Mon dernier chef-d’œuvre
En cette fin d’Avril 2022, un grand évènement éditorial va survenir : la sortie en librairie du dernier opus du célébrissime Dr Michel de Lorgeril dont le titre est :
Comment échapper à l’infarctus et l’AVC
Chacun aura noté le sous-titre à propos de la « Révolution de la Médecine de Précision ».
C’est la partie la plus importante du titre mais dans notre monde d’intelligence artificielle gérée par des robots, si vous mettez en exergue dans le titre le mot « révolution », votre ouvrage va se retrouver en librairie dans la section « Histoire » ou « Politique ». Ce n’est pas le but, évidemment !
Mais si vous mettez en exergue le mot « Médecine », vous vous retrouvez chez les savants docteurs qui n’ont aucune envie de lire un Livre qui décrit comment ils devraient travailler et pas comment ils travaillent. Vous me suivez ?
Échec commercial garanti ! Ce n’est pas sympa pour mon éditeur qui s’est donné du mal pour que ce livre soit lu par (et apprécié du) Grand Public.
Je n’y vais pas par quatre chemins, comme disent les troubadours, la lecture de ce livre pourrait vous sauver la vie !
Et si vous êtes un soignant (professionnel ou amateur), ce livre pourrait vous aider à sauver la vie de vos patients !
Attention, il faudra être attentif, il s’agit d’un bond qualitatif et beaucoup des nouveaux concepts qui émergent dans ce livre vont nécessiter un travail de « mise à jour » en biologie et en physiologie.
De mon côté, je suis sûr d’une chose : ce livre est tellement nouveau et formidable pour la pratique médicale qu’il va faire (lentement ou rapidement, peu importe) son petit chemin et son gai commerce.
En d’autres termes, il me survivra !
Si certain(e)s d’entre vous ont des critiques ou des remarques ; ou encore souhaitent apporter leur pierre à l’édifice de cette nouvelle médecine, vous êtes tou(te)s les bienvenu(e)s !
Amen !
Bonjour Dr,
Depuis 2 ans que je suis ménopausée, mon taux de LDL s’est multiplié par 2.5… ( 6.09 actuellement et 2.06 HDL ) Je suis vos conseils, je mange équilibré, ma glycémie et triglycérides sont bons, je bouge malgré mon métier sédentaire mais rien n’y fait. Mon docteur m’incite toujours plus vivement à prendre des statines et je m’y refuse mais je suis inquiète…
Vous ne devez pas exposer votre cas clinique sur un blog.
Vous avez sûrement besoin d’être « accompagnée » mais je ne connais pas votre zone géographique.
je vous adresse un courriel.
Cher confrère , un grand merci tout d’abord pour tous vos livres et publications .Désolé de polluer ce blog ,mais vous serait il possible de me donner les coordonnées d’un cardiologue « éclairé »en région parisienne ,ayant au coroscan une sténose de la circonflexe totalement asymptomatique .La coronaro étant prévue pour demain , je préfèrerais ne pas me retrouver avec un stent inutilement dans les semaines à venir
UN grand merci par avance . Bien confraternellement .
Je vous adresse un courriel personnel.
cher amiral j’ai lu votre dernier chef d’oeuvre et je l’ai trouvé vraiment très intéressant. Vive la fin de la médecine de masse! deux questions toutefois :
1) pas de traces de not’ bonne vielle amie méditerranéenne, j’ai nommé « la sieste ». elle n’a donc pas d’intérêt en prévention comme on le dit un peu partout? Juste l’expression d’un parasympathique qui est alerte?
2) dans la partie consacrée aux effets du sport, vous parlez d’une possible hyperstimulation du parasympathique et notamment du fait qu' »un rythme cardiaque trop lent peut favoriser les arythmies ». Avez vous un « repère », en termes de fréquence cardiaque au repos, à partir duquel le risque d’arythmie commence à devenir important? Par exemple, les coureurs du tour de France peuvent être en dessous de 45/50 battements par minute. On parle de ce niveau de sport là?
Merci de vos « congratulations »…
Ce livre est un complément au précédent.
La bradycardie « périlleuse » dépend de l’âge et d’une multitude d’autres facteurs…
Bonjour, ayant eu 2 infarctus, j’aimerais obtenir des coordonnées de cardiologues et médecins dans la Seine Maritime ou l’Eure?
Un gand merci pour tout ce que vous faites
Je vous adresse un courriel personnel.
