Seule solution pour éviter l’hyper-crise : la réconciliation !
C’est une banalité d’admettre que nous avons vécu une crise sanitaire unique dans l’histoire des nations ; et il est non moins banal d’admettre que la crise climatique (et agricole) et la crise énergétique vont nous plonger dans une autre crise.
C’est ce que j’appelle une hyper-crise !
Je ne suis ni politicien ni prophète, seulement un modeste scientifique (CNRS) et médecin (d’un certain âge ; c’est-à-dire environ 50 ans de pratique clinique) mais il faut être sévèrement mal-voyant pour ne pas apercevoir ce qui se profile dans le proche futur. Une hyper-crise ! Demain peut-être ; après-demain, c’est sûr ! Il ne faudra pas dire qu’on n’a pas été prévenu.
Je ne suis pas le seul à le penser et de façon générale, les récentes élections en France et les crises politiques ailleurs (UK, Italie, USA, Russie…) et sous différentes formes montrent que les peuples l’ont compris et n’ont plus confiance dans leurs dirigeants actuels. L’heure des comptes va sonner.
Avec comme conséquence immédiate (et non surprenante) un raidissement de ces gouvernants, certains [je laisse chacun conduire sa propre analyse] se comportant déjà comme des autoritaires pernicieux.
Si je reste dans mon domaine de compétence, il est clair que la seule solution pour sortir dignement de la crise sanitaire est la RÉCONCILIATION !
Il est urgent de réconcilier les français entre eux, dans les couples, les familles, les communautés variées (y compris sociales et professionnelles) et d’entreprendre un travail de compromis et de mise à jour entre les différentes parties qui se sont affrontées pendant la crise sanitaire depuis Décembre 2019.
Je sais que les plaies sont grandes ouvertes et que certains attendent plutôt le moment de la vengeance. Je les comprends !
Je sais que des batailles se préparent au Parlement et que le Président reste, malgré l’imminence d’une sorte de guerre civile, raide comme un piquet dans ses convictions et ses maladresses !
Mais je ne crois pas qu’il faille suivre l’exemple des politiciens.
L’heure est à la réconciliation et aux compromis.
Nous avons tous besoin d’un système de santé actif et efficace.
Tous, soignants et soignés, nous devons trouver le chemin des réformes et changements qui mèneront au rétablissement (au sens médical du terme) des structures sanitaires aujourd’hui désuètes et malmenées.
Nous n’oublions rien et des enquêtes devront analyser comment (et pourquoi) nous nous sommes (collectivement) trompés. Il faudra aussi reconnaître ceux qui avant les autres ont su dénoncer les dérives sadiques des gouvernants.
Mais seules des communautés réconciliées pourront faire ce double travail de réforme et de mémoire.
Et ce qui est vrai (à mon avis) pour le système de soins dont nous avons besoin est encore plus vrai pour d’autres domaines de la vie des sociétés ; mais les discuter me ferait sortir de mon domaine de compétence. Donc, je me tais…
Peut-on se réconcilier avec des scientifiques qui faisant une étude sur des patients vaccinés prennent comme groupe témoin des morts non vaccinés ?
https://www.estrepublicain.fr/magazine-sante/2022/07/26/covid-19-comment-expliquer-des-complications-parmi-les-vaccines
Cette équipe (aussi basée aux USA via Casanova) travaille mal…
Oubliez ça ; vous vous sentirez mieux !
C’est bien le problème
Comment peut on être aussi éloigné des critères scientifiques reconnus dont vous nous avez tant parlé ?
Y a-t-il eu une rupture post Covid de leur reconnaissance ?
Merci
Nous sommes dans les ténèbres et ce que disent et publient les scientifiques n’a plus de valeur !
En 50 ans de présence sur le terrain, je n’ai jamais vu ça !
Et on se moque de Poutine et des russes…
Ceux (parmi les scientifiques) qui ont quelque chose à dire d’important sont soit censurés, soit « feintent » pour essayer de publier leurs hypothèses sans passer pour des complotistes et il devient très difficile de les repérer ; ou plutôt ça demande un travail forcené de tri parmi toutes les idioties des chercheurs « officiels » [Ah ! Quelle était belle l’Union Soviétique !] et des vrais « complotistes »…
Les ténèbres !
L’idée d’une réconciliation est intéressante. Elle va cependant être très difficile à venir tant chaque camp demeure sur ses positions. Pour rester sur le sujet de la médecine et des professionnels de santé, il s’avère toujours aussi compliqué d’échanger posément sur tout sujet ayant préalablement fait l’objet d’une doxa, d’un prêt-à-penser dans le milieu « scientifique ». L’incompréhension voire la dissonance, demeurent toujours aussi palpables lorsque l’on s’avise à discuter vaccin COVID, effets secondaire, statines, gestion politique de la crise sanitaire… Le simple fait d’effleurer ces questions donne la fâcheuse impression de blasphémer ou d’avoir prononcer d’indicibles hérésies. Comme si tout l’univers mental de beaucoup de médecins, infirmières ou autres sages femmes reposait sur leur confiance inébranlable aux institutions ou autre instance ordinale de tutelle. Délégitimer ces entités et les décisions qu’elles ont pu prendre ces dernières années, c’est presque remettre en cause l’alfa et l’oméga de leur existence. C’est en tout cas, la prégnante impression que l’on a lorsqu’on ose esquisser des débuts de dialogues et d’échanges avec tout ce beau monde.
