de Bicêtre, qui se prétendaient à la pointe de la recherche, aurait dû savoir, et savait donc certainement, qu’un test de Schilling normal n’élimine nullement le diagnostic de maladie de Biermer : because (publié en 1978) “Cobalamin Analogues Are Present in Human Plasma and Can Mask Cobalamin Deficiency because Current Radioisotope Dilution Assays Are Not Specific for True Cobalamin” (Kolhouse Jf, Kondo H, Allen Nc, Podell E, Allen Rh)
Ils avaient fait comme s’ils ignoraient cet article publié en 1978 par le New England Journal of Medicin.
Cf. aussi sur le blog de leon entre autres articles : « L’AP-HP pire qu’Orpéa », et aussi « Une affaire à ne pas ébruiter », « des petits pots pour bébés pour sauver la vie des vieux » etc …
Lorsque je me suis adressé à la CADA pour pouvoir accéder au dossier de l’hospitalisation de mon père àla place de la communication du compte-rendu d’hospitalisation bidonné j’ai été accusé par la direction de l’hôpital Bicêtre d’avoir moi-même « sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme ».
Moralité: il n’y a aucune, puisqu’en ne faisant que semblant d’administrer à leur malade le traitement qui pouvait lui sauver la vie les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd n’avaient fait que se conformer l’éthique telle qu’elle allait être enseignée à partir de 1995 par Emmanuel Hirsch, à l’instigation du Pr. Gérard Saïd, à l’Espace Ethique de l’AP-HP mis en place à l’hôpital Bicêtre avant de l’être à l’hôpital Saint-Louis.
Voilà qui est dit, qui n’est pas entendu, alors que mon intervention de 1990 a été suivie, comme par hasard, par la re – découverte « dans le milieu des années 1990 » par les nutritionnistes du CHU de Strasbourg (E. Andrès & al.) d’un syndrome qu’ils ont en 2003 appelé le syndrome NDB12PP.
En vous remerciant de votre attention.
cordialement
Dr. Pierre C Déjanté Rescapé de Larticle L 460 du CSP
Merci de votre puissant témoignage !
Tous les médecins intelligents et honnêtes peuvent témoigner de cas semblables où la médecine conventionnelle (pour diverses raisons) se noie…
Mais pour nous tous, il est rare que cela concerne un parent proche… Bravo à vous et MERCI pour lui !
Pour les visiteurs du blog, je rappelle que l’Article L460 du CSP (Code de Santé Publique) est relatif au droit d’exercice de la médecine : « Dans le cas d’infirmité ou d’état pathologique rendant dangereux l’exercice de la profession, le conseil régional peut décider la suspension temporaire du droit d’exercer…«
Ben là le Conseil a fait encore plus fort :https://nouveau-monde.ca/radiation-au-tour-du-dr-marc-girard-eminent-expert-aupres-des-tribunaux-personne-nechappe-a-la-chasse-aux-sorcieres-jusqua-quand/
Quelle désolation.
La surmortalité Covid-19 toujours présente au Québec. Avec plus de 90% de la population vaccinée. Quel bel exemple pour démontrer que ces vaccins n’empêche pas les complications graves ou la mortalité. Voir cet article de LaPresse: https://www.lapresse.ca/actualites/sante/2022-12-02/un-episode-de-surmortalite-qui-perdure.php
Je pense que le journaliste ne réalise pas ce que signifie son article…..Salutations.
Merci.
Merci pour la référence à cet article et votre commentaire. 100 % d’accord avec vous.
Ce qui me dérange face à ce problème de surmortalité que l’on observe dans divers pays, c’est cette tendance à faire des hypothèses sans données sérieuses mais de tirer des conclusions hatives sans aucune base scientifique:
– pour les pro-vax, c’est à cause du Covid et des personnes pas assez boostées.
– pour les anti-vax, c’est à cause du vaccin.
– dans les pays du Sud (Espagne, Portugal), c’est à cause de la canicule.
– dans les pays vaccinés à 95 %, c’est la faute aux autres virus.
– …
Dans le cas du Canada, il doit être possible d’évaluer l’impact de la grippe et de la brochiolite et la sortir de la statistique.
C’est un manque de respect pour la population et les victimes. Rappelons que l’on a confiné en 2020 pour moins que cela.