Merci pour cette médecine de précision, indispensable pour mettre un terme à la dérive de ces dernières décennies. Indispensable, elle est cependant, de mon point de vue, insuffisante.
Y-a-t-il plus précis que la médecine se mettant en œuvre spontanément lorsque chaque être vivant se trouve à sa place dans le milieu naturel ?
Si nous prenons comme horizon, ce retour à notre place dans la Nature, alors d’autres médecines de précisions sont à pratiquer dès aujourd’hui.
En effet, le milieu dans lequel nous vivons est bien malade. Si nous n’y laissons pas revenir le milieu naturel, comment pourrions-nous y trouver la santé ? Si nous ne laissons pas revenir le milieu naturel, les médecines, aussi précises soient-elles, ne seront que des rustines !
Les déséquilibres de vie s’accumulent et se potentialisent. Un exemple tout simple : la qualité de l’eau du robinet ; peut-on boire l’eau du robinet en toute confiance ? Sans même parler des pesticides qui s’y trouvent peut-être, d’année en année, sa teneur en nitrates augmente. Sur le dernier relevé de qualité de l’eau, reçu récemment avec la facture, je constate qu’en 2021, les 50 mg/l de nitrates sont atteints.
Le modèle agricole n’en serait-il pas responsable ?
Il y a quelques années de cela, constatant déjà la présence d’une teneur élevée en nitrates, j’avais rencontré un élu local. Il m’avait dit qu’il n’était pas possible de changer le modèle agricole, que la solution envisagée serait de faire un forage dans la forêt, et d’ajouter l’eau tirée de ce forage, à celle provenant du forage actuel situé en zone agricole ; le but étant de diluer les nitrates… Je ne sais pas s’il s’est moqué de moi, ou s’il était inconscient de son aberrante solution !
L’élevage animal et végétal déséquilibre le vivant. Il déclenche en cascade les problèmes. Par exemple, les huiles d’olive et de colza apparaissent peut-être favorables à la santé de l’humain d’aujourd’hui, mais comment sont-elles obtenues et qu’en sera-t-il demain de leur effet de leur mode de production sur la santé humaine ? Les oliviers fructifient guère dans le nord de la France… En tout cas pour l’instant… Quant aux champs de colza, ils appauvrissent la diversité, pourtant essentielle à l’équilibre du vivant. Il y a tant de relations insoupçonnées dans le monde vivant ! Il suffit qu’un maillon de la ronde de la Nature disparaisse pour que l’ensemble se trouve déséquilibré.
L’Homme moderne producteur manquant d’attention, il ne perçoit pas le déséquilibre ; il se rend compte du problème, seulement quand la maladie se manifeste, c’est à dire, lorsqu’il est trop tard… Il ne ressent pas la douleur que provoque le déséquilibre. C’est seulement quand il commence à ressentir la souffrance, qu’il envisage de se poser des questions. Or, dans notre société, le ressenti étant un sens très moqué (probablement à dessein), les humains souffrants ne se rendant pas compte qu’ils souffrent sont nombreux… Il me semble donc qu’à côté de la médecine de précision scientifique, il serait indispensable de retrouver notre sensibilité humaine naturelle originelle…
Bonjour,
Je suis désolé je n’est pas réussi à poster de commentaire ailleurs que sur ce post(j’ai commandé votre livre à l’instant car plus dispo dans ma fnac)
J’aimerai savoir comment vous consulter du moins mon père suite à une dissection de l’aorte semaine dernière arrive d’un coup en pleine matinée.. gros choc.
En espérant une réponse de votre part, j’ai hâte de lire votre livre!
Je vous adresse un courriel personnel.
J’ai tenté un résumé, très partiel, de « Comment échapper à l’infarctus et à l’avc ». Pas si évident tellement le livre est riche.
C’est dans 1ère partie de ce billet :
https://www.revolutions-scientifiques-et-diabetes.com/blog/maladies-cardiaques-revolutions-medicales.html
Dans la 2nde partie du billet je sors du cadre de votre ouvrage et de vos travaux.
Tout avis des lecteurs de ce blog et du livre sera bon à prendre pour moi afin d’améliorer la rédaction.
Bien résumé.
Merci
Bonjour Docteur de Lorgeril,
Après avoir lu « Comment échapper à l’infarctus et l’AVC », j’ai relu « Prévenir l’infarctus et l’AVC » comme vous m’y avez invitée. Dans ce dernier, page 240, vous écrivez que l’acupuncture semblerait efficace pour traiter les palpitations liées à une fibrillation auriculaire. Pensez-vous que l’acupuncture soit efficace également pour les palpitations dues à une contraction ventriculaire prématurée ?