Je suis bien d’accord avec vous !
Et vous oubliez la censure systématique dans les médias dès que vous faites preuve de quelque scepticisme. Mon livre « Les vaccins à l’ère de la COVID-19 » n’a fait l’objet d’aucun rapport ou critique (se pourrait-il ?) dans les médias [TOUS les médias !] bien qu’il s’agisse d’un chef-d’œuvre indispensable à une compréhension minimale de la médecine des vaccins.
Sans parler de l’auto-censure de la part de personnes qui ont très bien vu le déroulé des évènements mais qui préfèrent se taire…
Ainsi dans l’Allemagne de 1928…
Je n’ai effectivement jamais eu l’occasion de tomber sur des retours de médecins concernant les arguments que vous développez dans vos ouvrages. On a plutôt tendance à entendre des attaques ad hominem ou autres propos de principe ne répondant pas aux contenus des livres mais décriant plutôt la renégate initiative, en soi, de vouloir questionner ce que valent certains produits de santé (efficacité/innocuité) à l’aune de la médecine scientifique moderne.
J’en ai personnellement fait l’expérience avec un cardiologue afin de prendre la température et ai mis très rapidement fin à la discussion.
L’auto-censure, les papiers refusés car inconformes à la doxa, les crédits de recherche refusés… C’est aussi ça la formidable médecine contemporaine.
J’en profite pour vous peser une question: y’a-t-il un moyen plus au moins fiable de mesurer ou jauger un « consensus scientifique » sur une thématique médicale donnée?
Bien sûr !
C’est le b a ba de la démarche scientifique. Reconnaître les interlocuteurs dignes de se fatiguer à argumenter.
Contre-exemple : les médias ! Les rédacteurs modernes font « du papier », sont coincés dans des « a priori » et particulièrement arrogants. Temps perdu à discuter avec !
Comment reconnaître en quelques minutes un interlocuteur « intéressant » ?
Je prends un exemple (une caricature !) simplissime avec le vaccin contre la variole.
Posez à votre interlocuteur la question suivante : « le vaccin contre la variole a-t-il éradiqué la maladie ? »
En fonction de la réponse vous saurez immédiatement si cette personne a un peu travaillé et mérite votre attention.
A moins que vous ne preniez plaisir à échanger avec un perroquet ; comme Milou dans « Tintin au Congo », un chef-d’œuvre digne des des miens…
Ce n’est pas exactement votre question (consensus) mais vous indique comment évaluer un consensus en fonction des personnes qui y participent !
Je prends note. Cependant, il faut bien avoir conscience qu’engager une discussion avec un médecin sur un produit de santé estampillé « ne pouvant souffrir aucune critique » n’est pas sans risque. Au mieux, vous vous exposez à une polémique puérile, au pire, vous faites l’objet d’un signalement auprès des PMI (lorsque vous êtes parent). Ces dix dernières années, j’ai définitivement pris acte qu’on faisait face à une véritable machine à broyer.
Donner des leçons de démocratie et de droits de l’Homme à la Terre entière, c’est bien, mais quand vous êtes du bon côté du manche! A l’inverse, tentez (je m’adresse aux papas et mamans qui visitent ce blog) de nager à contre-courant de la doxa vaccinaliste (ou autre) et vous aurez l’occasion d’apprécier la célérité avec laquelle vous serez excommuniés. Quand les conséquences n’affectent finalement que votre fierté propre, ce n’est rien. Mais quand un simple positionnement pour ou contre l’administration d’un médicament à votre enfant peut aboutir, quelques mois plus tard, à une destitution de l’autorité parentale et à leur placement, j’aime autant vous dire que vous évitez tout discours « subversif ».
Je sais qu’il existe des toubibs beaucoup plus pondérés sur ces questions mais ils sont peu nombreux et restent souvent discrets quant à leurs convictions profondes car, eux aussi, marchent sur des œufs et les choses peuvent vite tourner au drame.
c’est plein de sagesse tout çà. En règle générale, je suis rempli de bonne volonté; mais, là,à titre personnel, je ne suis pas certain d’en être capable, aujourd’hui. Le chemin de la réconciliation n’est pas le même pour un vacciné et un non vacciné…Je ne cherche pas à aller contre, mais, à supposer que cela soit un jour possible, ce sera plus long que cela pour moi..
vous dites « mémoire », moi je dirais « histoire ». il y a un devoir d' »histoire » qui permet le devoir de « mémoire ». Cette « histoire » dans sa dimension « objective » ne me semble pas possible (je veux dire reconnaître collectivement qu’il n’y avait pas de science dans les essais sur les vaccins covid et que, par conséquent, il n’y avait pas de fondement à toutes les horreurs qui ont suivies au nom de ce vaccin..) . ce serait un préalable!
