Le livre « Dialogue de promeneurs en Covidie » est en librairie !
Curieusement, selon les témoignages de plusieurs, le livre est généralement dans la section « Sociologie » dans les librairies et pas dans la section « Santé ».
Bref, ne le cherchez pas au mauvais endroit, vous perdrez votre temps…
Peu importe.
En toute humilité (je l’ai relu depuis que j’ai reçu mon exemplaire de l’Éditeur), je dirais que ce livre sera la première référence à citer quand les historiens (d’ici quelques années) vont essayer de comprendre ce qui s’est passé pendant les 4 années de Covidie.
Il y a 5 questions principales – il pourrait y en avoir d’autres mais il faut se limiter pour de simples questions matérielles – analysées dans ce livre et il est crucial d’y répondre :
1) d’où vient ce virus original ? Est-il le produit d’une évolution naturelle ou est-il une construction humaine ?
2) quelle a été la sévérité réelle de la pandémie ?
3) avions-nous des traitements efficaces contre ce virus ?
4) les vaccins proposés étaient-ils efficaces ? Toxiques ?
5) qu’est-ce que le Covid Long ? Quelles sont les effets indésirables des vaccins ?
Je viens de le terminer. C’est passionnant en 1ere lecture, je lirai a nouveau pour affiner.
Jai 2 questions svp à partir de mes constats, juste des impressions.
Pour les traitements type Hcq il y a eu aussi je crois beaucoup de off : des médecins voire des services traitaient en douce avec Hcq, ont vu que les résultats ny étaient pas. Je ne peux quantifier ca mais je crois que ca a contribué à l’abandon des traitements hcq & associés, au moins autant que les analyses plus scientifiques. Qu’en pensez vous ?
Autre impression pour un des effets secondaires que vous citez, celui sur les menstruations. Autour de moi (en moyenne âges proches de la ménopause) ce type d’effets secondaires paraissait énormissime en quantité et la sous déclaration était bien inférieure a 10%. Depuis l’écriture du livre avez vous eu des retours en ce sens ?
Merci.
Je suis d’accord avec vos deux remarques.
Nous ignorons bien des choses qui sont restées souterraines.
Je n’ai rien de vraiment nouveau depuis l’écriture du livre.
Merci pour ce gros travail de synthèse et de documentation ! Votre livre se veut didactique et prudent et sa forme dialogique est très intéressante. Le problème, c’est que sans doute une part importante du public rechignera à se replonger dans cette période difficile afin de se préserver des dissonances cognitives inévitable auxquelles elle serait alors confrontée…
Autre question sur un tout autre plan (cardiologie) : que pensez vous de cette recherche ?
https://www.nature.com/articles/s41467-024-52005-1
A un moment ou un autre, les plus intelligents d’entre nous vont devoir (vouloir) solder les comptes. C’est à ce moment-là que ce livre sera important. Patience !
Cela dit, je n’espère pas que les conventionnels (qui ont tout approuvé) ou les extrémistes de tout bord à la recherche d’un complot quelconque ait envie de me lire.
Votre référence est inexacte.
Je suis surpris que vous n’ayez cité que 2 études négatives sur l’Ivermectine et le Covid alors qu’il y en a des centaines positives . Cette molécule que j’ai utilisé avec succès a bien d’autre vertus comme celle concernant le Cancer ( Conf.https://www.globalresearch.ca/ivermectin-15-anti-cancer-mechanisms-action-treat-covid-19-mrna-vaccine-induced-turbo-cancers/5834622 ou encore plus précisément : https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC9459089/ ou encore : https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC7505114/en outre il y a des témoignages sérieux. : https://x.com/newstart_2024/status/1832836825251004698 Alors pourquoi nier les capacités d’un médicament sans danger , qui ne coûte presque rien à la grande rage de Bigpharma ?
Cher ami, je suppose que vous citez mon livre [« Dialogue de promeneurs en Covidie », un chef-d’œuvre] et ce que j’en dis de l’ivermectine. C’est un livre sur la Covid-19 et non sur le cancer.
Je n’ai aucune raison d’analyser les effets potentiels de l’ivermectine sur le risque de cancer. Pourquoi pas sur l’onchocercose ?
