Pandémie Covid-19 : dernières nouvelles du front !
Nous voici à la fin Novembre 2023 – ce n’est pas encore l’hiver mais presque – et c’est le moment de faire le point avant l’offensive hivernale des virus respiratoires.
Je laisse de côté pour le moment la bronchiolite et la grippe saisonnières car les informations qui nous parviennent n’ont pas grande crédibilité.
Par exemple, les pédiatres nous disent que la majorité des bronchiolites enfantines hospitalisées n’ont pas reçu les fameux anticorps protecteurs (Beyfortus). Ce type d’informations visant à certifier l’efficacité de ces anticorps n’ont aucune valeur pour un scientifique.
Nous avions eu le même type de raisonnement à propos des vaccins antiCovid : c’était des nonvaccinés qui peuplaient les unités de réanimation. Il a fallu du temps avant qu’on admette, sur des bases solides, que la vaccination n’empêchait pas les cas graves ; pas plus que les contaminations.
Bref, où en sommes-nous aujourd’hui de la pandémie ?
Si je me borne aux pays Européens comparables, on peut dire que la situation est globalement calme mais un peu contrastée.
Bien sûr, seule la mortalité attribuée à la Covid peut désormais nous donner une idée de la pandémie.
En France (ci-dessous), il ne se passe quasiment rien ; comme on le voit sur la partie droite du graphique.
Il n’y a pratiquement pas de décès attribués à la Covid-19 ces jours-ci. C’est presque étonnant !
Les choses semblent un peu plus compliquées chez nos voisins allemands, sans être tragiques.
On distingue nettement une petite vague au mois de novembre (la 12ème) mais elle semble déjà sur le decrescendo. Rien à voir avec l’année 2021.
Si on compare avec la France (attention ce n’est pas la même échelle) où la pire vague fut enregistrée en 2020, on comprend que l’Allemagne avait un peu de retard et qu’elle est sans doute en train de le rattraper.
Examinons les données de mortalité de deux autres voisins qui nous ressemblent et qui avaient plutôt pris de l’avance sur la France pendant les trois années de pandémie.
D’abord le Royaume-Uni où les années 2020 et 2021 ont été très dures.
On observe une petite vague, un peu comparable à celle observée en Allemagne.
De même en Italie. Une vaguelette !
Comme dit précédemment, le Royaume-Uni et l’Italie avaient pris de l’avance sur la France et l’Allemagne. Où en est-on aujourd’hui si on compare la mortalité totale attribuée à la Covid sur les 4 années de pandémie.
C’est le tableau -ci-dessous.
Il faut regarder la dernière colonne sur la droite (Deaths/1M pop) qui indique la mortalité rapportée à la population (par million d’habitants). J’observe que l’Allemagne rattrape la France, lentement mais sûrement ; mais que l’Italie et le Royaume-Uni restent nettement au-dessus des précédents.
Je n’ai pas d’explication à ce jour.
Conclusion : situation calme en attendant l’hiver !
Que pouvons-nous pensez de l’article 4 de la loi sur « les dérives sectaires » (en préparation) qui interdit de débattre de la science et oblige à se conformer au consensus médical du moment, sous peine de 15 000 euros d’amende et de prison ? Heureusement , il semble que ce projet a été écarté par le sénat comme en témoigne Public Sénat :
« L’article 4 a également fait les frais de l’élagage sénatorial, car jugé « attentatoire aux libertés sans garantie d’une grande efficacité contre l’essor du discours en faveur des dérives sectaires ». Il prévoyait la création d’un délit de «provocation à l’abandon d’un traitement médical ». Cette disposition visait un phénomène mis en lumière pendant la pandémie : le développement des pratiques de soins non conventionnelles, contre lesquels d’ailleurs, l’Ordre des médecins a tiré la sonnette d’alarme dans un rapport publié en juin dernier. Le Conseil d’Etat avait déjà émis un premier avertissement sur cette partie du texte, estimant d’une part que les faits ciblés étaient déjà couverts par la répression de l’exercice illégal de la médecine. D’autre part que le projet de loi risquait de porter atteinte à la liberté d’expression en sanctionnant des propos généraux pouvant être tenus sur un blog ou sur les réseaux sociaux ».
Je suis de plus en plus inquiet pour l’avenir de nos libertés les plus fondamentales !
Vous avez raison d’être inquiet ; mais c’est trop tard.
L’effondrement de la rigueur scientifique (les essais cliniques bidons testant les vaccins antiCovid sans réaction des scientifiques) et les divagations des médecins « spectaculaires » [Raoult et les zotres] ont déjà contaminé les services de soins !
bon, ce n’est qu’un témoignage inquiet mais la semaine dernière, sur environ 50 patients, j’ai appris
-le décés d’un cancer pulm foudroyant d’un ex d’une de mes patientes (bon 75 ans) vacciné
-l’annonce d’un cancer du sein inflammatoire de très mauvais pronostic de la belle soeur d’un autre patient (49 ans) vaccinée
-l’annonce de la rechute locale d’un cancer très agressif de vessie chez un homme de 54 ans vacciné
j’ai lu dans le journal le déces de Collomb d’un cancer de l’estomac
sans compter le mésothéiome d’un ami de 78 ans vacciné et les deux infarctus de deux de mes amis vaccinés mais les annonces sont anciennes
plus les deux BAV qui ont nécessité des piles chez deux voisins vaccinés et un flutter chez un ami vacciné.
