Après les vaccins ARN messager, voilà les autres…

Dans un précédent article, j’ai montré les graves défauts des études qui ont validé les vaccins ARN messager antiCOVID.

Dit autrement, nous n’avons aucune évidence que ces vaccins sont efficaces ; il eût fallu bien travaillé !

Ça ne veut pas dire qu’ils sont inefficaces ; seulement que nous n’en savons rien et qu’un effet placebo massif ne peut être exclu !

Ça me paraît insuffisant pour s’autoriser à vacciner des millions de personnes fragiles… Les gouvernants pensent autrement et un fort pourcentage de gouvernés exigent d’être vaccinés…

Cela dit, les investigateurs ont mal travaillé et veulent faire croire le contraire ; c’est normal !

Et les agences sanitaires (nationales et internationales) font semblant d’avoir vérifié tout ça ; c’est comme d’habitude !

Ces vaccins [dont la technologie est très innovante] posent des problèmes de fabrication et de logistique que les autorités sanitaires et les gouvernants peinent à résoudre…

Dès lors, un grand espoir repose sur d’autres vaccins, plus conventionnels mais beaucoup plus inquiétants. Parmi eux, certains sont basés sur des technologies que nous connaissons un peu, contrairement aux vaccins ARN messager pour lesquels nous manquons d’expérience.

Le premier de ces « autres vaccins » sera probablement celui proposé par AstraZéneca en collaboration avec l’Université d’Oxford dont nous connaissons le méfaits avec les aventures des statines.
A Oxford, ce qui prime c’est l’obtention de contrats industriels !

Bref, les deux compères (AstraZéneca et Oxford) proposent un vaccin antiCOVID qui fait rêver les gouvernants car il ne nécessite pas de congélateurs et, en principe, la logistique sera simplifiée.

Sauf que je n’aime pas trop ce type de vaccin basé sur des virus vivants bricolés.

On a inséré (je simplifie) des bouts d’ADN dans un adénovirus [qui devient un OGM). Comme notre système immunitaire connaît les adénovirus qui s’adressent aux humains et craignent que leur OGM soit détruit avant d’avoir commis son œuvre vaccinale, il ont utilisé un adénovirus qui préfèrent les singes et que notre système immunitaire ne connaît pas…

Ça pose quelques problèmes mais toutes les formes de « préjugés inconvenants » vis-à-vis de cette stratégie ont été balayés par les experts d’Oxford.

Pourquoi pas ! Je n’ai rien contre les singes et leurs virus mais si Dame Nature a réservé ces virus aux singes, il est dangereux de la froisser en lui forçant la main.

C’est un peu comme ça qu’on fait naître des nouveaux virus comme, par exemple…
Devinez !
Le COVI-19 probablement !

Ici on joue avec le feu et je n’aime pas du tout !

Deux problèmes viennent s’ajouter à mes inquiétudes :

1) sur le plan de l’efficacité de ce vaccin, les investigateurs n’ont pas bien travaillé (un peu comme les investigateurs de Pfizer et Moderna pour tester les vaccins ARN messager), et je reste dans le doute !

2) sur le plan de la toxicité, ils ont choisi de ne pas tester leur vaccin contre un placebo mais contre un vaccin antiméningocoque dont on connaît la toxicité notamment neurologique (voir le Livre 5 de la Collection Vaccins & Société où je décris tout ça).
En comparant un vaccin nouveau à un vaccin toxique, on peut faire croire que le nouveau n’est pas toxique (par comparaison avec le comparateur) ou qu’il n’est pas plus toxique que les vaccins conventionnels et connus. Je n’aime pas ça du tout !

Les agences sanitaires, prises entre le marteau de l’industriel et l’enclume des gouvernants paniqués, vont faire « comme si » tout était parfait, Madame la Marquise !

Je laisse à chacun le soin de se faire ses propres idées.

De mon côté, j’ai été clair : pas demain que je vais tendre mon deltoïde !