Le livre 8 « les Vaccins contre les Cancers : rôle des papillomavirus dans les cancers du col de l’utérus, de l’oesophage et ORL »
C’est le nouveau chef-d’œuvre du brillantissime docteur de Lorgeril.
Enfin des informations correctes et vérifiables sur les vaccins contre les papillomavirus supposés être des vaccins contre les cancers.
Voici la couverture :
Et aussi la dernière page dite 4ème de couverture.
Ce que ce Livre démontre – et j’attends qu’un expert intelligent vienne me dire où je me trompe – c’est que nous n’avons aucune évidence ferme que les vaccins antipapillomavirus diminuent le risque de certains cancers, notamment ceux du col de l’utérus.
En fait, l’ensemble du raisonnement est très simple : il est impossible de démontrer un effet anticancer d’un quelconque vaccin.
Il y a plusieurs raisons à cette impossibilité et je les explique dans le Livre.
J’en retiens une ici ; mais c’est peut-être la moins importante sur le plan méthodologique.
Selon les experts, pour empêcher l’implantation d’un papillomavirus cancérigène sur le col de l’utérus, il faut vacciner AVANT toute infection/exposition aux virus.
La cible de la vaccination est donc les adolescentes avant les premiers rapports sexuels. C’est un premier point.
Il faut environ 15 ans, à partir de l’infection, pour qu’un cancer se développe.
Aucun essai clinique testant un vaccin n’a duré 15 ans ; et ne peut pas durer plus que 3 ou 4 ans pour diverses raisons méthodologiques que j’explique dans le Livre.
Conclusion inéluctable : l’hypothèse anticancer ne peut pas être testée avec nos méthodes les plus sophistiquées.
Deuxième conclusion inéluctable : ceux qui prétendent que les vaccins contre les papillomavirus empêchent les cancers du col de l’utérus se trompent…
On peut expliquer ces « erreurs » de trois façons différentes non exclusives :
1) ils ne comprennent pas la médecine scientifique. Ils sont sans doute de bonne foi mais…
2) ils n’ont pas travaillé les documents accessibles et se contentent de répéter comme des perroquets. Ils sont de bonne foi mais…
3) ce sont des cyniques menteurs : ils ont tout compris mais…
Cette exposition rapide d’un premier problème avec ces vaccins contre les papillomavirus n’est qu’une ébauche. On retrouvera dans le Livre les références utiles et quelques graphiques (extraits des articles publiés par les industriels) qui ne peuvent laisser aucun doute.
Il s’agit donc d’une sorte d’escroquerie et je suis stupéfait du manque de réaction des autorités sanitaires et des universitaires (et autres experts) vis-à-vis de cette problématique vaccinale anticancer.
Mais, après une minute de réflexion en fumant un cigare cubain et en buvant un whisky écossais, il m’apparaît qu’il n’y a là rien d’étonnant : c’est exactement la même Médecine Spectaculaire et Marchande qui se déploie avec les vaccins antiCOVID.
Pourquoi les mêmes ne produiraient pas les mêmes avanies ?
Je sais que de nombreux scientifiques voient et savent ce que je vois et sait !
Question : pourquoi ne disent-ils rien ?
De quoi ont-ils peur ?
Bonjour, il a été dit aux informations que l’Australie avait le plus faible taux de cancers de l’utérus et que cela serait dû à la campagne de vaccination commencée il y a plus de 15 ans (papillomavirus donc). Est-ce une information mensongère ? J’ai acheté votre livre « les vaccins à l’ère du Covid » mais n’ai pas retrouvé cette information.
Merci de vous procurer le Livre 8 de la Collection Vaccins & Société [titre : Les vaccins contre les cancers] : vous trouverez toute l’information indispensable pour comprendre votre question.
Bonsoir,
Traitez-vous dans ce tome de l’utilisation des ARNm dans les traitements anti-tumeurs ? et faites-vous le parallèles avec les derniers vaccins de Pfizer, Moderna et Curevac ?
Force à vous ! L’histoire retiendra votre nom pour ce que vous faites. Pensez à écrire pour toutes les personnes qui étudient la médecine (à la fac ou autrement) et même pour ceux à qui ont donne le droit de vacciner sans être médecin (si je ne dis pas de bêtise, même Pasteur ne vaccinait pas personnellement ses cobayes).
Bien sûr mais de façon indirecte ; ce livre 8 [magnifique !] est un complément au livre « Les vaccins à l’ère de la COVID-19 »…
Leur lecture séparée ou parallèle donne un tableau époustouflant de la réalité… Oups !