Quoiqu’il faille examiner le dossier en question de façon attentive, de façon générale les extrasystoles ventriculaires (ce que vous appelez une « contraction ventriculaire prématurée ») sont d’une extraordinaire banalité et ne nécessitent aucun traitement !
Merci pour votre réponse. L’expression « contraction ventriculaire prématurée » n’est pas de moi mais du cardiologue que j’ai consulté. Il m’a effectivement dit que c’était très banal. Il n’empêche que dans mon cas ça s’avère très pénible, surtout la nuit, et même parfois handicapant (sensation de malaise). La prescription d’un béta-bloqueur n’a pas vraiment donné de résultat, les techniques de respiration, cohérence cardiaque, etc, non plus. D’où ma question concernant l’acupuncture.
Je ne peux pas aller plus loin dans l’analyse de votre cas qui semble (peut-être) moins banal qu’il n’y paraît…
Désolé, un blog n’est pas un lieu de consultation médicale.
la tisane d’aubépine est un bétabloquant naturel , sans danger et efficace..(ou l’extrait de bourgeons d’aubépine)..
Je vais essayer l’aubépine, mais je n’y crois pas trop puisqu’un beta-bloqueur de synthèse n’a eu aucun effet. Néanmoins, merci pour le conseil.
Bonjour M. Delorgeril,
J’ai un coeur en mauvais état…
Deux pontages 1999 et depuis fin 2020, 2 stents actifs / asaflow + Clopidogrel depuis 18 mois…
Le cardiologue à constaté des nouveaux vaisseaux dans le voisinage des lésions du premier pontage et constaté l’excellent état de l’anastomose de la mammaire gauche depuis 1999…
Pouvez vous m’indiquer comment favoriser l’apparition de cette circulation de rechange ?
Merci de votre réponse.
Je ne peux évidemment pas vous répondre sans avoir votre dossier médical en mains.
Vous avez besoin d’être accompagné (ça me semble urgent) mais je ne connais pas votre zone géographique.
je vous adresse un courriel personnel.
Bonjour docteur
J’ai une cardiomyopathie hypertrophique obstructive génétique. Mon cardiologue me prescrit des betats bloquants. Qu’en pensez vous ?
Merci
Je ne peux rien dire sans avoir le dossier en mains.
Je comprends que vous souhaitez un accompagnement adapté à votre cas.
mais je connais pas votre zone géographique pour vous orienter.
Je vous adresse un courriel personnel.
Et quand on n’a pas su y échapper une première fois, la lecture de ce livre peut-elle permettre d’éviter le protocole aspirine, béta-bloquant et autres statines, sans fâcher nos praticiens habituels ?
Votre problème est de ne pas « fâcher vos praticiens habituels » ou d’échapper à une récidive ?
A mon avis, il vaut mieux être vivant et « fâché » plutôt que mort et « pas fâché ».
C’est vous qui voyez…
Cela dit, la récente pandémie a montré qu’il vaut mieux être prudents avec (réservés quant aux aptitudes de) « nos praticiens habituels ».
C’est vous qui voyez…
Cher Dr de Lorgeril, je viens de finir de lire votre « dernier chef d’œuvre ». Les parties 1 et 2 sont brillantissimes. La partie 3 m’a comparativement plutôt déçue : je m’attendais à y trouver une description plus détaillée des différentes influences du SNA sur le fonctionnement du cœur ; et, à mon goût, elle contient trop de généralités et de répétitions de points déjà soulignés dans les deux premières parties. Mais je ne regrette pas du tout mon achat, globalement ce livre est un must (read if not have). Dommage que ne soit pas proposé un paquet exemplaire papier + exemplaire électronique…
Vous avez un peu raison mais aussi un peu tort ; car la 3ème Partie vise à ne pas répéter ce qui a été dit dans le chef d’œuvre précédent « Prévenir l’infarctus et l’AVC ».
Bref, il faut avoir lu le précédent…
J’ai lu tous vos livres depuis 2004 à l’exception des nos 4, 5, 6 et 8 de la collection Vaccins & Société. Mais il est vrai que n’ayant pas relu « Prévenir l’infarctus et l’AVC » depuis un certain temps je prévois de m’y atteler sous peu (il y a tant de choses à lire que c’est presque un travail à plein temps !).