Pour ma part, même quand j’étais MG, je n’ai jamais connu une telle fréquence de mauvaises nouvelles..a t on de vraies remontées des nouveaux cas de cancers en fonction du statut vaccinal?
Ça reste « vague » à mon avis et rien n’est fait pour clarifier, évidemment !
Ce qui est miraculeux c’est que le nombre de cancers fulminants ,AVC et autres accidents cardiaques puissent augmenter substantiellement sans que ni les autorités ni les académies ni les media ne s’en inquiètent !
Une telle vague de pathologies et de décès ne manquera pourtant pas d’avoir des effets économiques :
Recettes pour les fournisseurs de soins et de drogues
Depenses pour les assurances et les mutuelles
-Baisse de la population des ehpad
– moins de pensions à payer aux retraités
…
Je serais curieux de connaitre vos sources.
Au global, on ne voit absolument pas d’augmentation substancielle depuis (ou attribuable a) la vaccination Covid19 :
https://www.e-cancer.fr/content/download/467584/7082439/file/BEH_Incidence%20des%20principaux%20cancers%20en%20France%20m%C3%A9tropolitaine%20en%202023%20et%20tendances%20depuis%201990_04072023.pdf
Cher ami, je suis désolé de vous contredire. Le bulletin que vous citez arrête ses chiffres réels à 2018, avant la pandémie. On ne sait rien des évènements durant la pandémie et au moment des campagnes de vaccination.
Les auteurs écrivent (page 189, dernier paragraphe) : « L’incidence en France métropolitaine a ainsi été estimée de 1990 à 2018 et projetée de 2019 jusqu’en 2023, sans pouvoir prendre en compte les impacts éventuels de la pandémie liée à la Covid-19. »
Voyez vous-même.
On ne peut mieux dire…
Exact ! Merci pour la rectification.
Donc en gros, on a pas de chiffres, c’est bien ca ?
Nous avons des témoignages multiples pris en compte (ou pas) par les autorités (qui sont submergées) alors que chaque cas nécessiterait une analyse attentive et documentée !
Faute de personnels en nombre suffisant et formés, vous aurez des chiffres dans 10 ou 15 ans.
Ainsi va la pharmacovigilance…
35 ans de Médiator…
Nous n’en sommes plus là: l’échec de la pharmacovigilance est avéré et documenté dans le milieu scientifique (voir l’étude du BMJ sur le VAERS américain).
Les choses vont désormais plus loin avec la plainte pour meurtre en Italie contre l’ex ministre de la santé. Ainsi, des courriels auraient révélé que les autorités avaient décidé de cacher les décès et les effets indésirables graves pour éviter une hésitation vaccinale.
Fake news ? Complotisme ?
Cela a été ma première réaction mais l’affaire à l’air plus sérieuse que cela et l’Italie ne serait pas le seul exemple.
Mais, si démontrer une intention reste impossible, démontrer les faits est à portée des plaignants. Comment certains médecins ont-ils pu affirmer avec certitude que le décès d’un enfant dans la semaine qui suit la vaccination n’avait aucun rapport avec celle-ci ?
La loi leur imposait d’enregistrer le cas pas de le nier.
Si le fond est difficilement attaquable, par contre la forme l’est.
Vous avez raison ; mais le pire du pire (au-delà des effets indésirables des vaccins), c’est d’avoir fait croire qu’ils étaient utiles.
Le simulacre de science auquel ont donné lieu les essais cliniques testant ces vaccins antiCovid ne pouvait échapper à un scientifique « cohérent » avec lui-même…
Oui, ces tests cliniques sont déplorables. Mais dans le cas SARS-Cov2, même la stratégie de développer un vaccin était questionnable.
Plusieurs virologues et immunologues renommés ont mis en garde contre la difficulté voir l’impossibilité de développer un vaccin contre ce type de virus. Ces virus sont en effet connus pour muter rapidement et être peu immunogènes.
Le design a aussi été baclé: cibler la protéine S permettait probablement d’obtenir un taux important d’anticorps neutralisants à court terme pour vendre le produit. Mais les concepteurs ne pouvaient pas ignorer que cette efficacité serait très éphémère.
Alors qu’un vaccin qui cible un nombre plus large d’épitopes de diverses protéines aurait donné un taux de protection initial moins bon mais de meilleurs résultats à moyen terme.
Ceux qui ont développé ces vaccins savaient dès le début que les chances de contrôler la transmission ou la maladie symptomatique étaient infimes.
Le profil des personnes à risque était connu dès la fin de la 1ère vague, on savait aussi déjà que la létalité était largement inférieure à SARS-Cov1 et SARS-Mers.