Je suis certain que l’ivermectine est un médicament utile dans certaines circonstances ; mais aucune étude convaincante (selon les critères de la médecine scientifique) n’indique que l’ivermectine est utile dans la Covid-19 ; pas plus que l’hydroxychloroquine, la colchicine, la metformine ou les statines, autres molécules ayant provoqué le délire des nombreux non scientifiques y compris des académiciens un peu séniles.
Par ailleurs, les références que vous citez (à propos du cancer) ne sont pas convaincantes, désolé ! Je reste exclusivement sur une ligne scientifique…
“selon les critères de la médecine scientifique”
Il est vrai que les études randomisées contrôlées trials [RCT]) sont le « gold standard » pour étudier l’efficacité et la sécurité de nouvelles thérapeutiques ou stratégies thérapeutiques.
-Or le Dr Gérard Maudrux est l´auteur d´un article* „Traitements précoces: quand randomisation rime avec escroquerie intellectuelle“ dans lequel il explique entre autres pourquoi les études ERC, vantées dans les hautes sphères et seules reconnues, sont inadaptées pour étudier un traitement précoce, quel qu’il soit.
“Petit” extrait:
….Concernant l´ivermectine, nombreuses études le disent, plus le traitement est pris tôt, plus il est efficace.
Et pour cause : l’ivermectine est censée empêcher le virus de rentrer dans les cellules.
Aprés 5 jours, ils sont déjà tous rentrés, et cette fonction de l’ivermectine devient sans objet (reste l’immuno-modulation, qui n’est pas la fonction première).
Il cite p.ex l’étude de la République Dominicaine de 2020 (sur 3100 patients) qui est à l’opposé de ces études ERC affirmant l´inefficacité de l´ivermectine, et démontre parfaitement que seules les études observationnelles peuvent évaluer correctement un traitement précoce.
Les patients avaient été classés en 4 groupes correspondant à la gravité et l’ancienneté des troubles.
Les résultats les plus spectaculaires sont dans le premier groupe, patients renvoyés chez eux avec traitement. En revanche, comme dans les études ERC, ils ne constatent pas de bénéfice du traitement dans le dernier groupe, le plus évolué avec des patients traités tardivement.
https://www.covid-factuel.fr/2021/02/07/livermectine-au-soleil/
Même chose dans les constatations du Dr Loué „Ivermectin and COVID-19 in Care Home: Case Report“ en EHPAD : son seul décès est le patient traité le plus tardivement, au 18ejour.
(Maudrux constate: Concernant l’ivermectine en prophylaxie il existe 17 études à travers le monde et on peut maintenant en rajouter une 18e, de plus française. Première d’un pays occidental, et « gold standard ».
https://www.covid-factuel.fr/2023/01/06/ivermectine-en-prophylaxie-une-18e-etude-favorable-et-francaise-cocorico/)
Il fait aussi référence à l´étude d’Anglemeyer “Healthcare outcomes assessed with observational study designs compared with those assessed in randomized trials”, travail indiscutable fait en 2014 et publié dans Cochrane qui montre qu’il n’existe aucune différence entre les études ERC dites « gold standard » et les études observationnelles.… »
Cet énorme recueil de 1 583 méta-analyses avait pour objectif de comparer le résultat des études randomisées avec les études observationnelles, pour voir s’il y avait une différence entre ces deux types d’études.
Cela n’a pas été fait sur une seule pathologie mais sur 228 pathologies différentes, évitant ainsi les biais liés à la pathologie.
Et c’est logique ! En effet, en quoi la méthodologie d’une étude devrait-elle changer le résultat du traitement qui fonctionne ?…
*https://www.francesoir.fr/tribunes/traitements-precoces-quand-randomisation-rime-avec-escroquerie-intellectuelle
-Les articles du Dr. Maudrux concernant l´Ivermectine me semblent intéressants, notamment son petit catalogue de ce qui a été publié pour l’Ivermectine depuis 3 ans.
https://www.covid-factuel.fr/2024/01/17/ivermectine-2/
Vous faites plusieurs erreurs.
1) vous écrivez : « …le « gold standard » pour étudier l’efficacité et la sécurité de nouvelles thérapeutiques »
C’est inexact. Pour l’efficacité OK ; pour la sécurité (vous voulez dire « innocuité » je pense) l’essai clinique n’est pas la bonne méthode puisqu’on ne peut émettre une hypothèse primaire.