La cardiologie préventive est plus qu’un temps plein…
Observez les malheureux cardiologues professionnels qui s’y essaient…
Lu donc. Pour moi qui suis attentif aux concepts de révolution scientifique, on doit ne pas en être loin, non ? Ou sinon une révolution médicale.
Oui vraiment, à lire et à mettre en application ! A mon sens quelques uns des chapitres sont plus complexes et plus adressés aux praticiens que dans vos précédents ouvrages. Heureusement pour que chacun puisse s’en saisir.
J’ai quelques questions très diverses dessus, si vous en avez le temps. Ps : ce n’est pas de la consultation sauvage via blog, je ne suis pas ou peu concerné par ces thèmes. Dsl si j’ai lu trop vite et que les réponses figurent déjà dans le livre.
– la médecine de précision que vous décrivez a t elle déjà fait, avant votre ouvrage, des émules ici en France, ou dans les pays autour de nous ? J’espère que oui ou que ce sera vite le cas.
– Pour les nouveaux anti coagulants. Ils ont donc maintenant des antidotes, c’est en effet une super nouvelle pour les personnes concernées. Est ce qu’en pratique quotidienne, les médecins manipulent maintenant ces nouveaux aussi facilement et aussi bien que les anciens, où ils avaient de l’expérience ?
– un détail biologique : sur les cellules musculaires lisses des vaisseaux sanguins qui peuvent changer de phénotype en prenant celui de cellules immunitaires : a t on une idée + précise ? Cellules présentatrices d’antigènes ? Autres ?
– un autre détail biologique, sur l’insuline haute qui contribue aux risques cardio-vasculaires via les processus d’athérosclérose pour les diabétiques de type 2. Est ce que ça ne pourrait pas être aussi un ou plusieurs facteurs indépendants, qui contribuent à la fois à l’insulino-résistance, et donc à la montée de l’insuline et à l’athérosclérose ? Facteurs alimentaires, médicamenteux, physiologiques modifiables par changement des modes de vie. Sans aucune donnée d’aucune sorte de ma part, c’est juste que cette responsabilité de directe de l’insuline haute me parle assez peu, rien de plus.
Longue vie aux pratiques décrites dans le livre … et aux personnes qui le lisent 🙂
Merci de votre amabilité.
Je ne peux répondre à tout sur un blog. J’ai sélectionné vos deux premières questions :
1) « la médecine de précision que vous décrivez a t elle déjà fait, avant votre ouvrage, des émules ici en France, ou dans les pays autour de nous ? J’espère que oui ou que ce sera vite le cas. »
Réponse : je ne peux rester que dans mes domaines de prédilection. Oui certains cardiologues et certains nutritionnistes (très faible minorité) semblent vouloir s’y mettre. Ils se heurtent à d’innombrables difficultés…
2) « Pour les nouveaux anti coagulants. Ils ont donc maintenant des antidotes, c’est en effet une super nouvelle pour les personnes concernées. Est ce qu’en pratique quotidienne, les médecins manipulent maintenant ces nouveaux aussi facilement et aussi bien que les anciens, où ils avaient de l’expérience ? »
Réponse : c’est exclusivement du ressort des hôpitaux pour le moment. A ce jour, nous avons très peu de retour (négatif) du terrain…
Merci pour les réponses.
Une autre question de compréhension. Vous êtes plus confiant que dans le livre précédent sur les suites aux poses de stent. Par contre dans le livre précédent, de mémoire vous sembliez préférer les stents dits « passifs » aux stents biologiques. Ici je ne retrouve pas de différence. Avec le recul les deux approches se valent ?
Ps : pas plus concerné à titre perso, c’est toujours pour être sûr de comprendre l’ensemble
On ne met désormais (du fait des progrès techniques) que des stents biologiques.
Je suis en cours de lecture (mi-bouquin environ). Oh pu … naise, que c’est riche et passionnant. Merci pour cette incroyable synthèse.
J’encourage tout un chacun, au moins autant médecins que patients, à le lire.
Ce n’est pas le but principal du livre qui vise avant tout à améliorer et sauver des vies, mais ça permet aussi de découvrir ou redécouvrir l’incroyable richesse, complexité, beauté, adaptativité des systèmes biologiques.
La sortie d’un livre est souvent l’occasion de le présenter via une interview
Avons nous des chances de vous entendre ou voir le présenter ?
