Covid-19, vaccins, académiciens et médias complices… État des lieux le 20 Novembre 2021

Ces jours-ci, notamment du fait de flambées percutantes dans de nombreux pays où sévissaient pourtant d’intenses campagnes de vaccination [il n’y a pas qu’en Israël que l’échec est patent], nos académiciens ne savent plus où donner de la tête.

Ils ont l’air d’être épuisés, abasourdis ; le Spectacle est réjouissant !

Ils ont rarement dit autant de bêtises ; ils se sont rarement autant contredits les uns et les autres.

Et les médias conventionnels, assez étonnés de l’évolution de la pandémie [les amateurs médiatiques ont l’avantage sur les professionnels de ne pas savoir inventer tous les jours de nouvelles hypothèses vaseuses] cherchent désespérément des interlocuteurs qui leur permettent de continuer à séduire les agences publicitaires sans se ridiculiser ; selon la règle princeps que pour attirer les publicitaires, il ne faut pas faire fuir les téléspectateurs en exposant trop violemment sa nullité…

Le académiciens et les universitaires (j’inclus les experts de l’INSERM et du CNRS), salariés de l’État, n’ont pas honte d’être ridicules mais ils sont quand même épuisés.

Besoin de repos tout ce misérable « tout petit monde » ! Je me réfère, les cultivés l’ont compris, au célèbre (et délicieux) roman de David Lodge dont les protagonistes sont aussi des universitaires…

Mais comme le rappelle le grand Jean-Sébastien, de repos ils n’auront que quand reviendra l’Harmonie !

« Le repos mérité, on ne peut dans le péché, mais dans l’harmonie le trouver » [Bach cantate BWV 170]

Je reviendrai (d’ici peu) sur l’analyse qu’on peut faire de l’évolution de l’épidémie en utilisant les paramètres disponibles.