A ce jour, aucune critique sérieuse ne m’est revenue. oups !
Même les « déconneurs du Journal sérieux du soir » ne trouvent rien à y redire… Dieu sait pourtant qu’ils sont stupides !
Sachant que l’inculture et la stupidité sont les armes favorites des crétins !
J’ai bien de fait de vous demandez, ça me permet d’optimiser l’ordre de mes lectures.
https://youtu.be/2k90QmW0Yzo?t=43
Dernière étude de santé publique france via Esteban sur l’éxposition de français aux metaux lourds, on y parle pas des vaccins et du mercure, bizarre, pourtant comme vous le dites dans votre livre sur la toxicité des vaccins, on a pourtant injecté cette saleté a des milliers de nourrissons. Mais on attaque pas l’institution vaccinale.
L’institution vaccinale, c’est comme Jeanne d’Arc et la Sainte Vierge Marie, « ça ne se discute pas… » disait une championne internationale de la stupidité !
Mais aujourd’hui, même des gens plutôt modérés habituellement, délirent…
J’attends que Merluchon et Marine (Ah, les beaux poissons que voilà !) appellent la légion étrangère pour vacciner les récalcitrants…
Il faudrait connaître la part de métaux lourds dans les vaccins, et savoir ce qu’on entend par « métaux lourds ».
On vous rétorquera que :
– Le mercure n’est présent que dans certains vaccins, en quantités très faibles. (Combien, par rapport à ce qu’on trouve dans le saumon ?)
– On ne se fait pas vacciner toutes les semaines, alors qu’on mange du poisson assez souvent.
– L’aluminium n’est pas un métal lourd.
Je n’écris pas ça pour défendre la présence de mercure et d’aluminium dans les vaccins, mais pour avoir des faits et des chiffres qui permettent de discuter.
Il faut relire toxicité des vaccins de MdL, ce ne serait pas très difficile de calculer les doses injectées en se fiant au calendrier vaccinal qu’on impose aux bébés ( les consultations vaccinales représentent 1/3 du chiffre d’affaire des pédiatres), neanmoins la dose normale de mercure chez le nourrisson est de zéro. Après c’est trop tard, il est dedans et il y reste.
Ce n’est pas la même « porte d’entrée »
Le livre des Docteurs Nicole et Gérard Delépine (Hystérie vaccinale) n’a évidemment ni le niveau ni la rigueur scientificale qu’on admire tant dans les ouvrages du brillantissime Docteur de Lorgeril; sans être capables de comprendre les raisonnements dudit docteur,ils sont « globalement »d’accord avec lui;ils ne parlent pas « d’évidence » mais de « résultats avérés »-ce qui n’est pas du jargon.
https://www.fauves-editions.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=68818
Vous me fatiguez…
Docteur de Lorgeril:
Quand j’écris « évidence », je n’écris pas « preuve » (« proof » in English) qui a un sens pour un policier mais pas pour un scientifique.
Ah bon ?
Et “démontrer,démonstration” ont-ils un sens pour un scientifique ?
Il semblerait que oui:
“Ce que ce Livre démontre …c’est que nous n’avons aucune évidence ferme que les vaccins antipapillomavirus diminuent le risque de certains cancers, notamment ceux du col de l’utérus.
En fait, l’ensemble du raisonnement est très simple : il est impossible de démontrer un effet anticancer d’un quelconque vaccin.”
« Evidence-based medicine »,suite:
Je me souviens d’un endocrinologue éminent que j’étais venu consulter et qui me déclara qu’il pratiquait une « médecine basée sur la preuve » (« evidence-based medicine » ajouta-t-il);non,Docteur lui répondis-je: « evidence »ne veut PAS DU TOUT dire « preuve ».
Le brillantissime Docteur de Lorgeril se comprend très bien lui-même lorsque il jargonne.
Peut-être nous dira-t-il que l’éminent endocrinologue dont je parle est un crétin.
Je ne sais pas de quel éminent endocrinologue vous parlez, mais, de mon côté, je ne connais aucun endocrinologue que je trouverais « éminent ».
Vous avez peut-être rencontré une exception !
Dans le règne animal, les « exceptions » vivent cachées pour survivre.. Trop drôle, vraiment !
Cela dit, si le Bon Dieu m’affligeait d’une maladie de la thyroïde, par exemple, j’irais consulter un endocrinologue. J’éviterais les éminences…
De plus en plus drôle !
Pour l’humble patient que je suis,tout endocrinologue est éminent.
L’épithète « brillantissime » (un superlatif) ne s’applique qu’à un individu.