Ça s’organise…
Je viens de lire le chapitre préliminaire intitulé « Les progrès dans le diagnostic et le pronostic » ; l’exposé y est clair et m’a mis sur une éventuelle piste explicative concernant deux situations que je connais ; une qui s’est terminée de manière dramatique et une pour laquelle il est peut-être encore temps d’agir :
La première concerne un homme faisant un accident ischémique transitoire (AIT) pour lequel aucune cause n’est retrouvée. Il est mis sous aspirine à dose « antiagrégante ». Deux ans plus tard, il fait un AVC ischémique massif (un embole serait visible à l’imagerie dans l’artère sylvienne moyenne droite, il me semble me souvenir),se compliquant quelques heures après d’une hémorragie. Une fibrillation auriculaire intermittente aurait été détectée furtivement quelques jours après… Je comprends en vous lisant que l’utilisation d’une montre connectée après l’AIT aurait peut-être permis de repérer la fibrillation auriculaire intermittente et en conséquence conduit à la mise sous anticoagulant, prévenant ainsi l’AVC ischémique massif se compliquant d’hémorragie quelques heures plus tard… Hémorragie probablement liée à l’aspirine prise depuis deux ans ?
La deuxième situation concerne un homme traité par médicament non diurétique pour une hypertension artérielle ; son potassium reste bas, malgré la supplémentation médicamenteuse ; je viens de lui transmettre le titre de votre livre !
Ce début de lecture me fait comprendre ce que vous appelez « médecine de précision ». Cependant, j’ai un doute sur la durée de son avenir. En effet, elle fait appel à une technologie sophistiquée. Cette technologie sophistiquée est-elle compatible avec les difficultés environnementales que nous rencontrons ? Il me semble que cette « médecine de précision » est une forme de résilience. Or, la résilience étant une adaptation aux conséquences nuisibles de notre mode de vie, cette « médecine de précision » a-t-elle un avenir durable ? Un avenir transitoire, probablement, mais pour nos enfants et petits-enfants ? Et surtout arrière et arrière petits-enfants ? Ne devons-nous pas dès aujourd’hui associer cette « médecine de précision » à une autre médecine de précision consistant à laisser revenir le milieu naturel ?
Lisez plus.
Merci !
Oui, je vais non seulement lire plus, mais aussi en entier votre livre…
Je ne sais pas si ce lien sur « les limites planétaires » a sa place ici :
https://www.franceculture.fr/emissions/la-question-du-jour/en-quoi-consistent-les-limites-planetaires
Pas vraiment sa place, non !
Il se mérite ce livre-ci ! Passé dans une grosse librairie marseillaise hier, ils n’en avaient plus, tout était déjà parti.
Probablement, ils n’en n’avaient pas commandé beaucoup !
Ah ça y est il arrive … Je le lirai donc avec intérêt, j’imagine chaque chapitre au moins 3 ou 4 fois car ce doit être riche et poserai des questions pour ce que je ne comprends pas.
Sacrée gageure dans laquelle vous vous êtes lancé ! Suis impatient de le découvrir.
Je suis curieux aussi de comprendre ce que recouvre l’expression « médecine de précision ».
Le concept de « médecine de précision » est un aspect crucial e la « bonne » et future médecine.
C’est expliqué tout au long du Livre.
Un nouveau livre, yeah !
La part savante en moi se réjouit d’avance de cette nourriture intellectuelle !
mais la part médecin fait la gueule : elle va encore plus passer pour une marginale auprès de ses confrères…
Faites comme Merluchon, assumez votre différence et préparez les législatives !
Rien à voir avec le Conseil de l’Ordre et vos confrères ! Oups !
Ne gâchez pas cette réjouissance, transcendez la, ce qui compte ce sont les patients, vos confrères et sœurs n’ont qu’à être curieux… mais peut être y trouverez vous de quoi attiser leur curiosité ?
Bonsoir Dr DLG
Je voulais savoir à combien d’exemplaires en moyenne vos livres sont publiés. Par exemple pour le livre sur les vaccins covid19 ,et sur le précédent Avc et infarctus. C’est juste pour comprendre combien de gens lisent vos livres.
Note : je suis un lecteur assidu de vos livres.
Merci encore pour vos travaux, ils m’ont permis de retourner vers le vivant et de sortir du monde des morts-vivants
Marc R ( ex malade du cholestérol, et non vacciné)
Je n’ai pas encore les chiffres précis de « Les vaccins à l’ère de la COVID-19 » publié en Avril 2021.