Les scientifiques ne pouvait pas ignorer que c’est vers une solution ciblée pour les groupes à risque qu’il fallait se diriger plutôt qu’une vaccination de masse.
La vaccination de masse est potentiellement utile pour les élevages de canards…
Oups !
« a t on de vraies remontées des nouveaux cas de cancers en fonction du statut vaccinal ? »
COVID vaccination and turbo cancer: pathological evidence : https://doctors4covidethics.org/covid-vaccination-and-turbo-cancer-pathological-evidence/
concernant la technologie ARNm en général, entres autres articles du même site :
• 750+ Studies About the Dangers of the COVID-19 Injections : https://doctors4covidethics.org/750-studies-about-the-dangers-of-the-covid-19-injections/
• mRNA Vaccines are Dangerous from First Principles of Immunology : https://doctors4covidethics.org/mrna-vaccines-are-dangerous-from-first-principles-of-immunology/
• Symposium 5, Session I: The Fundamental Flaws of mRNA Vaccine Technology : https://doctors4covidethics.org/session-i-the-fundamental-flaws-of-mrna-vaccine-technology-2/
concernant la surmortalité toutes causes confondues, j’ai lu plusieurs ‘alertes’ de compagnies d’assurance établissant une hausse notable du taux de décès dans la population américaine (de même qu’au Royaume Uni & en Australie : point 4. de l’article ci-après) depuis le début de l’injection ARNm
tout récemment, cet article sur le site du CHD : https://childrenshealthdefense.org/defender/les-dirigeants-du-secteur-de-lassurance-sont-alarmes-par-laugmentation-du-nombre-de-deces-chez-les-jeunes-mais-naccusent-pas-les-vaccins-covid/?lang=fr
y est fait mention – entres autres, de déclarations ou études menées par les Dr Peter McCullough, Kory, Malone
les instances médicales de l’armée américaines ont également communiqué sur une hausse (spectaculaire pour certains) des effets secondaires parmi leurs effectifs, également corrélée à l’injection…
Je laisserais de côté pour le moment les données de « Covid Ethics », mal formulées et documentées mais pas forcément « fausses »…
Inversement, la surmortalité (notamment cardiovasculaire) observée aux USA depuis 2020 (avant les vaccins) mais persistante en 2021 et 2022 est indiscutable et indiscutée !
il y a des études de bonnes qualité sur les effets CV du covid ? J’ai trouvé deux ou trois trucs (dont les refs 1,2 et 3 de ce papier :https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8661887/#sim9179-bib-0001 )
Attention, je n’ai pas dit que le virus avait provoqué une surmortalité cardiovasculaire.
Je constate une surmortalité cardiovasculaire en 2020 pendant la 1ère année Covid. A quoi l’attribuer ?
Si nous raisonnons en physiopathologiste, ile est probable que le virus est (au moins en partie) responsable mais sans preuve définitive…
Que cela persiste les années suivantes est troublant.
Je raconte tout cela dans mon prochain livre (en librairie en Avril 2024) si tout va bien.
je me rappelle que l’on disait au début du covid que le virus provoquait des évènements thromboemboliques, j’avais vu en 2021 la publication des refs données dans le papier. Je me rappelle que tu avais écrit qu’en cardio vous aviez toujours été parasités par cette idée d’origine virale aux évènements CV
Exact !
Si je n’ai pas été assez clair, je me répète : je pense que via la Protéine Spike, le virus peut provoquer des accidents cardiovasculaires chez des personnes prédisposées [le concept de « prédisposition à l’hypercoagulation » que j’explique dans le livre « Comment échapper à l’infarctus…« ].
La surmortalité cardiovasculaire qui persiste au cours de campagnes de vaccination en 2021 et 2022 s’explique probablement, au moins en partie, par la Protéine Spike vaccinale puisque ces vaccins antiCovid visent à nous faire produire la Protéine Spike. A nouveau, nous ne sommes pas tous égaux face à ce risque notamment parce que les vaccinés ne produisent pas forcément beaucoup de protéine Spike. Il y a probablement une réponse individuelle, mal documentée à ce jour.
Si la proteine Spike est responsable d’accidents cardio vasculaire, comment les attribuer preferentiellement au vaccin plutot qu’aux infections Covid (qui produisent egalement de la proteine Spike) ?
Sur le terrain (comme on dit), il est assez clair que les fragiles (notamment les personnes vieillissantes) ont été surtout victime de la Protéine Spike du virus, notamment avant les vaccins.
Il est non moins clair que c’est la Protéine Spike des vaccins qui a provoqué les complications cardiovasculaires des plus jeunes jusque là indemnes…
@Jacques,
Si je ne m’abuse, la protéine S issue de la vaccination est modifiée pour diverses raisons notament le fait qu’il fait lui « donner une forme » car elle n’est pas rattachée au virus, sinon elle se replie sur elle-même et ne provoque pas une bonne réaction immunitaire.
La temporalité est aussi à prendre en compte.