Même si, comme moi, on n’a aucune connaissance scientifique, si on ignore ce que sont un virus, une protéine, l’ARN…je crois que l’on peut quand même trouver grand profit à lire le brillantissime Docteur de LORGERIL:sa logique sans faille est convaincante.
Cependant,je me demande s’il n’arrive pas au brillantissime Docteur de laisser son français se corrompre; voici un exemple où je relève un anglicisme.
“…nous n’avons aucune évidence ferme que les vaccins antipapillomavirus diminuent le risque de certains cancers, notamment ceux du col de l’utérus.”
“Evidence”, en anglais,dans un contexte juridique désigne les indices ou preuves matériels;par exemple,un couteau de boucher qui a pu servir à égorger ,fait partie de “the evidence”;à l’accusation de construire la démonstration qui permettra (éventuellement) d’établir que ce couteau est l’arme du crime et que l’accusé est bien celui qui s’en est servi.
Dans ce contexte, le mot anglais “evidence” ne peut se traduire en français par “évidence”.
Si a=b,alors b=a , c’est une évidence. (Un mathématicien corrigerait sans doute:ce n’est pas une “évidence”,c’est une propriété caractéristique de l’égalité, appelée symétrie).
Soit le Docteur de LORGERIL veut dire:
“nous n’avons aucune preuve que…” et dans ce cas “évidence “est impropre; “evidence-based me dicine”,ce n’est pas une médecine “basée sur la preuve” mais une médecine qui s’appuie sur les faits observés.
Soit le Docteur de LORGERIL veut dire:
“il n’existe aucun indice que…” et là encore,le mot “évidence est impropre”.
Si ,sans s’en rendre compte,on se laisse aller à employer le vocabulaire de l’adversaire,alors on risque fort d’être phagocyté.
Merci, vos remarques sont intéressantes.
Le propre des artistes est d’inventer leur propre langage.
Dans le domaine scientifique, nous (les artistes dans cette sphère) parlons plusieurs langues et nous devons nous comprendre.
Quand j’écris « évidence », je n’écris pas « preuve » (« proof » in English) qui a un sens pour un policier mais pas pour un scientifique.
Je n’écris pas « indice » non plus qui a peu de sens pour un scientifique.
Entre scientifiques, nous utilisons le « evidence » (plutôt anglais mais pas dans son sens juridique) qui donne « évidence » en français et nous nous comprenons.
Je pense que la plupart de mes lecteurs comprennent intuitivement ce que je veux dire, n’étant ni policier français ni juriste anglophone.
Ainsi va la vie des langues, elle évolue au bon gré des utilisateurs ; surtout des poètes et autres artistes.
Les scientifiques (les vrais pas les crétins des plateaux télévisés) ne sont-ils pas les artistes de l’époque ?
A aucun moment, je n’utilise le langage de l’adversaire car je n’ai pas d’adversaire (sauf ceux qui se prennent pour…) et les opposants à mes (nos) thèses n’ont pas de langage digne de ce terme, seulement un « infâme » verbiage.. Oups ! Comme c’est drôle !
Je crois comprendre votre réponse.
Lorsque dans le fragment que j’ai cité,vous écrivez “évidence”,ce n’est pas du français,mais du jargon médical.
Cela pose deux problèmes:
i) Il n’est pas bon de mélanger,sans avertissement, deux langues,ou une langue et du jargon, dans un même texte; la moindre des précautions serait d’indiquer,par une note en bas de page,que le mot “évidence”n’a pas ici le sens que lui donnent les dictionnaires de la langue française.
ii) Vos confrères médecins (pourvu qu’ils ne soient pas d’un niveau trop faible) vous comprendront aisément,dites vous;mais,sauf erreur,ce blog ne s’adresse pas qu’à vos confrères;et il est téméraire de votre part de penser que les non-initiés vous comprendront “intuitivement”.
“Ainsi va la vie des langues, elle évolue au bon gré des utilisateurs ; surtout des poètes et autres artistes.”
Que savez-vous de la “vie des langues” ?
En tout cas jamais aucun poète n’a contribué à l’abatardissement d’une langue.
Peut-être je ne suis pas linguiste, seulement poète !
Veuillez m’excuser de mon ingratitude vis-à-vis de ma langue maternelle.
Cela dit, il y aura toujours des « puristes » pour dénoncer ce que vous appelez « l’abâtardissement d’une langue ».
En oubliant l’accent circonflexe sur le 2ème « a » du mot vous y contribuez aussi… Oups ! Soyons drôles !
