Vaccins contre les cancers (suite)

Dans l’effervescence actuelle en faveur des vaccins, chaque industriel (et chaque société savante affiliée à l’un des précédents) essaie de faire prévaloir les grands avantages de son produit commercial.

Vite, il faut en profiter tant que le vents souffle dans la bonne direction, les médecins et les familles sont si versatiles…

Comme indiqué dans un précédent article, les vaccins contre les cancers sont problématiques et je ne suis pas le seul à avoir des doutes. De mon côté, je n’ai aucun doute concernant les vaccins contre les papillomavirus, j’ai déjà expliqué pourquoi (article du 29 Juin 2021).

Ces vaccins contre les papillomavirus, supposés protéger contre certains cancers, notamment celui de col de l’utérus ont une carrière commerciale fluctuante.

Comme les industriels et leurs affidés ne sauraient remettre en question la validité des données supposées scientifiques qui ont « autorisé » la mise sur le marché de leurs produits, il faut trouver un ou des coupable(s).

Un récent article dans le JAMA Pediatrics [Publié le 28 juin 2021] donne une idée de l’ambiance ; en commençant par cette évidence glaçante que ce sont les pédiatres qui sont à l’origine de ces extravagances alors qu’il s’agit d’un cancer de l’adulte. Ça donne à réfléchir…

Le problème, selon ces auteurs, serait les fausses informations concernant les effets indésirables de ces vaccins contre les HPV (Human Papillomavirus).

Les médecins et les familles américaines sont de plus en plus inquiets, comme l’indique la courbe ascendante reproduite ci-dessous.

En 10 ans environ, la défiance aurait été multipliée par 5. Pas bon pour le chiffre d’affaire !

Là où ça devient incongru c’est lorsque ces brillants auteurs publiés dans un grand journal de médecine américain mentent effrontément pour essayer de rétablir le business.

Je vais prendre deux exemples.

Premier mensonge : affirmer que ces vaccins sont efficaces [c’est sûr, c’est prouvé !] ; ci-dessous.

J’ai expliqué dans l’article précédent (29 Juin 2021) qu’il était impossible de démontrer l’efficacité anticancéreuse de ce type de vaccin pour d’évidentes raisons méthodologiques.

L’étonnant n’est pas qu’ils le disent [ils sont probablement rémunérés pour ça ; quoique, n’étant pas policier, je n’ai aucune envie d’enquêter sur ce point], l’étonnant c’est qu’il n’y ait personne pour les contredire ou simplement pour exiger que cet article soit « rétracté » puisqu’il s’agit d’un message mensonger.

Leçon du jour : il n’y a pas que pour les vaccins antiCOVID que les académiciens (et autres perroquets) et les autorités sanitaires racontent n’importe quoi.

Pire, il semble que ce soit désormais la Règle !

Deuxième mensonge : cette défiance anti-vaccinale serait due à des campagnes de désinformation orchestrées par de sombres salopards dignes des films de Sergio Leone ; ci-dessous. Ce serait « Pour une poignée de dollars que… »

Nul besoin de « Douze salopards » pour susciter l’inquiétude vis-à-vis de ces vaccins contre les papillomavirus.

Conclusion provisoire : la Covid-19 rend fou, je l’ai déjà écrit à maintes reprises. Mais plus la crise sanitaire dure, plus les délires paranoïaques s’amplifient et moins les scientifiques sérieux ont la parole ou osent s’exprimer…

Le jour où le vent va tourner [ce qui est inéluctable], nous seront là pour rappeler les faits. Ce texte n’a pas d’autre but que de servir de point d’étape au 10 Juillet 2021.