On peut aussi distinguer s’il y a eu une infection Covid en cherchant des anticorps des autres protéine virales: s’il n’y en a pas alors c’est le vaccin qui est en cause.
Finalement, les vaccins n’ont été créés qu’avec les séquences de 4 souches: Wuhan, BA.4, BA.5 et XBB 1.5
Si quelqu’un produisait la protéine S de la souche originale en décembre 2021 alors c’était forcément le vaccin (cette souche ne circulait déjà plus en octobre 2020).
Bref, il existe des dizaines de techniques pour remonter la piste.
L’Allemagne est en avance: vu les plaintes qui s’accumulent, certains praticiens se sont spécialisés dans cette analyse afin que les avocats aient ensuite des munitions pour défendre leurs clients.
Au-delà de la responsabilité de la protéine spike, issue du virus ou du vaccin, couplée avec les facteurs de prédisposition à la coagulation, est-ce qu’on a, du moins est ce que vous avez, un peu plus de visibilité sur les autres cofacteurs de mortalité ?
J’ai en tête dans le désordre : la charge virale elle-même (d’où l’utilité des masques en milieu confiné, même si c’est pas parfait + d’aérer au max), les possibles interactions médicamenteuses (ex : étude coréenne qui établissait un lien entre IPP et gravité de l’atteinte Covid), les techniques de réanimation aussi : apparemment il y a eu des progrès sur la conduite de l’intubation et sur les circonstances où l’appliquer ou non, ou encore le rôle les autres maladies présentes, etc.
Est ce qu’on peut y voir assez clair maintenant pour savoir où prioriser les efforts ? Est ce que des progrès ont été faits sur les interactions médicamenteuses, en + des IPP (que quasi personne ne rappelle, ça m’étonne toujours autant) ?
Ou est ce que la lutte contre la prédisposition à l’hypercoagulation reste loin devant tous ces autres facteurs ?
La responsabilité des IPP dans la sévérité de la Covid-19 reste en question. Certes les IPP favorisent les complications cardiovasculaires en l’absence de Covid et font partie de la prédisposition « acquise » à l’hypercoagulation. On peut penser que les IPP favorisent aussi les complications cardiovasculaires en présence de Covid.
A mon avis, pour éviter les complications cardiovasculaires par temps de Covid, il faudrait identifier les personnes ayant une prédisposition à l’hypercoagulation.
Pour les autres complications, notamment respiratoires, je ne sais pas !
Bonjour Docteur,
Des nouvelles du Beyfortus, apparemment aussi sinistres que vous le craigniez …
https://www.aimsib.org/2023/12/10/le-train-du-beyfortus-a-deja-deraille/
Merci.
Je n’ai pas le temps de vérifier ces chiffres et, en plus, je trouve cela un peu prématuré. Nous sommes seulement début décembre !
Rappelons que le gouvernement macron a décidé d’injecter ce produit a sanofi a tous les nouveau-nés dès les premiers jours en maternité – les medecins zélés se charge de convaincre le parents, ce qui n’est pas difficile, et le tour est joué – ainsi , sans etre une vaccination obligatoire, c’est un traitement systématiquement infligé , sans aucune garantie d’innocuités ni d’utilité.
Sanofi aurait il financé les campagnes électorales de macron ?
Ou s’agit-il d’un programme de dépopulation ?
« PENURIE » DE BAYFORTUS
« Nous ne pourrons pas aller au-delà des 50.000 doses supplémentaires », annonce ce mercredi Sanofi … ce 6 décembre, Sanofi explique à 20 Minutes que la production de ce « traitement à base d’anticorps monoclonaux est plus complexe et requiert plus de temps que pour un vaccin ».
https://www.lindependant.fr/2023/12/06/traitement-contre-la-bronchiolite-sanofi-ne-fournira-plus-de-beyfortus-pour-les-bebes-francais-victime-de-son-succes-11625173.php
Victime de son succès ?
50,000 doses ?
On se moque de qui ?
Deux explications possible-
1 le gouvernement a voulu imposer ce produit alors que le fabricant n avait pas les capacités de production disponibles ( vont ils demander a l’état de leur payer une usine ? )
Ou
2)
Ils ont vu les nombreux effets indésirables – ils préfèrent limiter la diffusion de peur d’un scandale de plus….
Ou bien, les maternités (croyant bien faire) ont vidé les stocks et il ne reste rien pour les zotres…
Peuchère !
Oui, c’est des petits joueurs à côté de Pfizer.
Environ 700’000 naissances annuellement et un vaccin qui n’est vraiment utile que durant 6 mois (automne/hiver) et « efficace » 2 mois…
Donc, un marché potentiel de 400’000 doses par an à 3.57 EUR = 1.4 million par an pour la France ?
Il faudra ensuite soustraire les parts de marché de Pfizer qui va sortir son vaccin (d’autre vaccins qui vaccinent la femmes enceinte et protège le futur gamin sont déjà disponibles aux USA).
