J’ai déjà commenté sur ce site(*) et dans divers documents les ardeurs vaccinales des autorités sanitaires (et des experts en vaccinologie) à propos des vaccins contre diverses pathologies et récemment à propos des vaccins contre la Variole du singe (VdS).

J’ai rappelé que la seule façon de démontrer l’efficacité d’un vaccin (ou d’un autre produit de santé) est de conduire un essai clinique en double aveugle avec deux précautions minimales :
1) que les investigateurs soient « compétents » ;
2) que les investigateurs soient indépendants du sponsor industriel et de toutes les institutions [Sociétés savantes et Autorités sanitaires, notamment] qui sont liées à l’industriel, via la composition de leurs états-majors ou de leurs comités experts.

Mes recommandations, pourtant réitérées, ne semblent pas « atteindre » les autorités sanitaires nationales et internationales qui ont validé les vaccins antiVdS et fortement encouragé leurs injections à une multitude d’innocents sans avoir le moindre essai clinique démontrant l’utilité de ces vaccins.

Ils (les experts et bureaucrates), au moins certains d’entre eux, savent parfaitement qu’ils sont « dans le péché » mais pourtant ils ignorent mes avertissements et n’en font qu’à leur tête…

Ce petit jeu puéril n’a qu’un temps et, à un moment ou un autre, il faut se justifier ; c’est-à-dire démontrer qu’on a eu raison de procéder comme ils l’ont fait ; envers et contre toute les sciences médicales.

Comment faire ?

C’est très simple : annoncer à grand renfort de médias ineptes que les vaccins antiVdS sont efficaces, extraordinairement efficaces ; sur la base d’analyses rétrospectives qu’ils présentent comme irréfutables ; sauf à savoir lire entre les lignes ; ce qui n’est pas donné à tout le monde ; d’où le présent message !

C’est donc avec ravissement que je mets en ligne le document suivant avec le titre en premier.

Pour toute vérification, aller sur le site du CDC (en cliquant ici)

L’astuce, que je qualifierais volontiers de « génial » quand on veut tromper le peuple [Il n’y a donc pas que sur la Place Rouge qu’on amuse le peuple !] est de comparer les vaccinés et les non vaccinés de façon rétroactive (et bien sûr en l’absence de tirage au sort).

On a aussi procédé de cette manière pour évaluer de façon rétroactive [vue l’absolue nullité des essais cliniques les testant, soi-disant !] l’efficacité des vaccins anti-COVID.

C’est astucieux car, tous les scientifiques le savent, on peut faire dire ce qu’on veut à ce genre de données observationnelles, donc très fragiles.

Ainsi ils disent n’importe quoi comme on peut le constater ci-dessous.

Selon les bureaucrates américains, les non-vaccinés auraient 14 fois plus de risque que les vaccinés de faire une infection par le VdS.

Les courbes sont impressionnantes… et ridicules ! On se croirait sur la Place Rouge !

Tous les scientifiques sérieux le savent, l’utilité d’une intervention préventive n’est mesurable que par un essai clinique avec tirage au sort.

Pourquoi ?

Face à une maladie dont la transmission d’une personne à l’autre dépend de comportements à risque (relations sexuelles entre hommes principalement ; mais aussi contacts familiaux, un petit peu, tout dépend des mœurs familiaux !), il est aisé de comprendre que les vaccinés sont ceux qui craignent la contamination et, n’étant pas fous, savent parfaitement que, outre la vaccination éventuellement (car ils savent qu’il n’y a pas de démonstration franche de l’efficacité du vaccin), c’est en modifiant leurs comportements qu’ils se protégeront !

Inversement les non-vaccinés se considèrent protégés (par le Saint-Esprit peut-être), et/ou ignorent totalement les consignes comportementales ; et ainsi ne changent rien à leur mode de vie.
Dit autrement, ils savent qu’ils s’exposent au risque de contamination et ils (je m’excuse de la grossièreté de mes propos) s’en foutent !

Conclusion provisoire : ces deux populations ne sont pas comparables et ne doivent pas être comparées !

Et nos subtiles bureaucrates américains le savent parfaitement puisqu’ils écrivent (ci-dessous) qu’il y a des limites à leurs analyses. Ils admettent que les comportements des vaccinés et des non-vaccinés sont potentiellement différents…

Bon, je m’arrête là ; je laisse à chacun le loisir (le mot est bien trouvé, n’est-ce pas ?) de conclure ce que l’on peut penser des autorités sanitaires de nos jours, là-bas aux USA certes, mais ce n’est pas mieux chez nous…

Leçon du jour (qui n’est pas nouvelle) : la médecine des vaccins n’est pas scientifique ! C’est vrai pour le vaccin antiVdS, c’est vrai pour les vaccins anti-COVID et c’est aussi vrai pour les 11 vaccins obligatoires des nourrissons.

Triste Réalité ! Il y a un pingouin sur la Place Rouge qui dit que l’Occident est en déliquescence. C’est un trait d’humour venant d’un bouffon, bien sûr.
Mais chacun sait que les bouffons sont chargés de dire les vérités qui fâchent !

Dure la Réalité !

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(*) on est en train de mettre aussi à jour déjà pour cet article puis les autres si on y arrive 😉 la catégorie d’un article sur Variole puis Monkeypox mais vous pouvez retrouver tous ces articles avec ces deux mots clefs (respectivement au nombre de 10 puis 5).