Heurs et malheurs de Wikipédia : les articles sur le Dr de Lorgeril comme exemple de médiocrité !

De temps en temps, je vais sur Wikipédia vérifier ce que l’expert auto-saisi (dont je veux ignorer l’identité tellement il est idiot] invente de nouveau à mon sujet, moi le ci-devant Dr de Lorgeril.

Depuis une quinzaine d’années, l’animal me suit à la trace pour me « faire la peau » comme disent les trappeurs Canadiens.

Pour ceux qui ont débarqué récemment (avec la Covid-19) dans le champ de mines que constituent les médias sur la médecine et la santé en général, il y a de quoi s’instruire…

Si vous ignorez ce qu’est la désinformation et le cannibalisme intellectuel, allez sur le site Wikipédia qui me concerne et vous serez servi.

Je ne sais pas ce que j’ai fait à l’animal en question pour qu’il me haïsse à ce point mais ça pourrait donner une anthologie de la haine gratuite. Il est probablement « sous statine » ; ce qui explique cela ! Sans doute !

Outre de censurer mes principales publications scientifiques et mes livres en français, il renouvelle la désinformation de façon régulière au fur et à mesure que je m’exprime (et publie) dans divers médias francophones. Visiblement l’animal n’est pas anglophone car il ignore somptueusement mes publications en anglais.

Nul n’est parfait.

Quand on parle l’idiome de la calomnie, on ne peut pas connaitre d’autres langages ! C’est une Loi de la nature !

En fait, je m’en fous de ces idioties mais parfois il faut corriger car, outre ma personne (de peu d’importance), l’animal aborde des sujets d’intérêt général, en l’occurrence la vaccination de façon générale et certains vaccins en particulier.

Au moment où d’autres font la promotion d’autres saletés injectables, il faut réagir.

Plusieurs fois, j’ai essayé de corriger mon curriculum sur Wikipédia [étant le mieux placé pour procéder…] mais de façon systématique, l’animal censure mes corrections et revient à sa propre désinformation sur mon compte. Je n’ai pas de recours !

C’est ainsi Wikipédia : parfois très utile, souvent du n’importe quoi ! Je ne suis pas le seul à le dire…

Bon ! Quelles sont les dernières nouvelles ?

Je recopie le haut de la page.

Voilà, laissons les statines et regardons le 3ème paragraphe : je contribuerais à la désinformation sur les vaccins. Dix (10) livres sur les vaccins [qui dit mieux ?] sans aucune critique et je serais un désinformateur.

Nous savons donc à qui nous avons affaire ; des deux côtés : lui et moi ! C’est drôle ! Mais c’est lui qui parle de moi !

Qu’il n’y ait pas de critique de mes livres n’est pas étonnant car la Loi exige que lorsque vous voulez critiquer quelqu’un vous lui devez un droit de réponse.

Or pour critiquer mes livres, outre travailler beaucoup (car ils sont très documentés], il faut une analyse détaillée donc de l’espace. Or la Loi exige que la réponse ait le même espace que la critique ; ce qui pourrait me donner beaucoup d’espace… Surtout pas ! L’animal des médias renifle le danger : on ignore ou on censure ; ainsi procèdent les médias contemporains.

Voyons la note finale me concernant sur Wikipédia.

Oups ! Et c’est moi qui désinforme ?

Je laisse de côté le paragraphe sur l’étude qualifiée de « frauduleuse » par l’animal enragé contre le pauvre Wakefield (celui qui fut la cible de toutes les attaques à propos du vaccin contre la rougeole et l’autisme) car on comprend immédiatement que la bave rageuse de mon biographe ne sait rien du dossier « vaccins & Autisme ». L’animal enragé serait-il un perroquet enragé ?

Ce sont les deux dernières lignes les plus intéressantes, à mon avis.

Le perroquet baveux cite mon avant-dernier livre sur les vaccins anti-Covid (publié en 2021) et, pour le critiquer [n’en n’étant pas capable lui-même] cite un article de l’Agence France-Presse (AFP). Comme si un journaliste de cette Agence pouvait avoir une quelconque expertise sur un sujet aussi complexe…

Le meilleur est pour la fin. La journaliste a contacté mon éditeur pour avoir (gratuitement) le livre et en faire une critique supposée objective.

L’éditeur, heureux que l’AFP s’intéresse à son livre, a promis d’expédier le livre dans les 48 heures.

La journaliste, très professionnelle, publie sa critique du livre moins de 24 heures après le contact avec l’éditeur.

Elle ne pouvait pas avoir reçu, et encore moins lu et analysé, le livre !

Ainsi sont les médias de notre époque : pourquoi tant de haine de la part d’un simple perroquet ?