Les comptes s’arrêtent chez les éditeurs au 31 décembre de chaque année. Une grossière approximation donne quelque chose proche de 10,000 (un peu plus ou un peu moins, je ne sais pas encore).
N’ayant bénéficié d’aucune (zéro plus que zéro) promotion nulle part, c’est un exploit !
C’est un livre remarquable, sa lecture nous a conforté dans notre choix de résister à la propagande vaccinale pour nous et nos enfants ados . Et pourtant nous sommes professionnels de santé…j’ai acheté plusieurs exemplaires. Merci à vous
Vous confondez avec « Prévenir l’infarctus » qui date de 11 années.
« Empêcher l’infarctus » n’est pas encore en librairie et se veut une actualisation/modernisation de nos connaissances et pratiques.
Un chef d’œuvre qui me survivra !
Je pense que Milou parlait de « Les vaccins à l’ère de la COVID-19 ».
Ah ?
Bonjour,
C’est avec joie que je vous lis. Un partage : mon médecin m’a dit un jour, après avoir vu mon taux de cholestérol retourner à la normale, que c’était normalement impossible ! Un peu de sport, une alimentation saine, de bonnes relations, relâcher la pression, une perte de poids, et voilà.
Non vacciné non plus. Certains triples dosés que je connais, malades 2 a 3 fois après, sont non seulement gênés d’avoir mis la pression aux autres, anxieux de ce qu’ils se sont injectés, et déçus du résultat ! Où va-t-on ?
jean-christophe 17/04/2022 À 13:08RÉPONDRE
mon cher môssieur duvauchelle, la situation est pire que nous n’imaginions
Pourquoi dites-vous cela ?
Rien ne m’intéresse davantage que le fin réseau des références sous-jacentes;en tout cas les troubadours nous emmènent dans un mode qui n’est pas du tout celui des nuits d’ivresse ,extase et tachycardie.
je disais cela parceque jadis nous avions feint de nous plaindre que l’amiral nous manipulais.
cher môssieur, vous semblez exclure l’extase et la tachycardie de l’amour courtois. Je serais plus prudent que vous sur ce point. Par ailleurs, je suppute que l’amour courtois, dans son contexte, n’a pas été « que » courtois..En réalité, je vous trouve bien peu affûté sur ce sujet. Devons nous supposer que vous avez peu pratiqué vous même l’amour courtois ?
Je vous ai découvert grâce à vos livres sur les statines, à l’occasion de la prescription fraîchement faite à mon conjoint. Ce qui m’a permis de le convaincre de ne pas les prendre. Je lui ai ensuite offert votre livre « Prévenir l’infarctus et l’AVC » et depuis, je suis régulièrement votre blog. Un grand merci pour votre travail.
Merci.
Ne ratez pas le suivant : bond qualitatif !
Se vacciner en mangeant de la salade ou des tomates…
Est ce sérieux ?
https://news.ucr.edu/articles/2021/09/16/grow-and-eat-your-own-vaccines
Faut bien dire quelque chose pour vendre autre chose…
cher amiral, je suis si peu convaincu par la possibilité pour vous d’être intéressant que j’avais déjà acheté le livre en précommande…L’échec commercial est parfois le gage de la qualité même de la production.
Merci !
Si « la médecine de précision » est à l’écoute des besoins naturels singuliers de chaque être humain, et au-delà, de chaque être vivant, alors oui, s’entraider à la mettre en œuvre. Chaque être en équilibre, dynamisé par l’harmonie du milieu de vie spontané fécondé par la mystérieuse fulgurance.
Vous faites erreur.
La médecine de précision n’a pas vocation d’être « à l’écoute des besoins naturels singuliers de chaque être humain… »
La médecine de précision s’occupe des malades et rien de plus.
La dictature médicale ou sanitaire que nous vivons est un cauchemar !
Les mots employés m’ont induite en erreur : « révolution », « précision », « mode de vie », « comment échapper ».
« La médecine de précision s’occupe des malades et rien de plus », cela n’est pas une révolution, cela maintient dans le rigide cadre déontologique de la médecine conventionnelle. Être médecin ne correspond pas à un travail, mais à une manière de vivre : prendre soin de l’humain et du vivant. On se rapproche ainsi de l’étymologie du mot médecin. Chaque être vivant est médecin.