C’est assez ridicule comme business plan, à moins d’organiser une pénurie pour multiplier le prix des doses par 10. Et en plus, c’est compliqué donc coûteux à fabriquer ? (alors qu’un vaccin ARNm ne coûte que quelques centimes la dose et est désormais vendu 4 fois plus cher que l’an dernier aux USA).
Vu la dénatalité en Europe, les perspectives de croissances sont probalement dans d’autres continents qui accepteront alors volontiers le produit quand il aura été suffisament testé sur les petits français.
A moins qu’à terme le plan soit d’imposer ce produit à toute la population. Mais là aussi, Pfizer serait mieux placé: il suffira d’ajouter un peu d’ARNm du SRV à la mixture annuelle Grippe-Covid.
Bref, tout cela n’est pas très rationnel.
Le ministre l’a dit :
« En mars dernier, un laboratoire est venu voir mon prédécesseur, François Braun, lui a proposé un traitement qui n’avait fait l’objet d’aucune autorisation, et François Braun a eu le courage, a pris le risque de commander des doses »
Quel courage !
https://basta-covid.fr/motus-mordicus-pour-le-beyfoetus/
Ce documentaire résume bien ce qui se passe dans les maisons de retraite.
https://youtu.be/KzkRAkinE94?si=jH5Jo785KiaIWWrV
Beaux témoignages. Merci !
C’était comme ça aussi en France ; et probablement ailleurs…
Nous ne nous en remettrons pas !
Nous appartenons à une société qui élimine ses vieillards.
C’est bon à savoir
De mieux en mieux.
On a donc pour source un realisateur dont les oeuvres (coecrites avec Ema Krusi) ont ete retirees de Suisse par decision de justice pour antisemitisme et negationnisme.
Ici aussi, il faut separer l’oeuvre de l’artiste ? Leni Riefenstahl aussi ?
Mais bon, il parait qu’il n’y a aucune convergence avec l’extreme droite, hein !
quand t’as rien à dire sur le message, attaque le messager
Quand tu frayes avec l’extreme droite antisemite et raciste, il faut assumer.
STOP !
Je n’ai pas retenu le nom de l’auteur de ce reportage mais j’ai été ému pas ce fils qui a dû forcer la sécurité pour apporter les cadeaux de Noël à son père. Il expliquera ensuite que c’est la dernière fois qu’il a vu son père en vie.
S’il ne l’avait pas fait, il l’aurait regretté toute sa vie. Quand la règle devient inhumaine, notre devoir est d’y désobéir. Les bons médecins le savent bien.
Essayons d’oublier la politique et de redevenir des être humains.
Merci
Nouvelles sur le front des vaccins: https://www.nature.com/articles/s41586-023-06800-3
Une partie non négligeable de la séquence ARNn du vaccin est mal traduite: l’utilisation de methypseudouridine (couronnée par un Nobel) provoque un décalage lors de la « lecture ». Une protéine qui correspond à un « shift » N+1 est produite (presque 10 %). On retrouve sa trace in-vitro ainsi que les anticorps correspondant in-vivo (souris et vaccinés Pfizer).
Mais les experts sont rassurants: ça ne doit pas être bien grave car nous avons vacciné des millards de personnes et sauvé des millions de gens du Covid.
Les personnes atteintes de maladies auto-immunes post-vaccination apprécieront.
Ce vaccin doit retiré et vite.
C’est une étude importante mais j’ai peine à en mesurer l’importance.
Quant à retirer le vaccin, n’y compter pas : ce serait analyser toute son histoire et ce serait tragique…
Cette étude est publiée dans Nature et validée par les pairs. Mais il aura fallu presque un an pour que cette connaissance soit partagée. Tout n’est pas très net (potentiels conflits d’intérêts) mais tout est documenté et vérifiable.
Vous avez raison de relever que l’on ne sait pas encore si ce problème est négligeable ou au contraire cache quelque chose de plus grave.
Mais, sans même entrer dans le débat des constatations et de leurs conséquences, cette étude décrédibilise totalement le processus de mise sur le marché:
« Despite their widespread use, surprisingly little is known about how ribonucleotide modification affects protein synthesis, particularly for translation of therapeutic IVT mRNAs »
Donc personne n’a étudié sérieusement ce point avant d’autoriser ces vaccins ? Personne n’est capable de contredire cette étude avec des données issues des tests cliniques ?
Que l’on ait pas testé les vaccins contre la transmission est une chose, chipoter sur les normes en matière de pureté liés au processus de bioproduction aussi.
Mais que l’on ait pas testé, avant la commercialisation, le fonctionnement de base de son produit au point d’ignorer quelle protéine est produite alors qu’une simple expérience permet de le savoir, c’est inadmissible.
Cette étude confirme un travail baclé par manque de temps.
On entre dans la tromperie car des études antérieures avaient déjà mis en garde contre ce risque avec ces technologies.
Et on a autorisé la vaccination de nourrissons dès 6 mois avec ce truc ?
Il est temps que certain scientifiques se reprennent car leur situation va devenir intenable d’ici peu.
