L’effondrement des élites universitaires en temps de COVID

Les visiteurs de ce blog ont probablement lu mes articles précédents où je montre de quelle façon les vaccins antiCOVID ont été testés ; c’est-à-dire de façon lamentable.

Même Didier, le célèbre chien de Bacri, l’aurait vu…

La question, dès lors, est : pourquoi personne ne dit rien parmi nos prestigieuses élites ?

Autre façon de poser la question : pourquoi un journal médical sérieux comme le New England Journal of Medicine publie ces crottes ?

Un possible réponse se trouve dans un tout récent article publié dans ce journal où un prestigieux éditeur du journal en question s’enthousiasme pour les essais cliniques qui ont testé les deux vaccins ARN messager de Pfizer et Moderna.

Ci-dessous, le graphique qu’il publie dans son journal. Lisez bien le commentaire sous le graphique.

Ce type estime donc qu’il n’y a pas besoin de faire des statistiques pour vérifier la miraculeuse efficacité de ces vaccins.

Nous sommes au summum de la nullité puisqu’il avoue ainsi qu’aucune hypothèse primaire n’a été formulée et que ces grandioses essais cliniques ont été confiés aux bons soins du Docteur Hasard.

Je crains qu’il ne sache pas de quoi je parle quand j’évoque l’impérieuse nécessité de formuler une hypothèse primaire quand on fait de la recherche clinique.

En principe, aucun comité d’éthique ne laisse faire un essai clinique en l’absence d’hypothèse primaire !

Mais qui est donc cet individu qui sert d’arbitre pour autoriser la publication de ces crottes ?

Je vous le présente ci-dessous :

C’est un professeur de médecine dans la célèbre Faculté de Médecine de Harvard à Boston ; probablement la plus prestigieuse des écoles de médecine au monde !!

Si c’est comme ça à Boston, comment est-ce ailleurs ? A Londres ? A Rome ? A Francfort ? A Pékin ? A Tokyo ? A Paris ? A Grenoble ? Oups !

En bas à gauche de la petite capture d’écran ci-dessus, on peut lire « Disclosures ».

Ça veut dire qu’en tapant dessus, j’ai mis à jour les conflits d’intérêt de notre prestigieux professeur, ou plutôt [ne soyons pas aussi naïf qu’un chef de cabinet ministériel parisien…] les conflits d’intérêt qu’il a bien voulu nous « discloser »…

Bon ! Le choses sont claires : notre ami et son journal collaborent avec l’industrie des vaccins et autres produits de santé. Il ne va quand même « se tirer une balle dans le pied » comme disait Jolly Jumper dans une célèbre poésie, à moins que ce soit dans un film de JL Godard : « si tu les taquines, tu es viré ! »
Ce fut très bien raconté par deux ex-Editeur-en-Chefs du même journal.

Nous voilà donc au pied du mur : les élites d’ici et d’ailleurs ne valent rien !

Notre problème c’est ici évidemment et nous le savions avant que notre professeur de Harvard en fasse la démonstration…
Il suffit de les écouter le soir sur nos écrans avec un whisky en main… Pas oublier le whisky, ça aide…
Comment faire pour s’en libérer ?