L’évocation du « mode de vie » fait écho à l’étymologie de l’Éthique. L’Éthique ne peut se déployer dans le contexte limitant de la déontologie. La déontologie est un fil barbelé. Je comprends donc que « La dictature médicale ou sanitaire que nous vivons est un cauchemar ! » Le cauchemar dure depuis la seconde guerre mondiale !
La plus sûre façon « d’échapper » à une maladie est de satisfaire les besoins naturels. Satisfaire les besoins naturels donne la santé, ou autrement dit l’équilibre, la stabilité, l’homéostasie. Pour satisfaire les besoins naturels, il est indispensable de laisser revenir le milieu naturel, parce que c’est lui qui nous nourrit sainement (santé) corporellement et psychiquement. Laisser revenir le milieu naturel serait épanouissant pour tout le monde. Le milieu naturel est une médecine de précision, puisqu’il donne la santé. Chaque être vivant y est dynamisé par l’harmonie impulsée par la mystérieuse fulgurance. Le vivant n’est plus soumis à des protocoles établis par l’intelligence artificielle (imagination, invention).
Le nombre de malades a probablement commencé à augmenter quand l’humain a révolutionné son mode de vie, passant de la cueillette à la production : l’artificialisation du milieu a créé des maladies nouvelles. La révolution industrielle a fait exploser les maladies et le nombre de malades : violente révolution !
C’est la révolution universelle de la Nature que nous avons à retrouver, elle, est toute douce : la Terre tourne autour du Soleil ; le Soleil tourne autour du centre de la Voie Lactée ; et peut-être que la Voie Lactée tourne autour du centre de l’Univers ?
Votre façon de voir est respectable mais n’est pas la mienne.
Juste un point particulier. Vous dites : « Chaque être vivant est médecin » !
De mon côté, je ne vois pas une libellule déguisée en médecin.
Cela dit, je peux vous suivre si vous dites que « nous sommes tous les médecin de nous-mêmes » mais rien de plus !
Beaucoup de charlatans se font passer pour des docteurs, y compris aux plus hauts niveaux des académies…
La libellule ne se déguise pas. Elle ne joue pas au docteur et ne fricote pas avec les charlatans complices actifs ou naïfs des apprentis sorciers : elle ne se laisse pas apprivoiser ; pas de libellule domestique ! Non, rien de tout cela ! La libellule se laissant pousser par l’impulsion universelle, est réellement médecin, elle fait partie de la ronde de la Nature, elle prend soin d’elle-même et du milieu de vie spontané simplement en le respectant, oui, elle reste à sa place, elle n’est pas une conquérante. Rien qu’en respectant le milieu, la libellule en prend soin. Prenant soin du milieu, la libellule est médecin, et pas seulement d’elle-même…
Bien dit !
Mais j’ai peu d’affection, même si je les respecte, pour les insectes !
Peu d’affection pour tous les insectes ? Même les fleurs mouvantes comme les papillons ? Même les « vibratos » prenant part à la symphonie estivale ? Même les butineurs ?
« La dictature médicale ou sanitaire que nous vivons est un cauchemar ! »
et je dirais meme plus c’est aussi au delà de Knock car plus proactive à vous rendre malade En effet je l’ai expérimenté à plusieurs reprises devant les instances disciplinaires ordinales , qui relèvent de simple commentaires comme celui-ci
Concernant votre livre j’attends avec gourmandise sa sortie, comme j’ai « révolutionné » mon exercice avec vos livres précédents , plus celui de SEIGNALET, « L’alimentation ou la 3ème médecine », Laurent SCHWARTZ « la piste métabolique », les vidéos du Dr Hervé Riche ou Dr LUIZ MOURA sur l’autohémothérapie , JADE ALEGRE sur l’Argile, etc…Mais ce qui a été le plus determinant c’est le vaccin H1N1 sur l’un de mes fils qui a déclenché une hypothyroïdie et une « narcolepsie » en pleine grande école… S’en suit un déferlement des instances ordinales même sur de simples avis négatifs sur ma fiche google !
« l’harmonie du milieu de vie spontané fécondé par la mystérieuse fulgurance. »
Et vice versaaaaa ….
« « son petit chemin et son gai commerce. »
Quelqu’un ici serait-il capable de me dire sous la plume de qui l’expression « gai commerce » est apparue pour la première fois ?