2) vous écrivez : « études ERC, vantées dans les hautes sphères et seules reconnues, sont inadaptées pour étudier un traitement précoce »
Les « hautes sphères » (par opposition sans doute aux « basses sphères ») n’ont rien à voir là-dedans. Mais il est vrai que l’essai clinique doit être adapté à l’urgence de proposer un traitement. Cela dit, l’observationnel (qui requiert une longue période d’observation) est encore moins efficace.
3) Vous écrivez : « Il fait aussi référence à l´étude d’Anglemeyer “Healthcare outcomes assessed with observational study designs compared with those assessed in randomized trials”. Je comprends que vous (et l’auteur que vous citez) ne comprenez pas la médecine scientifique et le principe de l’essai clinique que vous semblez détester. C’est bizarre !
En statistiques, plus vous ajoutez des nombres dans deux groupes disparates et plus les moyennes se rapprochent [c’est, en simplifiant, la régression à la moyenne]. La conclusion que les auteurs en tirent est simplement stupide !! Je pèse mes mots…
1) Dans le résumé de l’article „From Randomized Controlled Trials to Observational Studies“ j´ai traduit „safety“ par sécurité.
Faute d´amateur, mais cela semble arriver aux “meilleurs”, dont un expert auprès de l’EMA, qui confondent “efficacy” avec “effectiveness” à moins que …:-)
2); 3) Mon affirmation sceptique relative aux ERC porte surtout sur la période Covid-19, dite pandémique.
Dans ce contexte je me permets de citer l´auteur:
“La crise du Covid aura montré les études et autres publications médicales sous un jour inquiétant. On croyait ces dernières sérieuses, contrôlées, relues, publiées au sein de prestigieuses revues au sérieux indiscutable: il n’en est rien.
Les laboratoires pharmaceutiques et les agences du médicament ont imposé les « essais randomisés contrôlés » (ERC), dont les normes sont censées correspondre à un haut niveau de preuves. Malheureusement, il n’en est rien : le procédé relève davantage de la manipulation que de la recherche de la vérité scientifique….”
Cette opinion semble rejoindre, si je ne me trompe, la vôtre pour les vaccins COVID-19.
Extrait* (traduction de l`allemand, faute d`avoir l´original en francais sous la main) “Pour un scientifique, les études qui ont testé les vaccins COVID-19 sont fictives. Il faudrait un livre pour exposer toutes les lacunes. On pourrait par exemple se référer au livre du Dr Michel de Lorgeril intitulé : Les vaccins à l’ère du COVID-19.
La 3e partie est consacrée à une analyse scientifique des principales études sur le test des vaccins COVID- 19.
En résumé, l’étude de Pfizer, comme toutes les autres études testant les vaccins COVID-19, présente des lacunes importantes qui ne permettent pas de conclure à l’efficacité des vaccins COVID-19….”
(*”Évaluation scientifique de l’avis du groupe d’experts luxembourgeois groupe d’experts concernant l’introduction d’une vaccination obligatoire pour se protéger contre le COVID-19 du 14 janvier 2022”; Dr. Michel de Lorgeril,)´
-Il s´agit pourtant d`experts réviseurs de Cochrane (étude d’Anglemeyer) mais en tant que non-scientifique ne disposant pas des moyens du bord il ne m´appartient guère de juger valablement de la véracité des affirmations ni de l´un ni de l autre.
Il en va de même pour juger de l´aspect scientifque des plus de 100 études attestant des effets favorables à l’ivermectine.
Néanmoins, je pense qu´en temps d´une crise, dite pandémique, vu l´urgence et dans l´optique de sauver des vies humaines, mon bons sens me dit qu´au lieu de discréditer voir même à interdire l´emploi de médicaments reconditionnés surs, et dont l´efficacité a été démontré par des études observentionnelles, aurait été impératif.
Je vous comprends. Vous ne comprenez pas la Société du Spectacle décrite par Tonton Guy dans les années 1960.
le problème n’est pas l’essai randomisé (qui est l’outil magique – seulement l’outil – de la médecine scientifique) mais l’usage qui en est fait.
Il est en fait « détourné » à des fins commerciales. Pour vous tromper !
Comme tous les outils, il peut être utile, voire indispensable dans certaines circonstances, mais tout dépend qui s’en sert. Ce peut être catastrophique.
