Le déclin de la médecine des vaccins a-t-il commencé ?

Il est périlleux, au moment où l’industrie des vaccins est en pleine exaltation, d’arriver à penser que la médecine des vaccins pourrait décliner.

Je l’admets.

Et je suis prêt à changer d’avis si la réalité des faits me l’impose.

Pourquoi ai-je cette intuition ?

Parce que, en cette fin d’automne pluvieux, on ne cesse d’entendre les chialeurs des autorités sanitaires, des académies et des syndicats de pharmaciens (qui espéraient beaucoup de leur nouvelle fonction de vaccinateurs) nous dire que la France moyenne rechigne à se faire vacciner.

Cela concerne les nouvelles injections de vaccins antiCovid ; mais là, il n’y a rien d’étonnant, il faut avoir perdu beaucoup de neurones pour continuer à espérer se protéger avec les nouveaux « boosters ».

Mais cela concerne aussi les vaccins antigrippaux qui d’année en année sont de moins en moins injectés. Il y avait une tendance bien décrite par le célèbre Docteur de Lorgeril avec son style inimitable dans son livre « Les vaccins contre la grippe » dans la lumineuse Collection « Vaccins & Société » aux Éditions Chariot d’Or.

Qui n’a pas lu ce chef-d’œuvre ne peut comprendre ces vaccins !

Ainsi, malgré les publicités mensongères d’après la Covid,  la vaccination antigrippale continue de décliner

Ce déclin (nombre de doses injectées) est d’autant plus étonnant qu’il y a eu extension des indications et recommandations officielles  (notamment pour les enfants) et qu’il y a toujours plus de professionnels de santé non médecins habilités à vacciner. Étrange !

Mais la très mauvaise surprise pour les autorités  (et les bonimenteurs associés) est venue ces jours-ci de l’échec patent de la vaccination contre les papillomavirus dans les collèges.

C’est une vraie surprise car la propagande a été intense !

C’est une indication calamiteuse pour les autorités et le Ministère – on se demande où ils vont les chercher ces Ministres… Faut vraiment que les réserves soit vides ! – que les français sont imperméables à cette propagande.

Deux possibilités :

1) les citoyens ne croient pas aux messages sanitaires de l’état ;

2) les citoyens ne les écoutent même plus !

Dans les deux cas, c’est assez catastrophique car si une nouvelle et véritable urgence sanitaire survenait (nous ne sommes pas à l’abri), les citoyens n’écouteraient pas ou bien ne croiraient pas les autorités même si, pour une fois, elles avaient raison…

Pas bon tout ça !

Crise politique et sociale en vue !

Mon conseil aux politiciens avides de pouvoir : soyez prudents, vous pourriez payer pour vos prédécesseurs !