"JUPITER: STILL IN THE DARK" pour lecteurs francophones exclusifs

« JUPITER still in the dark » peut se traduire par « JUPITER pas d’explication ».
Ce qui signifie que dans son récent et volumineux article publié dans un « médiocre » journal de cardiologie américain, Ridker n’apporte rien de nouveau qui puisse éclairer les incohérences cliniques observées dans JUPITER.
Nous hésitions (voir les précédents billets) à user de notre « droit de réponse » pour commenter les nouvelles incongruités de Paul qui auraient pu échapper à des lecteurs naïfs ou pressés.

Surtout, Ridker, de façon parfaitement malhonnête (mais non surprenante car il est « aux abois » comme on dit entre fervents de chasse à cours) tente de nous discréditer en critiquant l’Etude de Lyon.
Certes les lecteurs connaisseurs n’ont pas besoin de correctifs, mais les autres ?
Nous ne pouvions donc rester muets ! Aussi nous avons soumis une « Lettre à l’Editeur » (comme droit de réponse) pour corriger les mensonges de Ridker à propos de l’Etude de Lyon.
Malheureusement, notre lettre [que des visiteurs curieux peuvent lire dans le billet précédent en anglais] a été refusée par le journal américain; ce qui montre bien la terrible collusion (on peut même parler de complicité) entre les investigateurs travaillant pour l’industrie pharmaceutique et les journaux médicaux !
Nous ne sommes pas très étonnés à dire vrai, tel est notre monde contemporain où même les règles plus élémentaires, de la démocratie, ou du savoir-vivre, sont quotidiennement bafouées.
La suite au prochain épisode.
NB : les lecteurs anglophones (ou ceux qui comprennent l’anglais écrit) peuvent lire le document en PDF dans le précédent billet en anglais.
Pour les autres, je recommande de ne pas perdre plus de temps avec ces « galipettes » de mauvais scientifiques. Y a mieux à faire par ce bel automne  ensoleillé !