Je comprends votre point de vue !
hum, la réconciliation avec l’académie de médecine n’est pas gagnée..https://twitter.com/verity_france/status/1549366944553472000/photo/1 datée du 19 juillet 2022
« ..l’académie s’est prononcé très tôt en faveur de l’obligation vaccinale pour protéger la santé des soignants et celle des patients dont ils ont la charge, l’hésitation vaccinale étant éthiquement inacceptable dans leur profession » et plus loin
« l’académie nationale de médecine tient à rappeler: que tout refus de se faire vacciner motivé par des convictions personnelles est respectable mais incompatible avec le métier de soignant » .. et puis qu' »aucun des arguments ressassés (absence d’efficacité, effets indésirables, manque de recul) ne permet de valider scientifiquement le refus de se faire vacciner, les véritables contre indications médicales à la vaccination étant très rares »
Je ne sais pas très bien si à la fin , on doit dire « amen » ou « heil »..
Le principal (peut-être unique) rédacteur de l’Académie de Médecine concernant la vaccination est un vieux monsieur qui [c’est là le problème] prétend parler au nom d’une Académie… Dont aucun des autres membres n’a la moindre idée de ce qu’est un vaccin…
Cela dit, qui (sauf vous) se préoccupe des avis de l’Académie de Médecine ?
pour ma part, je m’en fous..mais nous avons vu fleurir sur les différentes chaines , comme si cela était parole d’évangile, ce texte..misérable..pour continuer à évincer ces pauvres soignants résistants..
Je ne suis pas au jour le jour tout ce qui se dit à propos des soignants virés des hôpitaux et que vous qualifiez de « résistants » à juste titre.
Je ne suis pas d’accord avec l’autre adjectif que vous utilisez « pauvres ». Quand on résiste on perd quelque chose (donc on s’appauvrit certes) mais c’est pour une juste cause ; et dans ce cas, on est beaucoup plus riche que le troupeau qui s’est soumis. Cette richesse impalpable (et non monnayable) est la plus belle de toutes les richesses : c’est la fierté d’avoir su résister et probablement (pas sûr tout-à-fait encore) d’avoir eu raison avant les autres !
Quant à ceux qui ne cessent de les insulter (sous divers prétextes stupides) et qui tentent de retarder la réintégration des nonvaccinés, on peut les comprendre : ils risquent un drastique appauvrissement de leur réputation et, pour les petits chefs, une perte drastique de leur autorité. On comprend leurs insultes !
Cela dit, depuis quelques semaines, beaucoup d’eaux (pas assez certes) a coulé sous les ponts…
Réjouissons-nous, l’heure des comptes approche !
L’Académie de médecine
« Il y a donc un médecin « libre » et un médecin « esclave ». Qu’est-ce qui les différencie ? Alors que le médecin libre prescrit avec persuasion, le médecin esclave contraint ses patients. Il oblige, il force le corps à se soumettre à ses soins, à son pouvoir. Platon s’appuie sûrement sur la pratique, historiquement avérée, d’auxiliaires médicaux (ὑπηρέται), qui aidaient les médecins dans leurs tâches. Ces auxiliaires ne font « qu’exécuter les ordres de leur maître sans avoir la compréhension adéquate de ce qu’ils font » -123- …/…
Certes, ce savoir semble bien automatique, du côté d’une certaine routine ; mais il est toutefois vrai, fondé sur une connaissance droite. Pourquoi cet auxiliaire devient-il un esclave ? Simplement parce qu’il n’est pas capable de persuader. Il est tyrannique parce qu’il impose par la force ce qui devrait l’être par la persuasion. On voit bien le fossé qui séparé les Lois du Politique : alors que dans le Politique, le bon roi pouvait agir par la contrainte, du moment que son choix reposait sur une connaissance avérée de l’art politique, ici au contraire, la violence, même si elle repose sur une réelle connaissance, fait de son usager un tyran. Celui qui use d’un pouvoir violent, même s’il est juste, est donc potentiellement tyrannique.
Changement profond de paradigme médical, …/… »
Dans le document Corps et pouvoir politique chez Platon (Page 122-141)
Merci.
magnifique description de ce que nous venons de vivre et que nous allons continuer à vivre si nous ne réagissons pas fermement !
Bonjour,
-L’heure est à la réconciliation et aux compromis-.
C’est mal parti … l’offensive de Yahoo, américain, traduit en toutes les langues et très très lu
« Cholestérol : ces premiers signes qui se manifestent au niveau des mains »
« Maladie souvent asymptomatique les premières années, l’hypercholestérolémie peut tout de même être accompagnée de signes avant-coureurs. Le Dr Monika Wassermann alerte sur l’un d’eux.
« L’hypercholestérolémie attaque en silence, etc. »
https://fr.news.yahoo.com/cholesterol-attention-aux-premiers-signes-qui-se-manifestent-au-niveau-des-mains-134250267.html
« Mauvais » cholestérol et « ongles cassants » ?
J’en aurais vu des misères ; mais celle-là…
Monika ?
A la poubelle !