Le seul pays pour lequel j’ai pu avoir des données, c’est le Royaume-Uni: on constate une forte progression de décès de maladies cardio-vasculaires avec en tête des morts subites et inexpliquées/atypiques par arrêt cardiaque dans certaines tranches de la population.
Il faudrait alors creuser selon l’âge, le status vaccinal, la sérologie (infections antérieures), etc.
Mais, comme vous, vu le fort taux de vaccination et le fait qu’un lien a déjà établi entre la maladie ou la vaccination et des problèmes cardio-vasculaires, il est raisonnable de penser qu’il y a un lien et que, dans tous les cas, la vaccination ne confère par la protection attendue contre les séquelles graves de la maladie.
Bien raisonné !
Bravo !
Je viens de tomber là-dessus: « Autopsy-based histopathological characterization of myocarditis after anti-SARS-CoV-2-vaccination ».
25 autopsies de patients morts d’arrêts cardiaques inexpliqués dans les 20 jours suivant la vaccination.
A noter qu’ils ne s’agit pas de males de moins de 30 ans mais cela touche toutes les tranches d’âge, hommes et femmes.
Et dire que certains « fact checker » osent écrire « FAKE NEWS: il n’est pas mort du vaccin mais d’une crise cardiaque ».
Mais ces cas sont très rares n’est-ce-pas, à moins que cherchez…. « Incidence non négligeable des myocardites après 3ème dose de vaccin à ARN messager anti-COVID 19 ».
Tout n’est pas démontré mais n’avons nous pas assez de preuves pour appliquer un principe de précaution ?
Qu’en pensez-vous ?
Je pense comme vous ; comme je comprends que vous pensez ; sauf que je le pense depuis longtemps…
@ AlfredK1960
J’ai vu aussi cette étude allemande. La réalité des myocardites post vaccinales ne fait aucun doute pour les gens qui travaillent dans un service de cardiologie, même les plus »provax ».
Inversement, ce papier israélien, avec ses limites (cohorte rétrospective avec groupe contrôle) ne constate pas de surrisque de myocardite (ni péricardite) après une infection par le COVID. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35456309/
Ce serait donc bien le vaccin qui serait à l’origine des myocardites et pas la protéine spike par elle-même.
En tout cas les neuneus du factchecking et zététiciens de tout poil doivent avoir de plus en plus de mal à ramer.
Merci
pourquoi les mêmes cardio la bouclent-ils sur les AVC et toutes les autres complications CV ?
Laissons notre ami répondre ; ça vaut toujours la peine d’avoir son avis ; quoique, vous et moi, nous connaissions déjà au moins une partie de la réponse…
Merci !
Cette étude m’était aussi parvenue ce qui confirmerait que l’inflammation provoquée par le système immunitaire joue une rôle important.
D’autres études ont confirmé que les nano-particules qui enrobent l’ARN messager se baladent à peu près n’importe où (traces dans le plasma jusqu’à deux semaines après l’injection), j’imagine que cela peut donc avoir des conséquences sur de nombreux organes et les vaisseaux sanguins (vasculites, etc).
En cherchant un peu, on doit pouvoir démontrer pas mal de choses.
Tout cela n’exclus pas une certaine toxicité de protéine S induite par le vaccin (même modifiée) . Voir l’article « Adverse effects of COVID-19 mRNA vaccines: the spike hypothesis » https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35537987/).
Triste spectacle dont j’espère que nous verrons bientôt la fin.
@Dreamer
Les AVC relèvent de la neurologie.
Pour les événements coronaires aigus, il n’y a pas d’explosion des cas qui soit perceptible à l’œil nu dans un centre donné.
Les myocardites sont rares normalement. Quinze ou vingt cas supplémentaires sur une année, ça frappe les soignants.
Pour les infarctus, si vous avez autour de 600 cas par an et que que vous passez à 650 une année, ça ne se sent pas vraiment. C’est pourtant 50 cas de plus.
Il faut un recueil rigoureux des données sur un bassin de population important (plusieurs millions d’habitants) pour détecter clairement quelque chose.
Suivant l’article en référence, les personnes à risque de sur-mortalité, sont vaccinés à 98% au Québec (4 et 5 doses). En ce moment, il y a une campagne de vaccination intensive pour la Covid-19 et grippe (les deux vaccins en même temps). Ce sera une cinquième et sixième doses pour certains ! Il y a déjà 65% vaccinés de cette tranche d’âge avec 5 ou 6 doses……