Comment célébrer la fin du passe vaccinal ?

On annonce la fin du passe vaccinal !

Ils disent [pour ne pas trop froisser les vaccinés volontaires qui se sont précipités avant même d’y être obligés ; ou encore tous les « idiots heureux » qui ont célébré l’efficacité des vaccins antiCOVID contre toute évidence] qu’il s’agit d’une simple suspension et qu’à la moindre alerte…

Mais beaucoup, même parmi les plus fanatiques vaccinalistes, ont compris qu’ils avaient été trompés !

Mais pour eux, à l’approche des échéances électorales, ce n’est pas encore le moment de le dire…

Pourtant les faits s’accumulent. Dans un message précédent, j’avais montré l’exemple (presque expérimental) israélien. On peut citer d’autres exemples.

Ci-dessous, l’exemple américain avec les 5 vagues typiques interrompues par différentes circonstances, notamment les saisons et les restrictions de liberté et de circulation des populations.

Il est assez évident que le virus fait sa route et que les campagnes de vaccination n’interfèrent pas ou très peu.

Ce sont les données de mortalité, c’est-à-dire les formes les plus sévères des formes sévères.

Comment peut-on prétendre que la vaccination a sauvé des vies ou, autre façon de formuler, que la « vaccination a empêché les formes graves » ?

Bien sûr, certains diront que c’eût été pire sans la vaccination. C’est normal quand on manque un peu de « savoir-faire » épidémiologique et de « savoir-lire » les déambulations d’un virus de cette charmante famille des coronavirus.

D’autre disent que c’eût été moins torpide (moins long sûrement et peut-être moins sévère) en l’absence de vaccination. C’est normal quand on manque un peu de « savoir-faire » épidémiologique et de « savoir-lire » les déambulations d’un virus de cette charmante famille des coronavirus.

Les uns et les autres ont peut-être un peu (ou pas du tout) raison mais rien ne peut aider à trancher en faveur des uns ou des autres. C’est une vieille histoire qui se reproduit à chaque évènement sanitaire. C’est le moment de revenir aux basiques.

En fait, ces discussions stériles illustrent l’importance d’avoir des données scientifiques solides pour démontrer l’intérêt (l’utilité ou l’efficacité) d’un produit de santé. Seul l’essai clinique randomisé en double aveugle apporte ces données scientifiques solides ; à condition d’être conduit par des vrais experts vraiment indépendants des industriels, des gouvernants et des autorités sanitaires, quelles que soient leurs obédiences.

Nous n’avons pas d’essai clinique « sérieux » à propos des vaccins antiCOVID, je l’ai assez dit et démontré dans mon Livre « Les vaccins à l’ère de la COVID-19 » publié en Avril 2021, il y a donc 12 mois.
L’absence d’essai clinique « sérieux » est le nœud central de toute la problématique des vaccins antiCOVID : pourquoi il n’y en n’a pas et pourquoi personne ne le dit ?

En bref, je me permets de féliciter tous ceux (dont moi) qui dès le début de cette ténébreuse affaire ont donné l’alerte à propos de ce simulacre de science médicale !

Certes, on risque d’avoir d’ici quelques semaines (et encore à la fin de l’été) les mêmes gouvernants et décideurs qui ont imposé le passe vaccinal ; mais nous serons dans un autre monde, ou une autre époque, avec bien d’autres soucis, hélas…

Prenons ce jour ce que nous avons (comme disait Jésus) sans baragouiner et célébrons notre victoire : la fin du passe vaccinal.

Demain sera un autre jour, une autre époque !

Je propose le « GLORIOUS fourth movement » de la célèbre symphonie de Camille Saint-Saëns dite « Organ symphony » dite aussi symphonie numéro 3 :

Mais j’aime bien aussi une version espagnole où on entend mieux les pianos :