Ben oui !
Mais quel(s) scientifique(s) oseront aller à l’encontre de la doxa actuelle ?
Peut-être ceux qui ont compris et ne souhaitent pas qu’on les oblige à vacciner leur gamin avec un produit similaire dans 1 ou 2 ans ?
Ne vous faites pas trop d’illusions…
Il y a cependant du nouveau sur le front judiciaire :
https://www.nakedcapitalism.com/2023/12/texas-v-pfizer-alleges-extensive-misrepresentations-about-covid-vaccine-efficacy-censorship-of-critics.html
Merci.
En effet, ça sent le roussi pour Pfizer…
https://www.nakedcapitalism.com/2023/12/texas-v-pfizer-alleges-extensive-misrepresentations-about-covid-vaccine-efficacy-censorship-of-critics.html
Il semble qu’il y ait de l’activité sur le plan judiciaire : Etat du Texas contre Pfizer qui reprend beaucoup d’éléments que vous mentionnez dans ce blog d’après le résumé (efficacité relative / absolue, mesure des anticorps… ). Je n’ai pas lu tout le texte mais la question du double aveugle ne semble pas avoir été relevée.
La comparaison du nombre de cas et de morts covid par pays n’a pas beaucoup de sens si on ne compare pas aussi le nombre de tests et la surmortalité toutes causes par pays.
Les pays européens se sont globalement conformés aux directives mondialistes mais avec certainement des nuances importantes dans la prise en charge, dans le comptage comme mort-covid, dans des décalages dans le temps des mesures, etc.
Bien sûr !
C’est pour ça qu’aujourd’hui seule la mortalité attribuée à la Covid est un bon paramètre ; mais à condition de comparer entre eux des pays qui ont la même façon de procéder pour définir cette mortalité. Par exemple, il ne faut pas comparer les USA et la Chine.
C’est pour cela que je compare des pays européens…
Il y a plusieurs éléments qui peuvent contribuer à cette baisse de mortalité: virus moins aggressif, immunité acquise par la population, population vulnérable moins grande (les plus fragiles sont décédés lors des vagues précédentes).
Mais il y a une autre raison qui contribue à cette baisse de mortalité (qui est désormais aussi acceptée dans le milieu médical): une meilleure connaisance du virus et de sa prise en charge.
Effectivement, les protocoles ont été modifiés: ventilation moins invasive, traitement des co-infections avec des antibiotiques, utilisation d’anticoagulants et de corticoides, prise en charge plus précoce, etc,
Certain évoquent une diminution de la mortalité chez les personnes vulnérables qui développent des formes sévères de l’ordre de 30-40 %.
Ainsi, pas besoin de polémiques sur des molécules dont l’efficacité n’était pas démontrée: il suffisait de soigner.
Or, plusieurs médecins avaient compris assez tôt et proposé de changements dans la prise en charge dès 2020 (les infections respiratoires virales ne sont pas une nouveauté et il existe d’autres coronavirus qui peuvent provoque un SARS).
Plusieurs ont été suspendus (il était interdit de prendre en charge un patient positif au Covid19 en ambulatoire).
Dès l’an prochain, ce type de comportement devrait entrainer une condamnation à 1 an de prison et 45000 EUR d’amende.
Les patients ont du souçi à se faire !
Merci
Exact
Très tôt, à Marseille notamment, de (vrais) médecins ont expliqué que la prise en charge précoce était LA clef …
https://www.mediterranee-infection.com/wp-content/uploads/2021/02/PROTOCOLE-COVID-HDJ-29-JAN-2020.pdf
https://basta-covid.fr/prise-en-charge-precoce-une-synthese-magistrale/
Merci.
A l’automne 2021 (environ 2 ans après l’émergence de la pandémie) – c’est vos documents – , toutes les équipes de soignants (ou presque) avaient élaboré des protocoles efficaces pour protéger (le mieux possible) les patients les plus fragiles.
Les marseillais – outre l’hydroxychloroquine – faisaient « comme les autres »…
La vaccination battait son plein, etcétéra…
Et chacun y allait de son explication face à la diminution de la mortalité ; jusqu’à la vague suivante (de l’hiver 2022) qui sans atteindre les sommets des deux premières vagues (voyez le graphique) a montré que la vaccination était impuissante et que les progrès des équipes soignantes avaient leurs limites ! Hélas !
Certains vous diront qu’il ne s’est rien passé…
Une précision, cher Docteur, si je puis me le permettre.
Les « exploits » marseillais me semblent tout de même anciens et donc d’autant plus courageux : le protocole de prise en charge de l’IHU dont j’ai donné le lien est la version (assez aboutie semble-t-il …) publiée en janvier 2021, elle même issue des premières versions parues courant 2020, c’est à dire en plein délire de la médecine d’État, à une époque où se faire soigner en cas de Covid était pour la plupart d’entre nous non pas difficile mais complètement impossible.