Montaigne, ce curé défroqué, ne disait-il pas de Rabelais qu’il n’était qu’un « bâtard » ?
A bien y repenser, beaucoup de mes nobles ancêtres pensent sans doute que je ne suis moi-même qu’un bâtard…
J’aurais bien aimé mettre le circonflexe;n’ayant pour le moment qu’une main disponible, j’ai parfois du mal à exécuter les contorsions nécessaires pour, du clavier,faire jaillir tous les signes diacritiques.
Vous êtes impitoyable.
Le « purisme » n’a pas grand chose à voir avec ce qui nous occupe;vous vous souvenez de ce qui est arrivé à la langue latine lorsque « tout le monde » a prétendu parler latin,n’est-ce pas ?
Si le mot « bâtard » vous déplaît,remplacez-le par « hybride »;le franglais et le « globish » sont des horreurs.
Ça me rappelle une prestation de François Hollande dans le cadre de la présentation du nième plan de lutte contre le cancer : il s’est comporté en vulgaire commercial du labo MSD Vaccins en faisant la promo du Gardasil !!!. Quelle ambition pour lutter contre le cancer ….
Entre sa ministre de la santé qui déclare que la vaccination ne se discute pas et son pître de patron qui fait la promo du Gardasil, on monte en gamme dans la prise en charge de la santé des Français.
Je me souviens de Xavier Bertrand qui a permis d’obtenir une AMM accélérée au Gardasil, tellement ce vaccin est une merveille d’efficacité… Hum.
Je n’oublie pas non plus le Pr Gøtzsche qui s’est fait éjecter pour sa trop grande intransigeance (qui n’est plus qu’un vague concept aujourd’hui) et sa propension a susciter l’inquiétude du public (dixit la réponse fournie pour son limogeage)…
Franchement c’est a désespérer
« Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire » dit le proverbe…
L’époque est triste…
Mais ces époques finissent toujours mal.
Je trouve l’évolution plutôt favorable : il y a deux ans (avant la COVID), nous étions combien à protester contre les obligations vaccinales du nourrisson ? Quelques dizaines !
Aujourd’hui, nous sommes des millions à ne plus croire à leurs balivernes…
Mais qui pense aux bébés ?
Je vois sur les RS ou dans mon entourage un certain nombre de personnes qui doutent des vaccins anti covid en raison de l’utilisation du nouvelle technologie. Mais ils réclament des vaccins » classiques » comme ceux qu’on donne aux bébés et « qui ont fait leurs preuves ».
Oui l’époque est triste mais mon intuition me dit qu’on arrive au bout de l’erreur. C’est un profond ressenti que je ne peux expliciter rationnellement pour le moment.
Ce que vous dites est terrible car les vaccins pour les enfants qui ont « fait leur preuve » n’ont justement fait aucune preuve.
J’ai publié 8 Livres pour faire comprendre ça.
Ce sera dur à avaler car personne n’a envie d’admettre qu’on a injecté des saletés inefficaces et potentiellement toxiques à nos bébés.
C’est le moment où les « athéniens » vont atterrir…
Dur à digérer !
Pour qu’il n’y ait pas de malentendu, la formule » qui ont fait leur preuve » est celle employée par beaucoup de personnes et je la conteste évidemment. J’ai commencé à m’intéresser au sujet des vaccins il y a plus de 25 ans au moment de la naissance de mes enfants et il n’ont pas été vaccinés.
La question des vaccins est un grand tabou, comme l’inceste pour les agressions séquelles, car cela concerne essentiellement les enfants. Personne ne veut admettre la maltraitance faite aux enfants surtout, dans le cas des vaccins, quand ces actions sont posées au nom du bien et de la santé. Et que la plupart des médecins et des parents sont de bonne foi et pensent agir pour le mieux.
Je partage votre avis mais n’ai pas réussi a ne pas vacciner mes deux enfants (50 et 48 ans maintenant) mais je peux vous dire que les tabous je connais! je conseille vivement la BD de Thea Rojzman et sandrine Revel dont le propos aborde justement l’inceste et violences sexuelles sur les enfants !oeuvre remarquable.je voudrais bien connaître l’avis des lecteurs de l’AMSIB.
Valérie F 29/06/2021
Je vois sur les RS ou dans mon entourage un certain nombre Mais ils réclament des vaccins » classiques » comme ceux qui ont fait leurs preuves. »
Un militaire qui pendant vingt ans s’est battu aux qutre coins du monde,en est revenu avec des blessures etc. a »fait ses preuves »;il a connu l’épreuve du feu et ne s’en laissera pas conter par le premier blanc-bec venu;a-t-il prouvé quelque chose ?