J’aime que vous aimiez ma littérature…
comme dis plus bas, je pense que le « gai commerce » n’est que la transposition de la notion de « gai savoir » au commerce. or, comme je suppute que notre amiral n’a pas lu le « gai savoir » de Nietzsche et dans la mesure où il affectionne (c’est peu dire) le musique lyrique, les chances étaient fortes que la notion ne lui vienne des troubadours, ceux là-même auxquels il fait « négligemment » référence dans son article
et qui sont à l’origine de ce chant lyrique à l’opposé, en son temps, de son ennemi mortel, la polyphonie grégorienne…
puisqu’il a un oeil sur nous, il est bon qu’il sache que nous aussi nous avons un oeil sur lui ..aie, aie le retour de jambe de bois risque d’être rude dans les prochains articles…
Mille sabords !
L’Amiral a bien sûr lu Le « gai savoir » du non moins « gai » Nietzsche qui, hélas pour lui, ne le comprit jamais…
Cher Dr de Lorgeril, j’ai hâte de lire les commentaires des premiers lecteurs. Dommage que la table des matières n’en soit disponible sur aucun des sites annonçant ce nouveau livre.
Merci, docteur, pour le travail d’éclaireur que vous effectuez sans relâche. Si la lecture du livre demande » un travail de « mise à jour » en biologie et en physiologie », est-ce qu’une profane de mon acabit, littéraire de surcroît, risque de ne rien y comprendre ?
Ce livre est justement conçu pour permettre aux néophytes de se « mettre à niveau »…
Mais il faut aussi satisfaire les professionnels qui demandent des détails, des graphiques, des références afin de pouvoir vérifier par eux-mêmes les dires de l’auteur. le livre a aussi été conçu pour satisfaire ceux-là !
Ce n’est pas facile et l’éditeur m’a beaucoup aidé à satisfaire ces objectifs.
Lorsque l’on est arrivé au 4/5 ème de sa vie le mode semble quelque peu vain et superflu, même si comme on le dit, il n’est jamais trop tard pour bien faire, cela me semble tout de même…trop tard !
Ceci dit, une fois de plus, les médecins qui devraient tant vous lire, seront sans doute aux abonnés absents comme pour les statines et cette médecine de précision et non de « chiffres » que vous défendez depuis si longtemps.
J’ai hâte de vous lire à nouveau.
Détrompez-vous ! Il n’est jamais trop tard !
« Lorsque l’on est arrivé au 4/5 ème de sa vie … »
Personne ne sait quelle fraction de sa vie totale il a vécu;évidemment, si on a 98 ans et demi, on ne peut penser qu’on n’en est qu’au terme de la première moitié (car personne ne vit 197 ans.)
Ça pique évidemment ma curiostié et je suis très impatient de mettre la main sur une copie, aussitôt disponible ! Merci encore pour un autre ouvrage de référence.
« son petit chemin et son gai commerce. »
En 1993,au colloque de Cerisy,Colette Nativel prononça une conférence intitulée : » Les lettres,un gai commerce ? »
(Bien sûr dans l’article du docteur,le mot « commerce » a un double sens.)
mon cher môssieur duvauchelle, la situation est pire que nous n’imaginions. Le « gai savoir » ou « gaya scienza »…est une référence à ces « troubadours » auxquels il est fait allusion ailleurs dans l’article, de manière complètement anodine…peut-être que je surinterprète, mais, il me semble nécessaire d’envisager la thèse de la manipulation. est-ce qu’un amateur de poètes lyriques pourrait en arriver à ce degré de suggestion selon vous?
Mon cher jean-christophe,
« je n’irai pas par quatre chemins,comme disent les troubadours ».
j’apprends que les troubadours usent de cette expression…qui m’évoque cette remarque de Pierre Dac:
« Le chemin le plus court d’un point à un autre est la ligne droite, à condition que les deux points soient bien en face l’un de l’autre. »
Décidément, vous n’aimez pas les troubadours…
Reste à espérer qu’on aura le temps de le lire..
Si vous faites un infarctus ou un AVC,vous regretterez de ne pas avoir pris le temps.
Mon fils et moi avons lu toute la collection, il ne s’agit donc pas « de ne pas avoir pris le temps » mais « d’en avoir le temps » la nuance n’est perceptible qu’à l’évaluation probable, possible ;
– de la trajectoire politique et économique actuelle..
– de la trajectoire des systèmes sanitaires et médicaux dans le potage protocolaire jusqu’au cou..
Compte tenu de la faiblesse des différents indicateurs, j’en suis revenu à « quand c’est l’heure, c’est l’heure », ce qui n’exclut pas effectivement, de s’intéresser aux travaux intéressants d’un spécialiste sur un sujet donné