Loin de moi l’idée de parer le « grand savont » (selon votre formule fort amusante) de toutes les qualités, mais il me semble qu’il était tout de même (avec son équipe) au printemps 2020 l’un des très rares éclairs de courage au milieu d’un océan d’autoritarisme policier, de veulerie médicale, et de confondante stupidité médiatique.
Voir également une conférence par Louis Fouché d’octobre 2020.
https://www.youtube.com/watch?v=r1hOyShXHak
Le même Louis Fouché qui aujourd’hui encore est scandaleusement trainé dans la boue par le pouvoir politico-sanitaire.
Qu’il y ait eu « autoritarisme policier, veulerie médicale et confondante stupidité médiatique« , selon vos termes, ne fait aucun doute ; mais il y eu beaucoup de soignants non-marseillais qui discrètement et sans monter sur les tréteaux de la Société Spectaculaire Marchande surent rendre service à leur patientèle. Il fallait être sur le terrain à l’époque…
Le péché originel de certains marseillais est que pour faire la promotion de leur recette miracle (hydroxychloroquine) ils critiquèrent les « méthodologies » scientifiques [l’essai clinique randomisé] comme ils dirent et continue de dire ; arguant que eux seuls étaient capables de savoir (sur la base de leur génie personnel) ce qu’il fallait faire…
Je ne parle pas de la réanimation…
Bon !
Avec de tels lascars qui toute leur carrière (et encore maintenant) célèbrent l’efficacité des vaccins, on comprend que la « Messe est dite » !
Qu’ils soient attaqués par pire qu’eux ne les innocente pas !
Il a surtout ete a l’origine de falsifications grossieres dans son papier fondateur de son « traitement » a l’HCQ (le Gautret et al 2020).
D’ailleurs ses papiers sur le sujet sont en train d’etre retractes un par un. C’est proprement hallucinant que le premier y soit encore.
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2052297523001154?via%3Dihub
Qui peut encore croire à ce que raconte cette équipe. Comme disent les éditeurs du journal : « Concerns have been raised about a number of articles authored by researchers affiliated with Aix-Marseille Université IHU – Méditerranée-Infection« .
J’espère que tout le monde comprend.
J’aurais honte à leur place…
Cela dit, cette équipe n’est pas un « cas particulier ».
La validité des publications dites scientifiques dans divers journaux et revues (parfois prestigieux) est faible.
90% de ce qui est publié dans le Lancet ou le New England Journal of Medicine est « faible ». Façon de dire…
Pour un vieux scientifique comme moi, c’est « dégoutant » au sens propre du terme [ça me dégoute !]
Cela dit, dans le fatras hebdomadaire, il y a parfois des perles…
Elsevier (qui publie le lien « sciencedirect » fourni par Jacques) est liée à BigPharma à peu près comme l’excellentissime Dr De Lorgeril l’est à la splendide diète méditerranéenne.
Cet « article » sciencedirect qui affiche d’emblée ses positions anti-IHU ne vaut donc à peu près rien.
Si l’on veut discuter des travaux de l’IHU, il faut le faire non pas façon VERAN / IGAS / ANSM mais avec sérénité, ce qui suppose de poser au moins deux questions :
– pour chaque article de l’IHU quel est le grief objectivement observable ?
– à titre général, doit-on, même pour des molécules archiconnues exiger des essais randomisés en double aveugles ou peut-on accepter certaines méthodes observationnelles, avec toutes leurs limites (et quelles sont elles) ?
Je pose ces questions (il y en d’autres).
Je ne prétends pas les résoudre.
Si une vision objective et contradictoire avait été adoptée dès le début, le « cas » Raoult n’en serait pas un …
Merci.
Je vous reprends : pour « une vision objective et contradictoire », il eût fallu un argument solide (un essai clinique) et pas la « conviction » du Grand Savont…
Mais comme le Grand Savont ne comprend pas l’essai clinique, il ne se risquait pas dans une belle aventure scientifique…
PS : je ne suis pas « personnellement » lié à la diète méditerranéenne. Des centaines d’études et auteurs ont confirmé mes résultats sans jamais une seule contradiction. Vous voyez la différence ?
Quand à votre comparaison entre mon humble personne et Elsevier, vous comprendrez que ce type d’insulte gratuite ne renforce pas vos positions à mes yeux !
Complément qui vaut son pesant de consternation :
Les directives de la HAS pour la prise en charge du Covid laquelle continue à recommander le Remdesivir dont on sait qu’il est hautement toxique.
Qui proteste aujourd’hui contre ce genre d’aberrations sans nom ?
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3447571/fr/traitement-de-la-covid-19
Il y a des circonstances (très rares) où le médecin ne sait pas quoi faire face à une complication presque inéluctable et se voit contraint de prescrire, de façon très empirique (et en croisant les doigts), quelque chose qui n’a pas fait ses preuves.
Ça se comprend quand on est un soignant et qu’on ne veut pas abandonner son patient. Les fins de vie par exemple, les cancers terminaux, etcétéra…
Certains médecins face à des patients très fragiles et atteints du Covid peuvent décider cette sorte de prescription. C’est sans doute à ça que pensent les rédacteurs du message de la HAS dont vous parlez. peut-être !