Cela dit, nous vivons en société et le plus étrange avec les essais cliniques testant les vaccins antiCovid [une caricature d’essais cliniques,) c’est que personne n’ait rien dit ; sauf moi dans un livre publié en Avril 2021 ; prémonitoire !
Il ne s’agit pas de condamner l’outil mais ceux qui en usent de façon machiavélique pour vous tromper.
Ceux qui condamnent l’outil sans comprendre qu’on s’est moqué d’eux ne comprennent pas la Société du Spectacle où tout est en « représentation » pour vous empêcher de comprendre ; et vous tombez dans le piège…
Merci pour votre réponse (19:22h)
Je vous rejoins à 100 %.
Aucune étude scientifique dîtes vous ? Pourtant là : https://c19ivm.org/ Ivermectin for COVID-19
105 studies from 1,206 scientists
220,423 patients in 30 countries
Statistically significant lower risk for mortality, ventilation, ICU, hospitalization, recovery, cases, and viral clearance.
85%, 61%, 40% lower risk for prophylaxis, early, and late treatment CI 77-90%, 50-69%, 26-51%
52% lower risk in 52 RCTs CI 37-63%
47% lower mortality from 53 studies CI 34-58%
C’est ici que le professionnalisme (savoir ce qu’est la médecine scientifique vraiment) intervient.
Il ne suffit pas d’accumuler (ou citer) des études, il faut vérifier leur contenu, faire la part du sérieux (essai clinique versus étude observationnelle rétrospective) et de l’anecdotique.
Nous avons vu les délires collectifs à propos de l’hydroxychloroquine ; c’est moindre avec l’ivermectine mais quand j’ai recherché (pour mon livre ; un exemple d’objectivité ; merci de me lire) de quoi me convaincre que l’ivermectine pouvait être utile dans la Covid, je n’ai pas trouvé… Désolé !
Votre citation n’est pas scientifique ! Désolé ! Visiblement, ce n’est pas votre métier.
Des corporations entières peuvent se planter (voyez avec les statines encore aujourd’hui ou les « saignées pour traiter les anémiques au Moyen-Äge)…
Si l’Hydroxychloroquine n’est pas la panacée et pourtant :https://pgibertie.com/2024/09/13/une-etude-internationale-en-double-aveugle-confirme-lefficacite-et-linnocuite-de-lhydroxychloroquine-molimard-et-les-journalistes-doivent-des-excuses-a-raoult/ bien lire l’étude qui est citée, elle a toutes les qualités requises :https://pgibertie.com/wp-content/uploads/2024/09/image-38.png .
Bon, je ne suis pas scientifique mais je sais lire et vérifier.
W > relisez-vous… pour corriger les fottes de frappe.
Que les journalistes doivent s’excuser, c’est évident !
Mais s’excuser de quoi si on n’a rien compris…
Que Raoult doive s’excuser c’est non moins évident !
Mais s’excuser de quoi si on n’a rien compris…
Votre référence n’a pas de valeur scientifique. Ce n’est pas ainsi qu’on procède…
N’est pas « expert » qui veut. C’est un long apprentissage !
Une des surprises de la Covid-19, c’est l’émergence soudaine d’une multitude d’experts (Raoult et Perronne par exemple à propos de la médecine des vaccins ; mais bien d’autres sur les réseaux…) qui pendant des décennies furent soit des perroquets soit silencieux comme des taupes…
on n’a pas fini les 4 années ?
j’ai de l’impatience de lire pour savoir ce qu’est » le Covid Long » :
merci à vous !
quelle a été la sévérité réelle de la pandémie ? 669195 décès en 2020 toutes causes confondues , source insee et …. après un année de vaccination (2021) en 2022 : 675335 décès
8000 morts de plus ! Le vaccin n’a pas marché ? Le virus est toujours là ?
Ou bien simplement la population est vieillissante et moins résistante?
Que disent les décès standardisés par âge ?
Comme expliqué dans le livre, il faut faire attention à la façon dont les chiffres sont rapportés.
L’INSEE publie souvent des chiffres qui sont ensuite largement corrigés…
Surtout, il faut savoir écouter des témoignages différents, des visions différentes.
C’est pourquoi,le livre fait dialoguer des promeneurs avec des avis différents…