Oui, il est tout a fait possible que pour les vaccins il y ait un avant/apres covide, comme il y a un avant/apres Fukushima-Tchernobyl pour le nucleaire. Les gens vivent dans l’imaginaire que l’accident est impossible. Quand il se produit, il y a un choc. Les plus militants resteront sur leurs positions, mais la societé dans son ensemble bouge.
Pour le vaccin, de mon point de vue l’accident est deja arrive’. La base vaers recense en qq mois autant de morts que les 70 autres vaccins depuis 30 ans. Malheureusement, ca peut encore empirer. Par exemple si les nanoparticules Peg provoquent des cancers ou des sterilités, ca peut vraiment etre epouvantable. Je suis pessimiste parce que la science n’est pas de la magie. Y’a jamais eu de miracle dans l’histoire ou une technique inefficace pendant 20 ans devient subitement miraculeuse ; il y a des progres, mais ils sont lents et progressifs. Le genie genetique se teste depuis qq dizaines d’annees sur des gens en situation desesperee ( cancers, maladies incurables…) et fait des morts regulierement. L’idee que par magie, la technique ARN ou ADN recombinant devient subitement efficace en qq mois et sauver des millions de vie est saugrenue. Les chiffres de Vaers le montrent, et ca peut empirer… Dans 20 ou 30 ans, je ne sais pas. Mais aujourd’hui, le plus probable est que ca va saigner dur…
Je nesuis pas méchant mais il m’arrive d’avoir des fantasmes abominables (jamais de passages à l’acte à ce jour,mais ce que je suis capable d’imaginer m’effraie quand même.)
Mon médecin « traitant » vacciné PFIZER et fier de l’être vient encore de laner une attaque oblique;feignant d’oublier mon opposition au « vaccin »,il me glisse incidemment: » oui, mais vous,vous êtes vacciné,bien sûr »;j’ai eu une pensée mauvaise,je le confesse: »qu’il se tape un méchant cancerprécoce dans les cinq ans à venir et il fera moins le mariole. »
Tsitt…
C’est vilain ces mauvaises pensées…
Vous êtes libre de changer de médecin traitant.
Les « fantasmes abominables » ne vous soulagent que temporairement.
Changer de médecin traitant vous soulagera durablement.
leLama 29/06/2021 À 19:56.
« .. y a un avant/apres Fukushima-Tchernobyl pour le nucleaire. Les gens vivent dans l’imaginaire que l’accident est impossible. »
Entre TCHERNOBYL et FUKUSHIMA , il s’est écoulé plusieurs
années.
Bonjour docteur,
Vous êtes vraiment amateur de cigares cubains ou bien est-ce une métaphore ? Personnellement je ne crache pas sur un Partagas 898 ou un D4, mais il est vrai que depuis que j’ai deux stents dans le buffet je n’y touche presque plus (sans y avoir totalement renoncé, car tôt ou tard il faudra bien partir, même sans être un épicurien, même en jouissant d’une bonne santé…).
La question qui me vient à l’esprit en lisant votre article c’est : Est-ce que le coronarien amateur de havanes doit définitivement renoncer à fumer des puros ? La majorité des cardiologues répondra « OUI et sans appel », mais est-ce aussi votre avis ?
PS : Pardon pour le hors sujet
Deux bouffées d’une cigarette normale (pour un Havane, je ne sais pas) peuvent provoquer des montées de nicotine puis de vasopressine suffisantes pour induire un spasme coronaire potentiellement fatal chez des prédisposés…
Ça vous va comme réponse ?
Le fumeur de havanes inhale très peu la fumée mais la quantité de nicotine qui passe dans son sang est supérieure à celle du fumeur de cigarette (même si la voie d’accès est buccale plutôt que pulmonaire), donc le risque cardio vasculaire reste probablement très élevé.
Pourquoi les cardiologues n’ont-ils rien dit en voyant les atteintes valvulaires sous Mediator° ?
Pourquoi personne ne relève que les souches de pneumocoques sont devenues majoritairement extra vaccinales trois ans après la mise sur marché du premier vaccin pour les nourrissons ?
Pourquoi les statines ?
Pourquoi est-il impossible de dire que ce qu’on a fait croire n’est pas la réalité ?
Peut être que c’est le story telling qui fait vendre, et non la réalité.
Maintenant vouloir séparer la réalité de l’imposture n’est peut-être pas à la portée de l’être humain (Genèse 2. 7)…
Vous décrivez la Société du Spectacle !
Vous n’êtes pas le premier. Déjà, tonton Guy…