Pas sûr !
En vous décrivant comme « lié » à la diète méditerranéenne, je voulais dire que vous en êtes à mes yeux (après avoir lu votre ouvrage) le plus remarquable défenseur. Votre livre est autant une étude motivée et rationnelle qu’un itinéraire gastronomique que je pratique depuis longtemps mais qu’il m’a fallut votre ouvrage pour comprendre.
Quant à l’allusion à Elsevier, ma comparaison était celles de deux proximités (et non une comparaison directe entre vous et cette société).
Je suis d’autant plus désolé de m’être doublement si mal exprimé, que votre site remarquable ne mérite que des compliments et non pas ce genre de malentendu.
Je vous présente donc mes sincères excuses.
Je te pardonne, mon fils !
Que jésus…
« pour chaque article de l’IHU quel est le grief objectivement observable »
Je vous invite a lire retractation watch. Tout y est decrit dans le detail.
Pour le Gautret de al 2020, celui de l’HCQ, ona l’embarras du choix. Toute la methodologie y est jetee a la poubelle. Pas de groupe controle dans l’etude originale, il est ajoute en cours de route. Et il est completement statistiquement non pertinent (ex l’age different non pris en compte dans le traitement statistique).
En Janvier 2021, Gautret publie un re-analyze de cette meme cohorte avec des donnees totalement incompatibles avec les donnees originales : nombre de patients, nombre de PCR, nombre de deces, etc … Impossible de reconcillier les donnees.
Incoherence des donnees entre les donnees brutes et les donnees publiees dans le papier (PCR negatives dans les donnees brutes et positives dans le papier).
Autorisation de l’etude donnee apres le debut de l’etude. enfant de moins de 12 ans devaient etre exclu, il y en a 2 dans l’etude.
Papier soumis, reviewe et accepte EN UNE JOURNEE !!! Pas etonnant puisque l’editeur en chef du journal (cree par l’IHU pour continuer a publier alors que Raoult venait de se faire interdire de publication dans une autre revue) n’est autre que qu’un employe de l’IHU !!! Pas mal pour des personnes qui fustigent l’entre soi (reel) de big pharma.
Bref, c’est juste une honte que ce papier soit encore dans un quelconque journal scientifique.
Hum…
@Jacques
Nous n’allons pas passer la semaine là-dessus, mais :
Ce que vous balancez (Elsevier / sciencedirect / retraction watch, etc …) sort tout droit de la galaxie BigPharma, laquelle nous empoisonne la santé (et la vie) à longueur d’année et téléguide via des politiques sous influence, et la santé publique, et les agressions dirigés contre les médecins réfractaires.
Qui plus est vos sources sont mouillées avec la dénommée Elisabeth Bik, ennemie jurée de l’IHU, et en guerre permanente avec Raoult, quitte à afficher la plus parfaite mauvaise foi.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/elisabeth-bik-la-deceleuse-de-fraudes-scientifiques-soupcons
Si donc je comprends fort bien les objections professionnelles émises par le Dr de Lorgeril, (qui de nous trois est le seul à pouvoir émettre un avis autorisé), en revanche vos salades valent d’autant moins tripette, que vous ne ratez pas non plus une occasion d’accuser injustement Raoult, Fouché & Cie d’opinions d’extrême droite.
Donc restons en là sur ce sujet si vous le voulez bien.
Restons là, merci.
De même pour les accusations d’extrême-droitiste des sus-nommés, je n’en n’ai pas trouvé trace…
Vous etes bien rigolo, cher Antonio, mais je vous fournis des arguments parfaitement verifiables et objectifs (metodologie, respect des procedures ethiques, procedures de publication). Vous me retorquez pour seul argument que ca vient de big pharma. C’est extraordinairement faible et ca ne repond en rien sur le fond. C’est purement de l’argument d’autorite inverse.
Vous me posez une question :
– pour chaque article de l’IHU quel est le grief objectivement observable ?
Je vous repond et vous bottez totalement en touche. Qu’est ce qu’on peut penser de cela ?
Je continue puisque je trouve un peu facile que vous demandiez de discuter point par point par articles des arguments et que vous souhaitiez en rester la des le moment ou on rentre effectivement dans cette discussion. C’est un revirement assez peu glorieux.
Avez vous vraiment lu l’article de FS sur Elisabeth Bik ? Est ce que vous vous rendez compte de l’absurdite de certaines attaques comme celle qui pretendrait a un chantage alors qu’il s’agit d’un trait d’humour (certes cynique) ?? Bik dit qu’elle a passe du temps a relire les publications de l’IHU et qu’elle pourrait mettre etre payee comme relectrice pour cela. Y voir un chantage releve au choix d’une mauvaise foi crasse ou d’une betise peu commune !
J’attend toujours vos arguments sur le fond plutot que les cris de « Big Pharmas, c’est pas bien ».
Et maintenant stop !
Je ne laisse plus rien passer !